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Note sur les expériences d’irrigation solaire pour le maraichage dans les villages de Soumarana et Adraoua (commune de Safo)
Le solaire est perçu comme une technologie verte valorisant l’énergie renouvelable qu’est le soleil et permettant des économies sur les charges courantes d’achat de carburant ou d’électricité. Selon les données des maraichers suivis en conseil de gestion par la CRA de Maradi en 2018 à Soumarana, l’achat de carburant pour l’irrigation représente 45% des charges de production sur la carotte et 22% sur l’oignon. Cela justifie bien pourquoi, les investissements pouvant permettre une irrigation solaire pour le maraichage (panneaux solaires et pompes immergées) sont de plus en plus demandés par les producteurs de Maradi pouvant bénéficier d’un crédit agricole avec subvention. -
Rapport d’activités annuel 2017 - Programme d’appui à la petite irrigation (PAPI)
Le Programme d’Appui à la Petite Irrigation (PAPI), soutenu par la Coopération Suisse vise à développer le secteur horticole en donnant aux producteurs et productrices l’opportunité de vivre décemment de leurs activités. Le présent rapport présente donc les activités menées au cours de l’année 2017, par le RECA et les CRA. -
Note sur la production de blé au niveau du périmètre irrigué de Djirataoua et du site de Madarounfa
Au Niger, les bassins de production de blé sont : les vallées de la région d’Agadez, le périmètre de Konni (Tahoua) et le périmètre de Djirataoua (Maradi). La production de blé est faible ; elle est de 4807 tonnes par an (FAO, 2018). Le blé est surtout cultivé avec des faibles superficies variant de 0,1 à 0,5ha par exploitation (AcSSA-Afrique Verte, 2011). Au niveau de la région de Maradi, le périmètre irrigué de Djirataoua et le site Maraicher ‘’Alkamomi’’ de Madarounfa sont des ‘’anciens’’ bassins de production de blé.
Cette note présente des informations sur les itinéraires techniques de production de blé collectées sur le périmètre irrigué de Djirataoua et le site Maraicher ‘’Alkamomi’’ de Madarounfa suite aux entretiens avec 11 producteurs et les comptes d’exploitation de 5 producteurs -
Charbon bactéridien
Le charbon bactéridien, appelé aussi fièvre charbonneuse, ou anthrax en anglais, est une maladie d'origine bactérienne qui touche principalement le bétail : bovins, ovins, caprins, dromadaires et chevaux. Le charbon bactéridien est une maladie infectieuse aiguë particulièrement mortelle et virulente, présente au Niger. Cette maladie est une zoonose, c’est à-dire qu’elle affecte principalement les animaux mais peut également atteindre l’homme. -
La Maladie de la Rage au Niger
La rage est une maladie virale qui touche le système nerveux central des mammifères (chiens, chats, certains animaux sauvages), dont celui de l’homme. Le virus est particulièrement présent dans la salive et le cerveau des animaux infectés, le plus souvent des chiens. Il est généralement transmis par la morsure d’un animal malade. Les chauves-souris représentent également un réservoir important du virus dans certaines régions. -
Maladie de NEWCASTLE
Au Niger, l’aviculture est pratiquée par la majorité de la population rurale et notamment les femmes. Elle permet d’obtenir des revenus réguliers pour des milliers de ménages, revenus leur permettant de faire face à de nombreuses dépenses tant pour l’alimentation que pour la santé ou l’éducation. Mais l’élevage de volailles se heurte à une maladie terrible et régulière appelée maladie de Newcastle. La maladie est fréquente au Niger et entraine des mortalités importantes des volailles surtout en milieu rural. Elle est aussi appelée Koatou en Zarma et Dan killo en Haoussa.