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Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Djirataoua: département de Madarounfa -Niger
Cette étude a été initié par le projet USAID/ WAIPRO aborde quatre volets d'activités interconnectées : - 1: Diagnostic comprenant étude générale, analyse participative des contraintes et des opportunités des systèmes irrigués existants.
- 2: élaboration des plans d'intervention, et les mettre en oeuvre sur des systèmes irrigués pilotes;
- 3: Renforcement des capacités, synthèse, communication et diffusion des leçons apprises;
- 4: Promotion de l'eau agricole et de l'irrigation à petite échelle . -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Galmi -Niger
Cette étude a été initié par le projet USAID/ WAIPRO aborde quatre volets d'activités interconnectées :
- 1: Diagnostic comprenant étude générale, analyse participative des contraintes et des opportunités des systèmes irrigués existants.
- 2: élaboration des plans d'intervention, et les mettre en oeuvre sur des systèmes irrigués pilotes;
- 3: Renforcement des capacités, synthèse, communication et diffusion des leçons apprises;
- 4: Promotion de l'eau agricole et de l'irrigation à petite échelle . -
La situation de la communication pour le développement au Niger (État des lieux)
Pour lutter contre les affres du sous-développement, les autorités ont entrepris de réorganiser le secteur de la communication et décidé de la mise en œuvre d’une Politique nationale de communication pour le développement.
A cet effet, 10 études sectorielles et thématiques ont été effectuées. Des ateliers tenus dans chacune des huit régions du pays ont permis de recueillir la perception par les communautés de base de la problématique de la communication pour le développement. -
Formation maraîchage : la pépinière
Les pépinières sont des endroits où le maraîcher fait germer et pousser ses graines. Les jeunes plants issus de ces graines sont ensuite repiqués dans des parcelles ou sur des planches. -
Fiche technico-économique pour la culture de la canne à sucre
La canne à sucre est une plante cultivée principalement pour ses tiges qui contiennent un jus sucré d’où on tire le sucre. Elle appartient à la famille des graminées comme le mil, le sorgho ou le maïs. Au Niger, elle est surtout utilisée en consommation directe, comme canne de bouche. La canne à sucre est cultivée comme plante annuelle avec une récolte 8 à 10 mois après la plantation. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche froide
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. Dans la région de Dosso, la principale zone de production est le Dallol Maouri, Département de Tibiri, avec des surfaces cultivées variant de 0,05 ha à 1 ha par producteur. Elle est souvent cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 9,24 tonnes (42 korya) de pastèque permet de dégager des revenus de 840.000 F.CFA pour 230.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 610.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour l’oignon rouge
L’oignon rouge de Sokoto ou encore appelé Dan Yaouri en haoussa est une des principales cultures irriguées de la commune de Gaya. Cet oignon a un cycle de 90 à 115 jours du repiquage à la récolte. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 0,1 ha et 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 7 tonnes permet de dégager des revenus de 788.000 F.CFA pour 158.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 630.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l'oignon blanc
L’oignon blanc appelé « albassa koiraye » en Djerma ou « faral albassa » en Haoussa est cultivé principalement dans la Commune rurale de Soucoucoutane, département de Doutchi. Cela reste une variété peu connue, avec une production limitée, mais qui pourrait trouver une meilleure place sur les marchés dans les années à venir (diversification). Le cycle de la culture varie entre 90 à 120 jours quand les bulbes produits sont destinés à la vente directe sur le marché, et entre 120 et 150 jours quand il s’agit des bulbes de conservation. En moyenne, pour 1000 m², on obtient une production d’environ 3.640 kg qui permet de dégager un produit de 448.000 F.CFA pour 130.000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 318.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la laitue
La laitue ou « salati » en haoussa est l’une des principales cultures irriguées du département de Doutchi (région de Dosso). Les bassins de production sont Matankari, Kiéché et Doutchi. Au cours de l’année, un producteur peut effectuer 5 à 6 cycles de production. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 500 à 1 500 m2. En moyenne pour une surface de 1000 m² on obtient une production de 1 650 kg (64 planches de 10 m²) qui permet de dégager par cycle de production 272 000 F.CFA pour 23 410 F de charges opérationnelles et une marge brute de 248 590 F. -
Fiche technico-économique pour le piment vert
Le piment appelé Tonka en Haoussa comme en Zarma, est une culture que l’on pratique sur presque tous les sites maraîchers du département de Gaya. Les superficies exploitées se situent entre 0,25 ha et 0,75 ha. Un cycle de production de piment vert dure 5 à 6 mois. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 4 tonnes permet de dégager un produit brut de 650.000 F.CFA pour 72.000 FCFA de charges et donc une marge brute de 578.000 F.CFA et un ratio produits/charges de 9. Ce résultat est obtenu par les exploitations agricoles employant principalement de la main d’oeuvre familiale -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre communément appelée « dankali tourawa » en haoussa est l’une des principales spéculations maraîchères de la région de Dosso. Elle est cultivée au niveau du département de Doutchi et de Tibiri et dans une moindre mesure dans la commune de Harikanassou. Selon la variété le cycle de la pomme de terre varie de 70 à 120 jours. Les surfaces mises en valeur varient de 200 à plus de 6.500 m² selon les localités de production. En moyenne, pour 0,5 ha on obtient une production d’environ 6.328 kg qui permettent de dégager 1.582.000 FCFA pour 558.250 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.023.750 FCFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche chaude
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une Cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. La principale zone de production concernée est le Dallol Maouri département de Tibiri avec des surfaces cultivées variant de 0,05 à 1 ha par producteur. Elle est principalement cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 11 tonnes permet de dégager un produit brut de 1.785.000 F.CFA pour 235.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 1.550.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est l’une des cultures principales du département de Tibiri qui constitue l’un des plus grands bassins de production de la zone. Les superficies moyennes cultivées par producteur varient de 100 m² à 5.000 m2. Une production moyenne de 2500 m2 permet de générer des revenus de 275.000 F.CFA pour 77.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 198.000 F.CFA et un ratio (produits/charges opérationnelles) supérieur à 2. -
Formation maraîchage : la pépinière Conseiller en maraîchage
Cette note a été rédigée par l’équipe technique de la Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso avec l’appui du RECA. Cette note est produite à l’intention des conseillers et animateurs maraîchers des dispositifs d’appui conseil (OP, ONG, GSC, STD), notamment dans le cadre du programme de formation de jeunes agriculteurs et agricultrices. -
Module sur l’utilisation des bio pesticides et méthodes de lutte intégrée
Un biopesticide est un pesticide dérivé des matériaux naturels comme les bactéries, les plantes, … Kiota avec une solution d’ail et Djoga (Torodi) avec un mélange feuille de neem + piment + tabac. Les produits à base de neem se vendent aux Etats Unis (homologué en « bio ») ou en Europe. Pas d’arbres de neem dans ces pays Au Niger nous en avons. -
Module sur la fabrication de compost
Le compost est fabriqué spécialement en mélangeant des résidus végétaux avec des déjections animales ou du fumier. Il existe plusieurs méthodes de fabrication du compost : le compostage aérien ou en tas et le compostage en fosse. -
Formation des formateurs Jeunes agriculteurs et agricultrices Module sur la pépinière
Les pépinières sont des endroits où le maraîcher fait germer et pousser ses graines en pleine parcelle ou sur pilotis ou planche surélevée. L’objectif de ce module permet de maîtriser la conduite d’une pépinière afin d’optimiser les rendements des cultures maraîchères. -
Tirka daboobi
Cibiyar kira domin samun bayyanai da shawarwari kan al’amuran noma da kiwo mai suna ISALAN da kungiyoyin RECA suka girka na samun kira lokaci zuwa lokaci kan yadda ya kamata ayi Tirka. Manoman kasar Nijar maza da mata sun san tirka kuma sunayin tirkar bisashe tamkar sana’a. Saboda haka ya kamata su maida hankali kan shawarwarin da muka basu don su samu kinkawan sakamako, don kar suyi da na sani. Da farko dai tirka,ita ce ka samu dabba ko ka sayi dabba mai kimanin shekaru biyu rago ko bunsuru), ka rinka cida ta don ta kasaita. To domin a samu sakamako mai kew, ya kamata a kiyaye wa’adin tirka,kada ya wuce watanni uku(3). Idan aka wuce wannan lokacin to maimakon a samu riba to faduwa za’ayi. -
Almaney biiri ga neera goyo tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Sooro boobo kulu no RECA ce yaù nango kaù se i ga ne Issalan ga du hayaù almaney biiri yaùey bon. Iri Niizeer laabu, alfarey nda kurkey kulu no ga almaney biiri ga neera fondey bay. Wo-din si ganji, iri ga sanni yaù filla kaù ga naù biiriyano ma boori. Sintina jina, iri ga borey fongandi kaù almaney biiri ga neera goy no kaù ga arzaka boriyandi. Almano kaù boro ga suuban, alman no kaù mana je, a gonda sanda jiiri hinka deedandi, da feeji gaaru no wala binde hincini jindi no. Da boro na almano suuban, ni ga a naasandi no, hay kaù ga naù a ma te nooru. Da boro ga ba biiri ga neeraa ma te nafa, boro mana hima ga almano biiri ga ba handu hinza (3). Da biiriyaù alwaato bisa ya-din, da boro laasabu, goyo sinda albarka kulu. -
Formation sur le stockage et la conservation des produits agricoles
Ce guide se resume sur le renforcement des compétences des techniciens/ciennes à former les opérateurs/trices (producteurs/trices, transformateurs/trices, commerçants/tes) sur le stockage et la conservation des produits agricoles afin de limiter les pertes post-récoltes et améliorer la sécurité alimentaire et le revenu des différents opérateurs des chaines de valeurs des produits agricoles -
Effets du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) sur la production et les rendements des cultures de pomme de terre, oignon blanc de Soucoucoutane, et oignon Violet de Galmi au niveau des exploitations maraichère de 5 sites de production.
La Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso s’est engagée dans le conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) depuis 2014 avec l’appui du Programme d’Appui à la Petite Irrigation (PAPI) financé par la Coopération Suisse. Au démarrage de cette activité des conventions étaient signées entre la CRA et les unions d’organisation de producteurs (OP) / faitières de la région avec un dispositif mixte comprenant à la fois des conseillers de la CRA et des animateurs endogènes des OPs qui avait reçu une formation par le cabinet CORADE. Malheureusement, après 2 années d’activités le dispositif n’arrivait pas à donner les résultats escomptés (questionnaire trop complexe, producteurs non alphabétisés, animateurs des OP ayant d’autres tâches). Vu cet état de fait, la CRA n’a pas renouvelé les conventions avec les OPs et a réfléchi sur un nouveau dispositif basé uniquement sur ses conseillers agricoles et des animateurs endogènes de certaines OPs qui vont s’engager volontairement dans le CGEF. A nos jours, suite aux suivis faits de 2017 à 2019 des résultats ont été produits. -
Effets du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) sur la maitrise des coûts de production et l’augmentation des revenus par les producteurs de pomme de terre, oignon Blanc de Soucoucoutane, et oignon Violet de Galmi au niveau de exploitations maraichères de 5 sites de production.
La Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso s’est engagée dans le conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) depuis 2014 avec l’appui du Programme d’Appui à la Petite Irrigation (PAPI) financé par la Coopération Suisse. Au démarrage de cette activité des conventions étaient signées entre la CRA et les unions d’organisation de producteurs (OP) / faitières de la région avec un dispositif mixte comprenant à la fois des conseillers de la CRA et des animateurs endogènes des OPs qui avait reçu une formation par le cabinet CORADE. Malheureusement, après 2 années d’activités le dispositif n’arrivait pas à donner les résultats escomptés (questionnaire trop complexe, producteurs non alphabétisés, animateurs des OP ayant d’autres tâches). Vu cet état de fait, la CRA n’a pas renouvelé les conventions avec les OPs et a réfléchi sur un nouveau dispositif basé uniquement sur ses conseillers agricoles et des animateurs endogènes de certaines OPs qui vont s’engager volontairement dans le CGEF. A nos jours, suite aux suivis faits de 2017 à 2019 des résultats ont été produits. -
Pisciculture en zone tropicale
Ce document de vulgarisation et de formation traite de la pisciculture en milieu tropical, plus spécialement en Afrique de l’Ouest. Il tente de donner au lecteur des notions sur tout ce qui pourrait le concerner dans l’exercice de sa fonction de pisciculteur, vulgarisateur ou formateur. Il comprend une description des différentes étapes qui aboutissent à la production des principales espèces de poissons dans ces régions y compris la construction des étangs et l’étude du comportement des poissons (éthologie). -
Maitrise de la pression parasitaire à travers le conseil de gestion à l’exploitation agricole et les formations
Cette note a été rédigée sur la base des résultats de l’analyse des données collectées par les conseillers de la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) dans le cadre du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) au niveau du département de Doutchi, et d’entretiens complémentaires avec des producteurs et productrices. Compte tenu de la dynamique du dispositif CGEF dans ce département, qui se fait selon les campagnes avec ou sans techniciens d’organisations de producteurs OP, les données sont établies à partir de 43 producteurs (dont 20 suivis en CGEF et 23 sous forme d’entretiens complémentaires). Il faut également noter que les données collectées au cours des deux premières campagnes de conseil de gestion n’ont pas été prises en compte car non exploitables et que les résultats intègrent uniquement les données de 2017 et 2018. -
Forages manuels au Mali
Vidéo illustrant la réalisation d'un forage manuel au Mali -
Au Sénégal, des pompes à pédales pour l'irrigation des cultures
Au Sénégal, l'USAID encourage les producteurs agricoles à utiliser les pompes à pédales fiables et moins chères pour l'irrigation des cultures maraichères. Cette initiative a permis également le développement du partenariat avec les artisans locaux pour la fabrication des pompes. -
Techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel
Techniques de maraîchage. gestion des exploiataions maraîchères. fiches techniques de production des cultures maraîchères -
La pratique de la vulgarisation pour l’adaptation agricole
Ce présent guide porte sur la pratique de la vulgarisation pour l’adaptation agricole -
Techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel : Guide destiné aux Techniciens, Agents Prestataires de Services (APS) et
Animateurs Villageois (AV)Ce guide porte sur les techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel -
Évaluation de l’insécurité alimentaire chronique au Niger
En mai 2018, le Réseau de systèmes d'alerte précoce contre la famine (FEWS NET), le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) et l'Unité de soutien mondial pour la classification par phase intégrée (GSU IPC) ont réuni des représentants de différents ministères nigériens, des organisations non gouvernementales (ONG) internationales et locales et des agences des Nations Unies (ONU) pour préparer une analyse de l'insécurité alimentaire chronique à l'aide des outils de l’IPC.
La classification IPC de l’insécurité alimentaire chronique comprend quatre niveaux de sévérité de l’insécurité alimentaire chronique (IAC), à savoir : pas d’IAC (niveau 1), IAC légère (niveau 2), IAC modérée (niveau 3) et IAC sévère (niveau 4). L'analyse prend en compte trois domaines de sécurité alimentaire : la qualité des aliments consommés, la quantité des aliments consommés et la malnutrition chronique. -
Récupération biologique des terres dégradées (BDL)
Manuel à l’usage des formateurs et des producteurs / Convertir les sols dégradés en champs fertiles par la combinaison des moyens biophysiques.
La bio-récupération des terres dégradées vise la réhabilitation des sols latéritiques dégradés au Sahel.
Le sol latéritique se caractérise par une croûte superficielle qui gêne la fixation des racines et empêche la pénétration d’eau, compromettant ainsi toute possibilité de produire.
Pour atteindre la couche fertile du sol, il faut entreprendre un travail de récupération en brisant la croûte. La bio-récupération restitue la fertilité de ces sols latéritiques physiquement à travers les ouvrages CES/DRS qui collectent les eaux des pluies et assurent leur bonne infiltration et biologiquement par la plantation d’espèces pérennes et annuelles adaptées et génératrices de revenus.
De cette façon, le sol est protégé contre une nouvelle dégradation tout en augmentant sa productivité et l’apport en eau, procurant ainsi des avantages économiques substantiels au producteur.
Le BDL est fondamentalement un système agro-forestier qui utilise les mêmes techniques traditionnelles de conservation des eaux et du sol (CES). Il est défini comme un système biotique assisté (flore et faune) pour la réhabilitation des terres dégradées. Ce qui le distingue, cependant, du système agro-forestier traditionnel est l’incorporation d’arbres et de légumes pluvieux à haute valeur économique dans un système holistique plutôt que les arbres et céréales traditionnelles.
Le système a été développé par ICRISAT-Niger et appelé BDL ou Bio-reclamation of Degraded Lands ou Récupération biologiques des terres dégradées. -
Rapport d’activités annuel 2017 - Programme d’appui à la petite irrigation (PAPI)
Le Programme d’Appui à la Petite Irrigation (PAPI), soutenu par la Coopération Suisse vise à développer le secteur horticole en donnant aux producteurs et productrices l’opportunité de vivre décemment de leurs activités. Le présent rapport présente donc les activités menées au cours de l’année 2017, par le RECA et les CRA. -
Fiche synthèse de bonnes pratiques de résilience - « conventions locales de gestion des ressources naturelles »
Projet : Résilience et Croissance Economique au Sahel - Résilience Renforcée.
Une convention locale (CL) est un ensemble de dispositions, de normes et règles locales déterminant l’accès et l’utilisation des ressources naturelles dans une zone donnée (commune pour le cas de REGIS-ER) ainsi que les sanctions décidées en cas d’abus. Le but est de mieux gérer les ressources naturelles afin d’éviter les conflits liés à leur utilisation et aussi les préserver pour les générations futures. La CL tient compte de l’occupation de l’espace ; elle comprend donc le plan communal d’occupation et d’affectation des sols (PCOAS) et les règles communales de gestion des ressources naturelles (RCGRN). -
L’assurance agricole
L’assurance agricole devient un outil puissant de protection des petit(e)s producteurs et productrices du Sénégal. Depuis la campagne agricole de 2013, le programme Feed the Future pour le Sénégal accompagne la Compagnie Nationale d’Assurance Agricole (CNAAS) et ses partenaires pour le design et l’expansion de solutions d’assurances adaptées au secteur céréalier. L’objectif est que l’assurance agricole fasse partie intégrante des chaînes de valeur céréalières, et qu’elle devienne financièrement pérenne, tant du point de vue de l’attractivité pour les producteurs et productrices, que du point de vue de la viabilité financière de la CNAAS. L’assurance agricole proposée par la CNAAS aux producteurs céréaliers se divise en deux formules distinctes de détermination des sinistres et de calcul des primes : l’assurance agricole classique (« multirisque ») et l’assurance agricole indicielle. Dans chaque cas, la couverture proposée par la CNAAS porte sur un capital assuré proportionnel aux besoins du producteur en intrants. -
Formation des techniciens et services techniques sur la stratégie de récupération des terres - Compte rendu de l’atelier 4-6 décembre 2018
Cette formation a réuni du 4 au 6 décembre 2018 des techniciens des ONG et OP qui ont été présélectionnées pour accompagner des organisations de producteurs sur la récupération de terres afin d’installer des jeunes agriculteurs et agricultrices pour des productions agricoles dans le cadre du Programme d’Appui au Développement Agricole Durable (PADAD) dans la région de Dosso.
Cette formation s’est déroulée du 4 au 6 décembre 2018 dans la salle du Secrétariat Permanent du Code Rural à Dosso. Elle a été assurée par le RECA et s’est déroulée en 3 temps : Un jour de présentation des expériences de récupération et de mises en valeur des terres récupérées au Niger, et des difficultés qui peuvent être rencontrées ; Un jour sur les questions qui se posent à la lecture des dossiers proposés au PADAD ; Une visite de terrain sur un site de récupération des terres à vocation sylvo-pastorale. -
Rôle de la santé pour améliorer la productivité dans le secteur agro-pastoral
Ce document constitue un contrôle et une analyse des interventions sanitaires, en cours ou à l'état de projet, financées par l'USAID au Niger pour vérifier si elles correspondent aux objectifs généraux d'assistance au Développement que se fixe la mission, à savoir aider le
pays à atteindre une auto-suffisance alimentaire. La plus importante de ces interventions étudiées est le Projet Amélioration de la Santé Rurale destiné à renforcer le système sanitaire rural au Niger. Ce rapport fait aussi état d'autres interventions sanitaires liées au Projet Amélioration de la Santé Rurale mais intégrées dans les projets de développement rural financés par l'USAID. -
Farmers’ rice knowledge and adoption of new cultivars in the Tillabéry region of western Niger
Rice is the third most important crop in Niger and showsthe most rapidly increasing consumption. Rice importsgrew from 40,000 t in 1995 to 210,000 t in 2005 at a costof US$ 71.4 million in a country where nearly 60% of thepopulation lives below the poverty line [1,2]. Rice is produced mainly in the region of Tillabéry (75% national production) where about 1/7 of Niger’ s population live [3,4].With 100,000 ha of arable and irrigable lands, this regionof Tillabéry has nearly 50% of the country’ s irrigable land.There are 29 irrigated rice schemes (with double cropping each year) that cover 7,432 ha (85.3% of the nationalirrigated schemes) in Tillabéry. The average rice grain yield in this agrosystem is 3.5 to 4.5 t ha−1[5,6]. This intensive system, under the control of local farmer unions andsupervised by the Office National des Aménagements Hydro-Agricoles (ONAHA), currently produces 30,000 to
35,000 t year−1. Private irrigated systems with individual
water pumps are also found in this area. The irrigated ecosystems are planted only with improved Asia-type (Oryzasativa) cultivars. The traditional rice growing in the Tillabéry region accounts for about 62.13% of lowland rice production. -
Commerce régional et sécurité alimentaire au Niger
Longtemps abordée dans un cadre national avec une forte focalisation sur les disponibilités céréalières, la sécurité alimentaire sahélienne et plus spécifiquement au Niger, est avant tout liée à l’accessibilité des ménages aux vivres. La pauvreté est le principal facteur d’insécurité alimentaire structurelle et conjoncturelle des ménages nigériens. 2. Les perspectives de la sécurité alimentaire au Niger sont fortement influencées par la démographie,avec une population appelée à doubler d’ici à 2035, dans un contexte où les ressources naturelles sont fortement affectées par le changement et la variabilité climatique. 3.L’accessibilité aux vivres pour les ménages est au Niger fortement dépendante des revenus tirés des exportations agropastorales et des importations alimentaires. Les facteurs régionaux occupent une place déterminante dans les conditions de la sécurité alimentaire nationale et au niveau des ménages. -
Évaluation sous-régionale de la chaine de valeurs oignon/échalote en Afrique de l'Ouest
La présente étude de la chaîne de valeurs commanditée par le Projet Agribusiness and Trade Promotion (ATP), aborde essentiellement le commerce de l'oignon et de l’échalote en Afrique de l’Ouest. Le but de l'étude a été de : 1) identifier les principaux acteurs qui interviennent dans la chaîne et la nature de leurs activités ; 2) évaluer les principales contraintes et opportunités ; et sur la base de cette évaluation, 3) proposer les investissements ciblés que le projet ATP pourrait effectuer à court terme en vue d’éliminer efficacement les principales contraintes tout en maximisant les opportunités, et de manière à assurer le développement cohérent et mesurable de la chaîne de valeurs. -
Techniques de production, stockage et conservation des bulbes d’oignon pour améliorer les performances de la filière oignon
Suite aux besoins des clients exprimés dans les dossiers de structuration des activités des OP, les constats lors de l’analyse des systèmes de conservation des produits et de l’évaluation des chaînes de valeurs des produits (oignon et pomme de terre), pour appuyer l’effort de ses clients axé sur le marché afin de tirer le maximum de profit. Le présent manuel s’inscrit dans le cadre de la formation des représentants des OP dans les techniques poste-récolte, de conditionnement et de conservation des bulbes d’oignon afin de minimiser les taux de perte mais, augmenter la qualité et valeur des produits. Cette formation portera sur le renforcement des capacités des membres des OP aussi bien en techniques de conservation des bulbes destinés à la conservation qu’en production des semences de qualité afin de prendre en compte dans la phase poste récolte, toutes les insuffisances capables d’affecter négativement le volume et valeurs des récoltes des produits ciblés. -
Niger, perspectives sur la sécurité alimentaire : la soudure se prolonge en zone pastorale mettant certains ménages en insécurité alimentaire
La zone pastorale traverse une période de soudure atypique ayant des conséquences sur les moyens d’existence et l’accès alimentaire des ménages pauvres : en avril 2018, la réunion de réévaluation de la situation alimentaire, nutritionnelle et pastorale tenue à Dosso a constaté l’épuisement des pâturages naturels et des résidus de culture, un mauvais embonpoint des animaux et une détérioration des termes de l’échange animal/céréale. -
Rapport de la formation sur la transformation du jujube (Zyziphus mauritiana)
Le jujubier ou Ziziphus mauritiana est un arbre fruitier de la famille des Rhammnaceae qui pousse dans des sols fertiles ou assez pauvres et même aride. Le jujubier commence à produire la quatrième année après son semis. Les noyaux contiennent 50 % d’huile utilisée dans l’industrie pharmaceutique, en cosmétologie et comme lubrifiant pour les moteurs soumis à haute pression. Dans la pharmacopée africaine, le fruit est recommandé pour le traitement des affections inflammatoires de la gorge, des voies respiratoires, urinaires, il est également utilisé contre la constipation et le diabète. Des recherches sont effectuées en Asie sur ses propriétés tranquillisantes et antalgiques, anti- inflammatoires et broncho-dilatatrices. -
Guide d'information sur le commerce des engrais en Afrique de l'Ouest
Ce guide contient les dernières statistiques nationales sur la production, le commerce et l’utilisation des engrais, des cartes et des profils actualisés des installations de production et de mélange d’engrais, ainsi que les procédures et les coûts logistiques qui contribuent à la formation du prix des engrais du port à la ferme. Pour encourager l’utilisation judicieuse d’engrais de qualité, de nouveaux laboratoires accrédités s’appuient sur les réglementations régionales des engrais et les normes d’étiquetage et d’emballage applicables en Afrique de l’ouest, tandis que la diffusion de paquets d’intrants agricoles adaptés aux différentes zones agroécologiques favorise leur utilisation optimale par les producteurs ouest-africains. -
Étude participative sur les aspirations des jeunes et l’efficacité des politiques publiques en matière de jeunesse au Niger
Au Niger, la structure démographique fait ressortir le poids important des jeunes1 dont le taux d’accroissement naturel est estimé à 3,81% en moyenne sur la période 2001-2011. Environ 60% (13 millions) de la population a moins de 18 ans et près de 500.000 jeunes entrent sur le marché du travail chaque année. Cette progression rapide de la population active soulève la problématique de la place des jeunes dans la société nigérienne. L’approche participative mise en œuvre dans le cadre de cette recherche consiste à donner la voix aux jeunes pour comprendre leurs aspirations et capter leurs perceptions. Trois thématiques majeures ont été abordées pour lesquelles l’étude a fait ressortir les principaux messages clés. -
Note sur la variation du prix du Moringa à Maradi
Le marché de Maradi est le plus grand marché de Moringa séché et précuit au Niger. Le Moringa séché provient d’une part du bassin de production de Maradi, constitué de la vallée du «Goulbi Maradi» et des 512 ha d’aménagements hydro agricoles, et d’autre part du Nigeria. La production de Maradi est importante. Elle est destinée à la commercialisation et à la consommation locale. Le Moringa est commercialisé sous deux formes : le « séché » et le « précuit ». Cette note ne traite que du Moringa séché, produit et commercialisé dans le bassin de production de Maradi. -
Analysis of Digital Agriculture Extension and Advisory Services in Niger : Developing Local Extension Capacity (DLEC) Project
The Sustainable Opportunities for Increasing Livelihoods with Soils (SOILS) Consortium led by the International Fertilizer Development Center (IFDC) intends to establish a technology park in Niger. The park will function as information and training service center and project agricultural information and innovations to accelerate dissemination and scaling efforts, provide training to farmers and other agricultural value chain actors. The SOILS Consortium in collaboration with the Feed the Future Developing Local Extension Capacity (DLEC) project conducted this study to analyze the digital agricultural extension and advisory services in Niger to support creation of the technology park and to provide insights and recommendations on how the SOILS Consortium can better use digital extension platforms and services to increase the reach of their activities. -
Guide de formation en lutte participative contre le striga dans le système de culture à base de sorgho
Le présent guide de formation est élaboré dans le cadre du projet : « Promotion des variétés de sorgho résistantes au Striga pour réduire les crises alimentaires dans la zone sahélienne Burkina Faso, Mali, Niger, Sénégal», projet financé sous l’Initiative pour la Réponse Globale à la Sécurité Alimentaire (IRGSA). Une initiative spéciale du gouvernement américain à travers USAID, destiné à aborder la question de la sécurité alimentaire dans la sous-région. Ce projet est géré par le CORAF/WECARD et coordonné par l’Institut d’Economie Rurale (IER) au MALI. Le manuel vise donc l’adoption par les producteurs du sorgho, des technologies améliorées de lutte contre le Striga pour faire face aux crises alimentaires que connaît actuellement l'Afrique de l’ouest et du centre. -
Fiche technico-économique pour la culture du Moringa en saison sèche : Région de Dosso
Le Moringa est la 5 e culture irriguée pratiquée dans la région de Dosso avec 2 700 ha de superficie (MAG / Direction des Statistiques 2021). Appelé localement (« TAMAKA » ou encore « ITCHE MAI ALBARKA » en Haoussa ou « WINDI BOUNDOU » en Zarma, il est cultivé aussi bien en campagne sèche qu’en hivernage au niveau de tous les bassins de production de la région. -
Criquets ravageurs du Niger : guide de l'agriculteur / haoussa
Adapté de l'ouvrage de Michel Lecoq « Les criquets du Sahel » (CIRAD, 1988) par Alana Burnham, Idrissa Maiga, Michel Lecoq et Arianne Cease, cette étude revient sur le criquet qui a toujours été parmi les plus grands ravageurs de plantes en Afrique. Ce travail, consiste à identifier, l'insecte dans les différentes régions du Niger et sa manière de s'attaquer sur les plantes. Enfin elle propose des méthodes de lutte efficace. -
Criquets ravageurs du Niger : guide de l'agriculteur / zarma
Adapté de l'ouvrage de Michel Lecoq « Les criquets du Sahel » (CIRAD, 1988) par Alana Burnham, Idrissa Maiga, Michel Lecoq et Arianne Cease, cette étude revient sur le criquet qui a toujours été parmi les plus grands ravageurs de plantes en Afrique. Ce travail, consiste à identifier, l'insecte dans les différentes régions du Niger et sa manière de s'attaquer sur les plantes. Enfin elle propose des méthodes de lutte efficace. -
Partenariat scientifique REUNIR - PAM : Apport de la recherche pour un changement de paradigme dans l'opérationnalisation résilience au Sahel
Le présent ouvrage fait la synthèse d’une partie des travaux réalisés dans l’ensemble des 5 pays, l’objectif visé étant de partager les expériences de bonnes pratiques mises en œuvre au niveau de ces pays du sahel et les leçons apprises de leur mise en œuvre en termes de modalités techniques et partenariales. Des technologies innovantes et des bonnes pratiques ont ainsi été identifiées et mises en œuvre avec des résultats fort concluants. -
Évaluation sur l'impact de l'initiative pour le Renforcement de Résilience au Sahel (RISE) : Rapport d’enquête de suivie récurrent de 2018-2019
Les objectifs de ce rapport sont (1) de comprendre la gravité et l'évolution des chocs subis par les ménages au cours de la période du RMS ; (2) de documenter les stratégies d'adaptation qu'ils ont utilisées pour y faire face ; (3) d’évaluer leur résistance aux chocs ; et (4) d’explorer comment les capacités de résilience des ménages et le programme RISE à ce jour ont affecté leur résilience. Bien que la résilience elle-même soit une capacité à gérer ou à se remettre des chocs, les capacités de résilience sont un ensemble de conditions, d'attributs ou de compétences qui permettent aux ménages d'atteindre la résilience. -
Fiche technico-économique pour la culture de courge en saison sèche chaude
La courge, « KABEWA » en Haoussa ou « LABTENDA » en Zarma, est une spéculation que l’on cultive principalement dans les bassins de production des départements de Doutchi (Matankari, Makera II, et Kolifo)) et de Falmey (Boumba Bossia, Karey Kopto, Birgamba, Talan Tégou). La courge peut être cultivée toute l’année, mais cette fiche concerne la culture de la courge en saison sèche chaude dans la région de Dosso. -
Estimation des volumes et de la valeur du commerce régional des denrées de base
Le commerce régional de denrées agricoles de base est chargé d’histoire et reste énergique, dynamique et essentiel pour l’activité économique et la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest. Cependant, on ne connaît que mal sa taille actuelle, il est généralement qualifié d’« informel » et est à la fois sous-estimé et négligé en tant que facteur important pour la croissance économique dans la région. De plus, il reste des obstacles considérables qui entrainent une hausse importante des coûts de transaction et pénalisent les producteurs, les consommateurs et les acteurs à tous les niveaux des chaines de valeur des denrées. -
Le potentiel de développement du niébé, au-delà de ses grains, dans les marchés locaux du Mali
En plus d’être bien adapté aux conditions climatiques du Mali, le niébé a le potentiel de répondre aux besoins des consommateurs qui sont à la recherche de produits alimentaires qui sont nutritifs, diversifiés et faciles à préparer. Malgré son potentiel, peu de recherche ou de politiques ont porté sur le niébé et en particulier, sur ses volets de transformation et de commercialisation. Cette étude vise à évaluer le potentiel de développement du niébé, au-delà de ses grains, dans les marchés locaux du Mali, notamment en : (1) identifiant les différents types de vendeurs et les différents types de produits de niébé vendus ; (2) en examinant les rôles des différents types de vendeurs de niébé et leurs relations ; (3) en quantifiant les marges bénéficiaires des différents vendeurs ; et (4) discutant des contraintes et des opportunités existantes pour développer la chaine de valeur du niébé au Mali. -
Guide de nutrition pour travailleurs communautaire
Ce document est un guide de travail pour les agents de vulgarisation agricole et sanitaire devant les aider à améliorer leurs connaissances, aptitudes et pratiques en matière de nutrition pour un meilleur impact des investissements faits dans le secteur agricole sur la nutrition et la santé des populations bénéficiaires. -
Contribution à l'amélioration de l'agriculture de conservation (conservation farming) dans la commune rurale de Doungou (Kantché/Zinder)
Cette étude à contribuer pour l'amélioration de l'agriculture de conservation dans la commune rurale de Doungou. Les données sont collectées à travers des enquêtes individuelles. -
Étude du Sahel : rapport étude pilote Niger
L’étude pilote au Niger sert à préparer un étude, menée sous la responsabilité du CILSS, sur les expériences
réussies en matière de gestion des ressources naturelles au Sahel et leurs impacts sur l’agriculture,
l’environnement et la pauvreté rurale..Cette étude du Sahel part de l’hypothèse de base selon laquelle les
succès enregistrés dans les domaines de l’agriculture et de la GRN au Sahel sont sous-estimés. Un eseconde
hypothèse est que l’impact des réformes politiques et institutionnelles que les pays ont introduites dans la
sous-région n’est pas apprécié à sa juste valeur. Une troisième hypothèse est qu’il y a une sous-estimation des capacités et compétences des communautés de base en matière de coopération et de gestion des questions
liées à l’accès et au contrôle des ressources naturelles. -
La gestion durable des ressources naturelles au niveau communal : l'intégration des secteurs agriculture, élevage et foresterie dans les planifications et actions communales - une comparaison des expériences de la Coopération allemande au Bénin, Mali, Niger, Sénégal et à Madagascar
Les programmes de la Coopération technique allemande (GTZ) œuvrant dans les domaines de la gestion des ressources naturelles et de la décentralisation accompagnent le processus de mise en place des communes depuis son démarrage et ont gagné énormément d’expérience dans l’appui aux communes. L’appui à l’intégration pratique de la gestion des ressources naturelles dans les activités communales touche deux aspects nouveaux pour ces programmes qui, depuis les années 90, ont surtout travaillé au niveau villageois : d’une part la relation des communes comme administration territoriale locale par rapport aux aspirations de la population dispersée dans les villages, et d’autre part la relation entre la gestion des ressources naturelles et la promotion de l’économie rurale à un niveau élevé. Le groupe de travail francophone du réseau SNRD (Sector Network Rural Development) a commandité cette étude pour collecter et analyser les expériences des programmes dans cette problématique et fournir des recommandations pour la future orientation des programmes dans le processus continu de la décentralisation. -
Production du gari à partir du manioc : guide illustré à l'intention des transformateurs de manioc à petite échelle
L’Afrique souffre de problèmes complexes qui nuisent à son agriculture et à la vie de ses populations. Avec ses partenaires, l’Institut international d’agriculture tropicale, IITA, développe des solutions agricoles pour combattre la faim et la pauvreté. Nos travaux de Recherche pour le Développement (R4D), qui ont été primés sont d’ailleurs basés sur la réflexion axée sur les besoins de développement de l’Afrique subsaharienne. L’IITA est une organisation internationale de R4D à but non lucratif, créée en 1967 et dirigée par un comité directeur. L’IITA est membre du consortium du Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (CGIAR). -
Transformation du manioc en gari et en farine panifiable de haute qualité en Afrique de l'Ouest
Ce manuel de formation vise -
Stockage des graines de céréales et légumineuses séchées à l’aide du sac hermétique PICS
Cette vidéo fait état de la conservation des céréales dans les sacs hermétique PICS. -
Charbon bactéridien
Le charbon bactéridien, appelé aussi fièvre charbonneuse, ou anthrax en anglais, est une maladie d'origine bactérienne qui touche principalement le bétail : bovins, ovins, caprins, dromadaires et chevaux. Le charbon bactéridien est une maladie infectieuse aiguë particulièrement mortelle et virulente, présente au Niger. Cette maladie est une zoonose, c’est à-dire qu’elle affecte principalement les animaux mais peut également atteindre l’homme. -
Recueil des principaux textes réglementaires sur le commerce régional en Afrique de l'Ouest
Depuis sa création en 1975, la CEDEAO a fait de la libre circulation des personnes et des biens dans l'espace communautaire, sa politique prioritaire d'intégration régionale. Le protocole sur la libre circulation des personnes et des biens adopté en 1979 reconnait aux citoyens de la communauté le droit d'entrée, de résidence et d'établissement dans les États membres. Le principe de libre circulation des personnes constitue un acquis inaliénable au sein de la communauté. -
Les antiparasitaires vétérinaires en vente au Niger (30 septembre 2023)
Le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture du Niger ont démarré la mise en place d’un répertoire des produits vétérinaires et intrants zootechniques en vente au Niger (à l’instar du répertoire déjà réalisé pour les produits phytosanitaires en agriculture) sur les marchés et dans les boutiques. Il s’agit donc principalement des médicaments proposés aux éleveurs par des circuits illicites (médicaments non autorisés vendus par des personnes non qualifiées). -
Étude des possibilités d’intégrer les Forages à faible coût au dispositif d’Alimentation en Eau des communautés rurales au Niger
L’utilisation des forages manuels au Niger remonte aux années 1970 et leur développement a été soutenu dans les années 1990 par des projets initiés par l’UE et la Banque Mondiale. Exclusivement réservé à l’irrigation de petits périmètres, aujourd’hui on dénombre plus de
18.000 forages et 42 équipes de puisatiers. Depuis 2002, de façon spontanée ou à travers des activités initiées par l’Unicef et par des ONG, les forages manuels sont utilisés comme moyen permettant d’accéder à l’eau potable afin de répondre à la demande croissante en eau de boisson des populations en zone rurale. Cet engouement est guidé par le coût 5 à 10 fois inférieur au coût des ouvrages conventionnels et par l’existence de compétences locales. -
Modules de formation des bénéficiaires en élevage de la chèvre rousse
La chèvre rousse est rencontrée dans le centre du Niger supposé être son berceau (entre les villes de Maradi et Tessaoua) et Sokoto au Nigeria. Au Niger, la superficie du berceau de cette race est estimée à 4000 km2 de la région de Maradi au Sud - Ouest de Zinder entre le 12,5° et 14,5° de latitude Nord, sur une pénéplaine à topographie plate. Du fait des activités de diffusion, la chèvre rousse se retrouve dans les régions de Tahoua, Dosso et même Tillabéry. -
Les déterminants sociaux, culturels et individuels des comportements à risque, de prévention et de riposte aux
maladies zoonotiques prioritaires au NigerL’objectif principal de cette étude est d’identifier les déterminants sociaux, culturels et individuels des comportements à risque ainsi que les mesures de prévention et de riposte contre les maladies zoonotiques prioritaires au Niger. -
Formation sur la production des semences améliorées
L’objectif global de cette formation est de renforcer les compétences des techniciens/ciennes à former les producteurs/trices de coton sur la multiplication et la diffusion des semences améliorées certifiées du coton et des cultures de rotation prenant en compte le genre afin d’accroître la productivité agricole et le revenu des producteurs/trices. -
La Maladie de la Rage au Niger
La rage est une maladie virale qui touche le système nerveux central des mammifères (chiens, chats, certains animaux sauvages), dont celui de l’homme. Le virus est particulièrement présent dans la salive et le cerveau des animaux infectés, le plus souvent des chiens. Il est généralement transmis par la morsure d’un animal malade. Les chauves-souris représentent également un réservoir important du virus dans certaines régions. -
Maladie de NEWCASTLE
Au Niger, l’aviculture est pratiquée par la majorité de la population rurale et notamment les femmes. Elle permet d’obtenir des revenus réguliers pour des milliers de ménages, revenus leur permettant de faire face à de nombreuses dépenses tant pour l’alimentation que pour la santé ou l’éducation. Mais l’élevage de volailles se heurte à une maladie terrible et régulière appelée maladie de Newcastle. La maladie est fréquente au Niger et entraine des mortalités importantes des volailles surtout en milieu rural. Elle est aussi appelée Koatou en Zarma et Dan killo en Haoussa. -
Aperçu de l'assistance au Niger
L’insécurité alimentaire reste très répandue au Niger, en particulier dans les zones touchées par l’activité des groupes armés, où la violence et les déplacements qui en résultent limitent la production agricole et l’accès aux marchés. En conséquence, près de 3,3 millions de personnes au Niger ont probablement été confrontées à des niveaux d'insécurité alimentaire aiguë—Crise-IPC 3 ou pire—pendant la saison maigre de juin à août, lorsque la nourriture est la plus rare, selon une analyse du Cadre Harmonisé datant du mois de mars.1 La détérioration des conditions économiques a aggravé l'insécurité alimentaire aiguë de nombreux ménages dans tout le pays. Plus précisément, les sanctions économiques prises à la suite du coup d'État du 26 juillet, notamment par la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et l'Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), ont contribué à l'augmentation des prix des denrées alimentaires de base dans tout le pays et ont perturbé la chaîne d'approvisionnement humanitaire, entraînant des retards dans l'acheminement de l'aide humanitaire, selon le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR). La fermeture des frontières avec les pays de la CEDEAO après le coup d'État, qui est restée en vigueur en octobre, a provoqué de nouvelles pénuries de denrées alimentaires et de produits de base, selon le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations Unies. -
Adaptation de l'agriculture au changement climatique au Sahel : profils agronomiques de quinze cultures dominantes au Sahel
Le présent document fait partie d’une série d’études publiées par le projet Résilience africaine et latino-américaine au changement climatique (ARCC) visant à répondre aux besoins d’adaptation au changement climatique en Afrique de l’Ouest. Dans le cadre des études ARCC pour l’Afrique de l’Ouest, le présent document fait partie de la sous-série portant sur l’Adaptation de l’agriculture au changement climatique dans le Sahel. L’ARCC a également produit une sous-série sur le Changement climatique et les ressources en eau d’Afrique de l’Ouest, le Changement climatique et les conflits en Afrique de l’Ouest et le Changement climatique au Mali. -
Problèmes d'environnement dans les programmes de lutte de l'USAID contre les locustes et les sauterieaux
L'US Agency for International Development (USAID) ct un certain nombre d'autres pays donateurs ont aidé les pays d'Afrique ct du Proche-Orient dans leur lutte contre les locustes et les sauteriaux pendant la
période d'invasion des années 1986-89. Dans cette lutte, ce furent surtout des insecticides qui furent utilisés pour réduire immédiatement la population acridienne. Le présent document relate les efforts de protection de l'environnement accomplis et accomplir par I'USAID lors de toute application d'un programme recourant aux pesticides. -
Résumé des études sur les eaux souterraines de 15 communes de la région de Zinder : mieux connaitre les eaux souterraines pour prendre des décisions informées au niveau communal
Ce résumé souligne les grandes lignes de l’étude pour l’ensemble de la région avec des exemples spécifiques cités pour certaines communes. Mais pour plus de détails et avant toute prise de décision sur une commune spécifique, il est conseillé la consultation du rapport détaillé de ladite commune, afin d’acquérir une connaissance plus spécifique et détaillée de la situation de la commune concernée. -
Résumé des études sur les eaux souterraines de 3 communes de la région de Maradi : Guidan Roumdji, Guidan Sori et Chadakori : mieux connaitre les eaux souterraines pour prendre des décisions informées sur la ressource au niveau communal
Dans la perspective de fournir des données et des informations fiables et actualisées, permettant une meilleure prise de décision pour les planifications des communes rurales sur la gestion durable des ressources en eau, TerresEauVie s’est focalisée sur l’évaluation de la sécurité physique de l'Eau (qualitative, quantitative et bilan hydrique) en vue d’aboutir à un Programme de Gestion des Ressources en Eau Souterraine. -
Gestion des pépinières et techniques de propagation des arbres fruitiers et forestiers
L'objectif de ce manuel est d'assister le producteur dans sa démarche de production, à travers des explications textuelles et illustrées des étapes chronologiques de la production des plants en pépinière. Ce guide est la capitalisation des expériences et des résultats de recherche de l’Institut International de Recherches sur les Cultures des zones Tropicales semi-arides (ICRISAT), les expériences sur les sites de production d’arbres fruitiers et forestiers des bénéficiaires des Projets Famers Of the Future (FOF) par l’ONG LIBO et NCBA CLUSA ‘Arziki’ et ‘REGIS-ER’; et la recherche bibliographique. -
Fumage du poisson et fours de fumage
Ce manuel présente des informations générales sur les procédés de fumage du poisson ainsi qu’une étude des divers types de fours de fumage illustrés dans la littérature spécialisée ainsi que dans des rapports et fiches techniques détaillés publiés par certaines agences internationales de développement. -
Évaluation de la contribution du Conseil de gestion aux exploitations familiales sur les exploitations(Région de Dosso)
Le suivi des exploitations familiales se fait par campagne, selon qu’on soit en productions irriguées ou en pluviales. Le suivi et l’appui en conseil de gestion est prévu sur deux ans afin d’étendre le CGEF à d’autres exploitations exerçant sur le même site et/ou à de nouveaux sites / bassins de production. Il est de ce fait nécessaire de faire une évaluation pour voir les effets du CGEF en termes de changements induits sur le fonctionnement de ces EF (augmentation de rendements et des revenus, adoption de nouvelles pratiques, diversification, acquisition de nouveaux équipements, etc.). -
Analyse des trajectoires des politiques et du droit foncier agropastoral en Afrique de l’Ouest : guide destiné aux spécialistes coordinateurs régionaux du Niger et du Burkina Faso
Le présent manuel traite les modules qui adressent les ouvrages conservation et restauration des sols, ou défense et restauration des sols, dans le contexte de la planification de la gestion des ressources naturelles (GRN) autour des villages sahéliens au Niger et au Burkina Faso. -
Note sur le contrat de parcage
Le contrat de parcage/ fumure, appelé en Djaway en zarma, Dabbidji en peulh et saptché matchayi a gona en Haoussa est une pratique très ancestrale qui se fait de manière non formelle, il s’agit d’un échange de biens et services entre les éleveurs et les producteurs agricoles. Les éleveurs cèdent les déjections de leurs animaux aux agriculteurs sur lesquels ils laissent les animaux passés les nuits, en contrepartie les producteurs leurs apporte des vivres pendant la durée de leur séjour dans les champs. C’est une méthode de fertilisation du sol par les déjections des animaux, consistant à garder les animaux la nuit dans un parc mobile que l’on établit successivement sur la parcelle à enfumer.