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Options technologiques pour une popularisation de l’agriculture irriguée
Il existe essentiellement trois méthodes d'irrigation : l'irrigation de surface, l'irrigation localisée, l'irrigation par aspersion. Cette note décrit chaque type d'irrigation et détaille la gestion de l'eau à la parcelle. -
Rapport sur la lutte biologique contre le heliocheilus albipuntchella, la chenille mineuse de l'épi du mil dans les régions de DOSSO MARADI TAHAOUA TILLABERY ET ZINDER
La Mineuse de l’épi du mil (MEM), Heliocheilus albipunctella De Joannis (Lepidoptera, Noctuidae) et un ravageur sérieux du mil en zone sahélienne, particulièrement au Niger. Les attaques sont fréquentes sur le mil semé précocement. Les dégâts sont apparents au stade maturité de la culture pendant que les producteurs ont investis leurs efforts et les pertes de rendement sont souvent totales. Ces pertes de rendements peuvent atteindre 85-100% en cas d’attaques sévères contribuant ainsi à compromettre l’objectif de la sécurité alimentaire et de réduction de la pauvreté en milieu rural. La mineuse de l’épi reste et demeure l’un des plus redoutables ravageurs dont la gestion efficace est la lutte biologique par le lâcher du parasitoïde. -
Rapport technique sur utilisation des extraits aqueux des plantes (Boscia senegalensis, Pergularia tomentosa, Calotropis procera, Euphorbia balsamifera, Azadirachta indica,) comme produits de substitution aux insecticides dans la lutte contre la Chenille Légionnaire d’Automne (CLA).
La culture du maïs prend de plus en plus de l’ampleur au Niger. Sorti du cadre de la culture de case pratiquée en saison des pluies, le maïs se produit actuellement en toute saison au Niger. Dans tous les sites de cultures irriguées l’on produit du maïs grain comme fourrager en pur ou en intercalaire en vue de lutter contre l’insécurité alimentaire des hommes et de leurs animaux. -
Rapport technique sur la lutte contre la chenille légionnaire d’Automne ( Spodoptera frugiperda) : à travers la collecte des données agro écologiques pour la prévision des infestations dans les différentes zones d’occurrence du ravageur.
L’agriculture au Niger déjà particulièrement sensible aux aléas climatiques et aux attaques de bio-agresseurs autochtones, se trouve de plus en plus souvent confrontée à des bio-agresseurs « exotiques » ayant bénéficié de l’essor des transports commerciaux et touristiques. C’est le cas de la chenille légionnaire d’Automne qui a fait son apparition au Niger depuis 2016 et s’installe progressivement dans les différentes zones agro écologiques avec des effectifs et dégâts variés sur les cultures du maïs, du sorgho et du mil. -
Impacts des sous-projets du PIP2 (Projet de Promotion de l’Irrigation Privée) dans la région de Maradi
Le Projet de Promotion de l’Irrigation Privée Phase 2 (PIP2) est dans sa dernière année d’exécution. Il a pour objectif de développement : l’augmentation de la production et de la rentabilité des cultures irriguées à haute valeur ajoutée par les petits producteurs, grâce à l’utilisation de technologies simples et à faible coût. Il vise ainsi à contribuer à la sécurité alimentaire et à l’amélioration des conditions de vie des populations. Les effets positifs liés au projet sont certes évidents, mais ceux-ci ne doivent pas masquer d’autres conséquences négatives qui peuvent en découler.La présente étude tente de cerner les causes et les effets de ces transformations en vue de dégager des indicateurs pertinents permettant d’évaluer les impacts des sous-projets du PIP2 sur l’agriculture irriguée dans la région de Maradi. L’objectif final est de proposer des stratégies de valorisation des impacts positifs et d’atténuer les mutations négatives. Les résultats obtenus montrent que les sous-projet sont permis d’augmenter la production, les revenus et d’améliorer les conditions sociales des producteurs. -
Stratégie de recherche - formation - innovation pour l'agriculture sur le moyen et long terme au Niger
La production végétale au Niger est une la plus grande source de revenus et d’aliments pour les populations rurales et apporte une contribution significative à l’économie nationale. Dans ce pays où la croissance démographique continue à un rythme supérieur à 3% par an, l’augmentation de la production agricole est un facteur déterminant du maintien, si ce n’est de la progression de l’approvisionnement alimentaire des populations. -
PPAAO : les réalisations au Niger
Le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest et du Centre (PPAAO) s’investit dans 13 pays. Les dix années du programme ont été élaborées de sorte à rendre l’agriculture plus productive, durable et profitable pour les petits agriculteurs. En Afrique de l’Ouest, le programme a commencé en 2007 et s’active à améliorer les conditions de vie des consommateurs à travers l’approvisionnement de produits agricoles à des prix compétitifs, établir une masse critique de chercheurs pour des programmes de recherches solides efficaces et collaboratifs, et finalement pour s’assurer que les technologies générées au niveau national sont disponibles au niveau régional. Le PPAAO a été établi sur l’initiative de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) comme une réponse au nouvel engagement des états Africains à l’Implémentation du Programme détaillé pour le développement de l’agriculture Africaine (PDDAA). Les pays participants financent des fonds de 500 millions de dollars USD grâce à un système de prêt de la Banque Mondiale. Au niveau régional le programme est coordonné par le CORAF. Plus de deux cent technologies ont été générées et adoptées par près de 4,5 millions de producteurs et transformateurs sur environ 4,8 millions d’hectares. Ces technologies sont disponibles sur www.mita.coraf.org. Le PPAAO a financé des bourses de Master et PhD pour 1021 jeunes.