Les cultures horticoles, constituent un des maillons importants de l’agriculture nigérienne. Leur importance s’est surtout accrue à partir de 1984, l’année du lancement de la campagne dite de « cultures de contre saison ». Mais malgré cela, peu d’intérêt a été accordé à la lutte contre leurs bio-agresseurs. Pourtant, ces cultures subissent une forte pression parasitaire entrainant parfois l’échec de certaines cultures. Le cortège parasitaire est composé de ravageurs (insectes, acariens, nématodes, rongeurs, etc.), d’agents de maladies (champignons, bactéries, virus) et de mauvaises herbes. Pour minimiser l’impact de ces ennemis des cultures sur la production horticole, les producteurs nigériens font le plus souvent recours aux pesticides de synthèse dont certains sont d’origine douteuse. Pour appréhender la problématique d’utilisation de ces pesticides, une enquête a été menée dans la zone périurbaine de Niamey auprès des producteurs et des vendeurs de pesticides sur les modes d’utilisation de ces produits, la nature des pesticides utilisés, et leur conservation, etc.
Au Niger de nombreux maraîchers abusent des pesticides pour faire face aux multiples attaques des ravageurs. Cependant, tout le monde est unanime, il faut utiliser moins de pesticides pour la protection des cultures et faire recours à la « lutte intégrée ». Mais comment faire ?
Zamu muku hira kan wani mungun tsutsar chou da ake cema teigne du chou a turance. Tsutsar chou da ake cema plutela da turance wani karamin malan batata ne(wanda yafi sabro girma,photo na 1) tsutsar shi ce tafi yawan banna ga chou a kasar Nijar. Wanan kwarin ana samun shi koda yaushe tsawon dukan shekara a fadin kasar Nijar aman yafi yawa a lokacin zahi tsakanin watan mars da mai,yana iya bata illahirin gonar chou.
Su nooniizo kaù se i ga ne faransi ciine ga « teigne » : alfaga caw-caw kayniyaw fo no ga a hay (A si beeri ga ba soboro, Foto 1) Niger fi azulmata ra no a go, su aùùwaara i kulu ilaala no. Amma a si laala kala dungay waate annasaara handu hinzanta ga koy iguwanta. A ga hin ga su fari kulu alandaaba.