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Diversité des pesticides et leur utilisation dans la lutte contre les ennemis des cultures maraichères dans la zone périurbaine de Niamey, Niger
Les cultures horticoles, constituent un des maillons importants de l’agriculture nigérienne. Leur importance s’est surtout accrue à partir de 1984, l’année du lancement de la campagne dite de « cultures de contre saison ». Mais malgré cela, peu d’intérêt a été accordé à la lutte contre leurs bio-agresseurs. Pourtant, ces cultures subissent une forte pression parasitaire entrainant parfois l’échec de certaines cultures. Le cortège parasitaire est composé de ravageurs (insectes, acariens, nématodes, rongeurs, etc.), d’agents de maladies (champignons, bactéries, virus) et de mauvaises herbes. Pour minimiser l’impact de ces ennemis des cultures sur la production horticole, les producteurs nigériens font le plus souvent recours aux pesticides de synthèse dont certains sont d’origine douteuse. Pour appréhender la problématique d’utilisation de ces pesticides, une enquête a été menée dans la zone périurbaine de Niamey auprès des producteurs et des vendeurs de pesticides sur les modes d’utilisation de ces produits, la nature des pesticides utilisés, et leur conservation, etc. -
Ressources en eau dans la région de Tillabéri (Niger) - Potentiel de mise en valeur par l’agriculture irriguée
Le Sahel sub-saharien dispose de ressources en eau considérables, essentiellement portées par de grands systèmes aquifères régionaux (aquifères du Sénégal, de Taoudenni au Mali, des Iullemmeden au Niger, du Tchad. Larégion de Tillabéri au sud-ouest du Niger présente des caractéristiques favorables à l’irrigation : en eau de surface tout d’abord, avec des eaux de surface mobilisables le long des koris (ou vallées sableuses) et des affluents du fleuve Niger aux débits importants. -
Rapport d'étude évaluation des impacts socio-économiques et environnementaux des investissements du PISA 1 version finale
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte
lié à des risques multiples dont : les risques climatiques/naturels, les risques sociaux
et les risques d’insécurité alimentaires. A cela s’ajoute la plus forte croissance
démographique du continent (3,9%).La population aura presque doublé en 2030 (par
rapport à 2015) (INS, 2014). Le pays est classé parmi les plus bas sur la quasi-totalité
des indicateurs de développement humain (BM, 2019). Le secteur du développement
rural en général et celui de l’irrigation en particulier fait partie des enjeux majeurs du
pays. -
Étude diagnostique du dispositif de formation agricole et rural du Niger
La présente étude s’inscrit dans l’appui du réseau international FAR et de l’AFD à la rénovation du dispositif de formation agricole et rurale du Niger, dans le cadre du programme ADEX -FAR 2. L’étude a permis de réaliser un état des lieux du dispositif de formation agricole, public et privé du Niger et de proposer un plan d’action visant à améliorer le dispositif FAR du Niger. -
Evaluation des impacts des activités du Projet ALP - Dakoro (Niger) – Rapport final
Projet pilote, l’initiative Adaptation Learning Program (ALP) ou Programme d’Apprentissage sur l’Adaptation au Changement Climatique, est mis en oeuvre pour une durée de cinq ans (2010-2014) à l’échelle de quatre pays subsahariens : Ghana, Kenya, Mozambique et Niger. Cette phase est conçue et mise en œuvre par Care et ses partenaires dans le but de « Renforcer la capacité des ménages vulnérables en Afrique sub-saharienne à s’adapter à la variabilité et au changement climatique à travers une approche d’adaptation à base communautaire (ABC) ». Le projet ALP est financé par DFID, DANIDA, Finlande et la Coopération Autrichienne de développement.
Le projet ALP a pour objectif d’être le pionnier dans la vulgarisation, la compréhension pratique et la documentation de l’Adaptation à Base Communautaire (ABC) tout en approfondissant sur la compréhension et le traitement de la vulnérabilité différentielle des femmes rurales pauvres. -
Dynamique d’occupation et d’utilisation des sols et la hausse de la nappe dans la basse vallée du Dallol Maouri
L’état de surface de la zone sahélienne a subi plusieurs mutations ces dernières années suite au changement climatique et aux activités anthropiques, ce qui amplifie les évènements extrêmes. L’analyse de la dynamique d’occupation et d’utilisation des sols s’avère un outil excellent pour renforcer la résilience de la population. L’état de surface de la basse vallée du Dallol Maouri, qui constitue un affluent fossile du fleuve Niger, a subi plusieurs modifications depuis les années 70. L’objectif de cet article est d’évaluer l’impact de la dynamique d’occupation des sols sur la hausse du niveau piézométrique de la nappe libre de la basse vallée du Dallol Maouri. L’analyse de la dynamique d’occupation et d’utilisation des sols montre une nette régression de la classe de savanes arborées et arbustives, et nette progression de mosaïque cultures-jachères.