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Projet réhabilitation de Gouré
Ce document concerne la période du mois de Juillet au mois de Décembre 1990. En outre, il contient un résumé des activités de chaque domaine d'intervention du projet depuis que celui-ci a été lancé. Le projet est financé par l'U.S.A.I.D. ainsi que-par le gouvernement du Niger; le montant total de la première tranche annuelle de financement s'élevait à 295.700.288 FCFA. -
Dynamique actuelle impacts socio-économiques du barrage de Kassama dans la région de Zinder au Niger
L’objectif du présent travail est, d’une part, étudié le fonctionnement et le comportement hydrologique du barrage de Kassama et, d’autre part, les impacts socio-économiques de cette retenue. Dans la partie occidentale du Niger, les recherches portées sur le fonctionnement hydrodynamique de plusieurs bassin verssants ont conclu que l’augmentation du ruissellement (malgré la diminution des précipitations) [16] est générée par des modifications des états de surface du sol. Les champs de cultures ou les glacis en général sont le théatre de cette modification. Dans le secteur de Kassama, cette unité géomorphologique (glacis) couvre une superficie de 9 950 ha soit 55 % par rapport aux autres unités géomorphologiques. Les sols de cette unité sont constitués sur le matériau granitique où le ruissellement est important. De ce fait, les unités hydrogéomorphologiques du bassin versant de Kassama s’expliquent par la conjugaison des activités anthropiques et la nature du sol (en général nu) [17]. D’après l’analyse du paysage et les entretiens avec la population locale, les aménagements antiérosifs installés dans le cadre du barrage, ont joué un rôle significatif sur la dynamique hydro-érosive. Autrement dit, ces aménagements ont réduit la ménace d’ensabement du barrage. -
Profil des moyens d’existence région de Zinder Magaria et Dungass – Zone agricole centrale de culture de céréales et des légumineuses Niger
L’agriculture se pratique sur le sol sablonneux, bien qu’on y trouve de l’argile dans certaines parties de la zone. Malgré que cette zone présente certaines potentialités agricoles modérées, elle n’est pas autosuffisante en matière de sécurité alimentaire, même au courant d’une année des bonnes récoltes. Les principales cultures vivrières sont le mil, le sorgho. Il faut noter que la production du sorgho a diminué ces dernières années en raison de la dégradation progressive des sols et des déficits pluviométriques ne permettant aux cultures de boucler leur cycle normal de culture. Cependant, le niébé, l’arachide et le sésame sont les principales cultures de rente dans cette zone. En effet, le sésame est en train de prendre la place de l’arachide suite à la forte demande de ce produit sur les marchés surtout du Nigeria. Pourtant cette zone était autrefois la première zone de production d’arachide au Niger qui a conduit à la création d’une usine de transformation de l’arachide. -
Productivité et rôles socio-économiques des cultures maraîchères dans les Communes de Tibiri Gobir et de Madarounfa (Niger)
Le maraîchage est une activité prépondérante qui prend de plus en plus de l’ampleur en milieu urbain et péri-urbain. Les communes urbaines de Madarounfa et Tibiri gobir ne sont pas en reste. Dès lors, l’objectif général de cette étude est d’évaluer la productivité et les rôles socio-économiques des cultures maraîchères sur les sites d’étude. La méthode de collecte des données a essentiellement concerné des enquêtes individuelles et des focus groupes sur chacun des deux (2) sites. Au total 50 producteurs ont été retenus sur chaque site. En vue de confronter les expériences des producteurs, des focus groupes ont été faits. Il ressort de cette étude que dix-huit (18) et dix-sept (17) cultures maraîchères sont pratiquées respectivement à Tibiri gobir et à Madarounfa. Les cultures les plus pratiquées à Madarounfa sont l’oignon avec une proportion de 23% suivi de la tomate (15%), le chou (15%) et de l’anis (15%). Par contre, dans la commune de Tibiri gobir c’est la tomate (28%) qui est la représentée puis viennent l’oignon (18%) et la citrouille (13%). -
Appui aux chaines de valeurs agricoles dans les régions de Zinder et Diffa
La stratégie « le droit à une vie meilleure », adoptée par le Parlement danois en mai 2012, place la croissance verte comme l’une des quatre priorités de l'engagement international du Danemark. En adéquation avec cette stratégie et les politiques nationales Nigériennes, le nouveau programme (Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique basé sur l’Agriculture, PECEA, 2014-2019) se propose d’aller davantage vers la stimulation du secteur privé impliqué dans la transformation / commercialisation des produits Agricoles. Les initiatives et les capacités des acteurs des chaînes de valeurs (CdV) seront renforcées pour développer la production de valeur ajoutée créatrice de croissance et d’emplois. Cette phase de formulation du PECEA succède à une phase préparatoire d’études dites préalables1. Le présent document concerne la composante « Appui aux chaînes de valeur ». Son élaboration a privilégié une forte participation des acteurs clefs du secteur privé agricole ainsi que des PTF. Cette approche a été concrétisée par des ateliers (avril et juin 2013) permettant le partage des documents. -
Rapport de l'enquete de base pour l'évaluation de l'impact du programme de résilience de PAM-FAO-FIDA dans les régions de Maradi et Zinder
Ce rapport a pour objectif d’analyser la différence entre la capacité de résilience des ménages bénéficiaires et non bénéficiaires du projet face aux risques d’insécurité alimentaire. L’estimation de la capacité de résilience des ménages a été faite à l’aide du modèle de mesure et d’analyse de l’indice de résilience (RIMA) (voir annexe 1 pour les détails sur la méthodologie). Il est important
de noter qu’un certain nombre d’interventions ont débuté bien avant la collecte de données de l’étude de référence. Dans les deux communes bénéficiaires, plusieurs distributions mensuelles de transfert monétaire dans le cadre des activités de création d’actifs productifs, accompagnées d’une supplémentation nutritionnelle de prévention de la malnutrition (Super céréale) ont été réalisées: à Chadakori, trois vagues de distribution avaient déjà été faites, et à Dogo le nombre variaient entre une distribution et trois en fonction des sites. Ces interventions ont un impact sur l’indice de la capacité de résilience des ménages, en particulier sur le pilier accès aux filets de protection sociale. -
Dynamiques des activités d’ingénierie sociale dans le pole de développement économique (PDE) de bande (région de Zinder)
Dans le cadre de son intervention au Niger, le programme FIDA a adopté, depuis 2012, une approche innovante en termes d’appui à la commercialisation des produits agro–sylvo- pastoraux. Elle est axée sur les pôles de développement économique (PDE). Il s’agit à travers cet article de saisir la dynamique des activités d’ingénierie sociale dans le développement des infrastructures routières et marchandes au niveau du pôle de développement économique de Bandé dans la région de Zinder. L’ingénierie sociale suppose la concertation de tous les acteurs autour des centres de collectes et des PDE. Le cadre de concertation, communément appelé « Hadin Gwiwa », est mis en place par le Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) du FIDA. L’étude a porté sur les marchés hebdomadaires de Bandé et de Babban Roua.