Recherche
475 items
-
Étude documentaire sur la gestion de l’eau en Afrique sub-saharienne et région Caraïbes
Cette étude fait une analyse de l’Afrique sub-saharienne traversée par de graves crises et des profondes mutations au niveau de ses systèmes irrigués. Elle devra résoudre la fois des questions de connaissances de la ressource, d’aménagement et de réhabilitation, d’amélioration des performances et d’adaptation aux ouvertures des frontières. -
Pratiques et technologies pour une Agriculture Intelligente face au Climat (AIC) au Bénin
La présente étude a été initiée en vue d’approfondir les connaissances et d’apporter des éléments scientifiques sur l’adéquation des pratiques agricoles au regard des piliers de l’AIC au Bénin et d’en déduire les bonnes pratiques. L’étude vise spécifiquement à :
1) faire l’état des connaissances disponibles sur les technologies et bonnes pratiques relatives aux trois piliers de l’AIC,
2) faire la compilation et une analyse des différentes technologies et bonnes pratiques par sous-secteur,
3) proposer des options recommandées de pratiques tenant compte des contextes environnementaux et sociaux économiques spécifiques. -
Developing climate-smart agriculture to face climate variability in West Africa: challenges and lessons learnt
This paper reviewed the prospects for climate-smart agriculture (CSA) development and promotion in West Africa as well as lessons learnt and challenges with a focus on climate change and variability. It was evident from the literature that West Africa is vulnerable to climate change and variability, on account of its socio-economic and physical characteristics. As climate change and variability persists, the region’s quest to use agriculture as the mainstream opportunity to deliver on set targets of the sustainable development goals will be strongly challenged without appropriate interventions. Adopting CSA seems to be a suitable strategy to achieving food security while also mitigating and adapting to climate-related risks. Among numerous CSA technologies, the review found (1) agroforestry (farmer-managed natural regenerations), soil and water conservation technologies (zai, half-moon, tie/contour ridges, conservation agriculture) and (3) climate information services as highly valued promising options for climate change adaptation and risk management in West Africa. -
L’agriculture intelligente face au climat, une solution gagnante pour relever le défi de l’insécurité alimentaire et la lutte contre la désertification au Sahel et en Afrique de l’Ouest !
Note aux décideurs
La menace climatique se précise et risque de perturber l’agriculture ouest africaine. En effet, à l’horizon 2050, sans mesures d’adaptation, les rendements des céréales baisseront de 10 à 50 % en Afrique soudano sahélienne.
Si les politiques publiques agricoles au Sahel et en Afrique de l’Ouest se fixent comme cible de restaurer 10% des superficies agricoles par an avec des techniques climato-intelligentes, le coût des investissements nécessaires se chiffreraient entre 50 à 170 millions de dollars par an. Selon les pays, le retour sur investissements est évalué entre 50 et 70%.
Il est donc urgent d’agir. -
Risques climatiques et agriculture dans le Sahel
Quantification des risques climatiques sur le sahel et impacts sur l’agriculture et les agriculteurs. La prise en compte de l’adaptation de l’agriculture ouest africaine au changement climatique via les techniques d’agriculture intelligente face au climat (AIC) et le renforcement du soutien financier pour renforcer la résilience des écosystèmes et des communautés au changement climatique. -
Parklands for buffering climate risk and sustaining agricultural production in the Sahel of West Africa
In the Sahelian zone of West Africa, crops grown under a discontinuous cover of scattered trees dominate many landscapes and constitute the so-called parklands. These systems reflect the ecological knowledge of the farmers of such risk prone environments. Agroforestry parklands are playing an important role, through trees and shrubs providing soil cover that reduces erosion and buffers the impacts of climate change. They also provide green fodder that complements crop residues for livestock feeds, and fruits and leaves for human consumption and for income generation. The interactions between various components of the system influence the ecosystem service functions of trees of parklands (provisioning, regulating and supporting services) in several ways. These ecosystem functions have beenat the center of the local ecological knowledge guiding the management options of the farmers and have also attracted the attention of scientists. Findings revealed new challenges that call for production options ensuring increased and diversified productivity of the systems while preserving the environment. Research on such challenges must adopt an inclusive approach based on local knowledge supported by science-based analyses of the socio-ecological systems in the face of high population pressure and climate change.
-
Cereal yield response to conservation agriculture practices in drylands of West Africa: A quantitative synthesis
To address the decline in crop productivity in the drylands of West Africa, many initiatives have focused on combating soil degradation. Various practices including (1) parkland trees associated with crops, coppicing trees, green manure, mulching, crop rotation and intercropping, and traditional soil/water conservation have been tested. The present study attempts to provide a comprehensive, quantitative synthesis of existing reports on the effect of conservation agriculture (CA) practices on crop yield response in Burkina Faso, Mali, Niger and Senegal. Out of a total of 155 reports found, 63 fulfilled all the appropriate criteria to be included in the meta-analysis of the effect of various conservation agriculture practices on the yield response of maize, millet and sorghum. The study revealed significant variability in cereal yield response (and hence risk) with all the practices examined. Despite the variability, the mean effects of the six CA practices on crop yield were more positive than negative except with parkland trees.
However, for this last practice, species like Faidherbia albida exerts more positive impact on crop yield. Yield increases relative to the control were higher with green manure and mulching than with coppicing trees and parklands. Increases in yield in the six CA practices were higher on low to medium productivity sites for maize, millet and sorghum. Coppicing trees and rotations improved yields when the rainfall is >800 mm whereas the opposite happens with parkland and soilewater conservation measures. Mulching performed better when the rainfall is <600 mm. The variability (and hence yield risks) calls for more understanding of the processes and application of appropriate tree management to reduce crop yield losses while still providing products (fruits, leaves, wood, etc.) and services (soil carbon building up) for long-term sustainability of the production systems in drylands of West Africa. -
Le « Violet de Galmi » est-il menacé ?
Le plus célèbre des oignons ouest africains, le Violet de Galmi, a été ces derniers mois au coeur de nombreux débats. Retour sur la longue histoire de cette variété et éclairages sur les enjeux actuels. -
Savoirs locaux et gestion des écosystèmes sahéliens
La notion de savoir local s’est imposée dans la recherche scientifique et l’aménagement du territoire depuis plus de deux décennies, à la suite de la sonnette d’alarme tirée par de nombreux auteurs (Blanc-Pamard, 1986 ; Roose, 1988 ; Bouzou, 1988 ; Luxereau, 1994 ; Fairhead et Leach, 1994 ; Luxereau et Roussel, 1997 ; Garba et al., 1997 ; Jouve, 1997…) pour un changement de cap, suite aux échecs relatifs des projets de développement en Afrique afin d’asseoir les bases d’un véritable développement durable. Il était reproché aux projets de développement et à leurs concepteurs leur approche techniciste et l’absence de participation des populations et de partenariat. -
Les systèmes de distribution alimentaire dans les pays d’Afrique méditerranéenne et Sub-saharienne
L’objectif est d’identifier des domaines prioritaires pour améliorer la capacité des systèmes de distribution alimentaire à répondre aux enjeux de sécurité alimentaire et sanitaire pour les populations urbaines de Rabat, Abidjan et Niamey. Nous nous appuyons sur une analyse des « food systems » combinant les comportements alimentaires, l’environnement alimentaire et les systèmes d’approvisionnement, caractérisés par leur organisation spatiale et relationnelle. Un échantillon de consommateurs et acteurs de différentes filières alimentaires et autorités publiques ont été enquêtés. Les problèmes d’accessibilité aux aliments des populations précaires apparaissent plus préoccupants que les problèmes de compétitivité des produits locaux. Nous recommandons une modernisation des marchés existants, de gros et de détail : amélioration du transport les desservant, protection physique des marchés, crédits aux PMEs du commerce et de la transformation. -
Agroécologie : capitalisation d’expériences en Afrique de l’Ouest
Ce rapport présente les résultats de l’étude réalisée dans le cadre du projet Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agro écologiques résilientes en Afrique de l’Ouest (CALAO). Le projet CALAO a été coordonné par l’association Agronomes et Vétérinaires Sans Frontières (AVSF) et mis en oeuvre par les associations AVSF, Gret, CARI, Agrisud International, ENDA Pronat (Sénégal), ARFA (Burkina Faso), RAFIA (Togo), Inades Formation Togo, ainsi que l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD, Dakar), l’Université Nazi Boni (UNB, anciennement UPB, Bobo Dioulasso), l’Ecole Supérieure d’Agronomie du Togo (ESA-UL) et l’association Inter-réseaux Développement rural. L’étude s’est également appuyée sur un partenariat avec l’Unité de Formation et de Recherche Agriculture comparée et Développement agricole d’AgroParisTech. A l’instar des autres régions du monde, les agricultures familiales de la région ouest-africaine sont confrontées à des défis et difficultés auxquels le modèle de la révolution verte, basé sur l’usage intensif d’intrants de synthèse (pesticides, engrais) et le recours à des variétés commerciales à haut potentiel de rendement, ne semble pas en mesure d’apporter de solutions durables et adaptées aux besoins et capacités des familles paysannes. -
Gestion de l'irrigation à petite échelle
L’unité de gestion de l’irrigation à petite échelle (GIPE) est généralement une parcelle d’une superficie inférieure à 0,5 hectare. Les systèmes de GIPE peuvent être gérés soit par un exploitant agricole individuel soit par des groupes, des communautés. Le principe directeur d’une gestion durable de l’irrigation à petite échelle est l’efficacité de l’utilisation de l’eau -
Note conceptuelle pour le stage d’insertion professionnelle des étudiantes de l’UAC (ENEAM) dans les structures du MEF et du MPD
Le Girls’ Day, est une initiative démarrée depuis les années 2001 en Allemagne par le Ministère fédéral de l’éducation et de la recherche ainsi que le Ministère fédéral de la famille, des personnes âgées, de la femme et de la jeunesse grâce à de nombreux partenariats au sein des entreprises et institutions. Réalisée chaque année, il s’agit d’un jour d’orientation professionnelle pour les filles qui met l’accent sur les professions dominées par les hommes. Il a retenu très rapidement l’adhésion de plusieurs pays en Europe et en Asie. C’est en 2014 que cette initiative a été réalisée pour la première fois en Afrique en Ethiopie puis plus tard en 2016 en Egypte. En 2014, une première expérience sectorielle a eu lieu aussi au Bénin avec le projet eau de la GIZ sur le thème : « la mixité professionnelle dans le secteur eau et assainissement à l’intention des jeunes filles scolaires ». Cette année ce sont les étudiantes de l’ENEAM qui vont à la découverte des professionnels de la politique économique du Bénin. -
Les principaux arthropodes nuisibles des céréales, des légumineuses et du cotonnier au Sahel et leur contrôle
Cette note technique répertorie les principaux ennemis de cultures au Sahel et en propose une méthode de contrôle et de lutte en fonction de la phénologie de la culture. -
Les haies vives au Sahel Etat des connaissances et recommandations pour la recherche et le développement
Ce rapport résume l’état actuel des connaissances et les recommandations pour la recherche et le développement des haies vives. Les avis exprimés dans cette publication sont ceux des auteurs et non pas forcément ceux de l’ICRAF ou du Centre de recherche pour le développement international (CRDI). Les appellations employées dans la publication et la présentation des données qui y figurent n’impliquent, de la part de l’ICRAF ou du CRDI aucune prise de position quant au statut juridique des pays, territoires, villes ou zones, ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites. Si des spécialités commerciales sont nommées, cela ne signifie ni préférence, ni discrimination de la part de l’ICRAF ou du CRDI à l’égard de certains produits. -
Haies Vives Défensives pour une Protection Ecologique et Durable
Les haies vives défensives sont des plantations denses et alignées d’arbres ou d’arbustes à branches nombreuses et impénétrables destinées à protéger les jardins, les vergers et les champs des paysans. Elles peuvent être mono ou plurispécifiques. Elles se réalisent de préférence dans la zone soudano-sahélienne et la vallée du fleuve Niger avec une pluviométrie moyenne de 400 à 500 mm par an sur sols sablo-limoneux à argileux. -
Vulnérables mais résilientes : 15 bonnes pratiques développées par les populations du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest.
En Afrique de l’Ouest, les producteurs agricoles évoluent dans un contexte climatique et économique souvent instable. Leur activité agricole, source principale de leur revenu et de leur alimentation, dépend de nombreux facteurs, plus ou moins maitrisables à leur échelle. Au fil du temps, la plupart ont mis en place des stratégies de gestion de ces aléas aussi appelés risques. Le risque lié à l’activité agricole peut prendre plusieurs formes : climatique et sanitaire, lié au prix ou au marché, institutionnel, financier, humain. La façon dont les populations rurales agricoles font face aux risques dépend d’une multitude de facteurs tels que leur décision en matière de production, la répartition du travail dans le ménage ou encore l’intervention de programmes publics. C’est pourquoi tous les productions ne sont pas égaux face aux risques. Une bonne gestion des risques dépend de la capacité de réaction de ces derniers et de leur exploitation et permet d’atteindre un état résilient qui se définit comme ‘’ la capacité d’un système, une communauté ou une société exposée aux risques de résister, d’absorber, d’accueillir et de corriger les effets d’un danger, en temps opportun et de manière efficace, notamment par la préservation et la restauration de ses structures essentielles et de ses fonctions de bases ‘’ (UNISDR ; 2009). -
Capitalisation d’expériences sur le développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée en Afrique de l’Ouest
L’irrigation est considérée comme un moyen d’intensification de l’agriculture. Elle contribue à en augmenter la productivité tout en la sécurisant contre les risques de sécheresse. C’est un outil de lutte contre la pauvreté et la faim qui sévissent de façon endémique en Afrique subsaharienne, et plus particulièrement en Afrique de l’Ouest. Malgré le potentiel disponible et malgré les efforts consentis par les gouvernements de la sous-région pour développer l’irrigation, les résultats sont restés en deçà des attentes. On avait oublié qu’à l’origine, dans la sous-région, l’irrigation était privée, familiale. Elle est mieux maîtrisée à petite échelle. Pour capitaliser toutes ces expériences de développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée, la Banque Mondiale, en collaboration avec l’ARID, la FAO, l’IWMI, l’UE et les ACP, a initié l’étude dont le présent rapport fait la synthèse. L’objectif de l’étude est d’identifier, de caractériser et d’évaluer certaines pratiques (individuelles et collectives) performantes en matière de techniques et de technologies de petite irrigation privée sur la base d’une analyse comparée de ce sous-secteur au Burkina Faso, Mali, Niger et Nigeria. -
Stratégies et mesures d’adaptation réussies en Afrique de l’Ouest
Déjà handicapés par une pression foncière croissante et une dégradation continue des terres, les producteurs ouest-africains font face à un défi supplémentaire : adapter leurs pratiques aux changements climatiques. En Afrique de l'Ouest, ces changements devraient se traduire par une augmentation du stress hydrique, l'extension des zones arides et, au bout du compte, une baisse des rendements agricoles (GIEC, 2013). Les rendements en céréales devraient baisser de 10 à 15% d’ici 2025, alors que 20% des populations sont déjà structurellement vulnérables et que les crises alimentaires sont régulières (CILSS, 2013). La situation est difficile, mais des techniques simples et efficaces peuvent être mises en oeuvre pour adapter les pratiques agricoles. -
Changements climatiques : Impacts sur l’eau et l’agriculture en Afrique de l’Ouest
Les changements climatiques se manifesteront sur toutes les composantes du cycle de l’eau, comme par exemple, la quantité et la distribution des précipitations, la fréquence et la durée des sécheresses, ainsi que l’évaporation et le bilan hydrique à la parcelle. La mousson africaine, qui rythme la vie des 300 millions d’Africains de l’Ouest, devrait se modifier : la variabilité interannuelle des précipitations liées à cette mousson devrait augmenter, tout comme l’occurrence des précipitations extrêmes. Les activités agricoles seront plus ou moins fortement affectées par ces changements, en fonction des zones agroécologiques et des spéculations. Dans tous les cas, différents travaux estiment que le ruissellement moyen et la recharge des nappes baisseront ; que la concurrence pour l’eau sera exacerbée suite à des demandes croissantes pour d’autres usages comme la production d’hydro-électricité. Les travaux menés par le Programme international de recherche sur la mousson africaine (AMMA) établissent sans ambiguïté que la variabilité spatio-temporelle excessive des précipitations est un réel frein à la production agricole. Les sociétés devront s’adapter. Néanmoins, il convient de ne pas sous-estimer la complexité de l’approche. Ainsi les plans d’irrigation sont à raisonner avec l’ensemble des acteurs et utilisateurs d’un territoire, voire d’autres pays, placés en aval des prélèvements pour l’eau d’irrigation. De nombreuses techniques, et leurs variantes locales, existent pour faire face à l’aléa hydrique. Elles visent en général à accroître la production, tout en minimisant sa dépendance aux intrants et en limitant les impacts négatifs sur l’environnement, et leur vulnérabilité. Ces techniques incluent la gestion conservatoire de l'eau, de la biomasse et de la fertilité des sols. -
Les potentialités agricoles de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO)
Le premier défi du secteur agricole est de continuer à assurer plus efficacement cette fonction économique en élevant la productivité de tous les facteurs et en fournissant les matières premières de l’artisanat et de l’industrie agroalimentaire. Cet enjeu est crucial pour que la région maîtrise sa dépendance alimentaire vis-à-vis du reste du monde et améliore, via la transformation des produits et l’incorporation de valeur ajoutée, les termes actuels des échanges défavorables aux pays de la CEDEAO. -
La quête des terres agricoles en Afrique subsaharienne
C’est une véritable ruée sur les terres agricoles du continent qui se développe silencieusement sous nos yeux. Le phénomène est suffisamment inquiétant pour attirer l’attention de nombreuses organisations. Bien que peu d’informations précises soient encore disponibles, il importe de lancer la réflexion afin d’alimenter un débat objectif et serein -
Atlas des évolutions des systèmes pastoraux au Sahel, Atlas of Trends in pastoral systems in Sahel
L’élevage pastoral sahélien joue un rôle prépondérant dans l’économie des pays de l’Afrique de l’Ouest. Avec une grande diversité d’espèces élevées, il contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages ruraux et urbains. De par sa nature extensive, l’élevage pastoral est largement dépendant des conditions environnementales. A ce titre les interactions avec l’environnement sont intimes, nombreuses et ambivalentes. En effet, les systèmes d’élevage mobile apparaissent comme la principale activité agricole de valorisation durable d’une ressource naturelle fragile et éparse dans les zones sèches sahéliennes. Malgré ce rôle très important, les systèmes pastoraux se trouvent confrontés à de nombreux défis liés, et notamment, à la marginalisation des populations pastorales et à la compétition croissante avec les autres groupes d’utilisateurs e particulier les agriculteurs pour l’accès aux ressources naturelles (pâturages, points d’eau etc.). Le présent Atlas fait la synthèse des informations disponibles sur les transformations des systèmes pastoraux au Sahel, collectées dans le contexte du SIPSA ou par d’autres initiatives. Partant d’une analyse des besoins en information conduite dans le cadre du SIPSA, l’atlas analyse les grandes tendances de l’élevage pastoral et de son contexte. Au regard des impacts des conditions climatiques sur les économies au Sahel, il apparait indispensable de disposer d’analyse prospective sur les différents secteurs des économies des pays du Sahel. Tel est le mérite de cet atlas, un excellent outil qui permettra la prise de décision fondée sur des bases objectives et assurera l’amélioration certaine de la gouvernance du secteur de l’élevage pastoral sahélien. -
Stockage du niébé : formation des techniciens
La vision du projet est de pouvoir en 5 ans, stocké 50 % du niébé par les producteurs à l’aide du stockage hermétique. En effet, l’objectif du projet est de couvrir 28000 villages dans 10 pays, en 5 ans à travers la vulgarisation du triple ensachage (démonstrations au village, sensibilisations par la radio), la facilitation de l’établissement d’un système durable de production et de distribution des triples sacs (grossistes, distributeurs, paysans), l’adoption du triple ensachage par les producteurs et les commerçants de niébé, l’accroissement des revenus des petits producteurs et l’augmentation de la qualité marchande du niébé. -
Guide de bonnes pratiques phytosanitaires pour la production de tubercules et de feuilles de manioc (Manihot esculenta) en pays ACP
Le document « Guide de Bonnes Pratiques Phytosanitaires » (fruit ou légume) détaille toutes les pratiques phytosanitaires liées au (fruit ou légume) et propose essentiellement des substances actives soutenues par les fabricants des pesticides dans le cadre de la Directive Européenne 91/414 et devant respecter les normes Européennes en matière de résidus des pesticides. Au stade actuel ces substances actives n’ont pas été testées en pays ACP par le PIP pour vérifier la conformité avec les LMR européennes.Les informations données sur les substances actives proposée est donc et sera adaptée en continu selon les nouvelles informations que rassemblera le PIP. Il est évidemment entendu que seules les formulations légalement homologuées dans leur pays d’application sont autorisées à l’usage. Chaque planteur aura donc le devoir de vérifier auprès de ses autorités réglementaires locales si le produit qu’il souhaite utiliser figure bien sur la liste des produits homologués. -
La culture du jujubier : un manuel pour l’horticulteur sahélien
Dans le cadre du programme de renforcement de la capacité de systèmes nationaux de recherche à mener la recherche agroforestière et de la promotion de la formation, l’éducation, la documentation et la communication en agroforesterie, le World Agroforestry Centre – Afrique de l’Ouest et du Centre (ICRAF-WCA) en collaboration avec ses partenaires de la recherche développe des techniques agroforestières appropriées pour contribuer à améliorer les revenus des familles et leur sécurité alimentaire et nutritionnelle, tout en préservant l’environnement. Depuis 1989, une large gamme de technologies agroforestières a été développée pour relever le défi d’augmenter et de diversifier les ressources et les revenus des paysans. Pour faciliter la dissémination et l’adoption des innovations agroforestières et renforcer les capacités des institutions paysannes, l’ICRAF-WCA/Sahel s’est proposé de développer une série de fiches techniques servant d’outils de formation. -
Diffusion de forages à faible coût
Les techniques de forages généralement utilisées en Afrique sont bien adaptées aux grandes profondeurs et aux terrains durs. Pour les faibles profondeurs (moins de 12 m.) et les terrains légers (sables), il existe des techniques mieux adaptées : celles des forages manuels, sans compter les forages à la lance1 -
Etude/diagnostic sur les technologies d’irrigation dans le sous-secteur de la petite irrigation
Développement petite irrigation initiée et accompagnée par nombreuses techniques et technologies d’irrigation au début années 2000 en Afrique de l' Ouest et dans les pays du CILSS; ces technologies ont aujourd’hui des fortunes diverses. Cinq (5) principales technologies jugées performantes ont été adoptées par les acteurs notamment les irrigants. -
Supports de formation et d’animation sur la thématique de la production agricole
Un guide opérationnel destiné à tous les acteurs concernés par les questions de financement de l’agriculture et ayant pour objectif d’appuyer la construction d’une nouvelle alliance entre OPA et institutions financières. Il présente de manière détaillée les étapes d’une démarche visant à i) renforcer la capacité de OPA et des institutions financières à analyser les besoins et contraintes de financement de l’agriculture ii) consolider les capacités de ces acteurs à choisir et à proposer aux agriculteurs un accès efficace, équitable et viable aux services financiers iii) formaliser un cadre de réflexion et d’action pour construire des partenariats permettant un financement durable des agricultures familiales du Sud. -
Guide technique de l' agriculture
La présente documentation technique de la JGRC, composée de 8 guides, s'adresse aux techniciens impliqués dans la lutte contre la désertification par le biais des activités agricoles des communautés rurales.
En deux mots, les études de la JGRC se caractérisent par l'acquisition q de techniques de développement agricole
utilisant efficacement l'eau des oueds (cours d'eau dont l'écoulement se limite à la saison des pluies) dans les plaines d'inondation, ces dernières étant relativement fertiles mais peu utilisées, et w de techniques de
développement global et durable de l'agriculture, centrées sur la conservation des sols des terrains en pente douce et le rétablissement de la productivité des sols où se trouvent les villages. -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce guide liste les techniques mobilisables pour la production de semences de tomates de qualité -
Entretien avec Abdoul Aziz Diop, Ingénieur travaux agriculture, Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA)
Entretien avec Abdoul Aziz Diop, Ingénieur travaux agriculture, Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA), Sénégal, lors des Journées portes ouvertes pour la démonstration des performances des variétés de riz hybride développées par AfricaRice, 6 Août 2019, Saint Louis, Sénégal -
Risques climatiques et agriculture dans le Sahel
Cette présentation porte sur les risques agroclimatiques dans le Sahel -
Le réchauffement climatique observé depuis 1950 au Sahel
Ce rapport porte sur le réchauffement climatique observé depuis 1950 au Sahel -
Climate Change and Variability in the Sahel Region
Le présent rapport porte sur le changement climatique et variabilité dans la région du Sahel, les impacts et stratégies d'adaptation dans le secteur agricole -
Plan d'investissement climat pour la région du Sahel - Volume 2 : plan d’investissement climat pour la région du sahel
Ce présent rapport porte sur le processus d’élaboration d’un Plan d’Investissements Climat pour la Région du Sahel, qui tire son fondement du « Sommet Africain de l’Action en faveur d’une co-émergence continentale » tenu le 16 novembre 2016 à Marrakech et qui a regroupé plusieurs Chefs d’État et de délégation d’Afrique, en marge de la 22ème Conférence des parties à la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (COP 22). -
Séchage de la tomate (Lycopersicon esculentum) : une autre alternative pour sa valorisation au Bénin
Cette étude valorise la tomate sous forme séchée. Huit lots de 115 g de tomate var. Akikon ont été soumis chacun à un prétraitement spécifique (T1 à T8) mettant en exergue simultanément les mécanismes de blanchiment et de déshydratation osmotique avec différents solutés. Les tomates ont été séchées à l’étuve à 45°C pendant 16 h. Des essais de reconstitution dans l’eau chaude (1) à 100°C et dans l’eau à la température ambiante (2) ont été conduits. -
La production de semences maraîchères
Ce présente fiche technique porte sur La production de semences maraîchères
-
Techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale
Cette fiche technique porte sur les techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale -
Les pépinières maraîchères en Afrique soudano-sahelienne
Ce document constitue un guide technique et est destiné aux vulgarisateurs, aux maraîchers professionnels ainsi qu’aux personnes qui désirent se spécialiser dans la production de plants maraîchers. A l’heure actuelle, la plupart des maraîchers produisent eux-mêmes leurs plants en pépinière. Quelques-uns conduisent également des plants pour la vente, mais cette activité reste marginale. L’amélioration de la qualité des plants produits en pépinière dans les zones à forte production maraîchère ne pourra se faire que par la mise en place de pépiniéristes professionnels spécialisés. -
Guide pratique implantation pepinieres
Guide pratique implantation pepinieres -
Typologie des systèmes irrigués en Afrique de l’Ouest sahélienne
Ce présent rapport porte sur la typologie des systèmes irrigués en Afrique de l’Ouest sahélienne: Burkina Faso – Mali – Mauritanie – Niger – Sénégal -
Fiche n°2 sur les techniques d’agriculture climato-intelligente : Diffusion du système de riziculture intensive pour l’amélioration de la production agricole au Sud Bénin
Cette fiche technique est réalisée dans le cadre du projet « intégration de l’adaptation au changement climatique dans les secteurs de l’agriculture et de l’eau en Afrique de l’Ouest » qui est financé par le Fonds Français pour l’Environnement Mondial (FFEM/CC). Il est porté par le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS) et mis en oeuvre par le Centre régional AGRHYMET basé à Niamey, Niger. Dans le cadre de l’appui aux organisations de producteurs sur les techniques innovantes d’adaptation au changement climatique, le projet FFEM/CC appuie le Conseil de Concertation des Riziculteurs du Benin (CCR-B) sur la mise en oeuvre du système de riziculture intensive (SRI) qui permet d’améliorer la résilience des producteurs à l’insécurité alimentaire. -
Manuel Technique sur le SRI en Afrique de l’Ouest
Le Système de Riziculture Intensive ou SRI est une méthode agro-écologique et intelligente face au climat qui permet aux agriculteurs de produire plus de céréales en utilisant moins de semences et d'eau, et moins d'intrants achetés. Contrairement à d'autres stratégies agricoles, le SRI ne repose pas sur des projets d'infrastructures, de nouvelles variétés ou d’engrais, d'herbicides ou de pesticides pour augmenter les rendements. Le SRI est plutôt une approche de gestion des cultures basée sur la connaissance conduisant à l'amélioration de la croissance et de la productivité des plantes. Ce résultat est obtenu en augmentant l'expression du potentiel génétique des plants de riz pour une meilleure productivité. -
Renforcement des capacités des maraîchers des Communes de Adjohoun, Bopa, Aplahoué, Ouaké, Malanville, Sô-Ava sur la protection phytosanitaire aux fins de l’adaptation aux changements climatiques
Au Bénin comme dans d’autres pays de la région Ouest-africaine, la production maraîchère est devenue depuis quelques années une activité en pleine expansion, en particulier dans les sites urbains et périurbains. En dépit de son importance vitale pour la production vivrière et de sa contribution non négligeable en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle, la filière maraîchère reste confrontée à de nombreux défis au nombre desquels figurent la non maîtrise des dégâts des nuisibles (insectes et ravageurs), la méconnaissance des techniques de gestion intégrée des ravageurs et les effets induits par la variabilité et les changements climatiques. -
La planète laitière et la place de l’Afrique de l’Ouest dans la consommation, la production et les échanges de produits laitiers
Le secteur laitier mondial connait un développement soutenu en raison de l’augmentation des besoins en produits laitiers d’une population en croissance et d’un changement progressif des régimes alimentaires. Si les pays asiatiques sont depuis longtemps placés au coeur de cette dynamique, ce qui stimule le développement des exportations dans trois grandes zones géographiques (l’Union européenne, la Nouvelle-Zélande et les Etats-Unis), la place qu’occupe l’Afrique dans la « planète laitière » est étudiée ici de façon spécifique. Moyennant une focalisation sur le cas des pays de l’Afrique de l’Ouest, cette communication aborde successivement la consommation de produits laitiers, la production de lait et les échanges de produits laitiers. Pour ce faire, cette analyse mobilise, d’une part, les données statistiques de la FAO sur une longue période (1961 à 2017) et, d’autre part, les statistiques des douanes sur la période 2000 à 2017 (pour la base de données BACI) ou 2018 (COMEXT). Une attention est portée à la question des importations de ces pays, notamment en mélanges de lait écrémé et de matière grasse végétale en poudre en provenance de l’Union Européenne (UE). Compte tenu de la faiblesse des droits de douane appliqués aux frontières et du caractère hautement compétitif de ces produits, un débat est engagé autour du devenir de la production laitière locale et de la stratégie déployée par les autorités européennes pour soutenir ou non, au travers de sa politique agricole, le développement de l’agriculture africaine. -
Première approche sur l’inventaire et l’importance des ennemis de 10 cultures maraîchères dans les 10 pays du RADHORT)
Ce travail fait suite à l’article paru dans le Bulletin de Liaison N°11 du 31 mai 1997 (p 74-88) et présente pour 10 cultures, la liste des ennemis présents dans au moins un des 10 pays du Réseau Africain de Développement de l’HORTiculture (RADHORT) Burkina, Cap-Vert, Côte d’Ivoire, Guinée, Guinée-Bissau, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad -
Atelier de capitalisation d'expériences sur le développement de la petite irrigation privée à haute valeur ajoutée en Afrique de l'ouest: Présentation des expériences de la petite irrigation au Bénin
Capitalisation des expériences du projet de la petite irrigation au Bénin -
La culture fruitière sous les tropiques
Ce guide technique du CTA montre comment réussir une culture fruitière sous les tropiques -
Les villes d’Afrique de l’Ouest et du Centre sont-elles si dépendantes des importations alimentaires ?
Les flambées des prix alimentaires depuis 2007 ont relancé les discussions sur la dépendance alimentaire des pays les plus vulnérables, et en particulier de leurs villes. Peu d’études récentes confirment la stimulation de la production alimentaire par l’urbanisation que nombre d’auteurs avaient annoncé durant les années 1990. Cette étude vise donc à identifier les principales structures de la consommation alimentaire urbaine sur la base de 36 enquêtes nationales de consommation réalisées auprès des ménages dans 15 pays d’Afrique de l’Ouest et centrale. Les résultats de ces enquêtes montrent que le riz et le blé importés dominent largement la ration amylacée des citadins. Les produits amylacés locaux (maïs, manioc, sorgho et, dans une moindre mesure, igname et plantain) ne sont cependant pas marginalisés partout. Ils gardent une place importante dans la consommation alimentaire de certaines villes de la région. Cela dit, les produits amylacés ne représentent qu’environ le tiers de la valeur des dépenses alimentaires des urbains. Un second tiers environ est constitué des produits animaux et le dernier tiers des produits de sauce (légumes, légumineuses, huiles, sucres et condiments), des fruits et des boissons. Au sein de ces deux derniers tiers de la consommation, les produits locaux dominent largement. Sans sous-estimer la dépendance alimentaire des villes, un tel constat révèle la capacité des marchés urbains à entraîner le développement des filières alimentaires locales. De plus, les enjeux nutritionnels ont changé. Les apports caloriques sont de moins en moins des facteurs limitants, laissant place à un double fardeau nutritionnel : une surconsommation calorique combinée à des carences en micronutriments. Ce constat milite pour que les questions alimentaires ne portent pas seulement sur les céréales mais qu’elles englobent l’ensemble des produits alimentaires et notamment ceux qui contribuent à la diversification de la ration. -
Outil d'animation sur l'agro-écologie : «Et maintenant, on fait quoi ?» - Guide de l’animateur
Cet outil est issu d’un travail de capitalisation mené avec l’Accir et les Unions Départementales de Producteurs de Niébé de Dablo, Pensa et Pissila en 2015, sur la thématique: « Quel accompagnement des producteurs sur la voie de l’agro écologie ? De la pratique à une démarche ».
Ce support d’animation, à destination des Unions et Groupements de Producteurs, a pour objectif de susciter le débat autour des orientations à prendre dans le cadre d’une démarche agro écologique. Il ne s’agit donc pas de fiches techniques avec un message technique à faire passer, mais bien d’un outil pour amener la discussion.
L’outil d’animation illustré a été co-construit avec les 3 Unions Départementales. -
Module de formation sur les techniques de stockage et de conservation des céréales
Ce module déroulé en trois jours expliques les procédures d'hygiène et de conditionnement des produits. le stockage et les dates de péremption en fonction des produits -
Nourrir les villes, défi de l’agriculture familiale : des innovations locales et paysannes en Afrique de l’ouest
on l’ignore souvent, mais l’agriculture familiale produit aujourd’hui l’essentiel de l’alimentation consommée dans la région2. elle emploie plus de la moitié des actifs3 et constitue la forme d’agriculture la mieux à même de gérer durablement les ressources naturelles -
Économie familiale et innovation agricole en Afrique de l'ouest : vers de nouveaux partenariats
L’économie familiale occupe une place prépondérante dans les économies des pays de l’Afrique de l’Ouest et joue un rôle déterminant pour répondre aux besoins de cette population. L'agriculture contribue pour près de 30% du PIB , la plupart des activités agricoles sont organisées et mises en œuvre par les exploitations familiales qui sont la forme de production la plus importante au sein de l’économie familiale en milieu rural. -
Les potentialités agricoles de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO)
Le premier défi du secteur agricole est de continuer à assurer plus efficacement cette fonction économique en élevant la productivité de tous les facteurs et en fournissant les matières premières de l’artisanat et de l’industrie agroalimentaire. Cet enjeu est crucial pour que la région maîtrise sa dépendance alimentaire vis-à-vis du reste du monde et améliore, via la transformation des produits et l’incorporation de valeur ajoutée, les termes actuels des échanges défavorables aux pays de la CEDEAO. -
Les agricultures familiales innovent
Ce travail collaboratif vise à la capitalisation d‘innovations locales et paysannes.
Cette démarche avait pour but le partage de connaissances, pour valoriser des solutions innovantes mises en œuvre au bénéfice des agricultures familiales du Sud, pour répondre à leurs défis quotidiens, notamment la sécurité alimentaire, le changement climatique, la pauvreté rurale, l’appauvrissement des sols et des écosystèmes, l’accès au crédit, au marché, et à l’accompagnement -
Techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale
Cette fiche d'information présente les conditions générales de culture du moringa (semis, espacement, irrigation, fertilisation, sarclage, taille, lutte contre les ravageurs, récolte , production de graines ) -
Prendre soin du gombo
Vidéo illustrant les techniques de production du gombo
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Élevage et marché régional au Sahel et en Afrique de l’Ouest Potentialités et défis
Le but de cette initiative conjointe de la Commission de la CEDEAO et du Secrétariat du Club du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest (CSAO/OCDE), est de voir en quoi l’élevage peut-il être un des moteurs de dynamisation du marché ouest-africain de produits agricoles et alimentaires, en renforçant d’une part la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et en contribuant d’autre part à la réduction de la pauvreté. Cette analyse est une
contribution à la mise en œuvre de la Politique agricole de la CEDEAO (ECOWAP)adoptée le 19 janvier 2005, -
Les mesures à prendre pour limiter la dérive en pulvérisation agricole
Cette présente fiche porte sur les mesures à prendre pour limiter la dérive en pulvérisation agricole -
Les impacts du changement climatique sur les rendements agricoles en Afrique de l’Ouest
Impacts du changement climatique sur la production agricole -
Agroécologie, une transition vers des modes de vie et de développement viables
Paroles d’acteursParler d’agroécologie est équivoque et oppose souvent deux camps. Tantôt présentée comme remède à tous les problèmes, tantôt accusée de mystification ou d’archaïsme, l’agroécologie réellement pratiquée dans le monde ne mérite certainement pas cet excès d’honneur ou cette indignité. Tout simplement, elle existe, et ceci depuis longtemps et de manière significative. Les agroécologistes qui la pratiquent se comptent plutôt par centaines de millions que par dizaines ; même si certains, un petit nombre, ont tendance à se livrer des querelles épistémologiques.
Une question se pose cependant : comment cette masse silencieuse et productive a-t-elle pu demeurer si peu visible aussi longtemps ? -
Alimentation des poulets et entretien des poulaillers
Notes prises à partir de la vidéo https://youtu.be/Zn1OXW79eXQ (Vidéo tournée au Centre Régional de Songhaï Porto-Novo au Bénin) -
Rapport thématique Afrique de l’Ouest : Neutralité en matière de dégradation des terres : Bénéfices pour la sécurité humaine
Le présent rapport thématique du GLO sur l’Afrique de
l’Ouest et le Sahel a été élaboré par le Centre régional
AGRHYMET dans le cadre d’un Mémorandum d’accord
signé en 2019 entre le Comité permanent inter-États
de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) et
la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la
désertification (CNULCD). Ce travail a été accompli avec
l’appui généreux de TetraTech, USAID et SERVIR Afrique
de l’Ouest. -
Systèmes agroforestiers et inoculation microbiologique
Les ressources forestières fournissent des services écologiques indispensables au bien-être des populations. En zone sahélienne, au Sénégal en particulier, elles ont régressées ces dernières années du fait de la pression exercée par les populations et les changements climatiques. La raréfaction des pluies et la déforestation entrainant l’avancée du désert et une baisse significative de la production agricole.
De nombreuses politiques forestières ont été initiées par les populations, l’Etat et les partenaires au développement, mais le phénomène de déforestation continue à gagner du terrain. A cela s’ajoute, la divagation animale en saison sèche qui perturbe le développement du maraichage.
C’est dans ce contexte que l’Association de Promotion de l’Agroforesterie et la Foresterie (APAF Sénégal) a mis en place des systèmes agro forestiers introduisant des arbres fertilitaires ou forestiers dans les champs des paysan-ne-s, par reboisement ou en appliquant les techniques de régénération naturelle. Ce sont ces techniques endogènes ancestrales africaines que l’APAF a redécouvertes et réactualisé pour les diffuser en milieu paysan. -
Bandes antiérosives végétalisées dans un champ agroforestier
Note issue de 2 documents réalisés par l’APAF-Sénégal sur la restauration des sols -
L’intégration des concepts de résilience dans le domaine de la sécurité alimentaire : regards croisés
On observe depuis les années 2000 la volonté des acteurs de la sécurité alimentaire de rapprocher résilience et sécurité alimentaire. Ce rapprochement n’apparaît cependant pas si évident au vu de la diversité d’éléments de langages utilisés pour les associer. Cet article vise donc à faire un état des lieux de l’association de ces notions, voire de leur intégration mutuelle. L’application de la résilience à la sécurité alimentaire met elle en avant les mêmes dimensions que lorsqu’elle est appliquée aux systèmes socioécologiques ? Y aurait-il
ainsi plusieurs concepts de résilience ? Quels sont les apports en termes programmatique et analytique dans
le champ de la sécurité alimentaire ? Quels difficultés ou défis posent cette intégration ? Une analyse de la littérature a été menée à partir de références scientifiques ainsi que de documents de cadrage, de projets et
programmes produits par des institutions, bailleurs de fonds et ONG. Deux enjeux se dégagent de ce rapprochement : la mesure de la résilience et les apports de cette approche en comparaison d’autres telles que la gestion des risques et la réduction de la vulnérabilité. Par ailleurs, alors qu’elle n’a pas de portée normative concernant les trajectoires des systèmes socioécologiques, la résilience est intrinsèquement considérée comme positive dans le domaine de la sécurité alimentaire. Cette acception de la résilience soulève alors des problèmes politiques de définition de ce qu’est une trajectoire favorable. L’accent mis, avec la résilience, sur les trajectoires du système, permet toutefois de relier court terme et long terme, tant pour comprendre les perturbations que pour concevoir des interventions. Enfin, les caractères holistique et multiscalaire de la résilience se retrouvent dans l’ensemble de la bibliographie étudiée, constituant une « avancée » dans le
domaine de la sécurité alimentaire. -
Rôle des oiseaux sauvages dans la transmission et la dispersion des virus de l’influenza aviaire : apport de l’éco-épidémiologie dans les écosystèmes afro-tropicaux
La diffusion intercontinentale du virus de l’influenza aviaire (VIA) hautement pathogène H5N1 en 2005–2006 a déclenché un effort de recherche important sur l’épidémiologie des VIA chez les oiseaux sauvages et à l’interface entre oiseaux sauvages et domestiques. En effet, les oiseaux sauvages hébergent les souches de VIA faiblement pathogènes qui une fois transmises à la volaille peuvent évoluer vers des souches de plus forte pathogénicité qui constituent un risque économique et de santé publique. Les travaux réalisés au cours des dix dernières années en Afrique ont permis d’étudier les VIA dans des contextes écologiques et épidémiologiques peu explorés. Les résultats indiquent que les VIA persistent dans les écosystèmes afrotropicaux tout au long de l’année et sont probablement maintenus dans les communautés d’oiseaux sauvages.
L’écologie de la transmission de ces VIA dans les régions afro-tropicales présente cependant des particularités. Ainsi, le rôle des limicoles ne semble pas aussi crucial dans la maintenance des VIA que dans les écosystèmes nord-américains. La maintenance des VIA n’est peut-être pas uniquement dépendante des canards sauvages et une grande diversité d’espèces de la communauté d’oiseaux sauvages semble participer à la circulation de ces virus. Finalement, certaines espèces peuvent jouer le rôle de relais, créant le lien épidémiologique entre canards sauvages (l’hôte de maintenance) et les populations de volaille domestique (l’hôte cible). Ces travaux ont donc permis de produire les premières esquisses des modes de circulation et de persistance des VIA dans les communautés d’oiseaux sauvages et domestiques en Afrique, mais ont aussi contribué à stimuler la recherche globale sur les VIA en proposant des hypothèses originales et des méthodes pour les tester.
-
Innovation platforms and projects to support smallholder development - experiences from Sub-Saharan Africa
Des projets et des Plateformes d’Innovation pour soutenir les petits producteurs – quelques expériences en Afrique sub-saharienne. Ce numéro thématique présente et analyse les travaux et les résultats de Plateformes d’Innovation qui ont été mises en place et animées par le programme de recherche expérimental CoS-SIS (Convergence of Sciences–Strengthening Innovation Systems) dans neuf zones agricoles d’Afrique de l’Ouest entre 2011 et 2013. Six articles synthétisent les expériences locales de différentes plateformes d’innovation. Ils sont complétés par une analyse transversale des influences externes sur les plateformes d’innovation et des réponses de celles-ci, par une réflexion sur les réactions des plateformes d’innovation du Mali aux conflits locaux, et par une analyse des mécanismes par lesquels les plateformes d’innovation du Ghana ont influencé le contenu des enseignements universitaires et les programmes des instituts de recherche agronomique. -
Culture de la pomme de terre en Afrique de l’ouest
La parution de ce guide est un des résultats de l’atelier sur la filière pomme de
terre organisé par le Centre pour le Développement de l’Entreprise (CDE) et ses
partenaires à Ouagadougou en novembre 2007. -
Compostage du fumier pour en faire de l’engrais puissant
Présentation des avantages et techniques de compostage -
Association culturale
Note sur les associations culturales -
Microorganisme Efficaces (Fertilisant bio)
technique de fertilisation biologique -
Techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel : Guide destiné aux Techniciens, Agents Prestataires de Services (APS) et
Animateurs Villageois (AV)Ce guide porte sur les techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel -
Projet de dissémination de technologies de contrôle des mouches des fruits en Afrique l’ouest (FSA-CORAF) - rapport d'achèvement
Ce rapport porte sur le projet de dissémination de technologies de contrôle des mouches des fruits en Afrique l’ouest (fsa-coraf) -
External influences on agro-enterprise innovation platforms in Benin, Ghana and Mali – Options for effective responses
Cet article analyse les facteurs externes influençant les plate-formes d’innovation (PI) et les différentes réactions possibles. Les plateformes étudiées dans cet article ont été conçues pour favoriser le changement institutionnel et l’innovation au profit des petits acteurs du secteur agricole au Bénin, au Ghana et au Mali. Elles ont été imaginées et mises en place de façon à pouvoir tester des processus de changement dans les domaines choisis. Dans chaque cas, un associé de recherche a facilité le travail de la PI et a mis en oeuvre les théories du changement et a documenté les processus d’innovation élaborés par les membres de chaque plate-forme. Les données récoltées permettent l’analyse des facteurs externes influençant les PI. Dans un premier temps, cet article présente une typologie des influences externes majeures, pour ensuite utiliser cette même typologie afin d’analyser les influences sur les PI et leurs réactions face à ces facteurs externes. Les influences les plus importantes sont d’origine mondiale, sousrégionale, ainsi que nationale. Les réponses des PI ont été diverses ; elles incluent pour la plupart la recomposition des équipes, du lobbying, ainsi que l’augmentation de la capacité d’action des petits acteurs en facilitant l’accès aux aides financières et à de nouvelles connaissances et compétences. Cet article illustre les leçons tirées par les membres des plate-formes face aux défis rencontrés. On constate que les facteurs externes influencent de façon significative l’orientation de l’innovation sociotechnique et institutionnelle. -
Facing climate variability in sub-Saharan Africa: analysis of climate-smart agriculture opportunities to manage climate-related risks
In the literature, a lot of information is available about climate change perceptions and impacts in sub-Saharan Africa. However, there is limited attention in the region to emerging initiatives, technologies and
policies that are tailored to building the adaptive capacity of agricultural systems to climate change and
variability. In this paper, we discuss the prospects for climate-smart agriculture technologies and enabling
policies in dealing with climate change and variability at different sub-regional levels of sub-Saharan Africa to sustain farm productivity and livelihoods of agrarian communities -
Pratiques phytosanitaires et niveau d’exposition aux pesticides des producteurs de coton du nord du Bénin
Au Bénin, les écosystèmes terrestres sont pollués par la présence généralisée de résidus de pesticides due à une utilisation intensive de produits phytosanitaires en agriculture, principalement sur la culture du coton. Afin d’évaluer le niveau d’exposition des producteurs aux pesticides et d’estimer l’impact potentiel de ceux-ci sur la santé humaine, des enquêtes semi-structurées couplées à des observations sur les pratiques locales ont été effectuées auprès de 150 producteurs de coton des communes de Gogounou, Kandi et Banikoara, principales zones de production cotonnière du pays. -
Modélisation simultanée de la perception et de l'adaptation au changement climatique : cas des producteurs de maïs du Nord Bénin (Afrique de l'Ouest)
Au Bénin comme dans la plupart des pays en développement, les producteurs sont de plus en plus confrontés au besoin d’adapter leurs systèmes de cultures aux circonstances changeantes du climat. Cet article a pour objectif d’analyser l’adaptation des producteurs de maïs au changement climatique -
Les systèmes d'information sur les marchés agricoles dans les pays en développement : nouveaux modèles, nouveaux impacts
Dans les pays en développement (PED), les systèmes d’information sur les marchés (SIM) agricoles se sont développés en deux phases. Une première génération de SIM est apparue dans les années 1980 au moment de la libéralisation des agricultures des PED et une seconde génération l’a suivie dans les années 2000 sous l’impulsion de différents facteurs, notamment les difficultés rencontrées par les SIM de la première génération pour atteindre leurs objectifs, les nouvelles possibilités offertes par le développement des TIC – Internet et téléphonie mobile – et l’organisation croissante des opérateurs privés (organisations de producteurs, interprofessions). -
Cultivez votre spiruline : manuel de culture artisanale
L'objectif de ce manuel est de former des formateurs pour diffuser et rendre accessible à un plus grand nombre la culture et la consommation de la spiruline, et aider les futurs "jardiniers" (jardiniers du futur ?) à contrôler un certain nombre de paramètres pour produire à l'échelle familiale, coopérative ou communautaire un aliment dont les qualités nutritionnelles sont aujourd'hui reconnues, mais qui leur reste pratiquement inaccessible, du moins à l'état frais. Il n'est pas de fournir les éléments nécessaires pour une exploitation répondant seulement à des critères de rentabilité commerciale, spécialement en pays à main-d'oeuvre chère, car le procédé proposé est très gourmand en main-d'oeuvre du fait de son taux de mécanisation quasiment nul. -
Cendre de bois : Lutte contre les fourmis, pucerons et mouches
Cette note indique comment utiliser les cendres de bois pour lutter contre les pucerons, fourmis et mouches -
Pratiques agro-écologiques : augmenter le potentiel d’un champ avec des cordons pierreux
Cette fiche technique montre comment réaliser des cordons pierreux -
Pratiques agroécologiques : demi-lunes
Cette fiche technique indique comment réaliser des demi-lunes -
Les aptitudes agricoles et pastorales des sols dans les pays du CILSS
Dans cette étude, la détermination des potentialités agricoles des sols, concerne les neuf pays du CILSS: le Burkina Faso, le Cap Vert, la Gambie, la Guinée Bissau, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le
Sénégal et le Tchad. Elle a pour principal objectif à partir de l'exploitation des données existantes,
- de dégager une nomenclature simple et compréhensible des sols et de leurs qualités essentielles,
- d'élaborer des cartes et/ou grilles d'aptitude pastorale et culturale notamment pour les trois principales cultures dans chacun des pays concernés. -
Les différentes techniques de préparation des plantes médicinales
Cette note réalisée par Mil'école présente les différentes façons de préparer des plantes médicinales -
Recueil de plantes médicinales et leurs vertus : expériences des paysans du Togo et du Bénin
Le recueil des plantes médicinales en Afrique de l’Ouest est élaboré par le Secaar suite aux expériences des paysan-e-s impliqué-e-s dans l’exécution du programme de promotion de la souveraineté alimentaire et réseau des fermes agro écologiques au Togo et au Bénin pour la période 2016 - 2018. -
Utiliser l'eucalyptus en tant qu'insectifuge, contre la teigne de la pomme de terre
Cette note présente les propriétés de l'eucalyptus pour lutter contre les ravageurs de la pomme de terres -
Pratiques agroécologiques : augmenter le potentiel d’un champ avec des diguettes antiérosives filtrantes
Cette fiche technique montre comment réaliser des diguettes filtrantes -
Gérer les ressources naturelles : la technique de la «mise en défens»
L’une des techniques mises en œuvre pour le gestion des ressources naturelles est la « mise en défens », qui s’écrit comme le mot défense, sans le « e » final. Mais l’idée est similaire. Il s’agit plus précisément de la mise en défens d’aires écologiques dégradées ou menacées de dégradation par des facteurs naturels ou par l’effet d’activités humaines. -
Intégration de l'irrigation et de l'aquaculture en Afrique de l'Ouest : concepts, pratiques et perspectives d’avenir
Le présent volume contient les documents de référence et les exposés présentés à l’occasion de l’Atelier FAO-ADRAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA), tenu à Bamako, au Mali, du 4 au 7 novembre 2003, ainsi que les résultats des missions des experts de la FAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) dans la région de l’Afrique de l’Ouest. La logique qui sous-tend le développement de l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) est le fait qu’elle offre des possibilités pour accroître la productivité des ressources peu abondantes en eau douce, pour améliorer la sécurité alimentaire et la
réduction de la pauvreté, et pour réduire la pression sur les ressources naturelles, en particulier dans les pays de l’Afrique de l’Ouest prédisposés à la sécheresse. -
L'élevage de poissons en rizières
La présente étude entend fournir une synthèse des informations disponibles et souligner le rôle important que l’aquaculture de systèmes d’élevage intégrés à la riziculture peut jouer en vue d’atteindre une situation de sécurité alimentaire et de réduire la pauvreté. -
L’irrigation informelle en Afrique de l’Ouest : Une solution ou un problème?
La contribution de l’irrigation informelle aux défis de l’agriculture irriguée est donc plutôt mitigée dans l’ensemble concernant la productivité agricole, le développement régional, les revenus des irrigants et la protection environnementales. A côté d’un potentiel et de réussites indéniables, on peut craindre des retombées négatives en matière: (i) de gestion de la ressource, et (ii) d’effets sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces limitations peuvent affecter à court terme la société dans son ensemble, mais aussi à plus long terme les irrigants informels eux-mêmes. -
Note d'introduction sur les jardins scolaires : Promouvoir les programmes de jardins scolaires pour améliorer l’éducation et l’alimentation des enfants
Il existe des jardins scolaires dans la plupart des pays en développement, les expériences les plus concluantes étant généralement dues à des initiatives communautaires ou aux efforts d’enseignants particulièrement motivés. -
Liste globale des pesticides autorisés par le Comité Sahélien des Pesticides Version de Novembre 2019
La Liste des pesticides autorisés par le Comité Sahélien des Pesticides -
Diversité de l’entomofaune du niébé (Vigna unguiculata (L.) Walpers) au Nord-Ouest du Bénin
La culture du niébé est confrontée en milieu paysan aux problèmes d’abandon, de disparition et de faible rendement de variétés liés à la forte pression des ravageurs en végétation et en stock. La présente étude a permis d’évaluer la richesse et l’importance de l’entomofaune du niébé en végétation et en stock au Nord-Ouest du Bénin. -
Incidence de la maladie des racines roses (Pyrenochaeta terrestris) sur la variété d’oignon (Allium cepa) «Violet de Galmi», en fonction de la fertilisation du sol et de l’état d’infestation des plants en sortie de pépinière
La maladie des racines roses de l’oignon est causée par un champignon microscopique Pyrenochaeta terrestris (Hansen). C’est une des maladies de l’oignon (Allium cepa L.) les plus répandues en Afrique de l’Ouest, où elle est présente depuis 1980. Elle est particulièrement sévère dans les sols ayant servi de support à une longue période de culture de l’oignon. -
Catalogue ouest africain des espèces et variétés végétales : 2008
Conformément à la décision de dix-sept pays d’Afrique de l’Ouest et Centrale membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et du Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS) sur l’organisation du Catalogue ouest africain des espèces et variétés végétales (COAFEV), ce document présente la liste limitative des variétés ou types variétaux dont les semences peuvent être produites et commercialisées sur le territoire constitué par ces dix-sept pays.
Il est constitué par la somme des variétés inscrites dans les catalogues nationaux des États membres. Pour être inscrite au Catalogue ouest africain des espèces et variétés végétales, une variété doit être préalablement inscrite à un catalogue national. -
Étude diagnostique de la réduction des pertes après récolte de trois cultures : manioc, tomate et pomme de terre
Ce présent rapport porte sur l'étude diagnostique de la réduction des pertes après récolte de trois cultures: Manioc, tomate et pomme de terre -
Les semences dans les situations d’urgence : manuel technique
Cette publication constitue une étape vers l’amélioration de la qualité et de l’efficacité des semences distribuées lors des opérations d’urgence. Il est nécessaire de comprendre les principaux aspects techniques des semences pour planifier et pour réaliser les évaluations sur la sécurité semencière ainsi que pour fournir des semences de qualité aux ménages vulnérables. Ce manuel a pour objectif de mettre à disposition du personnel de terrain chargé de ces opérations, les connaissances techniques de base requises. -
La pratique de la gestion durable des terres : Directives et bonnes pratiques pour l’Afrique subsaharienne. Applications sur le terrain
La gestion durable des terres (GDT) est une approche d’ensemble qui possède un potentiel de transformation durable à court et à long terme. Mais qu’entend-on exactement par gestion durable des terres ? Quels en sont les principes et avant tout, quelles sont les pratiques que les gens peuvent utiliser ? En quoi est-elle vraiment différente et comment peut-elle apporter des solutions concrètes en Afrique ? Voici les questions clés abordées par cet ouvrage – les réponses sont ensuite fournies dans les études de cas et les analyses. -
Formation en gestion d’entreprises associatives rurales en agroalimentaire - Version adaptée pour l’Afrique francophone. Manuel de renforcement des capacités – Guide du facilitateur
L’objectif de ce guide est de faciliter la planification et la mise en oeuvre des sessions de formation. Il fait partie du cours de Gestion d’entreprises associatives rurales en agroalimentaire et a été conçu pour les facilitateurs qui possèdent des connaissances et une expérience en ce qui concerne les aspects techniques de la formation, mais qui n’ont pas forcément de compétences pédagogiques et qui n’ont pas d’expérience leur permettant de faciliter le processus d’enseignement apprentissage. -
Stratégie de gestion des risques de catastrophe en Afrique de l’Ouest et au Sahel | FAO (2011 -2013)
L’objectif général de cette stratégie est de renforcer la résilience des communautés et de réduire leur vulnérabilité aux différents chocs afin que les pays de la sous-région assurent leur sécurité alimentaire et nutritionnelle et se concentrent sur le développement de systèmes alimentaires et agricoles durables. Des objectifs spécifiques et des activités prioritaires ont été déterminés sur la base des vulnérabilités et défis identifiés. Cette stratégie sous-régionale couvre les pays suivants: Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Côte d’Ivoire, Ghana, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Sénégal, la Sierra Leone, le Tchad, le Togo. -
Produire plus avec moins : le manioc, guide pour une intensification de la production
L’intensification durable de la production du manioc constitue l’objet du présent guide, le premier d’une série consacrée à l’application pratique, sur des cultures de petits producteurs et des systèmes de production agricole spécifiques, du modèle «Produire plus avec moins» de la FAO. Approuvée en 2010 par la FAO, «Produire plus avec moins» est une approche écosystémique de l’agriculture visant à améliorer la productivité tout en préservant les ressources naturelles. Elle promeut des pratiques devant permettre au demi-milliard de petites exploitations familiales que compte la planète de produire davantage à partir de la même surface de terre, tout en améliorant le capital naturel et les services écosystémiques. -
Conduire des champs écoles des producteurs : Guide du facilitateur
L’objectif de ce guide est de:
-fournir aux facilitateurs un document de référence rappelant les éléments de base et les étapes pratiques pour la conduite des CEP
- promouvoir le partage des connaissances générées, depuis 2001, par le Programme GIPD, afin de promouvoir des CEP de qualité. -
Les Banques de Semences Communautaires. Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) - Guide de l’animateur
Le but de ce module est de fournir des informations aux formateurs des Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) afin qu’ils soient en mesure de parler des banques de semences communautaires, et en particulier de leur importance en ce qui concerne la sécurité semencière et alimentaire, l’agro-biodiversité et l’agriculture durable. Une série de discussions en petits groupes, de jeux de rôles, de saynètes et d’études de cas permettront de mettre en lumière le sujet des banques de semences communautaires. -
Production du niébé en Afrique de l’Ouest : Guide du paysan
Ce guide se fonde sur les travaux menés par l’ITTA et les partenaires de la recherche pour le développement, ainsi que sur les expériences qu’ils ont accumulées en matière de systèmes à base de niébé en Afrique de l’Ouest. L’objectif de ce manuel est d’aider les paysans, agents vulgarisateurs et chercheurs du Nigeria, du Niger, du Mali et d’autres pays ouest-africains à cultiver le niébé à profit. -
Etudes de cas de la dynamique du maraîchage péri-urbain en Afrique subsaharienne.
Cette étude présente plusieurs études de cas sur le développement de maraîchage péri-urbain. -
Dynamique des parcours pastoraux dans la région du Parc National du W du Niger
Le fait pastoral dans la région du parc du (( W ) du Niger est analysé dans le but de détecter une politique de gestion des parcours en périphérie. Un dialogue entre les responsables de la conservation et les éleveurs à ce propos ne paraît possible que si le parc est admis par tous et dûment contrôlé. -
Le zaï: un labeur de termites et de paysans en zone soudano-sahélienne
Les zones arides menacées de désertification constituent près de 40% de la
surface terrestre, Au to t al, environ un milliard de personnes dépendent de
ces terres pour leur aliment at ion. Dans la zone soudano-sahélienne, certaines
pratiques agricoles et le surpâturage favorisent la désertification. La restauration
de la productivité des sols de cette zone est vitale pour les populations
paysannes locales. Très souvent, les tentatives pour réhabiliter ces terres
avec des techniques importées des pays occidentaux échouent. En revanche,
des expériences réalisées avec des techniques ancestrales font leurs preuves.
Bien connue des paysans, la technique zaï est lune de ces voies pour restaurer
la productivité des sols cultivés. -
Technique de reproduction du lapin : fiche technique
Cette fiche technique offre des conseils pour gérer la reproduction dans un élevage de lapins -
Technique d'alimentation des lapins
Cette fiche technique propose des conseils pour gérer l'alimentation d'un élevage de lapins -
La maladie hémorragique virale (VHD) du lapin.
Cette fiche technique apprend comment reconnaître et éviter la maladie hémorragique du lapin -
Fiche technique : Reconnaissance des ravageurs du maïs en stockage au Bénin et méthodes de lutte
Cette fiche technique enseigne comment reconnaître et lutter contre les ravageurs du maïs stocké -
Fiche technique : Reconnaissance des ravageurs du maïs en culture au Bénin et méthodes de lutte
Cette fiche technique montre comment reconnaître et lutter contre les principaux ravageurs du maïs -
Fiche technique. Reconnaissance des mauvaises herbes en culture du maïs au Bénin et méthodes de lutte
Cette fiche technique enseigne à reconnaître divers ravageurs habituels du maïs et propose des méthodes de lutte culturale. -
Manuel sur les technologies de récolte, de stockage et conservation et de transformation du maïs au Bénin
Le présent manuel, avec ses fiches techniques et posters en annexe, est élaboré pour servir d’outil d’aide aux productrices, producteurs, transformatrices et transformateurs afin qu’ils puissent améliorer leurs pratiques des opérations de récolte, de stockage & conservation et de transformation du maïs. Ce manuel, avec ses fiches et posters, participe au renforcement de capacité des acteurs de la filière maïs. -
Caractéristiques des ravageurs des palmiers africains
Planche de reconnaissance des ravageurs du palmier -
Guide technique de l’élevage : le développement pastoral efficace passe par la production d'herbe
L'élevage dans le Sahel se fait aujourd'hui fondamentalement selon un type usurpateur des terres en utilisant de la végétation qui y pousse naturellement. Afin de mettre un frein à la progression de la désertification et de passer à un élevage durable du bétail, il importe d'abandonner ce type d'élevage par usurpation des terres et de le remplacer par un type d'élevage qui, étant fondé sur le travail actif des terres, en assure la conservation et en élève la productivité selon un type d'utilisation cyclique. De plus, il importe de passer à un élevage plus productif (de type semi-intensif) (ce terme étant utilisé ici en opposition à l'élevage extensif) qui, ne fut-il que légèrement plus efficace, permette une bonne coexistence de l'agriculture et de la sylviculture, et permette d'obtenir davantage d'une surface et d'une quantité de bétail données. -
Guide de l'élevage d'ovins méditerranéens et tropicaux
Cet ouvrage traite de l'anatomie, de la physiologie, des techniques d'élevage, des productions et des principales maladies des troupeaux d'ovins tropicaux, principalement en Afrique (sauf l'Afrique du Sud) -
Guide d'élevage sur l'embouche ovine pour la Tabaski - module 1 - généralités
Ce premier module est destiné à répondre aux préoccupations d’ordre général sur l’opération d’embouche ovine à savoir les différents types d’embouche ovine, ses intérêts pour l’entrepreneur et le consommateur, etc. -
Note d’analyse des premiers impacts de la pandémie du COVID 19 sur les Exploitations Familiales Agropastorales membres de l’APESS
Au moment où tous les pays d’Afrique de l’Ouest, à l’instar des pays des autres régions du monde, ont pris des mesures fortes pour contrer la propagation de la pandémie du COVID-19, l’APESS a voulu analyser les premiers effets de ces mesures sur ses membres. A travers des données collectées entre mars et avril 2020 par leurs leaders dans 12 pays en Afrique de l’Ouest et du Centre (Burkina, Mali, Niger, Bénin, Togo, Sénégal, Gambie, Guinée Bissau, Mauritanie, Nigéria, Cameroun, Tchad) apparaissent déjà des premières tendances impactant négativement le fonctionnement des filières agropastorales et induisant une dégradation des conditions d’existence des acteurs de ces filières. -
Mouche du chou
La mouche du chou a été introduite en Amérique du Nord probablement au début des années 1800 et elle est maintenant retrouvée partout au Canada. Cette espèce produit de 3 à 4 générations par année. Au Québec, les adultes provenant des pupes hibernantes émergent du sol de la fin avril à la mi-mai. Ceux-ci peuvent parcourir plusieurs centaines de mètres par jour pour trouver une plante-hôte. Au moment de la ponte, les œufs sont généralement déposés dans le sol à proximité de leurs plantes-hôtes, sur la tige de celles-ci ou sur le sol directement -
Production de matière organique au Sud Mali : Techniques paysannes et vulgarisation
Etude permettant le recueil des techniques de production de compost, ainsi que les outils de vulgarisation utilisés par les services d'encadrement dans le sud du Mali. -
Manuel de l'apprenant : Utilisation des micro-organismes du sol pour accroître la productivité agricole
Document dans le domaine de l'utilisation des micro-organismes du sol, et notamment les bactéries promotrices de la croissance des plantes et les champignons mycorhiziens à arbuscules, pour améliorer la productivité agricole tout en améliorant la santé des sols. -
Fabrication et utilisation du compost en fosse
Fiche technique sur la fabrication du compost en fosse tirée du recueil des fiches techniques en gestion des ressources naturelles et des productions agro-sylvo-pastorales. -
Démarche qualité pour la réalisation d’infrastructures durables en Afrique de l’Ouest.
L’approvisionnement en eau dans le cadre de la GWI se fait à travers la sécurisation de la ressource et le développement d’approches nouvelles ou améliorées en matière de gestion de l’eau ; il s’intègre dans un cadre plus large qui traite de la pauvreté, du pouvoir et des inégalités qui touchent particulièrement
les populations les plus pauvres. Cela nécessite d’allier une orientation pratique envers les services d’assainissement et d’approvisionnement en eau à des investissements visant à renforcer les institutions, sensibiliser l’opinion et élaborer des politiques efficaces. -
Petite Irrigation: Diffusion de pompes à pédales
Les pompes à pédales constituent l’équipement de petite irrigation le plus diffusé pour les exploitations de moins d’un demi hectare. Après avoir été mises au point au
Bangladesh, en particulier par M. Gunnar Baarnes (pompe aspirante), elles ont été introduites et améliorées (pompe aspirante-refoulante par Carl Bielenberg) depuis la fin des années 80 en Afrique de l’Ouest (Sénégal, Mali, Burkina Faso, Niger, Bénin,
Côte d’Ivoire) et en fin de décennie en Afrique de l’Est (Ethiopie, Zambie, Zimbabwe, Ouganda, Kenya) et du Sud. Les projets qui les ont promues, principalement financés par l’USAID puis par la Banque mondiale et le FIDA, ont permis la diffusion durable de plusieurs milliers de ces pompes. Pour les petits paysans, la pompe à pédales est souvent un premier pas vers l’irrigation à plus grande échelle avec des motopompes. -
Les conditions d’une gestion paysanne des aménagements hydro-agricoles en Afrique de l’Ouest
Le séminaire « Les conditions d’une gestion paysanne des aménagements hydroagricoles en Afrique de l’Ouest » avait pour but de rassembler les différents types d’acteurs concernés par les restructurations des systèmes irrigués (responsables paysans, cadres des Offices, chercheurs, ONG, etc.) des différents pays de la région, pour une rencontre d’échanges et de débats, afin de faire le point sur l’avancée des processus de transfert de responsabilités aux producteurs, les innovations et les acquis, les difficultés et les manques. Il s’agissait de contribuer à une réflexion décloisonnée,
tant entre les pays qu’entre les types d’acteurs, de mieux comprendre les conditions d’une gestion paysanne des aménagements, e d’identifier les points cruciaux sur lesquels les uns et les autres avaient à travailler, pour promouvoir des modes de gestion réalistes et durables. -
Le conseil aux irrigants en Afrique de l’Ouest sahélienne
Le projet APPIA, à travers sa composante 2, propose de mobiliser les professionnels de
l’irrigation sur la question de la mise en place de nouvelles formes d'appui-conseil aux
irrigants, rendues nécessaires par les évolutions du secteur irrigué depuis une trentaine
d’années.
Le document suivant constitue une base de travail pour les ateliers de lancement du projet APPIA. Il est établi à partir d’entretiens et de documents recueillis dans les 5 pays de la zone d’étude (Burkina Faso, Niger, Mali, Mauritanie, Sénégal). -
Les mouches des fruits du genre ceratitis (diptera:tephritidae) en Afrique de l'ouest
De façon générale, les cératites sont petites, ont des taches ou bandes sur les ailes et un scutellum bombé tacheté de jaune et noir. -
Utilisation du"success appat" (GF-120 Fruits fly bait) contre les mouches des fruits
La filière mangue ouest-africaine est confrontée à la problématique mouches des fruits depuis nombreuses décennies. -
Utilisation des fourmis tisserandes(hymenoptera formicidae)dans la lutte contre les mouches des fruits(dipera tephritidae)
Les filières fruitières ouest africaines sont confrontées à la problématique mouches des fruits -
Principales méthodes de lutte intégrée contre les mouches des fruits en afrique de l'ouest
Depuis des décennies la filière mangue ouest africaine est confrontée à la problématique mouches des fruits -
Evaluation des dégats causés par les mouches des fruits sur le manguier et calcul du seuil économique de nuisibilité au Bénin.
En 2005 et 2006 au bénin,les pertes de production du manguier dues aux attaques des mouches des fruits -
Gamme de plantes-hôtes cultivées et sauvages pour les principales espèces de mouches des fruits au Bénin
En 2005et 2006 au bénin,les pertes de production du manguier dues aux atetaques des principales espèces de tephritidae ont dépassé 50% en milieu de campagne. -
Principaux cultivars du manguier(Mangifera indica)au Bénin et leur importance socio-économique.
Le manguier était déjà présent en afrique de l'état dès le XIV eme siécle mais ce n'est qu'au début du XIX eme siécle... -
La lutte contre les mouches des fruits à travers l'hygiène phytosanitaire du verger: lutte prophylactique
Les mouches des fruits sont des ravageurs de grande importance économique à cause de leur statut d'insecte de quarantaine et des pertes enregistrées en afrique de l'ouest au niveau de diverses filières de fruitières d'intérèt commercial. -
Suivi environnemental en lutte anti-acridienne
Présentation générale de la stratégie et objectifs de la CLCPRO
Introduction – Risques pour l’environnement de la lutte
anti acridienne
Rappel sur les techniques de pulvérisation terrestre de pesticides
Impact environnemental de la lutte anti acridienne – Résumé de
nos connaissances
Suivi de la lutte contre le criquet pèlerin – Principes
Suivi de la lutte contre le criquet pèlerin – Rôle des équipes de
traitement
Suivi environnemental de la lutte contre le criquet pèlerin:
Problématique et options
Procédures
Echantillonnage pour analyse des résidus
Examen des incidents d’impact environnemental
Zones sensibles aux traitements antiacridiens
Mesures de réduction des risques de la lutte antiacridienne -
Gestion intégrée des nuisibles en production maraîchère : Guide pour les agents de vulgarisation en Afrique de l’Ouest
Très souvent, les agents de vulgarisation ne connaissent pas la cause des problèmes communs des nuisibles dans les cultures. Les problèmes de nuisibles surgissent généralement quand les processus biologiques, écologiques et sociologiques qui soutiennent l’agriculture sont perturbés.
Ce guide aide à pallier ce manque d’information. Il s’agit là de l’une des nombreuses mesures de l’Institut international d’agriculture tropicale (IITA) pour permettre aux agents de vulgarisation de développer et d’utiliser les technologies. Ce guide porte avant tout sur l’identification correcte et sur la meilleure compréhension de la biodiversité dans le développement et dans l’application des options de gestion intégrée des nuisibles (GIN) contre les nuisibles des légumes. La GIN est une approche à forte concentration de savoir qui a pour but d’augmenter la profitabilité des systèmes agricoles tout en réduisant au minimum les menaces pour la santé humaine et l’environnement.
Les exemples spécifiques dans ce guide portent sur le Bénin, mais les méthodologies et les informations générales s’appliquent à d’autres sites de production maraîchère en Afrique de l’Ouest. -
Hausa names for plants and trees
Ce guide vise à fournir des noms de plantes haoussa dans une transcription aussi précise que possible, avec des noms scientifiques à jour. Lorsque la plante a été identifiée, le nom latin et le nom anglais commun, s'il en existe un, sont indiqués. Les singuliers et les pluriels sont également donnés pour autant de plantes que possible. De plus, tout ce que l'on sait sur l'utilisation de la plante est ajouté à la définition. Choix des entrées : la richesse de la terminologie haoussa concernant les plantes cultivées est telle que les entrées ont dû être sélectives. Le principe général guidant le choix a été d'inclure ;
a) noms génériques des plantes sous toutes les formes régionales
a) Termes spécifiques pour les parties d'une plante, à la fois sauvages et cultivées. -
Le baobab africain (Adansonia digitata L.) : Description, utilisation et possibilité de valorisation
Description des différentes parties du baobab (tronc, feuilles, fleurs, fruits, graines) et de leurs utilisations (alimentaires ou thérapeutiques). -
Une expérience originale de mécanisation partagée en Afrique - les Coopératives d’utilisation de matériel agricole du Bénin
Dans les départements du Borgou et de l’Alibori (Nord Bénin), une coopérative d’utilisation de matériel agricole (Cuma) est constituée d’une dizaine d’agriculteurs en moyenne rassemblés autour de l’achat et de la gestion d’un tracteur d’une puissance de 30 à 70 CV, d’une charrue à disques et d’une remorque de trois tonnes. Aujourd’hui, 102 Cuma sont recensées au Bénin, regroupant environ 850 producteurs.
L’objectif premier que se donnent les groupes ayant créé une Cuma porte sur la motorisation du labour, avec en complément, les activités de transport en période de récolte. En moyenne, une Cuma couvre environ 100 hectares par tracteur pour le labour.
Chaque membre contribue aux charges d’exploitation du matériel, proportionnellement à son utilisation. Le montant de l’apport en capital de chaque membre à la Cuma est fonction de ses superficies travaillées. Après des expériences de financement à crédit peu concluantes, les agriculteurs réunissent désormais eux-mêmes la totalité du capital nécessaire pour acheter les équipements. -
La planète laitière et la place de l’Afrique de l’Ouest dans la consommation, la production et les échanges de produits laitiers
Le secteur laitier mondial connait un développement soutenu en raison de l’augmentation des besoins en produits laitiers d’une population en croissance et d’un changement progressif des régimes alimentaires. Si les pays asiatiques sont depuis longtemps placés au cœur de cette dynamique, ce qui stimule le développement des exportations dans trois grandes zones géographiques (l’Union européenne, la Nouvelle-Zélande et les Etats-Unis), la place qu’occupe l’Afrique dans la « planète laitière » est étudiée ici de façon spécifique. -
Guide de la CEDEAO sur l’Accord de Paris en vue de son application par ses Etats membres
La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) publie un guide sur l’application de l’Accord de Paris sur le climat à destination des Etats d’Afrique de l’Ouest et, plus généralement, des pays en développement. Développé avec l’appui du projet régional GCCA+ Afrique de l’Ouest, financé par l’Union européenne, ce guide a pour objectif d’aider les pays en développement à respecter leurs obligations à partir d’une bonne compréhension du sens et de la portée des dispositions de l’Accord de Paris, conclu en 2015.
Le guide est construit autour de fiches d’information, d’orientation et d’action classées par thématiques : atténuation, adaptation, mise au point et transfert de technologies, renforcement des capacités, transparence de l’action et de l’appui nécessaire et reçu. Chaque fiche comporte une brève mise en contexte (définition et enjeux), les éléments de réponse apportés par l’Accord de Paris pour répondre à l’enjeu, un récapitulatif des obligations et de leur portée (obligation de résultat, obligation de moyen, option facultative), ainsi qu’un rappel du calendrier pour s’y conformer, et ce, du point de vue des Etats membres de la CEDEAO et du CILSS. Des recommandations pour la mise en œuvre sont également suggérées pour guider l’action des gouvernements. -
Augmenter la fertilité d’un champ cultivé en associant Faidherbia albida aux cultures
L’association de Faidherbia albida aux cultures est une technique essentiellement utilisée pour enrichir le champ en matières organiques et en azote. Souvent appelée la Régénération Naturelle Assistée (RNA), elle consiste à identifier et « élever » les jeunes plants qui poussent naturellement. Contrairement à la plupart des arbres, Faidherbia albida perd ses feuilles en saison des pluies. Il est particulièrement apprécié, car c’est une légumineuse, qui permet de fournir un fourrage digestible en saison sèche. -
Pour une transition agroécologique dans les territoires soumis à la désertification
Le processus de désertification se définit comme la dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et sub-humides sèches par suite de divers facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines (UNCCD). La désertification désigne ainsi le déclin irréversible ou la destruction du potentiel biologique des terres et de leur capacité à supporter ou à nourrir les populations (CSFD).
Selon le GTD, l’agroécologie est une proposition intéressante pour favoriser un développement agricole durable au sein des territoires. Cependant dans quelle mesure est-elle une option pertinente pour répondre aux défis de sauvegarde des écosystèmes et des sociétés humaines dans les zones soumises à la désertification ?