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PromAP -- Formation des OP des femmes et jeunes adultes en conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région de Tahoua
Le présent rapport rend compte du déroulement et de l’évaluation d'une mission de formation , par le Cabinet Agri-Bilan pour l’animation d’une formation sur la transformation et la conservation des produits maraichers. L’a formation a regroupé les associations féminines de 13 groupements féminins de la région de Tahoua sur les innovations et les problèmes liés aux techniques de conservation et transformation de l’oignon, tomate, chou et pomme de terre récoltés sur leur exploitations . -
Production et vente de la nigelle à Atkaki au Niger
Cette fiche explique l'itinéraire technique sur la culture de la Nigelle. Elle explique les travaux du sol , la qualité des gousses et la facilité à la récolte. le choix des semences, la meilleure période de semis, le type et le dosage d'engrais par hectare, le respecter la fréquence des arrosages. -
Utilisation du réseau californien pour les cultures irriguées
Cette fiche explique la technique du réseau californien qui est un système de micro-irrigation développé en Californie. Il consiste à distribuer l’eau aux cultures par des tuyaux souterrains en PVC rigide (diamètre 40-50 m). Le réseau de tuyaux est enterré à 0,5 m pour les protéger des UV et des travaux agricoles. -
Irrigation par goutte à goutte
cette fiche présente une brève description de l’innovation
"’irrigation par goutte-à-goutte "" qui est une est une innovation
exogène introduite en zone de cultures maraîchères par des projets de développement, institutions de recherche et services techniques. C’est un procédé qui consiste à utiliser des microdiffuseurs installés sur les canalisations, très proches du sol. -
Utilisation du pompage solaire pour l'irrigation
Cette fiche explique le pompage solaire, qui est une innovation exogène recommandée aux producteurs par des ONG, projets de développement et services techniques au Niger. Elle s’inscrit dans le cadre de l’optimisation du captage et de l’exhaure de l’eau pour la petite irrigation. Mr Sidi Bila, producteur et natif du village d’Alikinkin, commune urbaine d’Agadez, a adopté l’innovation; il explique les différentes étapes à suivre. -
Production et commercialisation du fourrage de la luzerne
La luzerne est une légumineuse pluriannuelle qui résiste à la sécheresse et lutte contre l’érosion des sols.
La présente fiche d'innovation montre les différentes étapes à suivre pour produire la luzerne. Cette culture fut initiée dans le village d’Edouk (Tahoua) par un paysan innovateur, Mr Hachimou Alka, identifié par le PromAP.
La fiche aborde:
- Le choix variétal et le respect
- Les maladies et ennemis de la luzerne.
- Pas besoin de fertilisation azotée etc.. -
Production de l'ail en irrigué
Cette fiche présente l'itinéraire technique de la production de l' ail ; elles explique les dispositions à prendre pour réussir la production de l’ail en culture irriguée
selon Mr Assoumana Moussaproducteur du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. -
Production du gombo en irrigué
Cette fiche d'innovation présente les différentes techniques de production du gombo en irrigué au niveau du village de Chacott, Région de Tahoua. Originaire de l’Ethiopie le gombo est une plante de saison sèche, très exigeante en chaleur, lumière et humidité. Produit en irrigué pour La commercialisation cette culture est une innovation endogène initiée en 2009 par des femmes du village de Guidoma, Région de Tahoua au Niger. -
Production de l'arachide en irrigué à Akoukou au Niger
L’arachide est une plante annuelle herbacée. Elle peut atteindre une hauteur de 20-60 cm. Pour la cultiver, il faut ameublir le sol et faciliter la pénétration de l’eau et des racines. Les travaux du sol influencent la maturité, la qualité des gousses et la facilité à la récolte. Un labour léger (8 à 12 cm), voire scarifiage sont suffisants sur un sol léger. -
Production de la tomate dans les zaї en hivernage
La culture de la tomate dans les Zaï en hivernage est une innovation endogène initiée en 2016 par Mr Tahirou Sabo, natif de village de Magou, département de Torodi.
La période propice est la saison sèche fraiche ; l'itinéraire technique décrit pas à pas les différentes étapes de cette technique. -
Production du mais en irrigué
Cette fiche explique les étapes d' une innovation sur les techniques de production du mais en irrigué par Mr Mallam Hamidou Ahamadou, du village de Kolkoli, commune de Bambaye, un producteur innovateur . Elle s’inscrit dans le cadre de la diversification des cultures irriguées. la technique présente un nombre de producteur par localité avec les différents rendements par superficie emblavée. -
Arrondissement de Gaya : potentialités et contraintes au développement local
Ce document fait l'inventaire des potentialités et contraintes de l' Arrondissement de Gaya en matière de développement local, afin de dégager plus tard des programmes prioritaires de développement local. -
Diagnostic des acteurs et des systèmes d’innovation dans la petite irrigation au Niger
le présent document analyser les dynamiques institutionnelles et organisationnelles des systèmes d’innovation de la petite irrigation au Niger pour créer un environnement propice à l’identification, la validation et la diffusion des innovations de la petite irrigation . Il aborde les systèmes d’innovations dans la PI, dont :
- les rôles des acteurs
- les institutions concernées
- les contraintes, les défis;
- la caractérisation de la « culture d’entreprise des acteurs.
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Étude des effets et des impacts de la formation des brigadiers phytosanitaires dans la zone d'intervention de PromAP
La formation des brigadiers phytosanitaires constitue, une activité de haute importance pour la gestion des attaques récurrentes des ennemis des cultures sur les sites maraîchers. Des brigadiers ont été formés par le PromAP pour renforcer et améliorer le dispositif existant sur le terrain.
Cette étude a permis de disposer de données quantitatives et qualitatives tout en appréciant les effets et changements déjà produits. Ce qui a amené le PromAP à envisager la formation et l’équipement des brigadiers phytosanitaires dans sa zone d’intervention. -
Capitalisation des expériences dans le processus de développement des systèmes d’innovation de la petite irrigation dans les régions de Tillabéri, Tahoua et Agadez
La présente étude traite de la capitalisation des expériences en matière de réseautage des acteurs et de la promotion des innovations en PI . IL ABORDE : la mise en réseau des acteurs dans le cadre de la promotion des innovations ;
La facilitation de la mise en place des structures régionales d’échange pour la promotion des innovations et des plateformes locales.
le rapport analyse le Synopsis des cinq (05) principales contraintes selon les catégories d’acteurs et les régions. -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Galmi -Niger
Cette étude a été initié par le projet USAID/ WAIPRO aborde quatre volets d'activités interconnectées :
- 1: Diagnostic comprenant étude générale, analyse participative des contraintes et des opportunités des systèmes irrigués existants.
- 2: élaboration des plans d'intervention, et les mettre en oeuvre sur des systèmes irrigués pilotes;
- 3: Renforcement des capacités, synthèse, communication et diffusion des leçons apprises;
- 4: Promotion de l'eau agricole et de l'irrigation à petite échelle . -
Étude pour une analyse de la couverture végétale sur les sites d’intervention du programme nigero-allemand de promotion de l’agriculture productive (PromAP) : Cartographie de l’occupation des sols entre 2015 et 2018 sur les sites d’intervention du PromAP.
Le présent document fait ressortir l’évolution de l’occupation des sols, une imagerie par drone et une cartographique réalisée sur 9 sites des régions de Tillabéry, de Tahoua et Agadez . L'étude
contribue à une meilleure connaissance de l’impact écologique sur la couverture végétale sur les sites d’interventions PromAP ; de mieux comprendre la dynamique d’occupation des sols observée de 2015 à 2018 grâce aux images prises par drone à ces différentes périodes. -
Etude diagnostique pour la mise en réseau des acteurs autour des chaînes de valeur prioritaires au niveau des sites de production du PromAP dans les régions d’Agadez et Tahoua
pour faciliter l’initiation des plateformes d’innovation de la petite irrigation dans les sites de production autour des chaines de valeur prioritaires identifiées dans les régions de Tahoua et Agadez et d’analyser les initiatives des plateformes déjà existantes dans la région de Tillabéri afin d’en tirer les leçons pour la mise en place et l’accompagnement des nouvelles plateformes.
Ce rapport présente les constats et les recommandations issus du processus de mise en oeuvre de cette prestation qui a concerné les régions de Tillabéri, Tahoua et Agadez -
Économie de la dégradation des terres à Tahoua, Niger : Analyse coût-bénéfice des activités de récupération des terres (banquettes, demi-lunes et cordons pierreux) des quatre sites de la commune rurale de Badaguichiri
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Analyse des impacts des investissements dans la gestion des ressources naturelles sur le secteur élevage dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry au Niger
L’étude est conduite au Niger par une équipe pluridisciplinaire composée d’experts nigériens sous la coordination scientifique du Centre Régional d’Enseignement Spécialisé en Agriculture (CRESA) de l’Université Abdou Moumouni de Niamey. Le fondement méthodologique le plus important de l’étude est de comparer la situation avec et sans intervention. A partir d’une comparaison de la situation avec et sans investissement, il faut, si possible, connaître la situation avant (baseline data) et après intervention. Il est important de calculer les impacts sur les sites où les investissements ont eu lieu, mais il faut aussi capturer les impacts hors site (on-site and off-site). Afin de pouvoir calculer les impacts économiques des investissements par des projets de gestion des ressources naturelles (GRN), il est important d’avoir une idée des effets cumulatifs.
Plusieurs thématiques de recherche ont été identifiées dont entre autres celle relative aux ressources pastorales.
La finalité de cette étude est de contribuer à la quantification des impacts des investissements dans la GRN dans les sites retenus afin d’aboutir à une évaluation économique. -
Récupération de terres : Le site de Guidda pour tirer des enseignements. Note de travail
Le site présenté est sur un plateau situé dans la Commune de Hamdalaye à 45 km de Niamey sur la route de Filingué, après Hamdalaye. La plaque routière porte le nom de Guidda. Il comprend des réalisations du Programme d’Actions Communautaires (PAC) -
Diversité des pesticides et leur utilisation dans la lutte contre les ennemis des cultures maraichères dans la zone périurbaine de Niamey, Niger
Les cultures horticoles, constituent un des maillons importants de l’agriculture nigérienne. Leur importance s’est surtout accrue à partir de 1984, l’année du lancement de la campagne dite de « cultures de contre saison ». Mais malgré cela, peu d’intérêt a été accordé à la lutte contre leurs bio-agresseurs. Pourtant, ces cultures subissent une forte pression parasitaire entrainant parfois l’échec de certaines cultures. Le cortège parasitaire est composé de ravageurs (insectes, acariens, nématodes, rongeurs, etc.), d’agents de maladies (champignons, bactéries, virus) et de mauvaises herbes. Pour minimiser l’impact de ces ennemis des cultures sur la production horticole, les producteurs nigériens font le plus souvent recours aux pesticides de synthèse dont certains sont d’origine douteuse. Pour appréhender la problématique d’utilisation de ces pesticides, une enquête a été menée dans la zone périurbaine de Niamey auprès des producteurs et des vendeurs de pesticides sur les modes d’utilisation de ces produits, la nature des pesticides utilisés, et leur conservation, etc. -
Etude de l'armature commerciale de la ville de Niamey : Rapport d’orientation intermédiaire
Ce rapport fait suite à la première mission réalisée à Niamey du au 2018. Il prend également en compte les résultats de l’enquête menée pendant la période de janvier 2019 auprès des commerçants. L’ensemble de ces démarches permettent donc de proposer i) une actualisation de l’étude diagnostic (commercial, urbain, institutionnel) et i) une définition préalable de la stratégie. -
Rapport diagnostic des capacités organisationnelles des organisations paysannes transformation de la zone d’intervention du programme PromAP Tahoua
Dans le cadre de la mise en œuvre des activités de la composante 2 du volet renforcement des capacités, le programme PromAP a commandité une étude diagnostic dans la zone d’intervention de la région de Tahoua. Cette activité qui a été conduite par une consultante externe a concerné dix-neuf (19) organisations paysannes ayant bénéficié de la formation sur la transformation des produits agroalimentaires. La présente étude qui s’inscrit dans le cadre de l’évaluation des capacités institutionnelles des organisations paysannes a durée vingt-huit (28) pour la période du 31 octobre au 27 novembre 2017. -
Etude de faisabilité Projet d’aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri
L’AFD a fait part aux Autorités nigériennes de son intérêt à participer à la préservation des ressources naturelles et à l’inversion de la tendance à la désertification, dans le cadre de la SDR, à travers une opération destinée à améliorer les conditions de vie de la population rurale grâce à l’augmentation de leurs revenus. L’AFD s’est rapprochée de la GTZ-Niger qui avait une expérience reconnue dans l’aménagement des bassins versants dans la région de Tahoua et a décidé de collaborer avec cet organisme pour mettre en œuvre un nouveau projet. C’est la région de Tahoua qui a été choisie. Une mission d’identification de l’AFD a séjourné au Niger du 8 au 17 avril 2008 et retenu, avec les autorités nigériennes, le bassin versant de Badaguichiri, dans le département d’Illela. Sur la base de cette première identification, il s’agissait, comme l’indiquent les termes de références figurant en annexe, d’effectuer l’étude de faisabilité de ce projet d’aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri. Cette mission devait remettre un document d’étude proposant le projet aux instances de financement de l’AFD et de la GTZ-Niger. -
Etude des chaines de valeur de la filière lait dans les régions de Tahoua et Dosso
Selon les statistiques de la CEDEAO, la production régionale de lait est estimée à quelques 5 millions de tonnes en 2013. Cette production est assurée à plus de 70% par l’élevage pastoral qui est le système dominant ; le reste est assuré par les systèmes agropastoraux et les systèmes intensifs. Les plus grands producteurs de lait dans la région sont par ordre d’importance le Nigeria (environ 32%) le Mali, le Niger, le Burkina Faso et le Sénégal. La valeur des importations de lait de la région sont passées de 371 millions de dollars 2001-2003 à 968 millions en 2012-2014. Une attention particulière est accordée aux produits animaux (lait et viande) qui sont considérés comme des produits stratégiques pour la sécurité et la souveraineté alimentaire. Pour ces deux catégories de produits, la politique agricole prescrit des actions fortes, des initiatives décisives pour réduire la dépendance de la région vis-à-vis des importations extrarégionales. Pour le cas du Niger, la production nationale reste insuffisante face à la demande d’une population en forte croissance qui s’urbanise rapidement et le recours aux importations massives de la poudre du lait contribuant à accentuer le déficit de la balance commerciale constitue le véritable enjeu du développement de l’Elevage au Niger. -
Conseiller en maraîchage / Cas pratiques (4) Attaques sur tomates
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers maraîchers (OP, services techniques, GSC, …). Il s’agit d’une visite auprès des producteurs de tomate de Bourboukabé à 15 km au nord de Niamey. Dans ce village, les producteurs pratiquent la culture de la tomate depuis plus de 25 ans, avec différents cycles de production adaptés aux différents terrains disponibles. Le premier cycle de production correspond à des semis en pépinière au début du mois d’août et une récolte qui commence en octobre alors que les prix sur le marché de Niamey sont encore élevés (15.000 à 18.000 F le panier de 32 kg). C’est une production économiquement importante pour ces producteurs. La production se fait sur des sols sableux de chaque côté de la vallée qui est encore inondée. -
L’approvisionnement agricole de la ville de Niamey : potentialités et contraintes d’une agriculture de proximité
Cet article tente de répondre à la question suivante : « Est ce que l’agriculture urbaine et périurbaine de Niamey peut satisfaire et approvisionner une demande urbaine toujours plus croissante ? ». Cette question de recherche est accompagnée d’un objectif secondaire essayant de démontrer l’importance de la diversité des systèmes de production permettant le développement de nombreuses cultures. -
La démarche liée à l’origine du Violet de Galmi, Niger
L’oignon « Violet de Galmi » est issu d’une innovation technique en 1975 et c’est depuis lors qu’il porte véritablement ce « nom ». Cependant, il convient de préciser que la relation entre les populations locales et leur ressource ne date pas de cette période. Elle remonte à trois siècles d’histoire commune, dont les fondements se rattachent au commerce caravanier. Ce dernier serait selon DAVID Olivier (1999), le vecteur de l’introduction de l’oignon dans l’espace nigérien. Les oignons violets de la Maggia dont est issu la souche du violet de Galmi étaient restés peu connus jusqu’aux travaux de l’IRAT, dont la publication à travers le monde leur a fait l’écho d’une publicité2. C’est ainsi que les meilleurs d’entre eux à savoir : le Violet de Galmi, le Blanc de Galmi ainsi que le Blanc de Soumarana seront devenus des variétés connues. -
Valorisation des ressources pastorales, amélioration des conditions de vie des et protection de l' environnement
L’étude a pour but de présenter les bonnes pratiques en matière de conservation des eaux et des sols (CES) et de défense et restauration des sols (DRS) dans la région nord de Tahoua. Ces éléments permettront aux décideurs des pays en développement, à leurs partenaires techniques et financiers et aux bureaux d’ingénierie technique et sociale de mieux concevoir des programmes d’aménagement pastoral répondant à la demande des bénéficiaires et de mettre en place des modes de gestion adaptés. -
Les nématodes parasites du Moringa dans la zone périurbaine de Niamey (Niger)
Moringa (Moringa oleifera Lam) est une culture qui prend de plus en plus de l’importance au Niger mais très peu d’intérêt a été porté aux problèmes phytosanitaires. L’objectif de l’étude était d’identifier les nématodes parasites qui lui sont associés.
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État des lieux des cellules Genres des Ministères
En conformité avec les recommandations de la Conférence de Beijing sur les femmes qui invitent les Etats à prendre des mesures urgentes et pertinentes pour
lever toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et de créer les conditions durables pour assurer l’équité et égalité entre les femmes et les hommes, le Niger a procédé à l’élaboration d’une Politique Nationale de Genre (PNG). Ce document de référence a permis de faire le point en matière de prise en compte du genre dans tous les secteurs de la vie socio-économique et politique d’une part, mais aussi proposer des stratégies pour remédier aux insuffisances constatées. -
Étude pour l’intégration de la problématique des changements climatiques dans la stratégie d’intervention du programme LUCOP. Volume 2 : contexte et impacts des changements climatiques au Niger et dans les zones d’intervention, Octobre 2008
Le Niger, faisant partie intégrante de l’Afrique de l’Ouest et Sahel, est donc touché par le même phénomène des CC. Les impacts se pose avec la même acuité que pour l’ensemble de la zone sahélienne. -
Caractérisation des vallées de Tahoua et proposition de système irrigue dans le cadre de la petite irrigation privée
Le travail a consisté à caractériser dix huit (18) vallées de la zone d'intervention du LUCOP TAN/GIZ dans la région de Tahoua, à inventorier toutes les potentialités qu'elles offrent en matière d'irrigation et à faire des propositions dans le cadre d'une éventuelle mise en valeur. L'étude a débouché sur l'élaboration d'une fiche de caractérisation pour chaque vallée qui est une sorte de carte d'identité de celle-ci. -
Rapport d'étude d'impacts du SPIC-AIC dans la commune rurale de Galma Koudawatché (région de Tahoua) : aménagement de 25 ha de petits périmètres, et de réhabilitation de 2 seuils d’épandage à Kandam.
impacts de l'aménagement de 25 ha de petit périmètres à Galma Koudawatché Tahoua. -
Première note sur le centre de collecte de la tomate de Doguéraoua
Située à 5 km de Malbaza, sur la route de Madaoua, Doguéraoua est une commune à bonnes potentialités pour les cultures irriguées (terre et eaux) car traversée par la vallée de la Maggia sur près de 40 km. Les populations produisent des tomates, des oignons, des courges, des choux, etc. Selon les estimations des membres du Hadingwiwa (mis en place par la CRA Tahoua et le PPIRuwanmu), il est produit et commercialisé plusieurs milliers de tonnes de tomate à Doguéraoua chaque année. Il est à noter qu’un nombre important de producteurs a commencé à produire de la tomate « sous pluie », c’est-à-dire en hivernage. -
Plantation et entretien des manguiers au Niger
Cette note est une transcription d’une émission radio en Haoussa et Zarma.
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa.
- Comment se fait le choix du terrain ?
- Comment choisir ses variétés ?
- Quel est le processus de plantation ?
- Une cuvette ou une couronne ?
- Quelle quantité de fumure ?
- Comment faire les différentes tailles ?
Pour plus d’informations sur le manguier ou d’autres arbres fruitiers adressez-vous au Centre d’Appels au 92 24 24 24 (Orange) ou 89 97 97 74 (Airtel) ou 84 74 74 74 (Moov) ou 93 32 38 92 (Niger Télécoms). -
Restitution des résultats de conseil de gestion aux producteurs d’oignon Campagne d’hivernage 2019) de Fachi (commune de Tabalak)
La Chambre d’Agriculture de Tahoua s’est engagée dans le conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) au cours de la campagne irriguée 2018 – 2019. Le site de Fachi est situé dans la commune rurale de Tabalak au sud de la mare de Tabalak. En mars 2019, campagne saison sèche, il totalisait environ 275 ha de cultures irriguées. Il fait partie des sites retenus pour le suivi en CGEF. En saison des pluies, une bonne moitié du site est recouvert par les eaux de la mare.
Compte tenu de son importance dans la région, l’oignon a été choisi pour le suivi de la campagne d’hivernage 2019. Le suivi a été effectué par un animateur endogène en partenariat avec la Société coopérative (SCOOP) Zumuntchi de Fachi.
Qu’est-ce qu’on a appris ?
- 7 producteurs sur 11 (64%) ont perdu de l’argent ;
- Seulement 1 producteur sur 3 a gagné faiblement avec l’oignon ;
- Les rendements enregistrés sont très faibles compris entre 300 kg/ha et 7.200 kg/ha ;
- La fusariose a été la principale préoccupation des producteurs pendant la campagne ;
- Le problème de disponibilité de semences des variétés d’oignon d’hivernage ;
- Les rendements obtenus sont vraiment trop faibles pour gagner de l’argent sur l’oignon d’hivernage. -
Caractérisation de la race ovine Balami au Niger par analyse descriptive et multivariée des paramètres morpho-quantitatifs
L’objectif principal visé par cette étude est d’établir les caractéristiques phénotypiques quantitatives du mouton Balami au Niger. Elle a pris pour cible la zone de prédilection de la race, notamment la Région de Maradi (commune d’Azagor, Bermo, Dakoro) et celle de Tahoua (commune de Madaoua). Dix-sept paramètres morpho-biométriques quantitatifs ont été mesurés sur 311 Balamis
appartenant à 99 exploitations sur 10 sites choisis au hasard, en fonction de l’adhésion volontaire des éleveurs. -
Études préliminaires de caractérisation de l’état initial A0
La thématique abordée dans le cadre de ce travail porte sur la caractérisation biophysique, plus spécifiquement la caractérisation et l’évaluation des ressources en eau au niveau de chacune des dix (10) communes précitées. -
Promouvoir la gestion durable des terres dans les zones sujettes à la migration en Afrique de l’ouest à travers les mécanismes de financement innovant: Proposition de micro-projet pour la région de Tahoua
L'objectif général du projet est : Contribuer à la prévention de la dégradation des terres ainsi qu’à la restauration des terres pastorales dégradées par l'augmentation des investissements de GDT1 à travers l'utilisation de mécanismes de financement novateurs fondés sur l’utilisation de la maitrise d’ouvrage de la collectivité locale et la promotion des partenariats public-privés pour soutenir les chaines de valeur dans la commune urbaine de Tchintabaraden. -
Analyse des impacts socio-économiques des investissements dans la gestion des ressources naturelles : Etude de cas dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry au Niger
Le Niger avec l’appui financier de plusieurs bailleurs de fond a alors entamé une série de programmes de développement axés sur la protection et la sauvegarde de l’environnement. Après plus de 30 ans d’efforts dans certains cas, il est important d’évaluer ces interventions notamment sur les aspects de restauration de l’environnement. Cette étude vise à évaluer la rentabilité des investissements (ouvrages de GRN) dans la restauration de l’environnement est la valeur monétaire des revenus que les bénéficiaires tirent de ces ouvrages. -
Impacts des investissements dans la gestion des ressources naturelles sur les systèmes de production dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry au Niger
Depuis les années 80-90, pratiquement dans tout le pays, ont vu le jour des projets du type gestion de ressources naturelles avec parfois des spécificités selon l’agence d’exécution et les zones d’intervention. Ces projets dits de GRN ont eu chacun un objectif prioritaire, celui de l’amélioration de la productivité agricole et les revenus des populations à travers divers types actions. La présente étude analyse les impacts sur les systèmes de productions, en particulier les productions végétales. -
Rapport annuel de performance 2019
Le Ministère de l'Agriculture et de l’Élevage sont chargés, en relation avec les autres ministères concernés, de l'élaboration, de la mise en œuvre et du suivi de la politique nationale en matière de développement de l'agriculture et de l’élevage, conformément aux orientations définies par le Gouvernement. -
Cinquième session du comité de pilotage du P2RS
L'an deux mille vingt et le treize février, s'est tenue à Niamey une réunion dans la salle du Centre Prince Amir Sultan, la cinquième session du comité de pilotage du programme de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au sahel -
Élevage
L'an deux mil seize et le 9 février,s'est tenue dans la salle de réunion du ministère de l'élevage,la première session de pilotage. Cette réunion a pour objet de faire l'état de mise en œuvre du PTBA 2015 et d'approuver le PTBA 2016. -
Procès verbale de la 1er session du comité du comité de pilotage du Prodaf au titre de l'année 2020
l'an deux mil vingt et du 14 au 15 août s'est tenu à Niamey dans la salle de réunion d' AERICA HALL sous la présidence de Monsieur Diamoitou Guessibo Boukari, Secrétaire Général du Ministre de l'Agriculture et de l’Élevage , président du comité de pilotage. Cette session correspondant à la onzième réunion dudit comité -
Deuxième session du comité de pilotage
L'an deux mil dix- sept et le vingt-six janvier,s'est tenue dans la salle de réunion du ministère de l'agriculture et de l'élevage,la deuxième session du comité de pilotage du programme de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au sahel.cette réunion a pour objet de faire l'état de mise en oeuvre du PTBA 2016 et d'approuver celui du PTBA 2017 -
Troisième session ordinaire du comité national de pilotage ( CNP ) du projet d'accès aux marchés et aux infrastructures rurales dans la région de Tahoua ( PAMIRTA )
L'an deux mil neuf et le vendredi 29 novembre, s'est tenu une réunion dans la salle de réunion du Ministère de l'Agriculture et de l’Élevage la troisième session du comité national de pilotage . Cette session a été président par le secrétaire général du Ministre de l'Agriculture et de l’Élevage en présence du directeur régional de l'agence Italienne -
Troisième session du comité de pilotage
L'an deux mil dix-huit et le treize février,s'est tenue à tahoua dans la salle de réunion de la mutuelle d'épargne et de crédit daouré,la troisième session du comité de pilotage du programme de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au sahel.cette réunion a pour objet de faire l'état de mise en oeuvre du PTBA 2017 et d'approuver la programmation 2018 -
Première session du comité de pilotage du P2RS-Niger
L'an seize et le 09 février s'est tenu dans la salle de réunion du Ministère de l’Élevage, sous la Présidence de Monsieur le Secrétaire Général Adjoint du Ministère de l'Agriculture représentant le président du comité de pilotage programme de résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au sahel (P2RS-NIGER ) -
Compte rendu de la première réunion du comité national de pilotage ( CNP ) de la stratégie de la petite irrigation au Niger ( SPIN ) au titre de l'année 2019
La stratégie de la petite irrigation au Niger élaborée avec le soutien de la GIZ, vise l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations par le soutien et la promotion de la petite irrigation -
Dixième session du comité national de pilotage du projet
L'an deux mil dix-huit et le lundi trente un décembre,s'est tenue dans la salle de conférence de la cellule national du programme d'actions communautaires, la dixième session du comité national de pilotage du PAC3 -
Politique foncière rurale du niger
Au niger , comme dans la plupart des anciennes colonies françaises d'afrique de l' ouest,l'avènement du fait colonial en fin du 19e début du 20e siècle,porte sur le plan foncier un projet de rupture de fond avec les système de gestion foncière préexistants dits aussi ''traditionnels''. -
Etude d'avant projet détaille et élaboration du dossier d'appel d'offres dans les régions de maradi,tahoua et zinder volume du programme prioritaire
Suite à une procédure de pré-qualification,la direction générale du génie rural relevant du ministère de l'agriculture du niger,représentée par le projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de maradi,tahoua et zinder (PMERZA-MTZ,désigne ci-aprés par "client"), a invité , le 07/02/2012, studi international à lui soumettre une proposition technique et financière pour "Etude d'Avant-projet détaille (ADP) et élaboration du dossier d'appel d'offres (DAO) dans les régions de la maradi,tahoua et zin der -
Étude d’avant projet et detaillé ( APD ) et élaboration du dossier d'appel d'offres (DOA) dans les régions de Maradi Zinder et Tahoua
Suite à une procédure de pré-qualification, la Direction Générale du Génie Rural relevant du Ministère
de l’Agriculture du Niger, représentée par le Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de
la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERZA-MTZ, désigné ci-après
par "Client"), a invité, le 07/02/2012, STUDI International à lui soumettre une proposition technique et
financière pour une " Etude d'Avant-Projet Détaillé (APD) et élaboration du Dossier d'Appel d'Offres
(DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder ", financé par GAFSP - FAD. Pour cet appel
d'offres restreint, six Consultants ou groupements de Consultants ont été invités. -
Étude d'avant projet détaillé (APD) et élaboration du dossier d'appel d'offre dans les régions de Maradi Tahoua et Zinder
Suite à une procédure de pré-qualification, la Direction Générale du Génie Rural relevant du Ministère de l’Agriculture du Niger, représentée par le Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERZA-MTZ, désigné ci-après par "Client"), a invité, le 07/02/2012, STUDI International à lui soumettre une proposition technique et financière pour une " Etude d'Avant-Projet Détaillé (APD) et élaboration du Dossier d'Appel d'Offres (DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder ", financé par GAFSP - FAD. Pour cet appel d'offres restreint, six Consultants ou groupements de Consultants ont été invités. -
Étude d'avant projet détaillé (APD) et élaboration du dossier d'appel d'offre (DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder:Phase 2: Etudes APD /DAO
Volume 3 – APD/DAO du programme prioritaire de Zinder
Rapport APDSuite à une procédure de pré-qualification, la Direction Générale du Génie Rural relevant du Ministère de l’Agriculture du Niger, représentée par le Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERZA-MTZ, désigné ci-après par "Client"), a invité, le 07/02/2012, STUDI International à lui soumettre une proposition technique et financière pour une " Etude d'Avant-Projet Détaillé (APD) et élaboration du Dossier d'Appel d'Offres(DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder ", financé par GAFSP - FAD. Pour cet appel d'offres restreint, six Consultants ou groupements de Consultants ont été invités. -
Diagnostic des systèmes agricoles irrigués dans la région de Tahoua
Cette étude présente les résultats d'un diagnostic des sites/systèmes de culture/systèmes de production intégrant la petite irrigation dans la région de Tahoua -
Diagnostic des systèmes agricoles irrigués dans la région de Tahoua - Annexes
Ce document présente les annexes de l'étude diagnostic des sites/systèmes de culture/systèmes de production intégrant la petite irrigation dans la région de Tahoua -
Restitution du diagnostic des systèmes agricoles irrigués dans la région de Tahoua
Ce diaporama restitue les résultats d'une étude-diagnostic des sites/systèmes de culture/systèmes de production intégrant la petite irrigation dans la région de Tahoua, conduite en 2019-2020 -
Etude technique,étude d'impact environnemental/social et élaboration d'un dossier d'appel d'offres pour les travaux de construction /réhabilitation de kilomètres de pistes rurales dans les pôles de développement économique (PDE) de badaguichiri et karofane ( région de tahoua) phase 2 étude avant projet détaille (APD)
Dans le cadre de l'aménagement ( construction et réhabilitation ) de 120 km des routes rurales le programme de développement de l'agriculture familiale ( ProDAF) a confié au cabinet TECHNI- CONSUL le mandat de réaliser l'étude d'impact environnement et social (EIES) dudit projet d'aménagement des routes rurales. -
Bilan de mise en œuvre des programmes stratégiques 1, 3 et 4 du plan d'actions 2016-2020 de l’initiative 3N
L'action de l’État en matière de politique de développement économique et social est soutenue par une vision stratégique, conformément à la constitution du 25 novembre 2010 en son article 146. Le gouvernement a ainsi initié un processus de formation des documents de planification stratégiques de développement à court, à moyen et à long termes. -
Rapport annuel d’activités : Campagne de lutte phytosanitaire 2018
Pour contribuer à l’atteinte des objectifs visés par l’Initiative 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens » la Direction Générale de la Protection des Végétaux a engagé des actions permettant d’assurer la couverture phytosanitaire des cultures pluviales et irriguées en 2018. -
Étude technique, étude d'impact environnemental/social et élaboration d'un dossier d'appel d'offres pour les travaux de construction/réhabilitation de 120 kilomètres de pistes rurales dans les pôles de développement économique de badaguichiri et karofane (région de Tahoua) lot 1 Badaguichiri-Kolkoli
Dans le cadre de la mise en oeuvre de sa composante B qui vise l'amélioration de l'accès aux marchés pour les exploitations agricoles,l'unité de gestion de prodaf de tahoua a prévu au titre d son programme de travail et de budget annuel 2016. -
Etude technique,étude d'impact environnemental/social et élaboration d'un dossier d'appel d'offres pour les travaux de construction/réhabilitation de 120 kilomètres de pistes rurales ...
Dans le cadre de la mise en oeuvre de sa composante B qui vise l'amélioration de l'accès aux marchés pour les exploitations agricoles familiales,l'unité de gestion du prodaf de tahoua a prévu au titre de son programme de travail et de budget annuel 2016 -
Etude technique, étude d'impact environnement/social et élaboration d'un dossier d'appel d'offres pour les travaux de construction/réhabilitation de 120 kilomètres de pistes rurales dans les pôles de développement économique de badaguichiri et karofane.lot 3 badam-embranchement
Dans le cadre de la mise en oeuvre de sa composante B qui vise l'amélioration de l'accès aux marchés pour les exploitations agricoles familiales,l'unité de gestion du prodaf de tahoua a prévu au titre de son programme de travail et de budget annuel 2016 -
Etude technique,étude d'impact environnement/social et élaboration d’un dossier d'appel d'offres pour les travaux de construction/réhabilitation de 120 kilomètres de pistes rurales dans les pôles de développement économique de badaguichiri et karofane.lot 4 bouza-karofane-jankadami
Dans le cadres de la mise en oeuvre de sa composante B qui vise l'amélioration de l'accès aux marchés pour les exploitations agricoles familiales,l'unité de gestion du prodaf a prévu au titre de son programme de travail et de budget annuel 2016 -
Etude technique; étude environnemental/social et élaboration d'un dossier d'appel d'offres pour les travaux de construction/réhabilitation de 120 kilomètres de pistes rurales dans les pôles de développement économique de badaguichiri et karofane.lot 5 americawa-babban kalami
Dans le cadre de la mise en oeuvre de sa composante B qui vise l'amélioration de l'accès aux marchés pour les exploitations agricoles familiales,l'unité de gestion du prodaf de tahoua a prévu au titre de son programme de travail et de budget annuel 2016 -
Etude technique, étude d'impact environnemental/social et élaboration d' un dossier d'appel d'offres pour les travaux de construction/réhabilitation de 120 kilomètres de pistes rurales dans les pôles de développement économique de badaguichiri et karofane.lot 6 illagawane-rn16 et arewa-sabonguida
Dans le cadre de la mise en oeuvre de sa composante B qui vise l'amélioration de l'accès aux marchés pour les exploitations agricoles familiales,l'unité de gestion du prodaf de tahoua a prévu au titre de son programme de travail et de budget annuel 2016 -
Renforcer la résilience face aux changements climatiques : la voie à suivre pour répondre aux effets des événements climatiques extrêmes sur l'agriculture
Au cours des dernières décennies, le nombre de catastrophes à l'échelle mondiale a eu tendance à augmenter, entrainant la croissance des impacts économiques associés. -
Module de formation irrigation par aspersion
Le Niger a inscrit l’irrigation en générale et la petite irrigation en particulier parmi les stratégies résilientes les plus efficaces pour lutter contre les effets du changement climatique et pour améliorer la productivité agricole et les revenus des populations rurales. A ce titre, le Gouvernement du Niger a élaboré, avec l’appui de la Coopération Technique Internationale Allemande (GIZ), la Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN) qui a été adoptée par le Conseil des Ministres le 10 avril 2014. -
Guide du formateur : Entreprenariat Agricole
L’entrepreneuriat agricole est une thématique importante des services d’accompagnement des producteurs de cultures des périmètres encadrés par le PromAP. La majeure partie du contenu de l’appui conseil agricole est actuellement dominée par les techniques de production agricole. -
Rapport définitif
Étude sur le financement de la commercialisation du riz local au Niger
Le Gouvernement de la république du Niger à travers ses politiques publiques de soutien au secteur rural, fait de la promotion des filières agricoles et en particulier celle du riz, un problème de sécurité alimentaire, de lutte contre la pauvreté, de création de l’emploi et de la richesse par le développement d’un entreprenariat agricole. -
« Lait concentré sucré » au petit déjeuner - Essai de lecture des étiquettes
Moment convivial à proximité de son lieu de travail, le petit déjeuner urbain comprend souvent un « verre de lait » accompagné d’un quart de baguette de pain tartiné avec de la margarine (souvent appelé beurre mais la margarine est fabriquée avec des matières grasses végétales). Le lait peut être en poudre ou provenir d’une boite de lait concentré sucré. Mais voyons de plus près la composition de ces « laits ». Notre tablier (vendeur) préféré propose du lait concentré de trois marques différentes. -
Atelier des producteurs d’oignon de la région de Tahoua - Thème principal : bilan des magasins RESEDA
En plus du thème principal (magasins RESEDA), quatre autres thèmes ont fait l’objet de présentations et d’échanges : (1) la situation des semences d’oignon au Niger ; (2) les tests d’oignon en hivernage, présentation complétée par une visite sur le terrain ; (3) un partage d’informations sur la gestion du comptoir de Tsernaoua et (4) une présentation sur les chambres d’agriculture et leurs fonctions. -
Conseil en maraîchage - Des boutures de manioc virosées distribuées à Guidan Idder
Ce samedi 17 décembre, nous sommes sur une parcelle irriguée de 0,55 ha qui est mise en valeur par Madame Hadiza Nomao, une productrice de Guidan Idder. Elle cultive de l’oignon chaque année mais cette année, en plus, elle a repiqué des tomates et entre les planches d’oignon des boutures de manioc provenant de « l’opération bouture de manioc 2016 ». Comme c’est la première fois qu’elle plante du manioc, elle n’est pas certaine mais trouve que les feuilles semblent « malades». -
Culture des oignons en hivernage / Expérience des producteurs pour la réalisation des pépinières (Région de Tahoua / Niger)
Dans la région de Tahoua, de nombreux producteurs font une culture d’oignon d’hivernage.
En fait, le calendrier de ces cultures est très étalé avec des pépinières qui vont de juin à août et des repiquages de juillet à septembre. Les récoltes se font toutes en saison sèche, de fin septembre pour les cultures les plus précoces jusqu’à fin décembre ou début janvier. Ce sont donc des oignons qui arrivent sur le marché au moment où les quantités disponibles sont réduites. -
Conseiller en maraîchage - Fusariose sur laitue / Visites des sites de Kirkissoye, Saga et Nogaré
Les maraichers ont appelé le Centre d’Appels à partir de plusieurs sites de production : Kirkissoye, Saga et Nogaré. Ils n’ont pas observé de ravageur mais un dessèchement des plants, le type de symptôme qu’il est impossible à interpréter pour un conseiller à distance même avec des photos. Des séries de visites ont été entreprises sur ces sites pour mieux identifier le problème. Etant la meilleure plante pour les maraichers urbains, la laitue se vend seulement 21 jours après le repiquage et procure donc des revenus mensuels. En plus, elle se transporte difficilement ce qui empêche la concurrence extérieure et limite celle des autres régions. Mais voilà, depuis 3 ans est apparue sur plusieurs sites de production une « maladie » qui a pris beaucoup d’ampleur cette année -
Conseiller en maraîchage / Visite du site de Lougoudjam
Lougoudjam est un village qui se situe dans l’arrondissement communal Niamey 5 sur un grand kori qui se jette dans le fleuve Niger juste en amont de Niamey (rive droite). Ce village regroupe de nombreux maraichers avec comme source d’eau d’irrigation des puits traditionnels confectionnés par eux-mêmes.
Les producteurs ne sont pas membres d’une organisation de producteurs. Les sites maraichers sont connus pour leur production d’aubergine. La note traite des sujets suivants : des apports de fertilisants sur aubergine sans enfouissement, la calebasse – courge de moins en moins cultivée, les orientations à donner et actions à mettre en place.
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Conseiller en maraîchage - Cas pratiques - Visite site de Tchingal Bangou
Cette note est rédigée suite à la visite d’un site maraîcher dont certains producteurs ont bénéficié d’une formation sur la protection phytosanitaire organisée par la Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey et réalisée par le RECA dans le cadre du contrat de performance entre l’État et les Chambres d’Agriculture.
La visite a permis un suivi de la formation reçu, de voir avec les producteurs les problèmes qu’ils rencontrent sur les cultures maraichères et de donner des conseils ou propositions de solutions. Au total, les entretiens ont concerné 16 producteurs. -
Conseiller en maraîchage - Cas pratiques - Visite site de Saga Gorou
Cette note est rédigée suite à la visite d’un site maraîcher dont certains producteurs ont bénéficié d’une formation sur la protection phytosanitaire organisée par la Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey et réalisée par le RECA dans le cadre du contrat de performance entre l’Etat et les Chambres d’Agriculture. La visite a permis un suivi de producteurs ayant suivi la formation, de voir avec les producteurs les problèmes qu’ils rencontrent sur les cultures maraichères et de donner des conseils ou propositions de solutions (chou, poivron, tomate, pastèque, attaques phytosanitaires). -
Promotion de l'utilisation des intrants agricoles par les organisations de producteurs
disponibilité en semence amelioraées : Niger-campagne 02Pour la deuxième année consécutive,le projet intrants/FAO et le SICCLA/DA ont mené une enquête concernant la production et les multiplicateurs de semences améliorées au niger -
Conseiller en maraîchage - Visite du site de Gorou Kaina
Chaque semaine, la Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey réalise des visites sur les sites maraichers de la région de Niamey. Ces visites peuvent se faire avec la participation de personnes du RECA, de l’INRAN ou de la FCMN Niya. Elles sont l’occasion d’échanges et de conseils avec les producteurs et productrices. Certaines questions ou problèmes soulevés sont ensuite traités par la CRA et le RECA pour produire différents outils (fiches techniques, éléments vocaux WhatsApp ou radio, ou post Facebook) afin d’informer et conseiller un plus grand nombre de producteurs :
- Les indispensables « gestes barrières » (contre maladie et ravageurs) ;
- Attaque de fusariose sur laitue, variété Paloma ;
- Les producteurs doivent plus faire attention pour identifier les variétés qu’ils utilisent ;
- Une nouvelle plante envahissante ;
- Un équipement utile qui n’a pas été … utilisé. -
Conseiller en maraîchage - Cas pratiques - Visite site de Neini Goungou
Cette note est rédigée suite à la visite d’un site maraîcher dont certains producteurs ont bénéficié d’une formation sur la protection phytosanitaire organisée par la Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey et la Fédération des Coopératives Maraichères du Niger dans le cadre du contrat de performance entre l’Etat et les Chambres d’Agriculture. La visite a permis un suivi de la formation reçue, de voir avec les producteurs les problèmes qu’ils rencontrent sur les cultures maraichères et de donner des conseils ou propositions de solutions. Au total, les entretiens ont concerné 15 producteurs. -
Diagnostic des pépiniéristes maraîchers dans la Communauté Urbaine de Niamey
Depuis plusieurs années, le suivi des producteurs maraîchers de Niamey, mais aussi des communes limitrophes de la région de Tillabéry indique que des producteurs achètent de plus en plus des plants maraîchers des différentes cultures « prêts à être repiqués » plutôt que de les produire eux-mêmes en pépinières. Cela semble une évolution « normale », rencontrée dans d’autres pays, qui correspond à une spécialisation de certains producteurs dans la production des plants. Cette pratique doit permettre aux producteurs d’acheter des plants de qualité, élevés dans des conditions optimales.
La Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey en partenariat avec la Fédération des coopératives maraichères du Niger (FCMN Niya), a lancé une première enquête pour mieux cerner cette pratique qui se développe rapidement. -
Conseiller en maraîchage - Visite du site de Yaowaré
Le site maraicher à Yaowaré est situé dans le 5ème arrondissement de la ville de Niamey. En saison sèche, les producteurs font du chou et du moringa, plus un peu d’aubergine et d’oignon. En saison sèche, dans leur grande majorité, les producteurs font du chou et du moringa, plus un peu d’aubergine et d’oignon. On trouve quelques parcelles de chou en culture pure (photo ci-contre), mais le chou est surtout cultivé en association avec le moringa. Les producteurs cultivent une seule variété, le chou Oxylus. -
Aménagement des espaces pastoraux, pour l’élevage
L’accaparement et dégradation des espaces pastoraux ne se posait pas il y a trente (30) années. Avec le croît démographique conjugué aux effets des changements climatiques et la pression anthropozoïque (cheptel estimé à 227 966 UBT, DDEL, 2018), on assiste à une dégradation continue des ressources naturelles au Niger et dans la zone de Malbaza, en particulier. Un phénomène croissant est l’accaparement des terres pastorales au profit de l’agriculture. Il en résulte un déficit fourrager de 267.559 TMS (DDEL, 2018), une récurrence des conflits sociaux. Leur gestion est devenue une préoccupation pour l’ensemble des acteurs.
La stratégie pour faire face à cette situation reste et demeure, le respect du plan d’aménagement, des espaces pastoraux. -
Contribution des cultures maraichères dans le renforcement de la résilience sociale : Cas de commune de Malbaza dans la Région de Tahoua
Le maraichage est une activité très pratiquée dans la commune de Malbaza. Dans cette étude l’effet de maraichage dans le renforcement de la résilience sociale a été étudié. Au total 40 producteurs ont été enquêtés. L’analyse des données collectées a permis de faire l’état de lieu de la contribution du maraichage à la sécurité alimentaire. Ainsi cette activité présente des incidences socioéconomiques non négligeables. Le revenu annuel moyen généré par cette activité s’élève à 434 328,75 F.CFA, ce qui montre que le maraichage est non négligeable dans la commune.
L’oignon, tomate et chou sont les spéculations les plus faites dans la commune. Ainsi les maraichers rencontrent des problèmes dans la pratique de cette activité, ces problèmes sont liés à la source d’eau, d’écoulement des produits maraichers, insuffisance de l’encadrement, l’accès aux crédits agricoles et les attaques des ravageurs. Par ailleurs pour bonne marche de cette activité la création des marchés agricoles, encadrement technique, l’approfondissement des puits et l’accès aux crédits agricoles afin d’accroitre leurs productions sont les recommandations proposées par les producteurs. -
Intégration de l’arboriculture dans le maraîchage
L’arboriculture est une nouvelle pratique sur la majorité des sites maraichers de la commune de Malbaza. Le projet DryDev a introduit cette activité depuis 2016. Plusieurs espèces d’arbres fruitiers sont introduites au niveau des sites de Combi et Guiddan Idder. Le bananier, Papayer,
Goyavier, des arbres qui produisent dès la 1ère année, ne sont pas en compétition avec les légumes
et qui créent un microclimat utile dans l’environnement aride sahélien. Cette initiative de diversification et de culture en étage est une réussite au niveau du site Goumbi. -
Premier essai de présentation des différents produits locaux transformés à base de céréales
Dans cette note, les produits pris en compte sont ceux développés par les groupements féminins et les petites entreprises. Les produits sont très variés et cette note devrait permettre de mieux de retrouver dans cette diversité des composants et des modes de préparation. Les céréales sont les aliments les plus transformées à Niamey : mil, riz, maïs, sorgho, fonio et blé
Les céréales sont les aliments les plus transformées à Niamey : mil, riz, maïs, sorgho, fonio et blé. Ces céréales sont transformées en toute sorte de produits finis, prêts à la consommation et faciles à préparer : semoules, couscous, farines, produits roulés (grumeaux, dégué), etc. Ces produits sont disponibles dans les alimentations, supermarchés, boutiques de quartier, etc.
- Qu’est-ce qu’un produit local transformé ?
- Les farines, semoules et brisures
- Couscous et dégué
- Ce que font les transformatrices et leurs appellations en français
- Les appellations locales
Cette note a été rédigée dans le cadre d’un partenariat entre le RECA et l’Agence luxembourgeoise pour la Coopération au Développement (LuxDev). -
Dynamiques d’occupation et de valorisation des espaces pastoraux dans le département de Madaoua (région de Tahoua/Niger)
Les espaces pastoraux subissent des empiétements partout dans le monde. Au Niger, ils sont menacés dans la partie nord par l’avancée du désert et les installations minières, au sud par la mise en culture et les habitations. Le département de Madaoua est localisé en zone agricole avec un système de production à dominante agropastorale. Le présent travail a été réalisé selon une démarche méthodologique qui combine à la fois la capitalisation des données existantes et les enquêtes de terrain. Les résultats montrent que les acteurs développent des stratégies d’adaptation souvent divergentes dans un environnement de rareté des ressources de terres exploitables. Les organes de régulation du foncier quoique peu dynamiques travaillent dans un contexte de dénuement total. Ainsi, la pratique de mise en valeur pastorale devient un problème crucial. -
Expérience de conservation des eaux au Niger projet Keita
La zone qui a fait l’objet de cette relation se trouve dans l’Ader Doutchi Maggia, un plateau érodé situé à 15° de latitude nord et 6° de longitude est, dans la République du Niger. La hauteur de la pluviométrie moyenne annuelle varie entre 300 et 400 mm. Le “Projet de Développement Rural de l’Ader Doutchi Maggia” (PDR-ADM) travaille dans cette zone depuis 1984. Le secteur où le projet a concentré davantage ses efforts est la lutte contre la désertification et l’érosion ; il s’agit de récupération des terres pour le développement agricole et pastoral et de la protection des bassins versants.
L’expérience acquise au sein du PDR-ADM dans le secteur de la maîtrise des eaux en zone aride est très importante. En 16 ans de nombreux ouvrages ont été réalisés. Dans cette période les typologies des ouvrages ont même pu être mieux adaptées aux exigences et à la disponibilité des ressources locales. Le présent travail veut donner un aperçu général de cette expérience dans le domaine de la conservation des eaux et des sols avec une particulière attention aux ouvrages hydrauliques telles que les seuils d’épandage et les barrages d’écrêtage. -
Schéma d’aménagement de la mare de Tabalak - Région de Tahoua – Rapport final
L’étude du schéma d’aménagement des terres, dans le bassin versant de la mare de Tabalak, a été demandée par l’URGP ProDAF -Tahoua au profit du PDE de la commune de Tabalak, dans le but d’asseoir les bases d’un développement économique durable dont les différents axes sont en harmonie avec les ressources naturelles et humaines de cette localité.
Le diagnostic mené à travers cette étude révèle que le bassin versant de la mare couvre une superficie de 2238 km2 s’étalant essentiellement sur trois (3) communes, notamment, la commune de Tabalak, de Keita et de Kalfou. -
Rapport sur le suivi de la dynamique des ressources naturelles au niveau de l’observatoire de Tahoua Keita dans le cadre du Projet aménagement du bassin versant de Badaguichiri
La zone d’étude est localisée dans le bassin de Badaguichiri des départements de Tahoua, Keita, Bouza et Illela de la région de Tahoua.
L’objectif de cette étude est de faire un bilan du changement de l’occupation des terres (OT) des communes du bassin versant de Badaguichiri aux deux dates de référence suivantes (1984 et 2011) dans le cadre du projet d’aménagement du bassin versant de Badaguichiri : Il faut préciser d’abord que la NOT est une classification du territoire en unités homogènes sur la base d’une nomenclature qui permet de décrire les unités paysagères. Dans ce cas, l’occupation des terres des communes est structurée en trois couches d’information en formats vectoriels.
L’objectif principal de ce bilan est de satisfaire en informations sur les ressources naturelles d’une part et de contribuer à garantir, de manière durable, la disponibilité des informations sur ces ressources. Dans ce bilan, les différentes tendances (évolutives, régressives ou stationnaires) ont été dégagées ce qui a permis de comprendre le phénomène des impacts environnementaux naturels et anthropiques. -
Rapport de mission de l’état de référence du Bassin Versant de Badaguichiri - Flore et végétation
Cette étude vise à accélérer la finalisation du document de la situation de référence de la zone d’intervention du PGBV/B à travers la collecte et l’analyse des données plus précisément, il s’agit de : collecter les données relatives au taux de recouvrement des espèces ligneuses, la biomasse, la diversité biologique (l’abondance et fréquence des herbacées) et, analyser et consolider les données collectées eu vue d’établir une situation de référence.
La zone d’étude correspond à au bassin versant de Badaguichiri apparaissant de fait comme une extension de l’observatoire de Tahoua-Keita-Tillabéri Nord. -
Rapport de campagne flore et végétation 2013
L’objectif principal de ce travail se résume à l’évaluation de l’impact des travaux de récupération des terres dégradées dans l’observatoire de Tahoua-Keita et Nord Tillabéry sur la dynamique des communautés végétales, de préciser, par la combinaison d'études théoriques les mécanismes écologiques qui sous-tendent l'installation et la réponse fonctionnelle des espèces végétales en milieu hétérogène dans l’observatoire. Enfin de mettre à la disposition des décideurs, des informations scientifiques de base pour une gestion durable des ressources naturelles prenant en compte les intérêts socio-économiques de la population locale. -
Rapport d’étude pédologique dans le bassin versant de Badaguichiri
Le bassin versant de Badaguichiri, de forme allongée Est-Ouest est située au sud du département de Tahoua entre la grande vallée de Keita au Nord et celle de la Maggia au Sud. Cinq unités géomorphologiques le composent ; il s’agit des plateaux (54%), des talus (21%), des glacis (17%), des jupes sableuses (2%) et des bas-fonds (6%). L’objectif principal de l’étude est de caractériser les principaux types de sol observés au niveau du bassin versant de Badaguichiri. Les objectifs spécifiques au terme de ce travail seront de produire des informations sur : la morphologie du terrain, les propriétés physico-chimiques des sols, la typologie des sols, l’aptitude agro-écologique des sols. -
Rapport de mission « état de surface » sur l’observatoire Tahoua-Keita-nord Tillabéry
Cette mission, appelée mission « Etat de surface » avait donc pour objectif de faire la typologie locale des surfaces élémentaires (états de surface) rencontrées sur l’ensemble de l’observatoire de Tahoua-Keita-Tillabéri-Nord. Elle s’est exécutée en deux activités principales. La première est l’identification et la description des différents états de surface actuels au niveau des différents sites de l’observatoire, ainsi que la prise de leurs coordonnées géographiques pour un éventuel géoréférencement. La deuxième est relative à l’administration d’un questionnaire dans l’optique de relever la perception des populations des changements intervenus. -
Cartographie des terres dégradées dans le bassin versant de Badaguichiri – Rapport d’étude
Le projet Badaguichiri, en partenariat avec le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale, a réalisé une cartographie qui présente la situation des terres dégradées dans le bassin versant de Badaguichiri à partir des données satellitaires. Les résultats préliminaires montrent que la dégradation des terres est réelle dans le bassin versant affectant les zones agricoles et forestières. Les résultats obtenus montrent bien que la dégradation et la couverture du sol montre que les facteurs anthropiques ont un rôle primordial dans la détermination du processus de dégradation. -
Dispositif de suivi du niveau de nappe phréatique dans les vallées équipées de seuil d’épandage du bassin versant de Badaguichiri
La non durabilité de l'usage des eaux souterraines pour l'irrigation est un problème important non seulement pour les pays qui font un usage intensif des eaux souterraines, mais aussi pour le monde dans son ensemble. La disponibilité et la mobilisation des eaux souterraines constituent un facteur constituent un préalable pour la pratique et la promotion des cultures irriguée. Dans les vallées du bassin versant la pratique des cultures maraichères est possible du fait de l’existence de nappe alluviale dont la profondeur du niveau statique n’excède pas les 15m. La recharge se fait par infiltration des eaux de pluies et de ruissèlement. Elle dépend fortement du temps de résidence sur les surfaces des zones de recharge. Pour accroitre ce temps dans les vallées, le projet Badaguichiri construira des seuils d’épandage au niveau de plusieurs vallées.
Le CNSEE responsable du volet suivi écologique et environnement au niveau dudit projet envisage de suivre l’effet des seuils qui seront construit sur la recharge de la nappe phréatique. Cette information constituera un outil d’aide à la décision pour la promotion des cultures irriguées en général. -
Analyse des impacts des activités socio- économiques et de Gestion Durable des Terres dans le bassin versant de Badaguichiri
Le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) a effectué une mission de collecte de données socio-économiques dans les cinq communes de la région de Tahoua à savoir : Tamaské, Allakeye, Badaguichiri, Garhanga et Illéla.
Cette mission s’inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre de la convention passée entre le Projet d’Aménagement et de Gestion du Bassin Versant de Badaguichiri (PAGVB/B) et le CNSEE. La présente étude porte sur l’évaluation des impacts socio-économiques des actions de Gestion
Durable des Terres initiées par le PAGVB/B. Elle vise à récolter des données nécessaires à la mise à jour des indicateurs socio-économiques. -
Etat de référence socio-économique du territoire du bassin versant de Badaguichiri
Dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet d’aménagement et de Gestion du Bassin Versant de
Badaguichiri (PGBV/B), le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale
(CNSEE) est chargé de la composante surveillance environnementale du plan d’action pour une
période de cinq (5) ans au niveau du dit projet. La zone d’intervention du PGBV/B couvre la
commune urbaine d’Illéla, la ville d’Illéla, l’ensemble de la commune de Badaguichiri, le sud des
communes de Tamaské et de Garhanga (département de Keita), le Nord-Ouest de la commune
d’Allakaye (département de Bouza), la commune rurale de Tajaé et la commune rurale de
Bagaroua.
.
Parmi les activités de cette composante figure la réalisation d’un état de référence de
l’Observatoire de Tahoua-Keita et Tillabéry, en particulier du territoire du bassin versant de
Badaguichiri rattaché à cet observatoire. Le présent document s’inscrit dans cette perspective.
Conformément aux TDR, il vise à faire une monographie du territoire du bassin versant de
Badaguichiri afin de faciliter l’organisation de la collecte et du traitement des données nécessaires
au calcul des indicateurs. -
Etude complémentaire sur la diversité de la faune dans le bassin versant de Badaguichiri et analyse des expériences de gestion
Cette étude tente de tracer à travers la documentation existante, la présence, la dynamique et la diversité de la faune dans le bassin versant de la vallée de Badaguichiri, principalement dans les Départements de Illéla, Bagaroua, Keita et Bouza concernés par le projet. Sur la base de documentations de politique nationale ou de mise en oeuvre de différentes interventions de gestion ayant eu cours durant les trente dernières années, elle met l’accent plus particulièrement sur : une analyse de la présence, de l’état et de la diversité de la faune terrestre et aquatique dans le bassin versant de Badaguichiri étendu à toute la région de Tahoua, une analyse des expériences de gestion locale appliquées en y relevant les forces et les faiblesses, l’identification des besoins d’amélioration de la gestion appliquée, une proposition de gestion des ressources fauniques propre au bassin versant de
Badaguichiri. -
Caractérisation des unités de végétations dans le bassin versant de Badaguichiri – Rapport d’étude
La présente étude est conduite en partenariat avec le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) dans la région de Tahoua plus précisément dans le Bassin Versant de Badaguichiri. Le but de cette étude est de procéder à la caractérisation des unités de végétation rencontrées dans le bassin. Les familles les mieux caractérisée sont constituées des épineux et des combrétacées. -
Rapport d’activités de suivi des sites restaures de l’observatoire et des sites du projet Badaguichiri
Aux termes de ces travaux, il se dégage que les sites restaurés de Projet de Badaguiri et de l’observatoire ont produit des données intéressantes cette année aussi bien en termes de diversité floristique que d’un point de vue de la production de biomasse. En effet, Dans l’ensemble des relevés effectués un total de 156 espèces été recensé dont 122 espèces sur les sites du projet Badaguichiri et 118 espèces sur l’observatoire. Les familles les plus représentées sont les Poaceae et les Fabaceae pour l’ensemble des sites. Les espèces dominantes sont Pennisetum pedicelatum, Schoenefeldia gracilis et Cymbopogon giganteus sur l’ensemble de l’observatoire et Pennisetum pedicelatum, Panicum laetumet Schoenefeldia gracilis sur les sites du Badaguichiri. La biomasse moyenne produite sur l’observatoire est de 1,28tMS/ha et sur les sites du projet Badaguichiri la biomasse moyenne produite est de 1,80 tMS/ha dont une moyenne de 3,18tMS/ha sur les nouveaux sites de Badaguichiri. -
Rapport final de la formation des jeunes agriculteurs et agricultrices pour la campagne sèche froide 2020-2021
La Chambre Régionale d’Agriculture de Tahoua anime la formation professionnelle, installation des jeunes agriculteurs/trices. La formation des jeunes est une activité que mène la CRA avec l’appui du Projet Pôle Ruraux. Pour la campagne de saison sèche 2020-2021, ces formations ont concerné 15 communes, 33 sites, 717 jeunes en formation, 7 opérateurs de formation (OP, GIE, ONG). -
Dynamique de l’occupation des terres et structure de la végétation dans la commune rurale de Garhanga (Tahoua)
Le présent travail a pour objectif principal de fournir les informations qualitatives et quantitatives sur l’évolution des ressources naturelles (temps et espace) dans la commune rurale de Garhanga et évaluer le poids de l’anthropisation et des facteurs environnementaux dans le façonnement du couvert végétal. -
Diversité des peuplements ligneux des champs du Bassin versant de Badaguichiri (Tahoua/Niger)
Le présent travail entre dans le cadre de l’étude de référence de l’observatoire de l’Azawak (Tahoua) et porte sur la diversité des peuplements ligneux des champs du Bassin versant de Badaguichiri. L’objectif général de cette étude est d’évaluer la diversité des peuplements ligneux des champs pour une meilleure intégration de la composante ligneuse dans l’aménagement et la gestion durable du dit bassin versant. Les objectifs spécifiques se résument à : dresser la liste floristique de toutes les espèces ligneuses dans les champs du bassin versant ; déterminer les types biologiques et phytogéographiques ; établir la structure en diamètre et en hauteur du peuplement ligneux des champs du bassin versant ; évaluer la densité à l’hectare et le recouvrement moyen des individus ligneux ; évaluer la diversité alpha de la végétation ligneuse du bassin versant et en particulier celle des différentes unités géomorphologiques. -
Impact de la restauration des terres sur la dynamique des peuplements ligneux du bassin versant de Badaguichiri (Tahoua / Niger)
La présente étude a pour but de d’apprécier l’impact de la restauration des terres sur la dynamique des peuplements ligneux du bassin versant de Badaguichiri Région de Tahoua. Elle a concerné deux sites un site restauré et un site non restauré. A cet effet des inventaires de la flore ligneuse ont été effectués sur les unités géomorphologiques restaurées ainsi que sur leurs témoins du site non restauré dans des placeaux de 0,25 ha. -
Rapport socio-économique de l’observatoire de Tahoua-Keita-Nord Tillabéry
Dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet d’aménagement et de Gestion du Bassin Versant de Badaguichiri (PGBV/B), le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) a organisé du 23 Octobre au 4 Novembre 2013, une mission de collecte de données socio-économiques dans l’observatoire Tahoua-Keita Tillabéri Nord. En effet, ces données permettent de renseigner les indicateurs sur les activités socio-économiques des populations, surtout les impacts des différents projets et les ONG ayant intervenu dans l’observatoire.
Cette étude s’inscrit dans le cadre des activités de la composante surveillance environnementale du plan d’action dudit projet et fait suite au rapport sur l’état de référence de l’Observatoire Tahoua-Keita -Tillabéry Nord élaboré en 2012. Elle a concerné 449 ménages repartis sur un ensemble de sept (7) villages à savoir : le village de Simiri (commune rurale de Simiri), le village de Sorbon Haoussa (commune rurale de Sansani Haoussa), le village de Tinkirana (commune rurale d’Ibohamane), le village de Sakolé (commune rurale de Tamaské), le village de Kalfou rahi (commune rurale de Kalfou), le village Kolloma Dabagui (arrondissement communal Tahoua I) et le village de Mafari (commune rurale de Bambaye). -
Evolution des prix de l’oignon pendant un an sur les marchés de Niamey
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-
24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 33 (mois d’août) de l’année
2016. Sur les 60 semaines de cette période, 4 semaines n’ont pas fait l’objet de relevés, aussi les informations présentées portent sur 56 semaines.
Ce suivi de l’oignon concerne les deux marchés de gros qui reçoivent de l’oignon : en premier le marché de Katako (le plus important pour les volumes) en second le marché de Djémadjé. -
Evolution du prix de gros du chou pendant trois ans sur le marché de Niamey (Djémadjé)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 7 (février) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur 143 semaines suivies. Ce suivi du prix de vente en gros du chou concerne le marché de Djémadjé qui est le marché de gros de la capitale pour ce produit.
Le chou le plus fréquent sur le marché de Djémadjé est celui de Madaoua qui arrive de façon continue et en grande quantité. En période de forte chaleur, où le chou du Niger est absent sur le marché, on assiste à une grande importation de choux du Nigeria. Le chou et le moringa sont des légumes feuilles de base dans l’alimentation au Niger. -
Evolution du prix de gros du piment sur trois ans au marché de Niamey Djémadjé
Le suivi des prix de gros des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en avril 2015 (la semaine 17). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 49 (décembre) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur trois ans et demi.
Globalement, la production de piment du Niger est présente sur les marchés de Niamey pendant la saison sèche froide (à partir de décembre) et pendant la saison sèche chaude jusqu’à la saison des pluies (mi-juillet).
Toutes les quatre années présentent des profils assez semblables avec des prix bas de septembre à décembre (autour de 10.000 F le sac), une légère augmentation pendant la période de janvier à avril (15.000 à 20.000 F par sac), puis une forte augmentation progressive pour atteindre un pic autour de 70.000 F le sac entre mi-juin et fin juillet suivant les années. Le prix diminue ensuite jusqu’en septembre où se il retrouve au plus bas. -
Evolution du prix de gros de l’oignon pendant quatre ans sur les marchés de Niamey
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 34 (mois d’août) de l’année 2019. Ce suivi de l’oignon concerne les deux marchés de gros qui reçoivent de l’oignon : en premier le marché de Katako (le plus important pour les volumes), en second le marché de Djémadjé 2.
Le Niger est le premier exportateur d’oignon dans la CEDEAO et pourtant, à certaines périodes, des oignons sont importés sur le marché de Niamey. Cette situation peut étonner plus d’un observateur. -
Evolution du prix du poivron pendant quatre ans sur les marchés de gros de Niamey
Si en 2015, pendant quelques semaines, du poivron du Nigeria s’est vendu sur le marché de Djémadjé à Niamey, cela n’a plus été le cas à partir de 2016. De 2016 à 2019, les poivrons vendus à Niamey viennent du Niger, essentiellement des sites de production autour de Niamey ou du Burkina Faso. Le poivron du Niger était présent 30 semaines sur 52 au cours de l’année 2016, en début d’année jusqu’au mois de mai puis à partir d’octobre jusqu’à la fin de l’année. Il était absent du marché de juin à mi-octobre. En 2017 et 2018, le poivron du Niger était présent pendant 35 semaines sur 52, de janvier à juillet, puis à partir de novembre. En 2019, le poivron du Niger est présent pendant les 7 premiers mois de l’année et ne réapparait pas novembre. Il faudra attendre janvier 2020 pour qu’il revienne sur le marché. Il n’aura été présent que 28 semaines en 2019. -
Evolution des prix de gros du moringa sur les 5 dernières années sur le marché de Djémadjé / Niamey
Cette note présente l’évolution des prix moringa sur le marché de Djémadjé (Niamey) depuis avril 2015 (semaine 17) à mars 2020 (semaine 10) et une comparaison des prix sur les cinq périodes de Ramadan.
Les prix sont fournis par des « informateurs » qui sont des professionnels de la commercialisation des produits maraîchers et travaillent depuis plusieurs années avec le RECA.
Le moringa commercialisé sur les marchés de Niamey est produit principalement dans la ceinture maraîchère de Niamey (Région de Niamey et Région de Tillabéri), dont une grande partie sur la rive droite du fleuve. Il n’y a pas d’importations des pays voisins. -
Diagnostic de l’armature commerciale de la ville de Niamey - Rapport final
L’objectif de l’étude de l’armature commerciale de la Ville de Niamey est de contribuer à l’amélioration du fonctionnement commercial et de l’approvisionnement alimentaire de la ville de Niamey à travers l’établissement d’un diagnostic et d’une stratégie.
Le rapport commence par une partie historique qui retrace l’évolution urbaine de Niamey et de son armature commerciale (pour les passionnés de l’histoire de la capitale) puis la typologie des marchés. Il se poursuit par les analyses des pratiques et attentes des commerçants et des consommateurs puis par le diagnostic des circuits et des chaînes de valeur. -
Evolution des prix de gros de la tomate et du piment pendant la période du Ramadan sur le marché Djémadjé (Niamey)
La période du Ramadan peut être considérée comme une période de « prix sensibles ». Les augmentations des prix des denrées alimentaires sont mal vécues par les consommateurs et les commerçants spéculateurs montrés du doigt. Cette année 2017, comme les autres années, la tomate a défrayé la chronique. Les réseaux sociaux ont débordé de plaintes des consommateurs sur une tomate difficilement accessible. Cette note fait le point sur les prix de gros de la tomate et du piment et leurs provenances sur le marché de Djémadjé au cours des trois dernières périodes de Ramadan. -
Évaluation des productions d'oignon et élaboration des stratégies de commercialisation: Galmi
Le Niger est un pays dont l'économie repose essentiellement sur l'agriculture vivrière et les cultures de rente. pour preuve, le secteur agricole contribue pour près de 36% du PIB réel, fournit environ 85% de l'emploi et 41% des recettes d'exportation. C'est à l'évidence un facteur déterminant de la croissance économique de notre pays. -
Diversité et conditionnement des résidus de culture commercialisés comme alimentation des animaux dans la communauté urbaine de Niamey
Les résidus de culture jouent un rôle important dans l’alimentation des ruminants, et leur commercialisation prend de plus en plus de l’ampleur dans la communauté urbaine de Niamey. Cependant, ces résidus de culture sont diverses et présentés sous différentes formes de conditionnement. Pour évaluer la disponibilité et les caractéristiques physiques des résidus de cultures utilisées en alimentation des ruminants domestiques à Niamey, un échantillon de 93 acteurs dont 33 grossistes/semi grossistes ; 41 vendeurs revendeurs et 19 vendeurs ambulants a été enquêté et suivi selon les saisons.
Il ressort de ce travail que le type, le prix, le poids et la disponibilité des produits sont fonctions des acteurs et des saisons. Il serait donc important de sensibiliser les éleveurs sur les lieux d’approvisionnement en fonction des périodes de l’année. Ceci permettra une meilleure rentabilité de l’activité. -
Rapport des études de référence sur des Champs Ecole Paysans pluviaux et Maraichers (CEP/CEPM) dans les trois Unités Régionales de Gestion du Programme (URGP)
Financé par le FIDA (Fonds International de Développement Agricole et l’Etat du Niger, Le Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF), intervient dans trois régions du Niger à savoir Maradi, Zinder et Tahoua. La zone d’intervention du ProDAF est répartie dans 21 Pôles de Développement Economique (PDE), qui est l’unité géographique et échelle d’intervention du programme.
La mise à la l’échelle des bonnes pratiques des projets précédents financés par le FIDA (PASADEM et PPI Ruwanmu) dans le cadre du ProDAF passe par l’intensification des champs école paysans (pluvial et maraîcher) qui permettront d’accroitre le nombre de paysans formés à cet effet et à même de diffuser les meilleures pratiques auprès de leurs pairs.
Ainsi pour le passage à l’échelle du dispositif de vulgarisation agricole à travers les Champs Ecole Paysan, une étude pour l’établissement d’une situation de référence a été conduite au niveau des trois URGP Maradi, Tahoua et Zinder pour capitaliser les acquis des anciens CEP et CEPM.
Le présent rapport consolidé donne le déroulement de l’étude et les principaux résultats obtenus. -
Rapport de l’étude sur la contribution des activités du ProDAF dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle
La présente étude intitulé « contribution des activités du ProDAF dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle » est réalisée dans le cadre de la préparation méthodologique de la revue à mi-parcours du ProDAF prévue en début du mois de juin 2019. Les informations contenues dans le rapport découlent des éléments de la revue documentaire (études de référence, document de conception du ProDAF, documents d’évaluation de la campagne agricole, document d’évaluation de la nutrition, rapport d’étude thématique similaire par l’institut national des statistiques, des notes d’informations et bilans d’exécutions des activités du programme etc.) et aussi des données issues de l’enquête sur le terrain au niveau des trois régions d’intervention du ProDAF (Maradi Tahoua et Zinder).
Le fil conducteur qui a guidé cette étude c’est la confrontation des indicateurs du cadre logique du ProDAF et ceux de l’i3N de la situation de référence « sans projet » à la situation actuelle « avec projet » pour déterminer la contribution du ProDAF dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la zone d’intervention. -
Faisabilité du projet d’appui au développement d’activités rurales et de financement de filières agricoles dans les régions d’Agadez et de Tahoua
La présente Étude succède à une pré-identification réalisée par l’AFD avec le concours des partenaires nigériens lors d’une mission réalisée au Niger début février 2014. Le Comité d’Identification de l’AFD, dans sa session du 20 juin 2014, a confirmé la pertinence des activités proposées et a demandé que soit lancée l’instruction de leur financement en vue d’une présentation aux instances de décision en 2015.
Les termes de référence de la présente Étude ont fait l’objet d’une réunion de travail, organisée le jeudi 13 novembre 2014, ayant impliqué les différentes institutions directement concernées par le projet (Haut-Commissariat à l’Initiative 3N, Ministère de l’Agriculture, Ministère du Commerce et de la Promotion du secteur Privé, Ministère des Finances, Ministère de l’Elevage, Ministère du Plan, de l’Aménagement du Territoire et du Développement Communautaire, RECA).
L’Étude a pour objectif de réaliser une faisabilité pour le projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement de filières agricoles/agro-pastorales afin de sécuriser la production (dans la région d’Agadez) et de développer des pôles d’activités rurales autour des marchés de regroupement et de collecte de deux régions (Agadez et Tahoua). Cela implique de prolonger l’appui à la production par une action coordonnée en aval de la production, à la fois en termes de possibilités de débouchés pour écouler les produits destinés à la commercialisation, à travers la construction et la réhabilitation d’infrastructures de desserte, de stockage/conservation et de marchés, mais aussi par rapport à l’accès de ces possibilités aux populations rurales vulnérables. -
Mission de complément de faisabilité du projet CNE 1168 - Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES)
L'étude a été chargée d’élaborer un cadre de gestion environnementale et sociale (CGES) par opposition à une évaluation d'impacts sur l'environnement, parce que les détails précis des activités à financer (en termes de localisation exacte, de matériaux requis, de communautés principales, etc.) à financer dans le cadre de la composante 1 du Projet d’appui au développement d’activités rurales et de financement de filières agricoles dans les régions d’Agadez et de Tahoua ne sont pas encore connus et donc, les impacts négatifs environnementaux et sociaux potentiels ne peuvent pas être évalués.
Le Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) est conçu comme étant un mécanisme de tri (processus de sélection) pour les impacts environnementaux et sociaux des activités du Projet. En outre, le CGES définira le cadre de suivi et de surveillance ainsi que les dispositions institutionnelles à mettre en place durant la mise en œuvre du projet et la réalisation des activités du « projet d’appui au développement d’activités rurales et de financement de filières agricoles dans les régions d’Agadez et de Tahoua » pour atténuer les impacts environnementaux et sociaux défavorables, les supprimer ou les réduire à des niveaux acceptables. -
Rapport Technique annuel 2018 des activités de la Chambre Régionale d’Agriculture de Tahoua dans le cadre du partenariat avec le Projet Pôles Ruraux (PPR)
Le présent rapport annuel 2018 retrace les activités réalisées par la CRA de Tahoua dans le cadre de la convention de partenariat qui lie le Réseau des Chambres d’Agriculture (RECA) et les Chambres Régionales d’agriculture (CRA) d’Agadez et Tahoua avec le Projet Pôles Ruraux.
Pour rappel, la convention a pour objectif de définir les modalités techniques, logistiques et financières de la contribution du RECA/CRA à la mise en oeuvre des activités du Projet Pôles Ruraux (PPR) et, plus précisément, les activités portant sur l’amélioration des services non financiers en faveur des acteurs des filières agricoles (Composante 3, Résultats 9) dans les régions d’Agadez et de Tahoua. -
Rapport Technique annuel 2018 des activités des Chambres Régionales d’Agriculture de Tahoua et d’Agadez et du RECA dans le cadre du partenariat avec le Projet Pôles Ruraux (PPR)
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Tahoua et la Chambre Régionale d’Agriculture de Tahoua ont rédigé leur propre rapport. Ce rapport fait un récapitulatif global des activités des deux CRA et du RECA. -
Rapport annuel 2019 technique et financier de la Chambre Régionale d’Agriculture de Tahoua dans le cadre du partenariat avec le Projet Pôles Ruraux (PPR)
Le présent rapport annuel 2019 retrace les activités réalisées par la CRA de Tahoua dans le cadre de la convention de partenariat qui lie le Réseau des Chambres d’Agriculture (RECA) et les Chambres Régionales d’agriculture (CRA) d’Agadez et Tahoua avec le Projet Pôles Ruraux.
Pour rappel, la convention a pour objectif de définir les modalités techniques, logistiques et financières de la contribution du RECA/CRA à la mise en oeuvre des activités du Projet Pôles Ruraux (PPR) et, plus précisément, les activités portant sur l’amélioration des services non financiers en faveur des acteurs des filières agricoles (Composante 3, Résultats 9) dans les régions d’Agadez et de Tahoua. -
Profil de référence de l’économie des ménages ruraux de la zone des Cultures Maraichères de la Basse vallée de Tarka (Oignon et Autres produits) Madaoua-Bouza/Tahoua
Cette activité s’inscrit dans le processus d’intégration de l’Analyse de l’Economie de Ménages (AEM) dans le système actuel de surveillance de la sécurité alimentaire et de la nutrition. Elle est financée par le projet régional HEA et exécutée par Save The Children International Niger et le Système d’Alerte Précoce et de Prévention de Catastrophes.
Il faut noter que le choix de la zone irriguée à dominance oignon pour abriter le présent profil s’est basé principalement sur : l’oignon serait de loin la culture qui procure des revenus importants à la population ; l’oignon est une culture de rente qui se vent au-delà des frontières nationales avec relativement une bonne valeur marchande ; en situation de crises (faible production ou chute des prix sur le marché) ; les producteurs d’oignon subissent de pertes énormes de leurs productions. Mais à l’heure actuelle, il est difficile d’estimer l’effet ou l’impact de ces chocs sur les revenus ou l’alimentation des ménages producteurs d’oignon, un grand intérêt pour le Dispositif National de Prévention et de Gestion des Catastrophes et Crises Alimentaires à disposer de plus d’information sur la sécurité alimentaire des populations de la basse vallée de la Tarka. -
Rapport d’analyse des données de l’enquête de la situation référence - RED-SAACC
Le projet de recherche-développement pour la sécurité alimentaire et l’adaptation climatique des systèmes ruraux de production au Niger (RED/SAACC-Niger) a pour objectif d’améliorer d’ici fin 2021, les revenus, la sécurité alimentaire et nutritionnelle de 15.000 exploitations agricoles familiales fragiles à faible résilience, dans 15 communes des régions de Maradi, Tahoua et Tillabéri.
Le mécanisme de la mise en oeuvre du projet s’articule autour de 6 composantes dont les actions contribueront à l’atteinte de l’objectif global du projet. L’objectif de la composante 5 est de mettre en place un dispositif de gestion des connaissances efficace permettant de capitaliser et de partager les bonnes pratiques.
Pour atteindre cet objectif des d’activités ont été planifiées dont la première est la réalisation d’une étude de référence pour établir la situation de départ des indicateurs clés dans la zone d’intervention du projet, par rapport à laquelle seront mesurés les progrès vers l’atteinte des objectifs du projet RED/SAACC-Niger. -
Projet RED-SAACC - Rapport de la revue interne
L’objectif stratégique du projet REDSAACC vise à appuyer les efforts du gouvernement dans le domaine de la sécurité alimentaire et nutritionnelle en contribuant à mettre les populations Nigériennes à l’abri de la famine et à leur garantir les conditions d’une pleine participation à la production nationale et à l’amélioration de leurs revenus.
L’objectif global est qu’en fin 2020, la sécurité alimentaire et nutritionnelle (ainsi que les revenus) de 15.000 exploitations agricoles familiales fragiles à faible résilience est accrue de manière significative, dans 15 communes des régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry.
L’objectif global de cette revue interne est de montrer et mesurer les changements opérés du fait des actions du projet REDSAACC à travers l’évaluation des effets/impacts de la mise en œuvre de l’approche du projet dans le transfert des technologies et le partage des innovations locales pour une adaptation des systèmes de production agricole aux changements climatiques. -
Typologie de l’élevage des petits ruminants dans la ville de Niamey, Niger
Cette étude vise à diagnostiquer la typologie de l’élevage des petits ruminants dans la ville de Niamey (capitale politique du Niger). Elle a intéressé quatre-vingt-quatre élevages des petits ruminants (55 en zone urbaine et 29 en zone péri-urbaine). Les résultats ont montré une prédominance des hommes (90,50%) dont 38,1% sont des Haoussa, 31,1% Zarma et 23,8% Peulh. En zone urbaine, les commerçants représentent 29,8% et les fonctionnaires 34,5% des enquêtés. L’étude a aussi montré l’existence de trois types de troupeaux ovins seuls (61,90%), caprins seuls (2,38%) et mixte (33,33%) avec une prédominance des ovins. Le système d’élevage rencontré lors de l’enquête est du type sédentaire qui se présente sous cinq formes : l’élevage sédentaire en semi stabulation, l’élevage sédentaire en stabulation permanente, l’embouche semi intensive traditionnelle, l’embouche de circonstance et l’élevage contemplatif. Les résultats ont également montré une diversité d’aliments bétail de haute valeur alimentaire utilisés de manière rationnelle dans les rations quotidiennes des petits animaux. C’est qui souligne que ces éleveurs des petits ruminants ont un savoir-faire avéré en matière d’alimentation. Un encadrement technique est nécessaire pour booster la productivité de cet élevage. -
Effets des changements climatiques sur les pratiques d’élevage et analyse des options d’adaptation : Cas de la zone de Bouza-Niger
Une étude sur l’effet de changement climatique sur pratiques d’élevage a été menée au département de Bouza (Tahoua) afin de mieux analyser les options d’adaptations. Soixante (60) éleveurs ont été choisis de façon systématique dont vingt (20) à Bouza et vingt (20) dans deux zones proches de Bouza. Les impacts socioéconomiques et environnementaux liés aux changements climatiques et les stratégies d’adaptation du système de productions animales pratiquées par les éleveurs ont été recherchés. La quasi-totalité de la population (90%) enquêtée affirme, par leur vécu, que les saisons de pluies sont de plus en plus sèches au cours de vingt (20) dernières années. Les réactions des différents acteurs relatifs à la modification des précipitations ont permis d’identifier trois principaux risques climatiques dont la sécheresse, les pluies tardives et les inondations. Les impacts sur le système de production et les ressources alimentaires sont entre autres, la réduction des parcours, une diminution des espèces les plus appétées, une augmentation de la profondeur des puits et puisard, une réduction de la durée de lactation, et une baisse de la productivité numérique. Il a été remarqué quatre (4) principaux risques climatiques à savoir la baisse du cumul pluviométrique, le raccourcissement de la longueur de la saison humide, la hausse des températures et la fréquence des inondations. Les options d’adaptation concernent surtout la valorisation des cultures fourragères (collecte et stockage du fourrage) et l’aménagement des points d’eau. La perception des éleveurs a permis de relever les impacts climatiques, les risques associés ainsi que les stratégies d’adaptation à entreprendre. -
Note de présentation du PIP2 antenne de Tahoua à l'occasion de la visite du Ministre de Développement l'Agricole
L'antenne de Tahoua a été officiellement installée en mars 2003. Elle a pour mission de coordonner les activités conduites par les prestataires conformément à la stratégie de "faire faire"du projet. Son personnel restructuré comporte : Un chef d'antenne; un Responsable de Suivi Évaluation; un Comptable; Une Secrétaire; Deux chauffeurs; Un gardien. -
Pratiques paysannes d'utilisation des pesticides sur les cultures maraichères dans le département de Madaoua, Niger
Etude portant sur l’analyse des connaissances et des pratiques de producteurs maraîchers par rapport à l’utilisation des pesticides au Niger, et réalisée dans trois communes du département de Madaoua -
Proposition de calendrier cultural au niveau des coopératives de Kirkissoye, Saadia amont et Saadia aval
Le Niger est, pour la Coopération Espagnole, un pays d'Attention Spéciale depuis 2006, le compromis avec son développement étant croissant, comme cela est reflété dans la Commission Mixte Hispano-Nigérienne, organisée à Niamey, en mai 2008. -
Rapport de mission au Projet de Développement Rural de Tahoua (PDFT-financement GTZ,KFW)
Dans le cadre de la clôture définitive du Projet de Développement Rural de Tahoua (PDRT - Financement Coopération Allemande), une mission composée comme suit a séjourné du 27 novembre au 02 décembre 2003 à Tahoua : M.Harou Adamou : SMPL/DAAF/MDA ; M. Mouha Mahamadou : DEP/MDA -
Rapport d'étude d'impact environnemental et social du SPIC-AIC dans la commune rurale de Bazaga (Région de Tahoua) : Amenagement de 25 ha de petits périmètre, de la mare de Rouafi et fonçage d'un forage moyen équipe d'exhaure solaire par ha.
Dans le cadre de l'opérationnalisation de l'initiative les « Nigériens Nourrissent les Nigériens » (3N) qui constitue le cadre politique et stratégique qui oriente le développement agricole au Niger, la Banque Mondiale appuie le pays à travers le Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible aux risques Climatiques (PASEC) depuis 2015.Dans la région de Tahoua qui fait partie de la zone d’intervention du Projet, la commune de Bazaga qui connait une forte vulnérabilité à l’insécurité alimentaire du fait de la sécheresse fréquente et à la variabilité des précipitations. -
Critères de sélection des bovins laitiers par les éleveurs autour de Niamey au Niger
Une enquête portant sur 164 éleveurs de bovins laitiers de la communauté urbaine de Niamey (Niger) a été menée pour identifier les paramètres à considérer localement lors de jugement zootechnique. Les interviewés, principalement des hommes (57,0 p. 100), illettrés (81,1 p. 100), appartenaient majoritairement aux ethnies Peul (56,1 p. 100) et Zarma (34,8 p. 100). L’étude a concerné 1 635 zébus dont 26,5 p. 100 étaient des vaches en lactation et 28,8 p. 100 des veaux. A l’achat des animaux, les éleveurs préféraient les vaches en lactation (41,0 p. 100), les génisses (33,5 p. 100), puis les mâles (23,9 p. 100). Le premier critère par les éleveurs pour choisir les bovins était la race : Djelli (66,4 p. 100), Azawak (12,2 p. 100) et Bororo (5,3 p. 100). Par ailleurs, les éleveurs identifiaient d’autres critères secondaires, tels que la robe (50,6 p. 100), la forme des mamelles (34,8 p. 100), l’état corporel de l’animal (8,5 p. 100), les testicules (2,4 p. 100) et les cornes (2,4 p. 100). -
Etude de la filière fruits et légumes de Niamey
Quelle est la place de la femme dans l’approvisionnement de Niamey ? Cette question de recherche est secondée par l’hypothèse selon laquelle l’enclavement du Niger est un obstacle pour le développement du commerce de produits frais. L’objectif principal de cette étude est de démontrer l’implication de la femme dans la filière fruits et légumes de Niamey. Ce travail s’est intéressé à soixante (60) vendeurs dont une partie est composée de natifs de Niamey et d’autres qui sont d’origine de l’intérieur du pays. Une démarche exploratoire a été privilégiée pour sa réalisation. Elle est accompagnée d’une enquête au cours de laquelle un questionnaire est adressé aux différents vendeurs. Les résultats obtenus ont permis de montrer l’existence de trois circuits dans la filière fruits et légumes. -
Recettes alimentaires à base des graines de Boscia senegalensis au Niger : Cas des communes de Bambeye et Banibangou
L’insécurité alimentaire est une réalité presque permanente au Niger du fait des aléas climatiques. La présente étude est une contribution à la capitalisation et la valorisation du savoir-faire communautaire dans l’exploitation des ressources naturelles et aborde la place des aliments spontanés d’origine végétale dans la recherche de diversité et l’équilibre alimentaire, de manière spécifique, les potentialités de Boscia senegalensis. Il s’agit d’une espèce dont les différentes parties servent des nombreux usages au Niger. Les différentes recettes à base des graines immatures traitées dans deux départements du Niger, Banibangou et Bambèye sont répertoriées. A cet effet, un questionnaire a été adressé à 128 femmes à Bambèye et 114 à Banibangou. Les recettes identifiées sont celles mises en œuvre par les femmes de ces différentes communautés. Au total 7 recettes ainsi que leurs ingrédients et modes de préparations ont été recensés. Une est confectionnée à base des graines uniquement. Trois (3) recettes sont préparées en association avec le mil, le niébé, les feuilles de Gynandropsis gynandra et Maerua crassifola. Pour deux (2) recettes, les graines sont reprises avec du lait. Enfin, une (1) recette faisant intervenir les écorces de Boscia senegalensis et des feuilles de Guéra senegalensis est utilisée chez les femmes en post-partum.
Aux vues de ces résultats il serait important de créer les conditions de maintien, de leur exploitation durable, de leurs prises en compte dans les statistiques agricoles et alimentaires et la vulgarisation de ces recettes dans les autres régions. -
L'acarien vert du manioc : Une autre menace pour la production de manioc au Niger
Lors d'une prospection sur les ravageurs du manioc dans la communauté urbaine de Niamey, nous avons constaté l'existence de l'acarien vert du manioc. Ce ravageur est reconnu comme des facteurs limitants les plus importants à la production du manioc en Afrique. Cette fiche est rédigée pour sensibiliser les acteurs de la filière manioc sur le danger qui plane sur cette culture, surtout en ces moments où l’État s’investit pleinement dans l'opération bouture de manioc qui augmente substantiellement les superficies emblavées : ce qui pourrait aider à augmenter le revenu des producteurs et à lutter contre l'insécurité alimentaire dans le pays. -
Diagnostic des abattoirs de Niamey
L'Abattoir Frigorique de Niamey est un établissement public à caractère industriel et commercial créé par la loi 67.022 du 18.03.1967, dont le statut est établi par le décret 67.075/ MER du 12 .06.1967. Lui ont été cédé, pour un prix symbolique, les installations existant à cette date, qui constituaient l’entrepôt frigorifique de Niamey. -
Situation du programme d'urgence du Ministère de l'hydraulique et de l'environnement dans le département d'Illela
Le département d'Illela a enregistré au cours de l'année 2011 des précipitations insuffisantes qui n'ont pas la croissance et le développement des végétaux en général et des cultures pluviales en particulier. Cette situation conjuguée à d'autres facteurs tels que les attaques des ennemis de cultures a fragilisé les rendements de toutes les cultures pluviales et a malheureusement crée des déficits céréaliers importants au niveau de toutes les communes. -
Étude du milieu : étude dans les arrondissements de Konni et de Madaoua
L'arrondissement de Birni N'Konni s'étend sur une superficie de 4.661 km2, soit 4,57% de la superficie du département de Tahoua, dont il fait partie. L' arrondissement de Madaoua couvre 4.800 km2, soit 4,5% du même département. Les arredissements de Konni et de Madaoua font parti d'un ensemble dit AderDoutchi- .aggia (ADM) , situé dans la zone sud du pays aux frontières du Nigéria. C'est un plateau latéritique A faible pente en général, dans lequel plusieurs systèmes de vallées se découpent. Celles-ci peuvent avoir par endroit profondeur qui dépasse le 100m. Au centre des vallées s'écoulent des koris, ne conduisant l'eau que temporairement. Parmi les vallées, celles de la maggia et de la Tarka sont les plus importantes. -
Catalogue de l'offre de formation continue en petite irrigation
Ce catalogue regroupe les offres de formation continue en petite irrigation des institutions de formation agricole et para-agricole intervenant dans la région. Les offres de formation présentées dans ce catalogue s’appuient sur des modules issus d’un processus rigoureux d’élaboration,incluant des ajustements successifs aux besoins des acteurs en situation professionnelle, notamment à travers des formations-test. Ces modules ont été validés au niveau national par le Comité Technique de Renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (CTRCA-PI). Ils font référence au niveau ministériel pour la formation des acteurs. Ils ont été développés dans le cadre du Plan Stratégique de Renforcement des Capacités des Acteurs de la Petite Irrigation 2014-2024 (PSRCAPI), dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN). Cette stratégie, qui constitue le cadre d’harmonisation des approches, des mécanismes de financement et des synergies dans le domaine de la petite irrigation, met au-devant l’exploitant agricole. Celui-ci doit être accompagné par tous les acteurs, en particulier les prestataires publics et privés, dont les capacités doivent alors être nécessairement renforcées. -
Schéma de développement et d'aménagement du département de Keïta : Volet II ; axes stratégique et actions prioritaires
Le deuxième volet du SDADK résume les stratégies que le Département de Keita à défini en juin 2008 pour améliorer les conditions de vie de ses population à l’horizon 2020. Le Niger est en train d’entrer dans une époque de changements sans précédents. Tout d’abord la communalisation intégrale de son territoire et la gouvernance locale. Et dans les derniers années l’exploitation de nouvelles ressources minières et la réalisation du grand barrage de Kandadji permettrons dans quelques année l’autonomie énergétique. Le Département de Keita ne dispose pas de ressources minières. En plus il doit faire face à une augmentation très forte de population dans un environnement avare de ressources naturelles renouvelables. -
Diagnostic des sites/systèmes de culture/systèmes de production intégrant la petite irrigation dans les régions d’Agadez, Tahoua et Tillabéri / Rapport du diagnostic agricole dans la région de Tahoua
Pour la région de Tahoua, constituant l’objet du présent rapport d’étape, 50 sites agricoles de la PI sont identifiés à titre provisoire contre 137 sites répertoriés dans la base de données du PromAP/GIZ. Conformément à ces premiers résultats et, en se fondant sur la documentation collectée et les échanges avec diverses personnes ressources dont les experts du PromAP, six critères généraux ont été définis et retenus pour réaliser une typologie des sites agricoles de la PI : (i) le type de ressources en eau utilisées, (ii) la densité de la population, (iii) le degré d’intégration aux marchés, (iv) le degré du potentiel de développement de la PI, (v) le degré d’ancienneté du Site de la PI, et (vi) son mode de gestion.