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La lutte contre la pourriture blanche et sèche -- Fusarium oxysporum
Cette affiche présente les symptômes de la maladie "Fusarium oxysporium"et les méthodes de luttes appropriées -
Eléments d'un plan de formation - La mise en marché collective de l’oignon au Niger pour le bénéfice de la FCMN et ses coopératives participantes
Ce document de référence a été développé pour aider à encadrer la formation des membres et de leurs représentants locaux. Il cible les objectifs pédagogiques à attendre et ce, selon les différentes clientèles. -
Techniques de production des cultures irriguées -- Pommes de terre
Ce manuel de technique de production des cultures irriguées - pomme de terre .objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation.
Ce manuel est destiné aux prestataires de services en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite irrigation. Il donne aux formateurs des références théoriques et pratiques pour mettre en œuvre des actions de formations. Ce manuel est complété par deux supports pédagogiques à destination différente (prestataires de services et producteurs) et un cahier de formateur -
Cahier du formateur : Techniques de production maraîchère -- Oignon
Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la PI. Il explique les techniques de production de l'oignon selon les étapes ci-dessous:
1 -- Description des généralités sur la culture de l’oignon au Niger;
2 -- Description de la conduite d’une pépinière de culture d’oignon;
3 -- Opérations d’entretien d’une culture d’oignon;
4 -- Techniques de production locale de semences;
5 -- Evaluation des apprentissages. -
Procédures du Système Collectif de Mise en Marché (SCMMO) de l'oignon
Ce manuel des procédures se veut un guide de référence pour toute personne qui intervient dans le système collectif mise en marché des produits agricoles. Il présente, les différentes activités reliées au système -
La lutte contre l’alternariose sur l’oignon: Alternaria porri
L'alternariose, ou brûlure alternarienne, est le nom générique d'une série de maladies fongiques dues à diverses espèces de champignons des genres Alternaria ou Ulocladium. La tache pourpre est une maladie des climats chauds et humides. C’est une maladie commune de l’oignon qui peut être très destructive. Elle cause également de grandes pertes économiques chez les porte-graines lorsque les hampes florales sont affectées et détruites. La tache pourpre affecte principalement l’oignon et le poireau, plus rarement l’ail. Les oignons espagnols sont plus sensibles que les oignons jaunes. -
Bilan des actions de transfert des technologies. Les magasins « RESEDA » pour la conservation de l'oignon.
Rapport provisoireUne consultation des structures impliquées dans la construction ou l’utilisation de magasins Réséda a fourni une liste de 280 à 290 magasins existants. Hors construction en 2013 et 2014, la majorité des magasins se situe dans la région de Tahoua (252).
Cependant, au cours des visites de terrain, ce nombre n’a pas été confirmé par les différents responsables locaux d’ANFO. Seul 46 magasins de type Réséda ont été identifiés. Même si certains magasins n’ont pas été identifiés au cours de l’enquête, ce nombre est très loin du nombre initial annoncé.
50% des anciens magasins Réséda visités (antérieurs à 2013) sont effondrés ou disparus et seulement 25% sont utilisés. Les résultats de ce premier travail donnent un bilan assez décevant. Attention, ces pages ne sont pas une « condamnation » du magasin Réséda, elles ont pour ambition de partager avec les acteurs concernés des observations, des interrogations et certaines analyses ou hypothèses pour améliorer les pratiques et les résultats. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre fait partie des cultures maraichères les plus pratiquées dans la région de Maradi. Elle est cultivée sur presque tous les sites situés le long des Goulbi Maradi et Goulbi Kaba, principalement sur le site de Mafalia situé à l’extrémité ouest de la ville de Maradi. Sa production se fait en une campagne, en saison sèche froide, avec un cycle variant entre 70 à 120 jours selon les variétés. En moyenne, une production d’environ 1 000 kg pour 1 000 m2 permet de dégager un produit de 200 000 F.CFA pour 91 000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 109 000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
Dans la région de Maradi, l’oignon est principalement cultivé dans les zones traversées par le Goulbi Maradi et le Goulbi Kaba, et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données du Ministère de l’Agriculture de 2015, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34 200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. Le rendement obtenu est évalué entre 15 à 50 tonnes/ha. En moyenne, pour 1000 m², une production de 3 tonnes (rendement de 30 tonnes/ha) permet de dégager des revenus de 200 000 F.CFA pour 52 000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 148 000 FCFA et un ratio produits/charges supérieur à 2 -
Le Blanc de Gothèye, l’autre oignon du Niger
Le Niger, le pays des oignons … L’oignon est la première culture maraîchère au Niger. La production annuelle est estimée à 500.000 tonnes, classant le Niger au deuxième rang des producteurs ouest-africains. Le Niger est le premier exportateur d’oignons de la CEDEAO. Le Niger exporte sa variété la plus connue, le Violet de Galmi, dont le goût, la tenue dans les sauces et les aptitudes à la conservation ont conquis tous les pays de l’Afrique de l’Ouest. Mais le Niger est aussi le pays des oignons par le nombre de ses « écotypes », c'est-à-dire de nombreuses variétés d’oignons. -
Interactions entre la variabilité des écotypes de l’oignon (Allium cepa L.) et les facteurs agro-climatiques au Niger
L’oignon est la première culture maraîchère au Niger. La production annuelle est estimée à près de 561.000 tonnes, classant le Niger au deuxième rang des producteurs ouest-africains derrière le Nigeria. Une collecte portant sur des cultivars locaux d’oignon du Niger réalisée en 2008 a été suivie d’une étude de leur interaction avec les facteurs agro-climatiques du Niger. Les méthodes classiques de collecte de matériel végétal (localisation des sites de collecte sur la carte, identification et description des échantillons, historique des écotypes, conditions culturales, etc..) ont été utilisées. L’aspect variétal vis-à-vis des facteurs agroclimatiques des différentes zones de collecte a été mis en évidence. Le travail a permis de réunir 21 écotypes locaux d’oignon comprenant le Violet de Galmi répartis sur toute la zone de collecte. Il a également permis de montrer que certaines caractéristiques variétales comme la couleur des bulbes, le cycle sont liées aux différences agro-climatiques et géomorphologiques des sites de collecte tandis que d’autres se révèlent indifférentes. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre communément appelée « dankali tourawa » en haoussa est l’une des principales spéculations maraîchères de la région de Dosso. Elle est cultivée au niveau du département de Doutchi et de Tibiri et dans une moindre mesure dans la commune de Harikanassou. Selon la variété le cycle de la pomme de terre varie de 70 à 120 jours. Les surfaces mises en valeur varient de 200 à plus de 6.500 m² selon les localités de production. En moyenne, pour 0,5 ha on obtient une production d’environ 6.328 kg qui permettent de dégager 1.582.000 FCFA pour 558.250 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.023.750 FCFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon feuilles
L’oignon-feuilles, encore appelé en haoussa Albassa mai gangné ou shafa, est une des principales cultures irriguées de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Damagaram Takaya, Kantché, Magaria, Doungass et Gouré. L’oignon-feuilles a un cycle de 90 à 110 jours du repiquage à la récolte. Les surfaces cultivées sont disparates et varient souvent de 0,1 à 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 9 tonnes permet de dégager des revenus de 1.700.000 F.CFA pour 250.000 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.450.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 6. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon
Les Chambres d’agriculture du Niger ont été créées par la Loi 2000-15 du 21 août 2000, complétée par le décret d’application du 18 mai 2001. Il y a huit Chambre Régionale d’Agriculture (CRA), une par région, et le Réseau National des Chambres d’Agriculture (RECA). Les CRA sont dirigés par des responsables professionnelles agricoles élus tous les 4 ans. La loi a confié aux Chambres d’Agriculture des missions d’intérêt général : représentation des agriculteurs, éleveurs, pêcheurs, exploitants forestiers, appui conseil / vulgarisation, formation, information des professionnels agricoles. L’oignon est une plante avec un nombre réduit d’ennemis comparé aux autres plantes maraîchères. Malgré tout, des ennemis peuvent réduire le rendement de manière significative. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon.
Le présent atelier de formation s'adresse aux producteurs et animateurs des structures d'appui conseil sur les maladies et ravageurs de l'oignon. l'objectif de l'atelier est de renforcer les connaissances et ces acteurs. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’oignon
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture d'oignons. Cette lutte passe par l'identification des principaux ennemis de cette culture. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’aubergine et de la pomme de terre
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture de l'aubergine et de la pomme de terre. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Filière oignon au Niger : processus intégré de conservation et de warrantage. Expérience de la SNV dans la zone de production de Saouna gomma, Tamaske et Sabon Guida
Le principal objectif de ce projet est de : Instaurer le système de warrantage sur l’oignon à travers une relation quadripartite (SNV, producteurs, SFD, LCB) avec l’introduction d’un système d’abris de conservation adapté et accessible aux producteurs d’oignon afin de réduire les pertes importantes et de réussir définitivement le warrantage qui permets de créer des emplois rémunérateurs et durables et de générer des ressources additionnelles aux producteurs. -
Evolution du prix de gros du kilo de pomme de terre pendant quatre ans sur les marchés de Niamey
Globalement, la production locale de pomme de terre - Agadez et Bonkoukou, Région de Tillabéri, principalement - est présente sur le marché de fin décembre à juin. A partir de juin ce sont les pommes de terre d’importations qui se trouvent sur le marché : la pomme de terre du Maroc avec une disponibilité quasi permanente, accompagnée par la pomme de terre du Nigeria. -
Taxonomie locale et analyse des critères des paysans pour caractériser les différents écotypes d'oignons (Allium cepa L.) du Niger
L’oignon est une production maraıîchère bien ancrée au Niger qui a acquis depuis longtemps une réputation de qualité. Au Niger, de nombreuses études ont porté sur la production et la filière de l’oignon. En revanche, très peu de recherches ont été consacrées à la diversité nommée des écotypes d’oignons. Ce travail a pour but d’inventorier les différents types d’oignons cultivés au Niger. Ainsi, 11 sites situés dans les principales zones
de production d’oignon au Niger ont été visités. -
La production de pomme de terre et recompositions socio-économiques dans l’Imanan, Niger
L’Imanan est une commune rurale située dans la partie Sud du département de Filingué. Elle est limitée à l’Est par celle de Kourfeye centre, à l’Ouest et au Sud par la commune rurale de Tondikandia et au Nord par la commune urbaine de Filingué. commune rurale de l’Imanan est l’une des rares zones qui s’est très tôt attelée à la pratique de cultures de contre-saison. L’émergence de cette pratique dans cette zone géographique fait partie des éléments de l’évolution des paysanneries de ces régions. -
Recueil de quatorze fiches techniques du domaine Agro-Sylvo-Pastoral
Le présent recueil comprend quatorze (14) fiches techniques :
- Production du fourrage de Medicago sativa (Luzerne) au Niger
- Production d’Echinochloa stagnina (Bourgou) au Niger
- Amélioration de la disponibilité du fourrage par la culture de Dolichos lablab (dolique)
- Amélioration de l’aviculture familiale au Niger
- Mise au point des rations alimentaires pour les ruminants à base des ressources locales au Niger
- Contrôle et valorisation de Sida cordifolia au Niger
- Production de l’oignon d’hivernage : conduite d’une pépinière en saison de pluie avec le Violet de Galmi
- Techniques de production de bulbilles d’oignon Violet de Galmi
- Production de bulbes d’oignon de conservation au Niger
- Production de riz hors aménagement au Niger
- Banque alimentaire à base de Moringa par semis direct au Niger
- Banque alimentaire à base de Adansonia digitata (Baobab) au Niger
- Banque alimentaire à base de jujubier amélioré au Niger
- Conduite de la Régénération Naturelle Assistée (RNA) au Niger
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Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection d'oignon
L'oignon est une culture avec un nombre réduit d'ennemis comparé aux solanacées tomate,poivron pomme de terre et aubergine -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection de l'aubergine et de la pomme de terre
Les maladies de plantes c'est comme le paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu’on est très malade -
Atelier preparatoire pour la mise en place d'un observatoire regional de la filière oignon en Afrique de l'Ouest et du Centre
Il m'est particulièrement agréable, de présider ce jour , la cérémonie d'ouverture de l'atelier pour la mise en place d'un observatoire de la filière oignon en afrique de l'ouest et du centre -
Caractérisation de la diversité génétique de cultivars d’oignon (Allium cepa L.) du Niger en vue de leur conservation in situ et de leur amélioration
Cinquante-deux écotypes nommés ont été inventoriés, mais après analyse et regroupement des synonymes, il ressort que dix-sept écotypes sont cultivés au Niger. Les principaux critères des paysans pour caractériser un écotype local sont la couleur des bulbes et la zone de provenance. Les variables quantitatives et qualitatives les plus distinctives entre les écotypes d’oignon sont la longueur et le diamètre des feuilles, le poids des bulbes, la couleur des feuilles, la forme et la couleur des bulbes, l’uniformité de la forme et de la couleur des bulbes. -
Projet de Recherche-Action pour l’Amélioration de la Filière de Pomme de Terre au Niger (PRAAF/PT) – Synthèse des résultats
Au Niger la culture de pomme de terre prend de plus en plus de l’ampleur, notamment sur des périmètres où l’eau d’irrigation ne constitue pas une contrainte à la production horticole. En effet, afin d’accompagner les producteurs dans la maitrise de l’itinéraire technique de production, une étude expérimentale axée sur les paramètres ; nombre de tubercules par plant, poids moyen du tubercule, nombre moyen de bourgeons végétatifs par tubercule et du rendement à l’hectare a été conduite. Des résultats obtenus, il ressort que la combinaison de techniques culturales qui assure le meilleur rendement en termes de production pondérale de pomme de terre est la dose d’engrais équivalente à 250-250-250 kg/ha de N-P-K croisée avec la densité de plantation de 20 cm entre plants sur les lignes et 50 cm entre lignes, reflétant un rendement de 62,4 t/ha. C’est aussi la technique recommandable pour les producteurs des semences, en ce sens qu’elle assure un poids moyen du tubercule (62 g) et une grande capacité d’émission de bourgeons végétatifs autours du tubercule (plus de 5 bourgeons végétatifs par tubercule). -
Filières oignon en Afrique de l'Ouest : étude comparée des filières nigérienne et béninoise
Afin de comprendre la relation entre les filières nigérienne et béninoise et les mécanismes permettant à l’oignon nigérien d’être vendu sur les marchés côtiers à un prix concurrentiel par rapport à l’oignon local, l’étude propose une analyse comparée des aspects liés à la production et à la commercialisation de ces deux filières, a` partir des pôles de production de Keita (Niger) et Malanville (Bénin) qui approvisionnent le marché de Dantokpa à Cotonou (Bénin). L’étude montre que les deux filières sont à la fois concurrentielles et complémentaires et que la filière nigérienne a un avantage comparatif net au niveau de la production, avec des coûts inférieurs et un bénéfice au producteur supérieur. -
Note explicative sur la construction des infrastructures de stockage et de conservation du niébé, de l'oignon et du poivron
L'oignon, le niébé et le poivron constituent trois principales cultures de rente au Niger. Cependant, la conservation de ces trois produits est difficile; le niébé doit être conservé dans un milieu anaérobie, l'oignon se conserve dans un milieu moyennement aéré tandis que le poivron frais se conserve dans des chambres froides appropriées. Compte tenu de l'importance de la production, il important de trouver une solution permettant aux producteurs de tirer le maximum de profit. La construction des infrastructures de stockage et de conservation répond parfaitement à cette préoccupation. -
Effet de l’azote sur l’aptitude à la conservation des bulbes d’oignon (Allium cepa L.)
L’oignon est le deuxième produit d’exportation au Niger après l’uranium. Le « Violet de Galmi » est la variété la plus appréciée et recherchée par les consommateurs locaux et sous-régionaux. Ce travail a pour objectif d’évaluer les pertes dues à la conservation des bulbes d’oignon en fonction de la variation des unités d’azote apportées à la culture. Ainsi, quatre doses d’unité N, P et K (T2 : 30-3030 ; T3 : 60-30-30 ; T4 : 90-30-30 ; et T5 : 120-30-30) sont comparées à un témoin Zéro (T1 : sans engrais mais avec du fumier) dans un essai à quatre répétition. Les unités fertilisantes sont apportées en trois apports avec du NPK (15-15-15) et de l’urée (46-0-0). Les rendements obtenus sont : 17, 22, 28, 27, et 34 tonnes des bulbes par hectare pour les doses correspondant à T1, T2 ; T3 ; T4 et T5 respectivement. Les pertes sont évaluées en termes de nombre des bulbes pourries et pré-germés pour chacune de ces doses. Le taux de perte au bout de quatre mois de conservation est : 28,3 ; 16, 3 ; 34,6 ; 30,0 et 33, 5% pour T1, T2 ; T3 ; T4 et T5 respectivement. La dose d’engrais 30N30P30K (T2) permet d’obtenir un taux de perte de 16% au bout de quatre mois de conservation. Ce qui permettra au producteur d’améliorer son revenu car pendant la récolte, le sac de 130 kg de bulbes d’oignon ne dépasse pas 10 000 francs CFA (soit 15,25 €) alors que quatre mois plus tard, il peut atteindre 100 000 francs CFA (soit 152,55€). -
Techniques de production, stockage et conservation des bulbes d’oignon pour améliorer les performances de la filière oignon
Suite aux besoins des clients exprimés dans les dossiers de structuration des activités des OP, les constats lors de l’analyse des systèmes de conservation des produits et de l’évaluation des chaînes de valeurs des produits (oignon et pomme de terre), pour appuyer l’effort de ses clients axé sur le marché afin de tirer le maximum de profit. Le présent manuel s’inscrit dans le cadre de la formation des représentants des OP dans les techniques poste-récolte, de conditionnement et de conservation des bulbes d’oignon afin de minimiser les taux de perte mais, augmenter la qualité et valeur des produits. Cette formation portera sur le renforcement des capacités des membres des OP aussi bien en techniques de conservation des bulbes destinés à la conservation qu’en production des semences de qualité afin de prendre en compte dans la phase poste récolte, toutes les insuffisances capables d’affecter négativement le volume et valeurs des récoltes des produits ciblés. -
Violet de Galmi, après la marque, l’IG !
Après être passé très près de l’usurpation d’un droit de propriété intellectuelle sur la variété d’oignon « Violet de Galmi » en 2008, où en sont les Nigériens dans l’enregistrement et la démarche de certification de cet oignon si réputé ? Enquête. -
Stockage-crédit : la filière oignon s’apprête pour le warrantage
En stockant plus et mieux, les producteurs peuvent gagner des milliers de FCFA supplémentaires. Sur le plan national, la valeur ajoutée additionnelle se chiffre dans les milliards. Pour réussir des stratégies de stockage et de vente différée, il est important qu’elles soient couplées avec des instruments financiers appropriés qui sont à la hauteur des producteurs et leurs organisations. Le stockage crédit est un tel instrument. Il a le potentiel de rendre la culture d’oignon plus rentable, aussi bien pour les exploitations agricoles que pour l’économie nationale. -
La dégénérescence des variétés d’oignons
La dégénérescence variétale, qu’on peut aussi appeler érosion génétique, intervient pour une variété donnée lorsque celle-ci perd les possibilités de conserver l’uniformité des caractères pour lesquels elle a été sélectionnée. Par exemple, pour une variété d’oignon, les principaux critères de sélection peuvent être les suivants : le rendement, la durée du cycle de production, l’aptitude à la conservation, la forme, la couleur, la précocité, l’absence de montée en graine ou floraison de première année, le goût, la teneur en matière sèche, la résistance aux maladies, etc. -
Guide de bonnes pratiques de production, stockage et conservation de l'oignon
Le présent guide de bonnes pratiques, élaboré en collaboration avec l’IRAN, la DGA, des personnes ressources de la filière oignon et les experts du PRODEX, s’inscrit dans le cadre de l’amélioration de la compétitivité de l’oignon du Niger à l’exportation sur les marchés s demandeurs des pays côtiers. Il est destiné à l’usage des techniciens en appui à la filière, le personnel des organisations faitières de la filière oignon ainsi que les producteurs, les commerçants et les exportateurs de l’oignon du Niger. -
Les effets de la réappropriation de la culture du « Violet de Galmi »,
par les producteurs d’oignon de la région de TAHOUA – NIGER, sur
la dynamique du territoire local, l’organisation sociale et économiqueA travers l’étude du cas du violet de Galmi, nous voulons étudier la relation de cause à effet qui existe entre l’introduction d’une «innovation technique » dans un processus économique et le « développement ». Ainsi, tout au long de ce travail, notre démarche consistera à mettre en exergue, cette relation de cause à effet selon laquelle, la valorisation de ressources locales par une société rurale pourrait, sous certaines conditions, engendrer du développement local. Ces conditions ou modalités qu’ils convient de préciser à partir des principes et caractéristiques de la théorie du développement local (VACHON, B. 1993) feront l’objet de ce travail. -
Semences d’oignon : le point de la situation fait au cours de la quatrième journée nationale de l’oignon, juin 2011
Dans les schémas des organismes de multiplication, la production de semences vise à fournir un produit conforme au matériel de départ mis au point par le sélectionneur et respectant les normes de qualité technique. Afin de limiter les risques de dérives des variétés, du sélectionneur à l’agriculteur. -
Violet de Galmi, l’invasion de semences exotiques (et douteuses) continue en Afrique de l’Ouest
OIGNON VIOLET DE GALMI est un oignon de zone tropicale connu dans toute l'Afrique de l'Ouest. Avec une excellente uniformité et de gros bulbes, notre sélection est la meilleure sélection existante. La maturité est de 105 à 110 jours après la date de repiquage. La forme du bulbe est légèrement aplatie, la couleur est d'un rouge violet intense. La capacité de stockage est longue. -
Les semences de Violet de Galmi du Niger absentes des boutiques d’intrants ?
Dans le numéro précédant des « brèves du RECA » (numéro 8), il avait été indiqué que les fournisseurs de semences installés dans le marché de Harobanda à Niamey proposaient des semences d’oignon « violet » mais importées du Sénégal. Le Niger compte environ 1.000 boutiques d’intrants (BI) qui sont des structures associatives ou coopératives autonomes, éventuellement groupées en réseau, propriétés des organisations de producteurs (OP, union ou fédération) et gérées par les producteurs. -
Le point sur les semences d’oignon pour la campagne 2010 - 2011
Cette note (3ème édition de la journée nationale de l'oignon) relève des constats sur les semences d'oignon pour la campagne 2010-2011. -
Gabou, une spécialité nigérienne pour remplacer les « bouillons cubes » (épisode 3)
Gabou est un condiment alimentaire couramment utilisé au Niger. Il est utilisé pour donner du goût et de l’arôme aux sauces. C‘est est une spécialité typiquement nigérienne qui consiste à sécher l’oignon (Allium cepa pour son nom scientifique) et à le torréfier pour en dégager toute la saveur et à produire un petit goût de caramel. La fabrication et la commercialisation du Gabou sont des activités exclusivement féminines et la main d’œuvre est familiale. La plupart des productrices ont été initiées à cette activité par leurs parents et certaines productrices travaillent dans la fabrication du Gabou depuis leur bas âge. -
Innovation rurale : contribution de la pomme de terre à la sécurité alimentaire dans la Commune rurale de l’Imanan
La presse présente généralement les sociétés rurales africaines, en particulier celles de l’Afrique subsaharienne comme étant essentiellement constituées de populations pauvres et vulnérables. Cette approche est largement erronée car, à l’exception des zones de guerres, ces populations subviennent la plupart du temps à leurs besoins essentiels grâce à l’exploitation ingénieuse des ressources disponibles. Elles font preuve de créativité et d’initiatives pour assurer la survie de l’unité familiale, en mettant en œuvre des savoir-faire locaux et de nouvelles pratiques pour s’adapter à la variabilité et la singularité des situations rencontrées. Elles s’adaptent quotidiennement à des milieux changeants. -
Effet comparé de la fertilisation à base de biochar, engrais organique et engrais chimique sur les éléments minéraux et la production de l’oignon (Allium cepa L.)
Le biochar tient son nom du terme « bio » en référence à des résidus organiques et « char » pour charbon. En effet, ce fertilisant est une autre forme d’engrais organique qui contient des éléments minéraux nécessaires pour l’enrichissement du sol. Il est produit à partir des résidus des cultures, de biomasse, des mauvaises herbes, des déjections animales ou de forêt (bois) à travers une méthode de pyrolyse. Afin de le différencier du charbon de bois, la définition adoptée par International Biochar Initiative (IBI) spécifie que, la finalité de cette substance est son utilisation en tant qu’amendement pour les sols (Sohi et al., 2010). Le biochar est un matériel qui se présente sous forme de fragments noirs, légers, poreux, sec et facile à transporter. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions irriguées 2020-2021
Le présent document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2020-2021. L’engouement suscité cette année encore par la campagne irriguée, en particulier à travers les différents projets et programmes intervenant dans la promotion des cultures irriguées dont les objectifs et résultats attendus, renforce notre conviction et notre volonté sans cesse grandissante que l’évaluation de ladite campagne est importante à plus d’un titre : mesures des performances, contribution à la résorption des déficits alimentaires, exportations et revenus, etc. les attentes des utilisateurs des résultats de cette opération sont donc multiples et diverses mais elles ne lui enlèvent rien de sa valeur scientifique et statistique. Que ceux-ci (les utilisateurs) veuillent bien nous excuser des insuffisances qu’ils pourront constater et ne retenir que l’essentiel : les résultats qu’ils peuvent désormais utiliser comme outils de travail, d’analyse et de prospectives. -
Fiche technico-économique pour la culture de l'oignon en hivernage : région de Tahoua
En hivernage (juin-octobre), nos marchés sont principalement ravitaillés en légumes par les pays voisins. Pendant cette période, les prix de vente des produits maraichers sont généralement meilleurs que les prix en période de saison sèche-froide. En effet, la période sèche-froide est caractérisée par une importante production des légumes du fait des conditions plus favorables et des habitudes des producteurs. Conséquence, les prix baissent pour les principaux produits et les producteurs tirent peu de marge de leur activité (résultats CGEF CRA Tahoua). -
Adaptabilité de huit variétés de pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au contexte climatique du Niger
Au Niger, les changements climatiques ont comme conséquences directes des déficits céréaliers récurrents. Pour résorber ces déficits et augmenter la qualité nutritionnelle de l’alimentation, la politique agricole met désormais un accent particulier sur les systèmes de cultures irrigués, notamment sur les cultures maraîchères. En appui à cette politique, huit variétés de pomme de terre ont été introduites et testées dans dispositif en blocs complets randomisés à 3 répétitions, dans les conditions climatiques du pays. Quatre d’entre elles (Daifla, Atlas, Sahel et Pamina qui murissent au bout de 70 jours) présentent un potentiel productif supérieur à celui du témoin local (Rosanna). Les autres (Pamela, Yona et Stemster, avec un cycle de 90 jours) ont eu des rendements inférieurs à celui du témoin et sont sujettes à des attaques des maladies et d’une mauvaise herbe (Cyperus rotundus) qui ont affecté la qualité marchande des tubercules. -
Agriculture spéciale
La patate douce est cultivée pour ses tubercules qui servent d'aliment pour l'homme. On peut les préparer de très nombreuses façons : bouillis, frits, cuits sous la cendre, etc. Les tubercules servent également à préparer de la fécule, du sirop de l'alcool, de la confiture, etc. Certaines variétés sont très riches en amidon et, après cuisson, servent à l'alimentation du bétail. Les feuilles peuvent se consommer sous forme de brèdes ou sous forme de condiment On cultive la pomme de terre pour son tubercule qui entre pour une grosse part dans l'alimentation de nombreuses populations, sous forme de purée, de frites, de compotes, salades, etc. -
Dossier de construction et d'entretien d'un prototype de magasin de stockage d'oignons en CSB : basse vallée de Tarka
Ce document concerne la construction d'un magasin expérimental de stockage d'oignons dans la basse vallée de la Tarta, au Niger. Ce magasin sera construit avec les techniques de Construction Sans Bois (CSB) 1 et aura une surface utile d'environ 120m2 et une capacité de stockage d'environ 23 tonnes d'oignons (état humide). Le principal objectif de cette construction est de mettre au point pour l'avenir un concept reproductible de magasin de stockage d'oignons performant et facile à construire. Il est important que tous les partenaires soient informés du caractère expérimental du projet. -
Étude de marché et commercialisation de la pomme de terre au Niger
La culture de la pomme de terre il été introduite au Niger il y a bien longtemps. Les documents de l'administration coloniale font état de son introduction dans la vallée du Goulbin Maradi dès 1912 (1). Dans la région d'Agadez la pomme de terre se cultivait depuis, au moins, les années trente et dans le Dallol Bosso (Bonkoukou), la pomme de terre a été introduite par l'IRAI' depuis 1 <>54. Dans tous les sites la productivité du matériel végétal utilisé et la qualité du produit semblent s'être dégradées au cours des dernières décennies. Cet état de fait est principalement dû au 11011 renouvèlement des plants et de la non maîtrise du parasitisme. -
Stratégies de commercialisation de la pomme de terre par les producteurs membres du réseau pomme de terre de Doutchi (Niger)
La présente étude s’intéresse à l’analyse des systèmes de commercialisation de la pomme de terre produite au niveau du bassin de Doutchi en vue d’identifier les difficultés de commercialisation et les stratégies appropriées pour une meilleure valorisation de la production. L’approche méthodologique utilisée s’est fondée sur l’analyse filière. Les résultats obtenus permettent d’identifier deux systèmes de commercialisation de la pomme de terre produite dans le bassin : le système de commercialisation de mise en marché individuel et le système de mise en marché collectif. Par ailleurs quatre circuits de commercialisation ont été identifiés selon les stratégies de vente adoptées par les producteurs. L’analyse des marges a montré que la vente de la pomme de terre produite au niveau du bassin de production de Doutchi assure une marge de 73 000 F/t pour les petits producteurs au niveau des circuits 1 et 4. Les producteurs moyens et grands producteurs obtiennent respectivement 148 000 F/t et 127 000 F/t au niveau du circuit 3 contre 63 000F/t et 52 000 F/t au niveau du circuit 4. -
Agriculture Spéciale : la patate douce et la pomme de terre
La -patate douce est cultivée pour ses tubercules qui servent d'aliment pour l'homme. On peut les préparer de très nombreuses façons : bouillis, frits, cuits sous la cendre, etc. Les tubercules servent également à préparer de la fécule, du sirop de l'alcool, de la confiture, etc. Certaines variétés sont très riches en amidon et, après cuisson, servent à l'alimentation du bétail. · Les feuilles peuvent se consommer sous forme de brèdes ou sous forme de condiments. Les tiges et les feuilles ont un grand intérêt comme fourrage vert pour les animaux, ou comme fourrage sec.
On cultive la pomme de terre pour son tubercule qui entre pour une grosse part dans l'alimentation de nombreuses populations, sous forme de purée, de frites, de compotes, salades, etc. De plus en plus, la pomme de terre subit des transformations industrielles avant sa vente : chips et frites vendus en paquets, purées déshydratées etc. -
Projet de Recherche-Action pour l’Amélioration de la Filière de Pomme de Terre au Niger (PRAAF/PT)
Au Niger la culture de pomme de terre prend de plus en plus de l’ampleur, notamment sur des périmètres où l’eau d’irrigation ne constitue pas une contrainte à la production horticole. En effet, afin d’accompagner les producteurs dans la maitrise de l’itinéraire technique de production, une étude expérimentale axée sur les paramètres ; nombre de tubercules par plant, poids moyen du tubercule, nombre moyen de bourgeons végétatifs par tubercule et du rendement à l’hectare a été conduite. Des résultats obtenus, il ressort que la combinaison de techniques culturales qui assure le meilleur rendement en termes de production pondérale de pomme de terre est la dose d’engrais équivalente à 250-250-250 kg/ha de N-P-K croisée avec la densité de plantation de 20 cm entre plants sur les lignes et 50 cm entre lignes, reflétant un rendement de 62,4 t/ha. C’est aussi la technique recommandable pour les producteurs des semences, en ce sens qu’elle assure un poids moyen du tubercule (62 g) et une grande capacité d’émission de bourgeons végétatifs autours du tubercule (plus de 5 bourgeons végétatifs par tubercule). -
Opération diffusion de semences de pomme de terre et d'expérimentation de nouvelles variétés
Pour contribuer à l'autosuffisance alimentaire au Niger en 2002, sous la demande des organisations paysannes suivantes : l'APPSN, FCMN - NIYA, FUGPN - Mooriben, la coopération française a envisagé de :
-Diffuser auprès des producteurs des variétés de pomme de terre connues et adaptées au climat Sahélien
-D'expérimenter des nouvelles variétés de pomme de terre encore peu connues mais qui ont donné de bons résultats en Afrique. -
Analyse de la compétitivité régionale des filières tomates et pomme de terre au Bénin, au Niger et au Nigeria
Les échanges commerciaux entre le Nigeria et ses quatre voisins immédiats (Bénin, Cameroun, Niger Lac Tchad) sont très anciens. Ils portent sur une gamme très variée de produits tant agricoles que manufacturés, produits localement ou importés du marché international. Ces transactions ont pris au fil des années des normes variées, des exportations au transit en passant par de la réexportation sur fond de contrebande quasi artificielle dans certains cas. En effet, les opérateurs économiques ont de tout temps adapté, voire ajusté, leurs stratégies à la conjoncture et aux politiques économiques conduites dans chacun des cinq pays. Celles du Nigeria se révéleront particulièrement déterminantes dans l'orientation des flux des marchandises. -
Proposition pour l'organisation et le développement de la pomme de terre au Niger
La pomme de terre est susceptible d'héberger et de transmettre tout un cortège parasitaire (maladies et ravageurs) qui peuvent avoir pour origines le plant le sol ou l'environnement. Il est indispensable de le connaître et de le prendre en compte sans quoi il serait illusoire d'espérer améliorer durablement la production de consommation et à plus forte raison de produire du plant (local). C'est en négligeant cet aspect que beaucoup d'expériences antérieures au Niger et dans d'autres pays ont échoué. Par rapport à ce que nous savons des problèmes européens, de ce que nous avons vu sur le terrain au cours de cette mission et de missions précédentes au Niger et dans les pays voisins, on peut déjà faire quelques constats et attirer l'attention sur quelques problèmes importants. Naturellement, un travail plus approfondi d'identification, de hiérarchisation sera indispensable. -
Mission de prospection et de promotion commerciale de l'oignon du Niger
Le Niger est le premier pays producteur d’oignon de l’espace UEMOA, avec une production annuelle d’environ 500 000 tonnes durant les 5 dernières années. L’oignon du Niger possède diverses qualités organoleptiques et colo métriques spécifiquement rattachées à sa source d’expansion, « Galmi » d’où vient aujourd’hui son nom commercial, « le violet de Galmi ». Le Niger exporte en régime contrôlé1 70% environ de sa production d’oignon vers les pays côtiers de la zone ouest africaine. En termes d’importance des volumes d’oignon du Niger importés, jusque dans les années 2005, la Côte d’Ivoire vient en tête avec 39%2, suivi du Ghana 26%, le Nigéria 25%, le Bénin 5%, le Togo 2% et autres destinations 3%. Du fait de l’importance ces dernières années des offres concurrentielles d’oignon du Burkina, du Nigéria, de la Hollande et récemment de la Chine, les acteurs de la filière oignon du Niger se sont engagés à prendre les mesures de leur ancrage sur leurs marchés traditionnels et œuvrer pour accéder à de nouveaux débouchés. -
Etude de marché et de commercialisation de la pomme de terre au Niger
De nombreuses cultures maraîchères peuvent trouver leur place dans les systèmes agraires du
Sahel dans un double objectif de sécurité alimentaire des familles rurales. La vente des surplus
sur les marchés urbains, nationaux et/ou étrangers peut également constituer une source de
revenus appréciable et contribuer ainsi à la réduction de la pauvreté de petits producteurs.
Parmi ces spéculations, la pomme de terre pourrait occuper une place importante pour la
sécurité alimentaire des populations des pays du Sahel et du Niger en particulier.