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La promotion des cultures maraîchères à travers des petits périmètres irrigués collectifs féminins ou mixtes
Le projet initial vise à améliorer la sécurité alimentaire et les moyens d’existence de 100 ménages agriculteurs du village de Bala-Gouré (Zinder) à travers la promotion des cultures maraîchères. -
Accès au crédit et foncier
La question de l’accès au crédit est une problématique importante pour le développement Agricole. Le problème de la sécurisation foncière est souvent évoqué pour expliquer les difficultés d’accès au crédit en milieu rural. Le foncier peut en effet être pris en compte à deux niveaux pour octroyer un crédit Agricole : Pour s’assurer que la personne dispose d’un droit d’usage ou d’un droit de propriété sur la parcelle où sera fait l’investissement ; Comme garantie d’un crédit. -
Crédit et actes fonciers : quels actes fonciers peuvent être joints au dossier de demande d’un crédit ?
Pour accéder au crédit, les producteurs agricoles doivent fournir un acte foncier aux banques ou instituts de micro-finance. Cet acte foncier permet aux institutions financières de s’assurer que le demandeur a effectivement des droits fonciers sur un terrain identifié et de juger des besoins de financement et de la viabilité du projet en connaissant la superficie du terrain. Il est donc nécessaire que cet acte soit accompagné d’un plan. -
Note sur le financement des clôtures par le crédit agricole dans la région de Maradi
L’une des rubriques récurrentes dans les devis/facture proforma des producteurs de Maradi, demandeurs de crédit agricole avec subvention, est la clôture de leurs sites productifs. Dans le contexte de Maradi, cette clôture peut se justifier. Les producteurs associent généralement l’arboriculture fruitière à la production maraîchère et, puisque les cas de vols sont fréquents, la clôture est perçue comme un moyen de réduire les vols. La clôture permet aussi de matérialiser clairement les limites d’une parcelle. -
Mission de capitalisation des expériences de crédits garantis par le warrantage des produits agricoles
L’idée de relancer le crédit aux producteurs agricole en le garantissant par le warrantage de leurs récoltes a été introduites en 1999 par le ‘’ Projet Intrant ‘’ (MDA/DCV-FAO, sur le financement de la Belgique). -
Evaluation Finale de la Composante 'Crédit' du Programme ASAPI (Appui à la Sécurité Alimentaire par la Petite Irrigation)
La mission d’évaluation s’est déroulée selon les TDR et la méthodologie proposée, avec des
entretiens à Niamey, la consultation de la documentation, les entretiens avec l’UA, les deux
IMF Yarda, les sept agences, les APEC, et les bénéficiaires. Le contexte de la microfinance au Niger est favorable au développement des IMF avec en particulier des réformes réglementaires et l’affiliation obligée à l’ANIP. Les contextes régionaux de Tahoua et Zinder présentent des différences en opportunités de marché, concurrence entre IMF et influence frontalière du Nigeria. Le programme d’Appui à la Sécurité Alimentaire par la Petite Irrigation (ASAPI - 8 NIR 24) a été mis en place dans le cadre du 8ème FED suite à la signature d’une convention de financement en octobre 2000.
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Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : connaissance et utilisation des pesticides
Le pesticide , substance utilisée pour combattre les ennemis des cultures animale,insecte ou plante. -
Les actes des journées de rencontre sur le crédit rural decentralisé
Les journées de rencontre sur le crédit rural décentralisé, ont lieu sous l'initiative du MAG/EL, au Plais des Congrès à Niamey du 3 au 5 Juillet 1995, et ont débuté avec l'allocution prononcé par Monsieur le Ministre de l'Agriculture et de l’Élevage en présence de plusieurs représentants et bailleurs de fonds, d'organisation de coopération bilatérales et internationales, de l'administration, de banque et d'opérateurs de système d'épargne et de crédit. -
Manuel sur la gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Le présent document est élaboré dans le cadre des activités du Programme de Promotion de l'Agriculture Productive (PromAp) financé par la cCoopération Allemande. Il s'inscrit dans les activités de la composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d'améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
L’usage de la bonification d’intérêt pour les crédits agricoles
Le 15 janvier 2013, dans le cadre de son Groupe de travail sur le « financement de l’agriculture », Inter-réseaux Développement rural a organisé, avec l’Agence Française de Développement (AFD), un après midi de présentation et de débat autour du rapport intitulé « Etude sur l’usage de la bonification d’intérêt pour le développement des crédits agricoles » et réalisé par le bureau d’études HORUS Developpement Finance en 2012. Cette étude sera publiée prochainement par l’AFD. 23 personnes ont participé aux échanges animés par François Doligez, membre du Conseil d’administration d’Inter-réseaux. Cette note reprend les éléments principaux de cette rencontre. -
Kundin tahiyarda ayyukan noma wuza ga masu bayarda horo da manoma
Masu bayyarda horo da manoma sune gimshiƙai wajan girka ƙungiyoyin manoma cikin gandari daban. Wata raskwana da aka gudanar bai daya ta nuna cewar masu bayyarda horon da manoman dake cikin wuraren da Projet PromAP ke tahiyarda ayyukan shi na bukatar kari sani kan al4amuran noma. -
Atelier sur le partenariat entre organisations paysannes et institutions de microfinance
Au Niger comme dans la plupart des zones rurales d'Afrique de l'Ouest, les banques commerciales ne sont que faiblement accessible et restent très réticentes à financer l'Agriculture. La microfinance est alors souvent la seule alternative formelle d'accès au financement pour les organisations paysannes et la question des conditions de partenariat entre OP et IMF se pose donc avec acuité. -
Rapport de la mission préparatoire au recrutement d'un ou des opérateur(s) chargé(s) d'exécuter le volet crédit du PADAZ
Au Niger, depuis la fin des années 1980, suite à la liquidation de la BDRN et de la Caisse Nationale de Crédit Agricole (CNCA), le monde rural s'est trouvé dépourvu d'un système de crédit rural. Par rapport à cela plusieurs institutions de microfinance sont encore fragiles; c'est le cas du réseau MCPEC et de Taimoko les plus importantes IMF au Niger en terme de mobilisation d'épargne et de crédit qui sont sous administration provisoire due au problème de détournement et de non maitrise de leur croissance pour ne citer que cela. -
Guide de formation sur les techniques des cultures maraïchères
Le présent guide est conçu pour être utilisé dans le cadre de la formation des exploitants des sites maraichers, est destiné aux encadreurs. Il comporte l'ensemble de la démarche à suivre dans la conduite des cultures maraïchères. -
L’agriculture urbaine et périurbaine : le maraîchage à Niamey (Niger)
Le document que je présente ici se propose d’étudier le développement d’une agriculture qui se pratique dans et en périphérie des grandes villes. C’est-à-dire le maraîchage urbain et périurbain, une Activité complexe dont sa pratique dans la ville de Niamey telle qu’elle peut s’observer, nous donne à voir une implication des personnes d’origine étrangère qui prend forme dans une revalorisation du monde urbain comme milieu privilégié pour repenser la production des légumes. Mais, cette remarque est révolue dans cette thèse qui fait sortir que le maraîchage soit pratiqué à Niamey par des producteurs d’origines migratoires et même des nigériens appartenant à toutes les couches de la société. Cette réappropriation de l’activité urbaine s’opère sur un mode identitaire où les projets individuels sont très importants. L’objectif de ce document est de montrer que le maraîchage contribue à la réduction de l’insécurité alimentaire dans un des pays le plus pauvre au monde et qui se situe au sahel où les conditions climatiques sont difficiles. Ce travail vise aussi à faire sortir que le maraîchage en zone urbaine et périurbaine de Niamey apporte une contribution à la réduction de la pauvreté des personnes qui y sont impliquées. -
Les pré-visites des CRA dans le cadre du crédit agricole avec subvention FISAN
La facilité 1 du FISAN (soutien au crédit agricole) : C’est un financement qui met en place une subvention pour accompagner un crédit, on parle de subvention adossée au crédit. -
Visite d'un jeune ayant suivi la formation des jeunes agriculteurs installé dans la commune de Tahoua
La Chambre Régionale d’Agriculture de Tahoua anime la formation professionnelle, l’installation des jeunes agriculteurs/trices. La formation des jeunes est une activité que mène la CRA avec l’appui du Projet Pôles Ruraux (PPR). A la fin de la formation, 10 jeunes sur les 16 ont décidé de prendre un crédit agricole à la BAGRI pour démarrer leurs activités et ainsi bénéficier de la subvention du PPR. -
Niger : Lac de Guidimouni
Le lac de Guidimouni est situé dans la région de Zinder, département de Damagaram-Takaya, plus précisement dans la Commune rurale de Guidimouni. Il parcourt le long de la RN2 dans les environs de 2000 m sur sa rive droite. Le lac de Guidimouni est situé en zone sahélienne et reçoit en moyenne 300 à 400mm de pluie par an, ce qui fait de lui une zone aux contraintes climatiques moyennes. Il couvre une superficie de 338, 39 ha et forme une dépression endoréique allongée (SW-NE) sur près de 3 km de long et large de 700 m. Le plan d’eau est formé par deux grands étangs dont la profondeur moyenne dépasse rarement 1,5 m. Le lac évolue sur une plaine sableuse légèrement ondulée avec des altitudes variantes entre 390 et 395 m. Il est entouré de collines dont la hauteur maximum dépasse 590 m. Ce Lac, qui a une caractéristique morphologique d’une dépression accentuée, est alimenté de façon permanente par l’eau superficielle et de nappe à travers diverses sources dont la plus importante est la source de ʺGouzgourouʺ. Il a un haut potentiel de mise en valeur. -
Évolution des populations des champignons endomycorhiziens sur les adventices de quatre sites maraîchers de la région de Maradi au Niger
Le rôle important que jouent les endomycorhizes dans l’amélioration de la nutrition minérale et la protection des plantes est aujourd’hui largement reconnue. Cependant dans des pays comme le Niger, peu de travaux leur ont été consacrés. Cette étude a été conduite pour évaluer la mycorhization dans les parcelles de poivron pendant la contre-saison afin de connaitre le moment opportun de les récupérer dans le but de les utiliser ultérieurement dans des programmes de développement des cultures maraichères. Des échantillons de sol et de racines ont été prélevés dans 4 sites sur les 9 principales adventices du poivron. Ils ont été analysés au laboratoire et la densité des spores et l’intensité de l’infection ont été déterminées. Ces deux paramètres ont varié d’un site à l’autre et d’une plante à l’autre. Cinq espèces d’endomycorhizes à vésicules et arbuscules ont été identifiées dont 3 appartenant au genre Glomus et 2 au genre Gigaspora. Acanthospermum hispidum et Solanum nigrum ont été les plantes les plus infectées. Sur les 6 mois de l’étude, les plus fortes densités de spores et d’intensité d’infection ont été enregistrées entre décembre et janvier et les plus faibles en mars. -
Productivité et rôles socio-économiques des cultures maraîchères dans les Communes de Tibiri Gobir et de Madarounfa (Niger)
Le maraîchage est une activité prépondérante qui prend de plus en plus de l’ampleur en milieu urbain et péri-urbain. Les communes urbaines de Madarounfa et Tibiri gobir ne sont pas en reste. Dès lors, l’objectif général de cette étude est d’évaluer la productivité et les rôles socio-économiques des cultures maraîchères sur les sites d’étude. La méthode de collecte des données a essentiellement concerné des enquêtes individuelles et des focus groupes sur chacun des deux (2) sites. Au total 50 producteurs ont été retenus sur chaque site. En vue de confronter les expériences des producteurs, des focus groupes ont été faits. Il ressort de cette étude que dix-huit (18) et dix-sept (17) cultures maraîchères sont pratiquées respectivement à Tibiri gobir et à Madarounfa. Les cultures les plus pratiquées à Madarounfa sont l’oignon avec une proportion de 23% suivi de la tomate (15%), le chou (15%) et de l’anis (15%). Par contre, dans la commune de Tibiri gobir c’est la tomate (28%) qui est la représentée puis viennent l’oignon (18%) et la citrouille (13%). -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : Fiche sur le gombo
Le gombo (Abelmoschus esculentus) est une herbe largement cultivée pour ses fruits qui sont consommés comme des légumes. Abelmoschus esculentus (2n = 130) est probablement un amphidiploïde (allotetraploïde), dérivé de A. tuberculatus (2n = 58), une espèce sauvage de l'Inde, et une espèce encore inconnue avec 2n = 72 chromosomes.Une autre espèce de gombo comestible se trouve dans les régions humides de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. Décrit à l'origine comme une variété botanique (Hibiscus manihot L. var. caillei A. Chev.), il a été reconnu comme une espèce distincte (Abelmoschus caillei (A. Chev.) Stevels). Il n'y a pas de différences apparentes d'utilisation entre le gombo ordinaire (A. esculentus) et le gombo d'Afrique de l'Ouest (A. caillei), c'est pourquoi ils sont souvent mis dans le même groupe. Morphologiquement, le gombo ouest-africain diffère à plusieurs égards, mais son épicalice offre les meilleures caractéristiques discriminantes avec 5-10 segments ovales libres, 10-35 mm x 4-13 mm. -
Document du formateur : la protection de la tomate
La gestion intégrée des ravageurs et maladies est un système de lutte qui emploie toutes les techniques et méthodes appropriées pour maintenir la population des ravageurs à des niveaux limitant les dommages : utilisation de variétés résistantes/tolérantes, pratiques de culture appropriées et application rationnelle de pesticides (en mettant l’accent sur les pesticides biologiques). -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraichères au Niger : protection de la tomate (module de formation)
Le développement des cultures irriguées à la fois en termes d’espaces mais également en termes de périodes de production entraine une augmentation de la pression des ravageurs et maladies. A cela s’ajoute l’apparition de nouveaux ravageurs. Le manque de connaissances des producteurs maraîchers sur les ravageurs et maladies des cultures ainsi que sur les différentes méthodes de lutte entraine des pertes très importantes et une utilisation abusive et/ou inappropriée des pesticides chimiques. -
Onion cultivation system and spatial distribution centers in Tahoua/Niger
Onion farming is the main irrigated crop that contributes to the economy of the Tahoua region, Niger. There are two factors that promote the outstanding potentialities of onion cultivation in Niger: the best productive variety “Violet Galmi”, and it is well adapted to storage. It is produced during both growing seasons which creates a permanent local supply of onions all year. Much of the producing areas are not accessible by road, which inhibits the marketing network. Farmers are in need of an improved transportation system in order to further develop onion production. The Violet of Galmi is grown by all the onion producers of Niger. This onion has a major importance in the socio-economic life of the Nigerien population. The consumers appreciate its cooking qualities and spicy taste. It also has a commercial advantage in the local and the sub-regional markets. -
Effet de NPK (15-15-15) sur la production des écotypes d’oseille de Guinée (Hibiscus sabdariffa L.) au Niger
L’oseille de Guinée (Hibiscus sabdariffa L.) est une culture importante en raison de ses feuilles, calices et graines qui jouent un rôle socio-économique considérable pour les populations du sahel. L’objectif principal de ces expérimentations est d’évaluer l’effet de la fertilisation minérale de NPK (15-15-15), afin de déterminer la dose optimale pour une production en calice, en feuilles et en graine de l’oseille de Guinée. Elles ont été conduites à Tara/Gaya (11°53’N et 3°19’E) et à Tarna/Maradi (13°27’N et 7°06’E) au cours de la saison de pluvieuse 2017. Le dispositif expérimental utilisé dans cette expérimentation a été un split plot en blocs randomisés à quatre (4) répétitions avec les écotypes en parcelles principales et les coupes d’apex en parcelles secondaires. Les résultats obtenus ont montré que l’apport de NPK a permis d’augmenter les rendements en feuilles, en calices et en graines aussi bien à Tara qu’à Tarna. Cette augmentation était d’environ 15% à Tara, contre 30% à Tarna. La dose optimale de NPK (15-15-15) pour une meilleure en amélioration de la production en oseille de Guinée est de 25 kg ha-1. Nous espérons que des études doivent être poursuivies dans les autres zones-climatiques du Niger pour mieux confirmer l’effet de la fertilisation minérale sur le rendement en oseille de Guinée. -
Distribution et perspectives pour les produits maraîchères au Niger
Le Niger, le pays le plus sahélien des pays du Sahel, doit faire face à un déficit alimentaire chronique qui devient de plus en plus aigu. L’accroissement rapide de la population (3,2 % par an) et les sécheresses des deux dernières décennies sont à l’origine de ce déficit. La production agricole stagne depuis plusieurs années. La situation est d’autant plus préoccupante que les productions sont principalement des productions céréalières pluviales (mil, sorgho) et que les ressources naturelles (sol, eau, couvert végétal) sont menacées de dégradation. Une des mesures prises par le Gouvernement pour surmonter cette situation est l’intensification et la diversification des productions agricoles, en particulier par la production de cultures irriguées de contre-saison et plus particulièrement de cultures maraîchères (oignon, ail, chou, laitue, tomate et haricot vert). -
Les bonnes associations de plantes et celles à éviter
Les producteurs ont souvent mal associé les cultures. Cette pratique à des impacts négatifs sur le rendement. Cette affiche vient élucider les producteurs sur les bonnes associations de plantes et celles à éviter. -
Note de politique sur le développement du crédit agricole au Niger
Cette note politique a été préparée dans le cadre du programme d’appui FIRST à l’amélioration de l’inclusion financière au Niger. Cette étude a pour but d’améliorer les connaissances d’éclairer les choix des politiques adoptées par le Gouvernement Nigérien en ce qui concerne la finance agricole. -
Rapport d’activités 2016 financement de l’agriculture : subventions adossées au crédit agricole activités des Chambres Régionales d’Agriculture et du RECA
Dans le cadre de la Stratégie de l’initiative 3N, il est prévu de mettre en place le Fonds d’Investissement pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (FISAN), avec comme objectif de créer une offre de services financiers appropriée pour répondre aux différents besoins des producteurs agro-sylvo-pastoraux et halieutiques et des entreprises agricoles. -
Analyse des variétés des cultures introduites en période de grande chaleur
Le maraîchage en irrigué constitue une activité qui occupe une grande partie de la population d’Agadez. Il se pratique le long des vallées, sur toute l’année avec trois (3) campagnes principales. Chaque campagne a ses spécificités en termes de caractéristiques climatiques et, la plus difficile pour les producteurs est la campagne sèche chaude qui se caractérise par :
• un problème d’eau dans les puits ne permettant pas de mettre en valeur des grandes superficies
• une grande chaleur qui ne permet pas aux producteurs de produire toutes sortes de cultures. -
Étude du marché des produits maraichers du Niger
L'étude du marché des produits maraichers du Niger a pour objet d'analyser le potentiel organisationnel de la Fédération des Coopératives maraichères du Niger (FCMN) et de ses coopératives membres et les mécanismes de commercialisation des produits maraichers afin d'améliorer les circuits d'écoulement sur les marchés locaux et étranger. -
Maraichage et ennemis des cultures au Niger : comment y faire face ?
Cette émission radio a été préparée par le Studio Kalangou. Elle se penche sur les cultures maraichères et leurs ennemis. -
Adaptation de l'agriculture au changement climatique au Sahel : profils agronomiques de quinze cultures dominantes au Sahel
Le présent document fait partie d’une série d’études publiées par le projet Résilience africaine et latino-américaine au changement climatique (ARCC) visant à répondre aux besoins d’adaptation au changement climatique en Afrique de l’Ouest. Dans le cadre des études ARCC pour l’Afrique de l’Ouest, le présent document fait partie de la sous-série portant sur l’Adaptation de l’agriculture au changement climatique dans le Sahel. L’ARCC a également produit une sous-série sur le Changement climatique et les ressources en eau d’Afrique de l’Ouest, le Changement climatique et les conflits en Afrique de l’Ouest et le Changement climatique au Mali.