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L’insémination artificielle et la gestion de troupeaux de sélection
Ce petit manuel de formation à l’insémination artificielle (I.A.) a été préparé dans le but de donner les connaissances essentielles pour les personnes débutant dans ce domaine. On donnera d’abord des rappels d’anatomie et de physiologie de l’appareil reproducteur, ensuite on décrira comment collecter et conserver la semence et enfin comment inséminer artificiellement les femelles. Par ailleurs, on voudrait également atteindre un autre objectif : la sensibilisation des personnes travaillant dans ce domaine et dans celui de l’élevage au sujet des avantages de l’I.A., en vue de favoriser l’amélioration du cheptel animal en milieu tropical et subtropical. L’amélioration du rendement et de l’efficience reproductrice sont certainement les deux objectifs principaux de l’insémination artificielle. -
Bâche élevage Niger 2015
Activité principale ou secondaire, l’élevage occupe 87¨% des populations du Niger. Plus de 41millions de tètes toutes espèces confondues soit: 3451 milliards de capital bétail. L’élevage contribue à hauteur de 11% du PIB du pays et 24% au PIB agricole 1er rang des recettes totales d’exportation des produits Agro sylvo pastoraux (22%)
2ème source de revenu d’exportation du pays, juste après les ressources minières. -
Document cadre pour l' amélioration de la résilience de l'élevage face à la variabilité et au changement climatique
au Niger.La variabilité et les changements climatiques (CC) constituent une menace importante pour le développement économique et risquent de compromettre les chances de relever les défis de réduction de la pauvreté. Or, l’intégration des CC au processus de planification du développement représente encore un défi pour les pays de l’Afrique au Sud du Sahara. -
Le dromadaire et l’oasis : du caravansérail à l’élevage périurbain
Les relations entre le dromadaire et l’oasis relèvent d’une certaine ambiguïté car le dromadaire, animal du nomade par excellence, marque les territoires désertiques de sa mobilité alors que l’oasis est, par essence, un point d’attache. Si, au cours de l’histoire, le dromadaire ne pénétrait en ville que pour les étapes
caravanières (les caravansérails), il n’y demeurait que rarement sauf à jouer les auxiliaires pour l’agriculture
oasienne. L’évolution des systèmes de production, l’augmentation de la demande en protéines animales pour approvisionner une population urbaine grandissante, ainsi que les espérances sociales des éleveurs nomades en matière d’éducation et de santé ont contribué à modifier la relation entre les élevages de dromadaire et la ville oasienne. Le développement d’un élevage camelin périurbain tant pour l’approvisionnement en lait qu’en viande a bouleversé les antiques liens entre nomades et sédentaires, se traduisant par une interpénétration accrue des activités portées par les uns et les autres. L’article s’appuie sur plusieurs exemples des évolutions constatées en Afrique saharienne (Mauritanie, Algérie, Tunisie), au Sahel (Tchad, Niger), au Moyen-Orient (Arabie saoudite) et en Asie centrale (Kazakhstan, Turkménistan). -
Fonctionnement des élevages camelins de la zone périurbaine d’Agadez au Niger : enquête typologique
Le cheptel camelin est tributaire des ressources fourragères des parcours naturels dont le développement est soumis aux aléas de la pluviométrie, très mal répartie dans le temps et l’espace. Pour exploiter ces parcours, l’une des stratégies adoptée par les éleveurs est la mobilité. Cependant, depuis un certain temps, les mutations climatiques, socio-économiques et les conditions d’une urbanisation accélérée imposent de plus en plus des changements dans la règle de gestion des élevages. -
Elevage camelin au Niger : référentiel zootechnique et sanitaire
Ce guide présente les résultats issus d'un suivi des troupeaux camelins au Niger durant plusieurs années -
L’élevage camelin, un apport important dans la lutte contre la pauvreté au Niger
Présentation de données de synthèse sur l'élevage camelin au Niger -
L'élevage des bovins, ovins, caprins au Niger
Les grandes régions d'élevage sont la zone pastorale au nord la zone centrale ou intermédiaire et la zone Sud ou agricole (figure 1.4.). L 1 élevage est conduit sous divers modes représentés par le nomadisme, la transhumance, 1;61evage sédentaire et l'élevage amélioré. Les principales espèces exploitées sont les bovins; ovins; caprins, camelins~ équins et asins (figure 1.5. et Tableau 1.1.). -
Promouvoir le lait local au Sahel
La filière lait local au Niger est en changement : de plus en plus d’éleveurs commercialisent régulièrement des quantités importantes de lait cru, les industriels semblent s’intéresser davantage au lait cru même si leur matière première reste majoritairement de la poudre importée.
Dans ce contexte, les centres de collecte ou les mini-laiteries peuvent jouer un rôle essentiel dans le développement de la filière lait local. Mais quelles différences entre ces deux types d’unités laitières ? -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande / Embouche bovine
L’embouche est une technique d’élevage intensif d’engraissement, conduite par les agriculteurs en fin des récoltes sur des animaux maigres entretenus en semi-liberté ou en stabulation totale dans les concessions et/ou dans des fermes. Les animaux sont le plus souvent sous abris et l’abreuvement se fait à volonté. Elle vise principalement la production de viande dans un temps relativement court.
L’alimentation des animaux est principalement basée sur l’utilisation des résidus de récoltes, la paille de brousse, des aliments concentrés (son de céréales) et des sous-produits agro-industriels (tourteaux de coton…).
Le fumier produit sert à la fertilisation des champs. Il existe plusieurs types d’embouche dont l’embouche commerciale, l’embouche paysanne et l’embouche industrielle. -
Evaluation socio-économique du potentiel de diffusion du zébu Azawak sélectionné au Niger
Le zébu Azawak est en sélection à la station de Toukounous depuis 1954, la multiplication étant assurée dans les centres secondaires de multiplication de bétail de Fako et Ibécétane. Actuellement, cette sélection a obtenu des progrès génétiques substantiels, cette race présente de très bonnes aptitudes laitières (10 litres de lait par jour en station) et bouchères (550 kg en station). Depuis quelques années, l’amélioration des autres races bovines locales privilégie le croisement avec le zébu Azawak par l’insémination artificielle ou la monte naturelle.
La présente thèse contribue à l’évaluation du potentiel de diffusion du zébu Azawak dans les systèmes d’élevage traditionnels au Niger par l’étude (1) des motifs d’élevage et critères en usage pour la sélection des reproducteurs de zébu Azawak dans les systèmes d’élevage traditionnels (correspondant à une caractérisation du contexte de l’amélioration), (2) des préférences des éleveurs et de leurs dispositions à payer pour les qualités recherchées (correspondant à une caractérisation de la demande en amélioration génétique), (3) des gains attendus de la sélection et de la diffusion (correspondant à une caractérisation de l’offre en amélioration génétique) et (4) de la perception, parmi les bénéficiaires-cibles et les autres acteurs du système d’innovation, des priorités, voies et moyens de l’amélioration génétique bovine au Niger (correspondant à une rencontre entre l’offre et la demande). -
La place de la production laitière en zone sahélienne du Niger
Le Sahel est la zone semi-aride de l'Afrique tropicale bordant le Sahara vers le sud dont elle subit l'influence climatique. Cette zone s'étend sur une largeur de 200 à 300 km de l'Atlantique à l'Océan Indien, et va des isohyètes de 150 à 200 mm au nord et 600 à 700 mm au sud en années normales. -
Projet de réhabilitation du périmètre laitier de Dembou
Au Niger, environ 20% de la population sont impliquées dans la production animale et 80% de totale exerçant des activités liées à des degrés divers au secteur de l'élevage qui occupe actuellement le deuxième rang après l'uranium dans l'économie. -
Rapport annuel 2019 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2019, le cheptel est estimé à 50.528.787 têtes toutes espèces confondues soit 19.921.981 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 400 milliards de francs CFA. -
Référentiel technico-économique de l'embouche bovine : 1er édition 2011
L’embouche bovine est une activité prévue par le PRODEX pour booster la production de viande de qualité et compétitive pour répondre à la forte demande nationale, sous régionale et internationale de viande de bovin d’origine nigérienne.Le potentiel est énorme, puisque le Niger compte en 2009 un important cheptel bovin estimé à 9 261 642 en 2009. -
Amélioration de la conduite alimentaire des troupeaux allaitants
L'élevage laitier en dépit de sa proximité de la ville et des dépenses importantes engendrées par l'alimentation, est confronté à un faible niveau de performance de production. Ceci est du à plusieurs raisons, à savoir notamment le bas niveau nutritionnel, le faible potentiel génétique des animaux, la non maitrise de santé animale et le faible niveau technique des éleveurs. -
L'élevage au Niger
Le Niger a une économie essentiellement basée sur l'agriculture et surtout l'élevage, qui représente plus de 35% du PIB afférent au secteur rural et constitue la seconde recette d'exportation (17,8% en 1992) derrière l'uranium. La valeur du capital-bétail est évalué à 400 milliards de francs CFA. -
Opération de déstockage au Niger : leçons apprises en 2010
Avec 32 millions de têtes toutes espèces confondues, le Niger est sans conteste un pays d’élevage. Cette activité, outre sa forte contribution à l’économie nationale, participe significativement aux stratégies de lutte contre la pauvreté au sein des ménages. Toutefois, les sécheresses récurrentes qui sévissent au Niger constituent un risque majeur pour le bétail. Les années de sécheresse se traduisent par des déficits fourragers dont les conséquences sur le cheptel sont les mortalités, les chutes de poids et de production, les avortements. -
Pratiques d’éleveurs et résultats économiques d’élevage dans les exploitations urbaines et périurbaines de Niamey
Cette étude a été conduite afin de caractériser les pratiques d’élevages dans la communauté urbaine de Niamey. Il a été réalisé une enquête transversale à l’issue de laquelle 344 éleveurs ont été enquêtés dans 27 quartiers et 9 villages agricoles. Les résultats ont montré que la pratique d’élevage repose le plus souvent sur la passion (50,19%) et l’héritage (45,65%) respectivement en milieu urbain et périurbain. L’élevage ovin prédomine et l’allotement est quasi inexistant. Les animaux sont majoritairement élevés soit dans des habitats couverts en matériaux provisoires, soit sans habitat. La main d’œuvre utilisée est principalement familiale (86,51%) en milieu urbain et (58,06%) en périurbain. -
Performances de reproduction et de production laitière de la vache taurine de race Kouri au Niger
Le kouri est une race taurine bien adaptée à l'environnement du Lac Tchad. Dans ces zones, L’élevage du kouri représente une contribution essentielle aux moyens d'existence des ménages. Une enquête a été conduite dans 140 ménages de la région de Diffa au Niger, en vue d’analyser les pratiques d’élevage en lien avec les performances de production et la conservation de ce taurin. La caractérisation zootechnique de la race a eu lieu au centre de Sayam à Diffa. -
Utilisation de la barymétrie pour l’estimation du poids chez le zébu Azawak au Niger
L’objectif de cette étude a été de déterminer des équations barymétriques
applicables au zébu Azawak. Pour cela, des pesées et 12 types de mensurations ont été effectuées chez 343 zébus Azawak pendant trois mois, à la station sahélienne expérimentale de Toukounous au Niger. Les animaux étaient essentiellement jeunes (74 p. 100 avaient au plus deux ans d’âge). Parmi les 12 types de mensurations, trois (le périmètre thoracique, la hauteur au garrot et la longueur scapulo-ischiale) ont été retenues pour établir la barymétrie en raison de leur corrélation avec le poids. La corrélation du poids avec le périmètre thoracique (r = 0,97) ou avec la longueur scapulo-ischiale (r = 0,96) a été plus élevée qu’avec la hauteur au garrot (r = 0,92). -
Atelier sur les stratégies de développement de l’élevage dans la zone pastorale au Niger
Dans son Plan Quinquennal 1979-1983 et dans son Plan Intérimaire de Consolidation 1984-1985, le Gouvernement de la République du Niger s'est assigné comme objectifs prioritaires la recherche de l'autosuffisance alimentaire au niveau national, l'instauration d'une Société de Développement et la recherche d'une indépendance économique. -
L’élevage et les conditions de vie des ménages au Niger : une analyse descriptives de l’enquête sur les conditions de vie des ménages et l'agriculture (ECVMA 2011)
L’étude est basée sur les données de l’Enquête Nationale sur les Conditions de Vie des Ménages et l’Agriculture (ECVMA), réalisée par l’Institut National des Statistiques (INS) entre juin et décembre 2011. L’enquête a été initiée par le Projet sur la mesure des conditions de vie - Enquêtes intégrées sur l'agriculture (LSMS-ISA) de la Banque Mondiale, grâce au financement de la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) par l’intermédiaire du Projet Régional « Améliorer les données sur le secteur de l’élevage en Afrique » (LDIAP). L’UNICEF, le Programme Alimentaire Mondiale et le Projet de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO) ont également participé au financement des opérations. L’intégration d’un module sur l’agriculture aux enquêtes sur les conditions de vie des ménages est une initiative récente qui permet d’obtenir des informations détaillées sur un ensemble d’activités agricoles, notamment sur l’élevage qui nous intéresse plus particulièrement dans ce rapport.