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Coopération entre la Commission Européenne et la République du Niger -- Rapport annuel 2008
Ce rapport fait le point sur l'état de mise en œuvre des programmes en cours , dans les domaines prioritaires de la Coopération, (8ème et 9ème FED). -
Coopération entre la Commission Européenne et la République du Niger -- Rapport annuel 2007
Le document parle du partenariat entre la Commission européenne et le Niger.
Il dresse le bilan d’exécution des programmes en 2007, à travers des Fiches projets par domaine d’intervention. -
La lutte contre la pourriture blanche et sèche -- Fusarium oxysporum
Cette affiche présente les symptômes de la maladie "Fusarium oxysporium"et les méthodes de luttes appropriées -
Carte des acteurs – PromAP Composante 1
Ce document présente les acteurs du PromAP par composantes. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Ce manuel a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation.
Il est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des compétences des producteurs dans le domaine de la PI. Il donne aux fmateurs des références théoriques et pratiques pour mettre en oeuvre des actions de formations. LE MANUEL Structuré autour des dix module dont (6 sur les maladies , les ravageurs et les actions de lutte; et 4 autres sur :
la gestion des nématodes parasites des cultures . -
Utilisation des pesticides - gestion intégrée des ennemis des cultures
Utilisation des pesticides - gestion intégrée des ennemis des cultures -
Protégeons nos enfants des pesticides -- Guide visuel d’animation
Ce guide visuel présente comment réduire l’exposition des enfants aux pesticides; comment identifierque les enfants sont exposés aux pesticides, la description des effets négatifs des pesticides sur la santé et pourquoi les enfants sont plus exposés; il aborde aussi ce qu'il faut faire pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides .
Il aide à partager l’information au sein de la communauté pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides. -
Mission de pré-identification - Programme d'appui aux acteurs non étatiques - 9ème FED - Etat des lieux des acteurs non étatiques au Niger
Ce rapport de mission présente une analyse des acteurs non étatiques (ANE) au Niger, afin de contribuer à l’identification d’un futur programme d’appui à ces acteurs. Ce programme devrait les renforcer, pour augmenter leurs capacités de contribuer à la lutte contre la pauvreté. -
Programme d'Appui au Développement des Organisations paysannes de Moriben
Ce document présente la Fédération des Unions des Groupements Paysans du Nigër"(FUSPN-Môortbeh) compte parmi les toutes premières organisations paysannes constituées librement, par les paysans eux-mêmes, en dehors du système coopératif contrôlé par l'Etat. -
Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge. Document 5
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ? Haoussa Document 5
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ? Haoussa Document 1
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
D’où vient Tuta ?
La Tuta viendrait de l’Amérique puis en Europe (Espagne et France) puis en Afrique par le Sénégal. Elle est identifié pour la première au périmètre irrigué de Burburkadé dans la comme 1 de Niamey -
Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ? Haoussa Document 4
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ? Zarma Document 2
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Quand commence l’araignée rouge où la trouve–t-on au Niger ?
- 4. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Comment reconnait-on la chenille du maïs ?
Cet élément vocal est tirée d'une émission radio diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
En 2016, une nouvelle chenille est arrivée en Afrique. Elle s’est répandue dans de très nombreux pays (Nigeria, Bénin, Togo, Afrique du Sud, etc.) où elle a fait des dégâts très importants sur le maïs. Cette chenille est appelée chenille du maïs et a pour nom scientifique Spodoptera frugiperda. Elle a été trouvée pour la première fois sur le maïs en novembre 2016 à Torodi et à Maradi. Depuis, elle se trouve dans toutes les régions du Niger.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Comment reconnaît-on la chenille du maïs ?
- 2. Quels sont les dégâts provoqués par Spodoptera ?
- 3. D’où vient Spodoptera et où se trouve-t-elle au Niger ?
- 4. La chenille du maïs est aussi un danger potentiel pour nos céréales
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre la chenille du maïs ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
La lutte contre l’alternariose sur l’oignon: Alternaria porri
L'alternariose, ou brûlure alternarienne, est le nom générique d'une série de maladies fongiques dues à diverses espèces de champignons des genres Alternaria ou Ulocladium. La tache pourpre est une maladie des climats chauds et humides. C’est une maladie commune de l’oignon qui peut être très destructive. Elle cause également de grandes pertes économiques chez les porte-graines lorsque les hampes florales sont affectées et détruites. La tache pourpre affecte principalement l’oignon et le poireau, plus rarement l’ail. Les oignons espagnols sont plus sensibles que les oignons jaunes. -
La lutte contre l’araignée rouge : Tetranychus urticae
Appelés aussi tétranyques, araignées jaunes selon les espèces et le stade, révélant d'autres couleurs (orange, verdâtre). On les appelle aussi tétranyques tisserands car ils tissent de fines toiles.
• L’arraignée rouge produit des minuscules taches punctiformes* chlorotiques plus ou moins dispersées apparaissant sur et sous le limbe des feuilles. Ce dernier jaunit progressivement et la feuille finit par roussir, voire se dessécher lors d'attaques sévères. Des nombreuses espèces de Tetranychus présentes dans le monde. On rencontre T. urticae (= T. cinnabarinus), T. neocaledonicus, T. gloveri, T. evansi. Ces espèces se ressemblent beaucoup et ne sont identifiables que par des spécialistes.
• Très polyphages, elles se développent sur plusieurs centaines d'hôtes cultivés ou non, dont la plupart des cultures maraîchères, notamment la tomate, l'aubergine, les cucurbitacées, et le haricot.
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La lutte contre le flétrissement de la tomate : Ralstonia solanacearum
Ralstonia solanacearum est une bactérie tellurique Gram - ; elle est présente surtout dans les régions tropicales, semi-tropicales et tempérées chaudes. Comme son nom l'indique, Ralstonia solanacearum conduit au flétrissement rapide des jeunes feuilles aux moments les plus chauds de la journée, souvent réversible durant la nuit dans un premier temps. Par la suite, les flétrissements se manifestent soudainement et deviennent permanents. Il faut noter l'absence totale de symptômes sur fruits. Assez rapidement, les tissus affectés se nécrosent et se dessèchent, et de nombreuses plantes finissent par mourir. -
Stratégie de mise en œuvre du projet de développement ASAPI
La stratégie du projet de développement ASAPI est fondée sur la pérennisation de ses interventions et la recherche d'une meilleure cohérence de mise en œuvre des actions. -
La chenille légionnaire du maïs Spodoptera frugiperda
En 2016, une nouvelle chenille est arrivée en Afrique. Elle s’est répandue dans de très nombreux pays (Nigeria, Bénin, Togo, Afrique du Sud, etc.) où elle a fait des dégâts très importants sur le maïs. Cette chenille est appelée chenille du maïs et a pour nom scientifique Spodoptera frugiperda. Elle a été trouvée pour la première fois sur le maïs en novembre 2016 à Torodi et à Maradi. Depuis, elle se trouve dans toutes les régions du Niger. Encore plus grave, cette chenille a attaqué le mil en saison des pluies à Maradi (plusieurs milliers d’hectares) mais aussi à Torodi. Elle est donc un véritable danger potentiel pour les cultures céréalières et il faut la connaître pour pouvoir lutter contre elle. -
Tsutsar masara da ake cema da turanci : Spodoptera frugiperda
A shekara ta 2016, wata sabuwar tsutsa ta bayana a kasar africa,wanan tsutsar.ta.mamaye.kasashen.africa da dama kamar su nigeria,benin,togo,africa ta kudu da sauran su ; tsutsar masara.spodoptera frugiperda tayi banna sosai a cikin gonankan masara. Wannan tsutsar masara ana.ce mata spodoptera frugiperda a turance,an ganota ne a karon farko jikin masara a garin torrodi.da maradi shekara ta 2016 ;tun daga wanan lokaci sai ta bazu a dukan fadin kasa. Abun.al’ajabi wanan tsutsar bata tsaya ga masara kadai ba, a lokacin daminar bara a garin maradi da.torodi ta apkama gonankan hatsi inda tayi bana sosai ;wanan tsutsa dai babbar matsala ce ga hatsi.da dawa, ya kamata manoma su nemi saninta don su yaketa. -
Kolkoto noonizo kan si gane annasarakine ga spodoptera frugiperda
Annasara jiiri 2016 nga no noonize tagi fo bangay iri africa laabu bobo yan ra,laabey kan yan ra a go nga gati(nigeria,benin,togo afrique du sud,kala ama koy laabu gerey ra) nankanyan ana hasarawo bobo te kolkoto ga. I sintin ga diya Torodi nda Maradi gandara novembre hando 2016, sonhon nango bobo na go iri niijer laabo ra. Nankan haya ga hunburandi koyne noonizo din halada haynay nadi manan kayidiya wate, Maradi Torodi batama beeri yan ra yadin ga hasarawo bobo no aga te dumizey kan yan I ga fare bon ihima no ga fondo konno sanbu ga duga tangame nda. -
Alternariose sur oignons à Gotheye
Le périmètre irrigué du groupement féminin Wafakeye de Gotheye compte 12 ha cultivés par 113 femmes en bordure du fleuve Niger. L’oignon représente 80% des cultures. En janvier, l’oignon a subit des attaques sévères des feuilles, celles-ci se dessèchent à partir des extrémités.
L’attaque a commencé dans les pépinières et s’est étendue rapidement sur les planches d’oignons à proximité. Les productrices dont les parcelles sont atteintes sont obligées d’arracher leurs oignons même s’ils ne sont pas à maturité, sinon la récolte est détruite. C’est donc très grave. Ces attaques sont fréquentes depuis au moins 10 ans. -
Reconnaître les ravageurs au stade larvaire : araignée rouge, mouche blanche, puceron, thrips.
Lors des formations des animateurs et conseillers en maraîchage sur la protection phytosanitaire, les ravageurs sont abordés les uns après les autres. Pour chaque ravageur, il est examiné les différents stades : larves, pupes ou nymphes et adultes. Lors du suivi des animateurs, il est apparu des difficultés à identifier les ravageurs les plus petits, notamment aux stades larvaires. Or, identifier précocement les ravageurs est très important pour intervenir rapidement surtout pour les ravageurs ayant une très forte capacité de multiplication. C’est le cas de l’araignée rouge, la mouche blanche, les pucerons et les thrips. Le premier est un acarien, les trois autres sont des insectes. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur le moringa au Niger
Au cours d’entretien avec les revendeurs des produits maraîchers du « petit marché » de Niamey en début décembre, ceux-ci ont expliqué que cette année le prix du moringa n’avait pas baissé après la fête du Ramadan car le moringa était « attaqué », ce qui entraine une baisse de la production. -
ALERTE / Tuta absoluta a refait son apparition sur les tomates
En février 2013, les premières attaques de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) avaient été signalés dans des parcelles du village de Bourbourkabé situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. Par la suite, il est apparu que ce nouveau ravageur était également présent dans les régions d’Agadez, Niamey et Tillabéri. Les dégâts enregistrés par les producteurs ont été très importants dans de nombreuses localités. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur les agrumes au Niger
A 100 km au sud de Niamey, dans une ferme isolée (20 km de la route bitumée), les orangers sont malades. Cette maladie attaque différents agrumes. Les orangers, citronniers et pomelos sont considérés comme très sensibles. Les tangelos, dont la production est très importante au Niger, sont considérés comme sensibles à moins sensibles. -
Lutte intégrée contre les nématodes parasites des cultures maraîchères
Dans les pays du Sahel, les nématodes parasites des cultures constituent un facteur limitant à la production maraîchère. Pour minimiser les pertes de rendements qu’ils occasionnent, les producteurs ont à leur disposition plusieurs méthodes de lutte. Mais aucune d’elles n’est efficace si elle est utilisée individuellement. D’où est né le concept de lutte intégrée. -
Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation ?
Au sahel, les cultures subissent une pression parasitaire très importante, surtout celle exercée par les nématodes sur les cultures maraichères. Avec l’intensification de l’irrigation, ces ravageurs sont actuellement devenus un des problèmes phytosanitaires les plus préoccupants sur les cultures, à tel point que certains n’hésitent pas à les qualifier d’ennemis des maraichers ou de ravageurs sournois car leurs attaques passent le plus souvent inaperçues. -
Note de présentation du microprojet d’équipement du groupement féminin Kila Kil de Diffa pour la transformation du poivron - perspectives d’appui et d’accompagnement
Le document du microprojet commence par la phrase « la transformation du poivron est une activité prometteuse ». C’est sans doute vrai car c’est écrit dans tous les rapports sur la filière poivron de la région de Diffa… depuis des années. Il est également régulièrement signalé que la transformation en poudre reste marginale, la majorité du poivron produit chaque année dans la région est vendue séchée (5.000 à 8.000 tonnes de poivron sec suivant les sources) et la plus grande partie prend la direction du Nigeria pour y être transformée… en poudre. Cette part modeste de poivron transformé en poudre ravitaille le marché local de Diffa et aussi les villes de l’ouest jusqu’à Niamey. -
Gestion de la chenille mineuse de l’épi du mil par des lâchers du parasitoïde Habrobracon hebetor Say au Niger
La chenille mineuse de l’épi du mil, Heliocheilus albipunctella De Joannis, est l’un des principaux ravageurs du mil en zone sahélienne. En 2015 et 2016, une démarche de lutte biologique de grande envergure a été initiée par des lâchers du parasitoïde antagoniste ectolarvaire Habrobracon hebetor Say dans les cinq régions du Niger. Des équipes incluant les organisations de producteurs ont été mises en place pour la sensibilisation des agriculteurs, l’identification des zones d’infestation du ravageur et la mise en place de 9177 sacs de lâcher. Les surfaces couvertes ont été estimées à 1 417 680 ha en 2015 et 1 521 330 ha en 2016 soit 21% des surfaces en mil dans les régions concernées. Les évaluations menées au cours des deux années ont permis de noter une augmentation des taux de parasitisme de la chenille mineuse de 168 à 1398% dans les villages de lâcher par rapport aux villages témoins. L’enquête sur la perception a révélé une appréciation positive de 77% des répondants. Ils ont estimé la mortalité moyenne des larves du ravageur à 76% et les gains de rendement à 50%. -
Fiche technique : les pucerons du poivron
Les agents responsables des principales attaques sur les cultures de poivrons sont des insectes phytophages (qui se nourrissent des plantes), des acariens, les nématodes et des virus. Une lutte efficace contre ces ennemis des cultures implique la connaissance de leur biologie (mode de vie, caractéristiques naturelles, …). -
La maladie du rabougrissement de l’arachide : observations sur champ
En Afrique deux maladies virales peuvent entrainer une baisse de production, il s'agit du rabougrissement de l'arachide et de la rosette de l'arachide. -
La mosaïque africaine du manioc, une maladie ignorée des producteurs au Niger
Le manioc (Manihot esculenta Crantz) est cultivé dans près d’une quarantaine de pays d’Afrique. En 2012, la production au Niger se chiffre à plus de 100 000 tonnes obtenues sur environ 7 000 hectares. Cette production représente près de 45 482 tonnes en équivalents céréaliers (Rép. Niger, 2012). Au vu de cette importance dans l’alimentation des Nigériens, toute menace sur la production doit être considérée comme une atteinte à la sécurité alimentaire, et de ce fait être sérieusement combattue. La plus grande contrainte biotique1 à la production de manioc au Niger est sans contexte la Mosaïque Africaine du Manioc (ou African cassava mosaic disease, ACMD), maladie qui sévit dans toutes régions productrices de notre pays. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger.
Le développement des cultures irriguées, à la fois en termes d’espaces mais également en termes de périodes de production, entraine une augmentation de la pression des ravageurs et maladies. A cela s’ajoute l’apparition de nouveaux ravageurs. Le manque de connaissances des producteurs maraîchers sur les ravageurs et maladies des cultures, ainsi que sur les différentes méthodes de lutte, entraine des pertes très importantes et une utilisation abusive et/ou inappropriée des pesticides chimiques. Quand un producteur voit sa parcelle, et donc son gagne-mil (adaptation de l’expression gagne-pain) se faire rapidement dévorer et détruire par des ravageurs, il prend la décision la plus facile ou rapide et court acheter un « médicament », un flacon, une boite ou un sachet de pesticides chimiques auprès d’un vendeur de proximité. C’est souvent trop tard et pas très efficace. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger -- Document technique : la protection de la tomate
La gestion intégrée des ravageurs et maladies est un système de lutte économique qui emploie toutes les techniques et méthodes appropriées pour maintenir la population des ravageurs à des niveaux limitant les dommages : utilisation de variétés résistantes/tolérantes, pratiques de culture appropriées et l’application rationnelle de pesticides (en mettant l’accent sur les pesticides biologiques). La tomate est une des cultures les plus répandues à travers le monde. La tomate est cultivée partout au Niger pendant les trois saisons : saison sèche fraiche, saison sèche chaude et saison hivernale. La production principale se situe pendant la saison sèche fraiche. La tomate est un légume fruit de la famille des solanacées, c'est-à-dire de la même famille que le poivron, la pomme de terre, l’aubergine ou le piment. Cela signifie que certains ravageurs seront communs à ces plantes de la même famille et surtout qu’il ne faut pas qu’elles se succèdent dans la rotation. -
Fiche technique : préparation d’une solution aqueuse de neem contre les ravageurs des cultures maraîchères
Cette fiche a été réalisée à partir des documents de l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) et d’un support vidéo de l’Association des Professionnels de l’Irrigation Privée et des Activités Connexes (APIPAC, Burkina Faso). -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon
Les Chambres d’agriculture du Niger ont été créées par la Loi 2000-15 du 21 août 2000, complétée par le décret d’application du 18 mai 2001. Il y a huit Chambre Régionale d’Agriculture (CRA), une par région, et le Réseau National des Chambres d’Agriculture (RECA). Les CRA sont dirigés par des responsables professionnelles agricoles élus tous les 4 ans. La loi a confié aux Chambres d’Agriculture des missions d’intérêt général : représentation des agriculteurs, éleveurs, pêcheurs, exploitants forestiers, appui conseil / vulgarisation, formation, information des professionnels agricoles. L’oignon est une plante avec un nombre réduit d’ennemis comparé aux autres plantes maraîchères. Malgré tout, des ennemis peuvent réduire le rendement de manière significative. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger La protection du moringa
Il est Indispensable de savoir reconnaître les ravageurs et maladies et de BIEN connaître son ennemi pour le combattre. Tout n’est pas marqué dans les livres et chaque producteur et technicien doit être capable d’observer On ne peut pas lutter contre les ravageurs avec une seule mesure, les producteurs doivent comprendre l’ensemble des mesures à mettre en place. Les ravageurs et maladies n’étant pas bien connus, les producteurs et animateurs doivent apporter leur contribution pour mieux les maîtriser. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : préparation et application des bio pesticides
L’objectif de ce module de formation est de sensibiliser les producteurs aux méfaits des pesticides sur la santé de l’homme et de l’environnement, connaitre les plantes à vertus pesticides sur les quels des travaux de recherche ont permis de voir leur efficacité, apprendre à fabriquer eux même les produits à base de ces plantes, les intégrer dans un programme de lutte intégrée sur leur parcelle. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs du poivron et du piment
L’objectif de ce module de formation est d’être capable de reconnaître les ravageurs des cultures du poivron ou piment au Niger, d’être capable de faire des observations sur les ravageurs et les cultures et être capable de proposer et d’expliquer aux producteurs et productrices des mesures de lutte à mettre en place (lutte intégrée) en fonction des situations. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
La noctuelle de la tomate est un petit papillon de nuit, c’est à dire qu’il se déplace et se nourrit au crépuscule et la nuit. Ces papillons sont le plus souvent de couleur grise. Cette note présente sa chenille qui est un des principaux ravageurs de la tomate, surtout en saison sèche, mais s’attaque également à d’autres légumes fruits comme le poivron et le gombo, mais aussi au coton et au maïs. Cette chenille est le principal ravageur de la tomate en saison sèche. On la trouve dans toutes les régions du Niger. -
Niébé et arachide à Zinder : une année à chenille poilue
En ce début de saison des pluies, l’arachide, le niébé mais également le mil, le sésame ou la pastèque subissent des dégâts importants à cause de la chenille poilue dont le nom scientifique est Amsacta moloneyi. C’est une chenille polyphage, c'est-à-dire qu’elle peut se nourrir de nombreuses plantes cultivées ou non. Il a été observé des dégâts jugés sévères de la chenille poilue dans des localités des départements de Matameye mais aussi de Mirriah et de Magaria Les chenilles peuvent atteindre 4 cm de long. Elles sont de couleurs vives (jaune, orange, brun) et surtout portent de longs poils serrés. En début de saison, la chenille poilue d’Amsacta moloneyi s’attaque principalement aux plantules du niébé. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon.
Le présent atelier de formation s'adresse aux producteurs et animateurs des structures d'appui conseil sur les maladies et ravageurs de l'oignon. l'objectif de l'atelier est de renforcer les connaissances et ces acteurs. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : La protection du chou
Le chou appartient à la famille des crucifères (Bracicaceae). Il est la seule culture de la famille qui a une importance économique au Niger ; il en existe deux sortes : chou pommé (le plus cultivé et chou-fleur). Autre crucifère cultivé au Niger : le Navet et la radis (la production est négligeable). A la fin de la formation, les producteurs doivent: Connaitre l’importance de des ravageurs et maladies de la culture, Savoir reconnaître les ravageurs et maladies et comprendre l’ensemble des mesures à mettre en place pour combattre ces ennemis de la cultures. -
Formation sur les principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères observées sur les sites de Gourdjia suite au suivi CGEF de la campagne 2015 2016
Les maladies de plantes c’est comme le paludisme. Souvent, on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu’on est très malade (fièvre, froid, chaud). Dans ce cas il faut aller à l’hôpital (payer), acheter des médicaments (payer) et on sort affaibli. Mais on devrait s’intéresser au paludisme pour ne pas l’attraper. Dans ce cas on se protège avec une moustiquaire, on enlève les points d’eau pour empêcher la multiplication des moustiques… Ce sont des mesures à prendre – avant pour éviter d’être malade. C’est la même chose pour les cultures. Pour que les plantes ne soient pas attaquées, malades ou détruites, il faut prendre des dispositions avant. C’est l’objet de ce module de formation. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : Les mouches des fruits
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les mouches des fruits. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Les nématodes parasites des cultures maraîchères
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les nématodes parasites des cultures maraîchères au Niger -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’oignon
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture d'oignons. Cette lutte passe par l'identification des principaux ennemis de cette culture. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Connaissance et utilisation des pesticides
Ce module de formation traite de l'utilisation des pesticides. Cette utilisation passe par la connaissance de la typologie des pesticides au Niger. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger La protection du poivron et du piment
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture du poivron et du piment. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’aubergine et de la pomme de terre
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture de l'aubergine et de la pomme de terre. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Tomato noonizo kan se i gane “TUTA”
A te alwati kan iri Niger laabu alfarey i go gadi sanday tomato farmo do zaama noonize fono goono kan ga tomato fuunu fuunu. A to jiiri hinza kan noonize tagi fo banguay noonizo din ga kaina gumo;amma halla ga ka sohon alfarey mana fahame ase; hasarawo booba kan agate se, nga no nan alfari foyan na tomato farmo gaayi. -
Jan tauttau ko lalaba da turawa ke cema : acarien rouge
Yau zamu baku labarin wata karamar hallita aman ana iya ganinta ido da ido,wanan hallita ita ce jan tattau ko lalaba. Manoma sun san wanan tsutsar tunda tana saka gidan tane saman ganyen shipkokin gapta ko aubergine,tumati,tattasey,tashi da dankalin turawa. Wannan tsutsar na boyewa kalkashin ganyen shipkoki,manoma sun santa sosai domin a cikin lokaci kalilan take hallaka gona ga baki daya musaman ma in shipkokin dake cikin gonar sun danganta da wanda muka zana can sama. -
Tsutsar tumati : TUTA
Manoman kasar Nijar sun jima suna fama da wata tsutsa dake fu fude diyan tumati ; aman yau da hekaru uku (3), wata karamar tsutsa ta bullo,wanda har yanzu manoma basu gane ta ba,wanan sabuwar tsusta kankanuwa ce aman banar da takeyi nasa manoma asara diyawa wanda har ta kai gasa manoman kin noman na tumati ; wanan tsutsa ita ce ake cema TUTA. -
Dadara kira kan se ngane annasara ciine ga : acarien rouge
Hunkuna day iri ga salan aran se no nda anwarize kaynafo kan booro ga hini ga diya moga kan zi gane dadara kira. Alfarey ga bay zama a ga nga fuwo ciina dumizey koptey ga wana wana wana obergino tomato tattasey,tonko,nda pommpi terro. dabayan a ga lanba ga nga fuwo ciina dumizey koptey bandey ga alfarey ga bay zama aga hini ga dumizey me a me hasara wane wane dumizey kanyan iri ki za bene. -
Yadda tsutsar tumati Noctuelle da ake cema Helicoverpa a turance take
Tsutsar tumati da ake cema Noctuelle wani dan karamin malan batata ne yake futowa da dare yana neman abincin shi. Wanan malan batatan nada launi toka toka. Wanan hoton na nuna karamar tutsar da irin bannar da take hadasa wa a cikin diyan tumati musaman ma a lokacin zahi,haka zalika jinjirara tsutar na apkama ma sauran albarkatun noma kamar su tattasai da miyar kubewa da kuma kada da masara, wanan tsutar ita ce tafi bata tumati a lokacin rani,ana samun ta a cikin jahohin kasa ga baki daya. -
Tomaato nooniizo (Helicoverpa armigera) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Tomaato nooniizo wo ciini alfaga caw-caw no, zama a si fatta kala za wayna kaù kala mo ma bo. Da ba yaù, alfaga caw-caw wone hari boosa boosa no fatey ga ga. Tira wo, tomaato nooniizo bon no a ga salaù zama nga no ga ti tomaato aùùwaara i kulu ilaala, waana waana hayni waate. Tomaato nooniizo ga tuurize boobo digsa sanda tattaasa, la wala binde haabu wala mo kolkoti. Tomaato nooniizo ga ti, hayni ra, tomaatey aùùwaara laala. Niizer jarjarey kulu ra no a ga diya. -
Kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance
Yau zamu muku hira kan wani mungun kwari dake banna cikin garake kuma manoma sun sanshi kwarai da gaske,wannan kwarin shine ake cema kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance. In manoma sun san irin bannar da wannan kananan kwarin farfaru keyin saman tattasey da tomati da tonka,abincin su kenan, to har yanzu basu gano irin cutitikan da suke iya hadasama wanan shipkoki ba. -
Mouche blanche : Zarma : Hamniize kwaara kaù se i gane faransi ciine ga mouche blanche (Bemisia tabaci) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Hunkuna, iri ga salaù araù se nda jaw-kali goyey aùùwaara fo kaù ga hasaraw te hala manti mooso, kaù alfarey nda kurkey ga bay ga boori, nga ga ti « hamniize kwaara ». Ba da alfarey ga hasarawey kaù hamniize kwaara wo ga te bay, i si bay doorey kaù a ga hin ga kande ga daù tuurey ga. -
Yadda tsutsar chou ko plutella take
Zamu muku hira kan wani mungun tsutsar chou da ake cema teigne du chou a turance. Tsutsar chou da ake cema plutela da turance wani karamin malan batata ne(wanda yafi sabro girma,photo na 1) tsutsar shi ce tafi yawan banna ga chou a kasar Nijar. Wanan kwarin ana samun shi koda yaushe tsawon dukan shekara a fadin kasar Nijar aman yafi yawa a lokacin zahi tsakanin watan mars da mai,yana iya bata illahirin gonar chou. -
Suwo nooniizo kaù se i ga na fransi cine ra « teigne » tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Su nooniizo kaù se i ga ne faransi ciine ga « teigne » : alfaga caw-caw kayniyaw fo no ga a hay (A si beeri ga ba soboro, Foto 1) Niger fi azulmata ra no a go, su aùùwaara i kulu ilaala no. Amma a si laala kala dungay waate annasaara handu hinzanta ga koy iguwanta. A ga hin ga su fari kulu alandaaba. -
Les étiquettes des pesticides ne donnent pas satisfaction : il faut les remplacer par des fiches techniques adaptées aux utilisateurs
Les premières investigations et notes du RECA indiquent que les pratiques des agriculteurs pour la protection des cultures irriguées et l’utilisation des pesticides ne sont globalement pas bonnes, au détriment des producteurs eux-mêmes (santé et revenus) et des consommateurs. Ceci est confirmé par la plupart des partenaires intervenant en appui aux producteurs. -
DANGER / Tuta absoluta, un nouveau ravageur de la tomate identifié au Niger
Le village de Bourbourkabé est situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. C’est une zone de production maraîchère isolée (loin de la route) où les producteurs sont spécialisés depuis des années sur la culture de la tomate. Au cours d’une visite des techniciens du RECA, le 20 février 2013, les producteurs ont signalé des attaques très importantes de leurs tomates. Effectivement, la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) était fortement présente. Mais les producteurs ont déclaré qu’il y avait une seconde chenille, apparue cette année pour la première fois, qui cause beaucoup plus de dégâts. Ils ont pu montrer la chenille sur feuille et sur fruit, ainsi que son papillon. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
Cette note présente le contenu d’une émission radio préparée par des agents du RECA, de la DGPV et de l’INRAN puis enregistrée en Zarma et en Haoussa avec la radio Jeunesse de Goudel pour être diffusée sur l’ensemble des régions du Niger. -
Maitrise de la pression parasitaire à travers le conseil de gestion à l’exploitation agricole et les formations
Cette note a été rédigée sur la base des résultats de l’analyse des données collectées par les conseillers de la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) dans le cadre du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) au niveau du département de Doutchi, et d’entretiens complémentaires avec des producteurs et productrices. Compte tenu de la dynamique du dispositif CGEF dans ce département, qui se fait selon les campagnes avec ou sans techniciens d’organisations de producteurs OP, les données sont établies à partir de 43 producteurs (dont 20 suivis en CGEF et 23 sous forme d’entretiens complémentaires). Il faut également noter que les données collectées au cours des deux premières campagnes de conseil de gestion n’ont pas été prises en compte car non exploitables et que les résultats intègrent uniquement les données de 2017 et 2018. -
ALERTE Spodoptera frugiperda une nouvelle chenille, ravageur du maïs
Cette chenille originaire d’Amérique a été observée pour la première fois en Afrique de l’Ouest en janvier 2016, au sud du Nigeria où elle a causé d’importants dégâts. En août 2016, la presse béninoise avance le chiffre de 30.000 à 40.000 ha de maïs détruits dans les régions du Nord Bénin. La chenille a également fait d’importants dégâts au Nigeria et au Togo. Fin novembre 2016, elle est signalée à Torodi (Région de Tillabéri), et également à Dosso. Il s’agit de la larve d’un papillon à moeurs nocturnes de la famille des Noctuidés ou noctuelles. Les insectes de cette famille sont malheureusement bien connus des producteurs car elle comprend les ravageurs les plus dévastateurs des cultures comme par exemple la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera). -
Utilisation des Pesticides – alphabétisation fonctionnelle – annexe curriculum gestion intégrée des ennemis des cultures (Version française)
Ce module de formation des producteurs sur l’utilisation des pesticides est un support essentiellement adressé aux producteurs analphabètes. C’est un module qui donne les pistes d’une bonne utilisation des pesticides dans la vie courante des producteurs. Malgré toutes les sensibilisations menées jusque-là, les contaminations par les pesticides et les risques de mauvaises pratiques persistent. L’une de nos préoccupations majeures est de tendre vers les bonnes réponses aux questions que se posent tous les acteurs agricoles en général et les maraichers en particulier suite aux risques énormes auxquels s’exposent les manipulateurs des pesticides. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Le présent manuel est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui du PromAP à travers sa composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
Scénario du film : Utilisation des Pesticides – Alphabétisation fonctionnelle – annexe curriculum gestion intégrée des ennemis des cultures (Version française)
Le présent document s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du PSRCA-PI. -
Etude sur les réalisations des activités d’assistance alimentaire pour la création d’actifs productifs appuyés par le PAM et production d’un recueil des normes techniques et financières Partie 1 : Observations et réflexions sur des aménagements de restauration des sols
Ce rapport est un peu long, mais des fiches courtes et synthétiques sur les différents types d’ouvrages de restauration des sols existent déjà en grand nombre. Ce rapport est centré sur ce qui ne va pas, sur des résultats insuffisants, car c’est un document pour améliorer ; on améliore ce qui ne marche pas. Ce qui marche sert de référence pour ce que l’on veut améliorer. Mais pour cela il faut arriver à mieux comprendre les éléments à répliquer pour obtenir les résultats escomptés et les facteurs dont il faut tenir compte. Comme nous ne pouvons, en aucun cas, partir de l’hypothèse que les échecs rencontrés viennent des capacités des opérateurs, cela nous fait avancer l’hypothèse que d’autres facteurs rentrent en jeu. La restauration et la revégétalisation des sols … c’est technique et pas si facile que cela, autrement les résultats seraient nettement meilleurs. -
Les herbicides en vente au Niger en 2019
Cette note porte sur la vente des herbicides en Niger -
Liste des produits insecticides et acaricides en vente ou utilisés au Niger en 2019
Ce présent guide porte sur liste des produits insecticides et acaricides en vente ou utilisés au Niger en 2019 -
Protection Biologique Intégrée
Ce guide donne des informations sur les techniques de protection biologique intégrée -
Projet d’Appui Régional à l’Initiative pour l’Irrigation au Sahel
Ce rapport porte sur le projet d’Appui Régional à l’Initiative pour l’Irrigation au Sahel -
Réduction des doses de cuivre : Vigne, Pêcher, Pommier-Poirier, Olivier
Le cuivre est largement utilisé en viticulture et arboriculture. Avec le soufre, c’est l’un des rares éléments autorisés en agriculture biologique (AB). Il permet de lutter de façon préventive contre de nombreux pathogènes dont il inhibe la germination des spores. Cependant, du fait de son accumulation dans le sol, il peut devenir toxique pour certains organismes qui y vivent. -
Identification des insectes, parasites et évaluation économique de leurs pertes en graines sur les variétés améliorées et locale de niébé en milieu paysan à Karma (Niger)
Au Niger, la production de niébé est affectée par des contraintes biotiques et abiotiques. Les objectifs de la présente étude sont d’identifier les insectes et parasites au cours de la phénologie des variétés améliorées et locale de niébé ; d’estimer les pertes en graines et en valeur monétaire dues aux ravageurs. -
Les Méthodes de Conservation et de Lutte contre les Ravageurs de Stock du Mil et du Sorgho à Tahoua et Maradi, Niger
Ce présent document porte sur les méthodes de conservations et techniques de lutte contre les ravageurs -
Rapport National sur la situation des Pesticides Extrêmement Dangereux (PED) au Niger
Au Niger les pesticides fournis par l’Etat sont homologués par le Comité Sahélien des Pesticides (CSP) du CILSS. Or, la majorité des produits pesticides en vente sur le territoire nigérien, et utilisés par les producteurs maraîchers sont principalement importés du Nigeria et du Ghana, pays non membres du CILSS et qui sont de grands producteurs. Les produis non homologués sont les plus dangereux et interdits d’utilisation, même la vente se fait de façon frauduleuse. -
Mouche du chou
La mouche du chou a été introduite en Amérique du Nord probablement au début des années 1800 et elle est maintenant retrouvée partout au Canada. Cette espèce produit de 3 à 4 générations par année. Au Québec, les adultes provenant des pupes hibernantes émergent du sol de la fin avril à la mi-mai. Ceux-ci peuvent parcourir plusieurs centaines de mètres par jour pour trouver une plante-hôte. Au moment de la ponte, les œufs sont généralement déposés dans le sol à proximité de leurs plantes-hôtes, sur la tige de celles-ci ou sur le sol directement -
Lutte biologique contre les insectes floricoles
Le Projet de promotion de l’initiative locale pour le développement à Aguié (PPILDA) a été remplacé depuis longtemps par ses grands frères sur financement du FIDA, actuellement le ProDAF. Les fiches techniques simples et pratiques de ce projet restent toujours d’actualités et peuvent être utiles aux conseillers agricoles.
Celle-ci présente l’utilisation des feuilles Piliostigma reticulatum, appelé Kalgo en Haoussa et Kossey en Zarma, pour lutter contre les insectes floricoles (qui s’attaquent aux fleurs lors de la floraison, mais aussi au grain à l’épiaison), essentiellement les différentes espèces de punaises et cantharides. -
Noorda blitealis Walker, un ravageur majeur du Moringa au Niger (Lepidoptera, Crambidae)
La pyrale défoliatrice qui constitue au Niger, le principal ravageur du Moringa, a pu être identifiée, pour la première fois, comme Noorda blitealis Walker. Des observations originales ont été faites sur la biologie de cet insecte, permettant d'envisager des méthodes de gestion durable des plantations de moringa. -
Revue détaillée des projets du portefeuille PIS sur la gestion durable des terres:
Cas du Niger
La revue détaillée au Niger des projets du portefeuille du Programme D’Investissement Stratégique (PIS)/TerrAfrica, dont l’objectif est de mettre en évidence les leçons, en particulier celles des sites pilotes et de démonstration, pour mieux comprendre les opportunités et défis de la mise à l’échelle de la gestion durable des terres (GDT), a été exécutée par l’équipe de consultants (Abdoulaye Sambo Soumaila, et Domitille Vallée) en trois étapes à travers (i) un atelier de lancement réunissant les trois projets et des représentants de la plateforme GDT organisé à Niamey le 22 juillet 2015, (ii) une mission de terrain réalisée dans les régions de Maradi et de Zinder du 23 au 27 juillet 2015 accompagnée d’un atelier de restitution des résultats de la mission de terrain (28 juillet 2015 à Niamey) auprès des projets, de la plateforme GDT et de partenaires de financement actifs dans le secteur de la GDT, et (iii) des travaux complémentaires de recherche documentaire à Niamey. -
Evaluation des processus de mise en œuvre du programme PSA
L’évaluation qualitative de la mise en œuvre des mesures d’accompagnement productif du programme PSA au Niger a été exécutée dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéri qui sont inscrites dans le contexte national global marqué par une forte croissance démographique, un renforcement de l’économie de subsistance, un échec des régulations globales et des programmes d’ajustement structurel ayant contribué à la généralisation de la pauvreté dès la fin des années 1980, une intensification des crises alimentaires au cours des années 2000 et 2010 qui ont contraint les autorités gouvernementales à identifier de nouvelles orientations stratégiques visant à instaurer un dispositif national de prévention et de gestion des crises, et surtout la volonté manifeste de la Banque mondiale à accompagner le Niger dans ses efforts de mise en place d’un système durable de protection sociale adaptative au Niger à travers une Cellule de Filets Sociaux. -
15 ans (1994-2009) d’appui de la commission européenne dans le secteur du développement rural et de la sécurité alimentaire
Ainsi, la présente brochure vise à résumer la diversité des appuis de la coopération entre l'Union européenne et le Niger de 1994 à 2009 soit quinze années de coopération utile et fructueuse. Ses résultats et son impact sont palpables à travers quasiment toutes les régions du Niger, en partant de Tillabéry à Diffa ou de Dosso à Agadez. Nous espérons que ce témoignage des efforts partagés pour promouvoir le développement du Niger, puisse se poursuivre et continuer à produire les effets escomptés au bénéfice des populations rurales nigériennes, en particulier, et de l'économie du pays, dans son ensemble. -
Coopération entre la commission européenne et la république du Niger: Rapport 2007 et 2008
L’aide de la Commission européenne au profit des Etats ACP se présente en ce début du 21eme siècle sous de meilleures performances tant du point de vue de son volume que de sa qualité et de son efficacité. L’UE et les pays africains engages au lendemain des accords historiques de Lisbonne dans un processus inédit de coopération multidimensionnelle, privilégient à travers leur nouveau pacte, la ≪ responsabilité mutuelle ≫ le principe de ≪ l’appropriation ≫ et le ≪ développement durable ≫. En 2008, les deux parties se sont attelées a la mise en œuvre des différentes composantes de leur partenariat qui s’articule autour des domaines prioritaires -
Projet de promotion de l’irrigation privée - phase 2 (pip2)
Le Projet Promotion de l’Irrigation Privée Phase II (PIP2) a prévu dans sa composante 2, le financement de l’irrigation privée à travers le mécanisme de financement à coût partagé (Matching Grant) aux profits des irrigants et opérateurs connexes. Ce financement se fait actuellement à travers des dossiers des sous projets préparés et soumis par les promoteurs aux comités régionaux d’approbation (pour les petits sous projets et pour les sous projets dont la requête est supérieure à 2 millions et inférieure ou égale à 10 millions) et au comité de suivi et d’orientation (pour les sous projets dont la requête est supérieure à 10 millions) pour financement. -
Situation de référence dans la zone d’intervention du pip2
Le projet de Promotion de l’Irrigation Privée (PIP2) vise l’augmentation de la production et la rentabilisation des cultures irriguées à haute valeur ajoutée par les petits producteurs, grâce à l’utilisation de technologies simples et à faible coût.
Cet objectif devrait être atteint à travers : i) l’utilisation optimale de technologies adaptées et à faible coût, ii) l’intensification des cultures à haute valeur ajoutée ; iii) le renforcement des capacités des organisations professionnelles, des acteurs publics et privés dans le cadre de leurs missions respectives; iv) le soutien financier aux activités productives et connexes ; v) la gestion durable des ressources naturelles.
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Enquête socio-économique et foncière du site de Angoual Made
Au cours de ces dernières années, les progrès enregistrés par les projets et programmes de développement dans les domaines économique et social ont amplifié les besoins de recherche , d’enquête, d’étude et d’analyse socioéconomiques, avant la mise en oeuvre de toute action de développement à la base. Les inter-relations entre capacité d’analyse et capacité de gestion sont mis en exergue et l’approche participative des communautés rurales est retenue comme un objectif approprié à poursuivre pour renouer avec les possibilités d’une croissance durable. -
Projet de promotion de l'irrigation privée (PIP2) : Septembre 2001
Le projet pilote de promotion de l'irrigation privée PPIP(I), démarré au Niger en 1996, terminera en décentre 2001. Sur la base de ce projet pilote, le projet de promotion de l'irrigation privée PIP(II) est actuellement en cours de formulation. Dans une large mesure, les composantes du PIP(II) partagent le mène contenu que le projet pilote. Elles incluent des activités i) de renforcement des capacités des institutions œuvrant au développement de l'irrigation prives, ii) de développement et promotion de technologies manuelles d'irrigation de faible coût pour des parcelles de 0.5 ha, iii) de développement et de promotion de l'irrigation mécanisée pour des parcelles de plus de 0.5 ha, iv) de microfinance destiné au développement de l'irrigation privée et v) de gestion et protection de l'environnement. -
Programme Spécial National Phase II (PSN-II) Evaluation terminale
Cette évaluation terminale du Programme Spécial National phase II (PSN-II) est conduite par le Bureau de l’évaluation du FIDA deux années après la clôture du programme. Elle vise d’une part de répondre à l’obligation du FIDA et de ses partenaires de rendre des comptes des résultats des opérations co-financées et, de l’autre, de contribuer à l’apprentissage par les partenaires du programme, au profit de la mise en oeuvre d’autres projets et programmes en cours et de la formulation de futures interventions au Niger et dans la région.
L’évaluation est centrée sur trois dimensions: (1) la performance du programme (pertinence, efficacité et efficience); (2) les impacts du programme sur la pauvreté rurale dans différents domaines ainsi que la durabilité, les innovations et l’élargissement d’échelle ; et (3) la performance du FIDA et des partenaires. Après une mission préparatoire en juillet 2006 et un travail préalable de collecte d’informations dans les sites d’intervention du programme, la mission principale de l’évaluation s’est déroulée du 19 septembre au 17 octobre 2006. Trois sources d’informations ont été triangulées:
entretiens avec les acteurs, partenaires, anciens cadres du PSN-II et bénéficiaires, étude
bibliographique et observations sur le terrain. En fin de mission, une réunion de
discussion a été organisée au Ministère du développement agricole et un Aide mémoire a été présenté aux Ministres du développement agricole et des ressources animales, ainsi qu’au Commissaire au développement rural du Ministère des finances et de l’économie.
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Projet de mobilisation des eaux dans le département de Tahoua (PMET)
Pour faire face aux aléas climatiques et aux graves menaces qui pèsent sur la sécurité alimentaire, le Gouvernement nigérien a placé la maîtrise de l’eau au coeur des actions à promouvoir pour lutter contre la pauvreté. Le projet de mobilisation des eaux dans le département de Tahoua (PMET), identifié en 1990, figure parmi les premières tentatives du Gouvernement visant la mise en oeuvre de cette politique. Ce Projet a été préparé avec l’appui de la Banque qui a financé l’étude de mobilisation des eaux de ruissellement dans les trois départements du Niger les plus éprouvés par la sécheresse : Tahoua, Zinder et Agadez. Les populations ont été étroitement associées dès la phase de préparation du Projet, dont la conception était basée sur la réalisation de protections anti-érosives et de petits ouvrages hydrauliques (barrages ou seuils) de gestion facile. Le PMET, d’une durée de cinq ans, visait à terme l’aménagement et la mise en valeur de 720 ha de cultures irriguées et de 11.490 ha de cultures pluviales, et l’accroissement du cheptel. Le prêt FAD, d‘un montant de 7,95 millions d’UC, a été approuvé le 15 juillet 1998 et mis en vigueur le 7 avril 1999. Les activités sur le terrain n’ont cependant pu réellement commencer qu’en mars 2001, du fait de la suspension des décaissements qui a frappé le Niger d’août 1999 à février 2001.
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Projet de valorisation des eaux dans les régions de Dosso et de Tillabéri
Pour faire face aux aléas climatiques et aux graves menaces qui pèsent sur la sécurité
alimentaire, le Gouvernement nigérien a placé la maîtrise de l’eau au coeur des actions à promouvoir pour lutter contre la pauvreté. L’eau constitue également pour la Banque, depuis plusieurs années, une orientation privilégiée, largement mise en relief dans le dernier DSPAR pour le Niger (2005- 2009). La Banque a notamment financé en 2001, l’étude de mobilisation des eaux de ruissellement dans les régions de Dosso et de Tillabéri, et en 2004, avec l’appui du centre d’investissement de la FAO, l’étude de préparation du projet de développement agro-sylvo-pastoral du dallol Bosso. Ces deux études concernent les régions de Dosso et de Tillabéri, caractérisées par une très grande pauvreté et une forte dégradation du milieu naturel. Ces études ont mis en relief un potentiel intéressant mais sous-exploité, en matière d’écoulements de surface et souterrains, et ont proposé de valoriser ces eaux en favorisant la création de nouvelles infrastructures hydro-agricoles (petits barrages, puits, forages, jardins, etc.). Dix sites ont fait l’objet d’études d’avant projet détaillé, à l’issue d’un processus participatif associant les populations concernées. Ces études ont également mis en exergue la vocation agro-pastorale des deux régions, la nécessaire protection des bassins versants, et l’implication des organisations de producteurs, dont spécifiquement les femmes, dans les actions à mettre en oeuvre. Au terme de ces études, les autorités nigériennes ont transmis une requête à la Banque pour le financement d’un projet global axé sur la maîtrise des eaux et la régénération du milieu naturel, touchant les régions de Dosso et de Tillabéri. Le rapport ici proposé s’appuie sur les résultats des études préparatoires et fait suite à une mission d’évaluation de la Banque qui s’est rendue au Niger en novembre 2005.
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Evaluation Finale de la Composante 'Crédit' du Programme ASAPI (Appui à la Sécurité Alimentaire par la Petite Irrigation)
La mission d’évaluation s’est déroulée selon les TDR et la méthodologie proposée, avec des
entretiens à Niamey, la consultation de la documentation, les entretiens avec l’UA, les deux
IMF Yarda, les sept agences, les APEC, et les bénéficiaires. Le contexte de la microfinance au Niger est favorable au développement des IMF avec en particulier des réformes réglementaires et l’affiliation obligée à l’ANIP. Les contextes régionaux de Tahoua et Zinder présentent des différences en opportunités de marché, concurrence entre IMF et influence frontalière du Nigeria. Le programme d’Appui à la Sécurité Alimentaire par la Petite Irrigation (ASAPI - 8 NIR 24) a été mis en place dans le cadre du 8ème FED suite à la signature d’une convention de financement en octobre 2000.
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Programme d'appui à la production dans le nord TERA
Le trimestre 4 de l'année coïncide avec la fin de l'évaluation des cultures pluviales et le
démarrage des cultures de saison sèche ou de décrue dans la zone d'intervention du
programme production. Cette situation permet de faire un bilan de la campagne agricole et de présager des perspectives pour la suite de Tannée. Ce bilan de la campagne agricole est déficitaire. Car localement des zones entières n'ont pas pu récolter. C'est à cette situation que fait face le programme production dans les trois communes. Si le trimestre précédent les efforts étaient concentrés sur la gestion de la crise alimentaire et la mise à jour des documents de la crise, ce que celle -ci a beaucoup perturbé le cycle normal des activités du programme et a fait perdre aux producteurs tout espoir en envoyant certains dans des contrées où le retour est incertain.
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Rapport de fin d'exécution et de résultats
Le Niger est considere comme Pun des pays les plus pauvres de la planete, avec un environnement sahelien difficile, ou les chocs climatiques sont frequents et les precipitations imprevisibles. L'agriculture est un pilier de la vie en milieu rural, foumissant l'essentiel des emplois, des salaires et de I'alimentation. La deuxieme phase du projet de promotion de l'Irrigation Privee (PIP2) a ete con~ue afin de soutenir Ie Gouvemement du Niger (GdN) dans l'atteinte de ses objectifs en matiere de croissance du secteur agricole par: (i) l'intensification et la diversification des cultures irriguees afin d'ameliorer la securite alimentaire ; (ii) Ie developpement du secteur prive et Ie renforcement des capacites des associations d'agriculteurs et d'autres organisations agricoles ; (iii) la mise en place de'mesures financieres durables dans les zones rurales ; et enfin (iv) la creation d'un environnement de production durable et socialement equitable. -
Programme d’appui à la sécurité alimentaire dans les régions de Tillabéry et Dosso: Rapport narratif d’activités 2009
Le Programme d’Appui à la Sécurité Alimentaire dans les régions de Dosso et Tillabéry
a pour objectif global de contribuer à la réduction de la pauvreté des paysans au Niger
par l’amélioration durable de la sécurité alimentaire des ménages ruraux dans les
zones d’intervention de Mooriben. Il a une importance stratégique pour MOORIBEN en
ce sens qu’à terme, il doit contribuer à l’augmentation de la production agricole et des
revenus des membres des groupements. -
Programme d’appui à la sécurité alimentaire dans les régions de Tillabéry et Dosso 2006
Le présent programme triennal d’actions (2007 — 2009) intitulé « Programme d’appui à la sécurité alimentaire dans les régions de Tillabéri et Dosso » s’inscrit dans le cadre de l’appui à la promotion des organisations paysannes de Mooriben. Il constitue une continuation et un développement des efforts en cours depuis une décennie et fait le lien entre la situation post crise 2005 et les actions de développement qui bénéficient du concours financier des partenaires de Mooriben. Par conséquent, la mise en oeuvre de ce programme valorise le capital d’expérience accumulé par les organisations paysannes de Mooriben dans les différents domaines d’intervention retenus à travers les programmes et projets exécutés par le passé. Elle cadre parfaitement avec l’axe stratégique 2 de la stratégie de développement rural « sécurisation des conditions de vie des populations à travers la gestion durables des ressources naturelles et l’amélioration de la sécurité alimentaire » et participe à la réalisation du Programme national de sécurité alimentaire du Niger. -
Les microprojets d’équipement pour les productions maraîchères irriguées
Cette note présente une première synthèse des microprojets (MP) ayant été financés par le Fonds d’Appui Régional avec un objectif de production maraîchère / développement de l’irrigation par des coopératives (hommes) et des groupements féminins. Ce sont les appellations utilisées et qui ont l’utilité de faire la distinction même si les groupements féminins (GF) ont aussi un statut coopératif. -
Document de programmation pluriannuelle des dépenses 2018-2020
Dans un contexte marqué par la rareté des ressources et l’accroissement continuel des besoins, il s'agit d'améliorer la performance des dépenses publiques par un meilleur des ciblage des choix stratégiques et une meilleure définition des priorités -
Procès verbal de la troisième réunion du comité de pilotage
La réunion a démarré par un mot de bienvenue du Président de la séance en la personne du Ministre de l'agriculture et de l'élevage Monsieur Diamiatou Guessibo Boukari. Après vérification de l'attente du quorum ( voir liste de présence en l'annexe ); le président a donné la parole à la coordinatrice de l'IRC pour présenté l'ordre du jour -
Rapport d’activités deuxième semestre 2019
De façon spécifique, il s’agit de renforcer les capacités nationales de productions alimentaires, d’approvisionnement et de résilience face aux crises alimentaires et aux catastrophes. C’est pourquoi, il a été
assigné au Ministère de l’Agriculture et de l’Élevage, l’objectif stratégique « faim zéro au Niger » : il s’agit d’ici 2021,: i) augmenter les rendements des différentes cultures (céréales de 20 à 30% et les cultures de rente de 10 à 30 % sur 7 500 000 ha sur 50 % des superficies cultivées), afin de porter la production céréalière à 8
millions de tonnes , ii) Faire passer la production sous irrigation et de décrue de 830 000 tonnes en 2018 à 1 500 000 tonnes d’équivalent céréalier en augmentant les superficies irriguées de 222793 ha en 2018 à 358.000 ha en 2021 et la contribution au PIB rural des cultures irriguées (agricoles et fourragères) de 30% en 2015 à 40% en 2021, soit un accroissement moyen annuel de 30,3% et iii) accroitre, l'exploitation du cheptel de 25%,la consommation d'œufs/personne/an à 30,la production du lait de 40% et la production de viande de 45%... -
Programme d'appui au développement de l'élevage
Les membres du COPIL du Pradel ont effectué une mission de terrain le 25 février 2020 et la matinée du 26 février 2020 en prélude à la session du cinquième du comité de pilotage -
Sélection d'un cabinet charge des études de faisabilité techniques,études d'impact environnemental /social et élaboration d'un dossier d'appel d'offres et concours et surveillance des travaux de construction/aménagement d'un marché de demi gros de poisson dans le pôle de développement économique de diffa
Le gouvernement de la république du niger a obtenu du fonds international du développement agricole et de l'agence norvégienne pour le développement des ressources pour financer -
Rapport annuel d'activités
campagne de lutte phytosanitaire
Pour contribuer à l'atteinte des objectifs visés par l' initiative "3N les nigeriens nourrissent les nigeriens" la direction générale de la protection des végétaux a engagé des actions permettant d'assurer la couverture phytosanitaire des cultures pluviales et irriguées en 2018. -
Formation des brigades phytosanitaire des régions de Tahoua, Maradi et Zinder
campagne des cultures d'hivernage 2016
financement P2RSLes invasions transfrontalières et locales de ravageurs tels que les acridiens, les oiseaux granivores, les rongeurs sont connues pour causer de sérieux dégâts aux végétaux et aux produits végétaux avec de pertes économiques considérables dans de nombreuses zones du Sahel. -
Cahier du formateur « utilisation des pesticides – alphabétisation fonctionnelle – annexe curriculum gestion intégrée des ennemis des cultures »
(Version française)Le guide est un support privilégié du formateur pour la mise en œuvre du plan de déroulement de la formation. Il présente des manières d’aborder les objectifs et de développer un enseignement spécifiques aux producteurs/trices. -
Cahier du formateur
« gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères »
Le présent manuel est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui du PromAP à travers sa composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : préparation et application des biopesticides
La méthode de lutte la plus utilisée est l'utilisation des pesticides de synthèse,l’inconvénient des pesticides est toxicité pour l'homme et pour l'environnement -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : protection du chou
Le chou appartient à la famille de crucifères,il a une importance économique -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : mouches des fruits
Plusieurs ont été rencontrées dans les vergers avec la prédominance de bactrocera invadens, espèces exotique qui a rapidement colonisé tous les milieux -
Les nématodes parasites des cultures maraîchères
Pour lutte contre les nématodes parasites des cultures maraîchères, il faut aider, diagnostiquer un problème nématologique et donner des notions de base pour le résoudre -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection d'oignon
L'oignon est une culture avec un nombre réduit d'ennemis comparé aux solanacées tomate,poivron pomme de terre et aubergine -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : connaissance et utilisation des pesticides
Le pesticide , substance utilisée pour combattre les ennemis des cultures animale,insecte ou plante. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection du poivron et du piment
Les maladies de plante c'est comme la paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu'on est très malade -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection de l'aubergine et de la pomme de terre
Les maladies de plantes c'est comme le paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu’on est très malade -
Gestion intégrée des principaux ravageurs des cultures maraîchères au Niger : protection de la tomate
Les maladies de plantes c'est comme le paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu'on est très malade -
Programme: "Petite irrigation et sécurité alimentaire"
Rapport bilan des activités PTBALe projet ""petite irrigation et sécurité alimentaire" PISA entre dans le cadre du programme développement rural agriculture productive de la coopération nigéro-allemande -
Programme: "petite irrigation et sécurité alimentaire"
Rapport des activités PTBA 2018L'objectif du PISA est de contribuer à la promotion d'une agriculture productive et à la sécurité alimentaire au Niger -
Etude de faisabilité du pisa 2 rapport provisoire
Le Programme de Petite Irrigation et de Sécurité Alimentaire est un programme de la Coopération Nigéro-Allemande financé par la KfW. Il a démarré en 2016 et doit se terminer en 2020. Actuellement dans sa première phase, le PISA devrait se poursuivre lors d’une deuxième phase qui devrait démarrer à la suite de l’actuelle. -
Etude d’évaluation à mi-parcours du pisa 1 - rapport provisoire
Le programme PISA1 a été mis en oeuvre au mois de Février 2016 pour une durée de quatre ans. Ce programme est issu de la coopération nigéro-allemande est doté d'un financement de 15 millions d'Euro produit par la KFW. La part de l'Etat nigérien est estimée à 0,15 millions d'Euro et celle des bénéficiaires des actions du programme comme quote-part à la réalisation des infrastructures est de 0,40 millions d'Euro. Le programme a vocation à intervenir dans les trois régions d'Agadez, de Tahoua et de Tillabéri. -
Rapport d'étude évaluation des impacts socio-économiques et environnementaux des investissements du PISA 1 version finale
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte
lié à des risques multiples dont : les risques climatiques/naturels, les risques sociaux
et les risques d’insécurité alimentaires. A cela s’ajoute la plus forte croissance
démographique du continent (3,9%).La population aura presque doublé en 2030 (par
rapport à 2015) (INS, 2014). Le pays est classé parmi les plus bas sur la quasi-totalité
des indicateurs de développement humain (BM, 2019). Le secteur du développement
rural en général et celui de l’irrigation en particulier fait partie des enjeux majeurs du
pays. -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°1
Le présent rapport semestriel couvre la période de février à juillet 2016, il se réfère aux activités de l'unité de gestion du programme. A titre de rapport, la direction générale du génie rurale à mis en place une unité de gestion du programme à Niamey, avec des antennes dans les trois régions d'intervention. -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°2
Le présent rapport semestriel n°2 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire couvre la période d’août à janvier 2017.Cette période fait suite à un premier semestre ( février à juillet 2016) de phase de démarrage,d'organisation et de planification du programme -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°3
Le présent rapport semestriel n°3 concerne la période de février à juillet 2017.Il couvre les activités relatives au processus opérationnel de mise en oeuvre technique du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire,de gestion administrative et financière,de passation des marchés et de suivi-évaluation. -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°5
Le présent rapport semestriel n°5 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire concerne la période s'étalant de février à juillet 2018.Il s'articule autour des activités techniques et financière de mise en oeuvre du PISA, ainsi que celles de gestion administrative -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°7
Le présent rapport semestriel n°7 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire couvre la période de février à juillet 2019.Il traite des domaines du contexte des interventions,de l'état d'exécution des activités et des résultats obtenus,des difficultés rencontrées et des mesures prises pour les surmontes,des modifications apportées à la mise en oeuvre du programme ,de la gestion financière sur la base des appels de fonds -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°8
Le présent rapport semestriel n°8 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire porte sur l'état d'avancement du programme sur la période d’août 2019 à janvier 2020. -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°4
Le présent rapport n°4 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire concerne la période allant d’août 2017 à janvier 2018. -
Projet de valorisation des retenues d'eau et d'auto-promotion des communautes locales au sahel
La superficie du territoire de la république du niger est d'environ 1.260.000m2 ( 3,5 pls grande que celle du japon dont près de 65% est situé dans le désert saharien. -
Rapport d'étude d'impact environnemental et social des tavaux d'aménagement de 15HA et de construction de deux (02) seuils dans le cadre du sous-projet intégré communal pour une agriculture intelligente au climat (SPIC-AIC) dans la commune de sarkin yamma (maradi)
Le niger a élaboré plusieurs documents pour inverser la tendance de développement parmi lesquels la stratégie du développement durable et de la croissance inclusive -
Rapport d'analyse de l'évaluation du personnel des projets PASADEM et PPI/Ruwanmu pour le redéploiement au profit du programme de développement de l'agriculture familiale ProDAF
Dans le cadre du redeploiement du personnel des projets pasadem et PPI/Ruwanmu au profit du programme de développement de l'agriculture familiale,un comité restreint chargé d'analyse de l'évaluation du personnel,réakisé par le cabinet management for entreprise consult a été mis en place par arrete n°130/MAG/SG/DEP du 24 kuin 2015. -
Rapport de l'Etude de capitalisation du projet Initiative Eau et Sécurité Alimentaire en Afrique - Niger
L’IESAII vise à améliorer la sécurité alimentaire et la résilience aux changements climatiques des populations les plus vulnérables des zones rurales via la maitrise de l’eau et le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des producteurs. Il devrait contribuer également à améliorer durablement les revenus, l’alimentation et la nutrition des groupes cibles via l’intensification, la diversification, la valorisation de la production agricole, et le renforcement des capacités des acteurs. Les activités proposées répondent au souci du Gouvernement du Niger à développer le secteur rural et à soutenir ses efforts en matière de sécurité alimentaire. Les activités s’inscrivent plus particulièrement dans la perspective de l’atteinte de l’objectif global de la stratégie de l’initiative 3N. Le Projet contribue à la réalisation des priorités et produits du document cadre de programmation de pays (CPP) de la FAO. Le projet est aligné aux cinq (5) axes de priorité de la Coopération espagnole. -
Rapport de mission d'appui à la protection des végétaux
En étroite en collaboration avec l'administration nigérienne et en particulier la direction de la protection des végétaux et la délégation l'union européenne en république du Niger, le consultant antiacridien sera responsable de quelques tâches -
Projet de plan de travail et budget annuel 2016
Dans le cadre de la coopération bilatérale Nigéro-Allemande à travers le pôle prioritaire développement rural et agriculture productive avec la coopération financière KFW.