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Fertilisation : modes d'utilisation de l’Urée et du NPK sur les cultures irriguées
Cette affiche explique la fertilisation et montre les modes d'utilisation de l' Urée et du NKP sur les cultures irriguées. C'est un outil pédagogique conseillé aux acteurs du Conseil Agricole. -
Méthode de compost en tas
Cette affiche présente les techniques et méthodes de compost en tas -
Méthode de compostage en fosse multiple
Cette affiche présente les techniques et méthodes de compost en fosse multiple -
Utilisation du réseau californien pour les cultures irriguées
Le réseau californien est un système de micro-irrigation développé en Californie. Le principe du système californien consiste à distribuer l’eau aux cultures par des tuyaux souterrains en PVC rigide (diamètre 40-50 m). Le réseau de tuyaux est enterré à 0,5 m pour les protéger des UV et des travaux agricoles. -
La santé des sols: des technologies pour produire plus avec moins
Pour nourrir une population mondiale, en pleine expansion, nous n’avons pas d’autre choix que d’intensifier les cultures. Mais les agriculteurs sont confrontés à des contraintes sans précédent. Il leur faudra donc apprendre à produire
plus avec moins. L’agriculture doit littéralement retourner à ses racines en redécouvrant l’importance de sols en bonne santé, en utilisant des sources naturelles de nutrition des plantes et en appliquant avec discernement les engrais minéraux. -
Le compost : Y'a t'il une différence entre ces deux fumures? -Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
- 4. Quel est le processus de fabrication du compost en fosse ? Télécharger l’élément 4, 8,2 Mo
- 5. Quel est le processus de fabrication du compost en tas ? Télécharger l’élément 5, 4,6 Mo
- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Le compost-C'est quoi le compost ?-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
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- 5. Quel est le processus de fabrication du compost en tas ? Télécharger l’élément 5, 4,6 Mo
- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Le compost : quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? -Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
- 4. Quel est le processus de fabrication du compost en fosse ? Télécharger l’élément 4, 8,2 Mo
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Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Méthode de compostage en fosses multiples
Choisir un lieu ombragé, proche des exploitations et d’un point d’eau
Consolider les bords si les sols sont instables
Creuser 2 ou 4 fosses afin d’avoir du compost toute l’année
Collecter des matières compostables.
Retirer le plastique, le verre et tissus -
Promotion de la technique de compostage aérien au niveau de l’exploitation maraîchère
L’un des facteurs limitant de la production agricole est l’insuffisance ou la carence des sols en éléments fertilisants (Guéro et al, 2002). L’utilisation de la matière organique sous forme de compost est l’une des solutions écologiques et durables les plus recommandées. Il existe plusieurs méthodes de fabrication du compost. La technique du compostage aérien permet la fabrication à même le sol du compost à partir des débris organiques (fumier des animaux, ordures ménagères organiques, et autres matières organiques). -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
La fertilisation localisée au semis des cultures ou le « microdosage » consiste à mettre, au moment du semis, de petites quantités (doses) d’engrais minéraux appropriés dans les trous de semis d’une culture, communément appelé poquets ; cette technique remplace la pratique de l’épandage (application de l’engrais à la volée ou en ligne) sur toute la superficie d’un champ. Cette méthode peu onéreuse, et particulièrement bien adaptée aux cultures de mil et de sorgho, permet une utilisation plus efficace de l’engrais et une augmentation des rendements agricole de manière durable. -
Plan de réforme du secteur des engrais au Niger : Synthèse
Le Gouvernement s’est engagé dans un Plan de réforme du secteur des engrais au Niger. Cette réforme s’avère nécessaire du fait de la faible contribution du secteur des engrais aux objectifs d’une agriculture forte au Niger. Ce Plan devrait contribuer à mettre en place un système efficace et durable, capable d’assurer la disponibilité et l’accessibilité d’engrais de qualité dans toutes les régions du Niger. Il vise également à élaborer un cadre opérationnel de la subvention aux engrais destinée aux producteurs ciblés. Ce Plan s’appuiera sur une participation plus dynamique du secteur privé dans l’importation et la distribution des engrais. Il s’appuie également sur le rôle de régulation de l’Etat dans la promotion d’un secteur des engrais plus transparent et concurrentiel. Pour élaborer le plan de réforme, la démarche a consisté en quatre étapes : i) une revue documentaire et la mobilisation d’une expertise nationale et internationale ; ii) la conduite des études thématiques complémentaires ; iii) la consultation de toutes les parties prenantes dans les huit régions ; iv) un atelier national de validation du projet de plan de réforme. Ce Plan de réforme comprend un Cadre Institutionnel et Réglementaire : un Programme Opérationnel de la Subvention ; et un rôle adapté de la CAIMA. -
Module sur la fabrication de compost
Le compost est fabriqué spécialement en mélangeant des résidus végétaux avec des déjections animales ou du fumier. Il existe plusieurs méthodes de fabrication du compost : le compostage aérien ou en tas et le compostage en fosse. -
Fertilisation minérale chez les cultures maraichères
La fertilisation, c’est l’action qui consiste à effectuer des apports d’engrais organique ou minéraux, nécessaires au bon développement des végétaux. Elle peut donc être réalisée sous forme d’amendements humifères (organique) ou minéraux (chimique). Les engrais sont des substances le plus souvent des mélanges d’éléments minéraux destinées à apporter aux plantes des compléments d’éléments nutritifs. La fertilisation organique ou amendements, c’est l’incorporation au sol, de matières organiques plus ou moins décomposées, tels que les fumiers. Elle permet d’améliorer la structure du sol et d’augmenter la capacité du complexe argilo-humique à stocker les éléments nutritifs. Le processus de minéralisation de la matière organique libère de manière progressive les éléments nutritifs dont la plante a besoin pour son développement. -
Effet de la fertilisation par microdose sur la productivité de deux variétés de Sésame (Sesamum indicum L.), la variation des teneurs et les bilans partiels des nutriments
Le sésame (Sésamum indicum L.), est une plante oléagineuse cultivée au Niger sur les sols sableux pauvres en éléments nutritifs. Afin d'améliorer la productivité de cette culture, un essai a été conduit en 2012 à la station de recherche de N'Dounga dans le département de Kollo au Niger. L'objectif principal de la présente étude est d'étudier l'effet de la microdose sur le rendement du sésame. Un dispositif factoriel avec deux facteurs a été utilisé: 1) la variété avec deux niveaux (variété améliorée et variété locale) et 2) l'engrais NPK avec quatre niveaux (Og, 0,5g, Ig et 1,5g.poque(1). Les composantes de rendement, la hauteur des plants, l'exportation des éléments nutritifs et les paramètres chimiques et biologiques du sol ont été déterminés. Les rendements et les hauteurs des plants obtenus avec l'apport de fertilisants par microdose ont baissé. La dose MO a enregistré la plus grande hauteur et le rendement le plus élevé avec 155 cm et 1903 kg. ha-l respectivement. Excepté le phosphore assimilable, le pHeau et la biomasse microbienne, les caractéristiques chimiques testées du sol ont augmenté. Les teneurs en éléments nutritifs du sol ont augmenté de 3,9 mg/kg à 15,6 mglkg pour le potassium assimilable, de 0,1 glkg à 0,6 glkg pour l'azote total et de 0,25 g1kg à 6,2 glkg pour le carbone organique. L"étude montre que la microdose a induit des augmentations sur les paramètres de rendement. La dose M3 a enregistré le plus grand nombre de graines par capsu le avec 56 suivis de la dose Ml avec 49 et le témoin MO avec 48. Toutefois. cette performance de la technique de la microdose dans l'amélioration des paramètres de rendement s'accompagne d'un bilan partiel négatif. -
Le montage du fumier Bokashi
La présente fiche porte sur le montage du fumier BOKASHI -
Essai fertilisation sur les légumes- fruits : Solanum melongena
Ce présent guide porte sur l'essai fertilisation sur les légumes- fruits particulièrement sur Solanum melongena (aubergine). -
Promotion de la technique de compostage aérien au niveau de l'exploitation maraichère
Fiche technique portant sur la réalisation et l'utilisation de compost aérien, à destination de maraichers nigériens. -
Manuel d'inspection des engrais au Niger
La mission du personnel d'inspection engagé dans le processus d'exécution du règlement commun de la CEDEAO sur les engrais au Niger est de veiller à ce que le client reçoive un produit qui respecte les garanties en termes d'étiquetage et d'analyse. Un programme d'exécution énergique, trivialement mais fermement géré, constitue la meilleure garantie de succès de cette mission. -
Effets de la fertilisation à base de la biomasse du Sida cordifolia L. sur les performances agronomiques et la rentabilité économique de la tomate (Lycopersicum esculentum Mill.) en culture irriguée
Publication scientifique, sur l'effet de la fertilisation organique de type "engrais vert" sur la culture des tomates en irrigué. -
Méthode de compostage en fosses multiples
L'affiche démontre les méthodes de compostage en fosses multiples. -
Méthode de compostage en fosse unique
Sur ce poster, il est démontré les techniques de compostage en fosse unique. -
Méthode de compostage en tas
L'affiche démontre la méthode de compostage en tas. -
Fertilisation : modes d'utilisation de l'UREE et du NPK sur les cultures irriguées
L'utilisation de l'engrais nécessite un savoir faire rigoureux pour éviter d’endommager les cultures, c'est que cette affiche démontre à travers plusieurs illustrations. -
Husa'ar yin takin tsime cikin rame daya
L'affiche démontre les méthodes de compostage en fosses multiples (préparation du sol, remplissage des fosses, entretien). -
Des produits « miracles » sont proposés aux producteurs, de quoi s’agit-il ?
Pour faire simple, un biostimulant va stimuler les processus physiologiques de la plante avec un effet sur le rendement, indépendamment de son apport nutritionnel. Par exemple, un produit qui va favoriser l’absorption des minéraux, ou améliorer la fertilité du pollen, ou diminuer les conséquences du stress hydrique. -
Une utilisation efficace de la technique de microdose d’engrais
La technique de la microdose d'engrais comporte deux variante. La première qui consiste à l'apport mécanique d'engrais séparé de la semence est de plus en plus abandonnée. La deuxième qui consiste à placer l'engrais dans le même poquet que la semence lors des semis est actuellement plus vulgarisée. -
Phosphate : la recherche insiste depuis 40 ans sur ce facteur limitant des cultures pluviales
Cette note a été rédigée à partir de plusieurs textes relatant des résultats ou des rencontres des chercheurs de l’Afrique de l’Ouest et/ou du Niger. Le RECA pense que ces travaux ne doivent pas être oubliés au moment où différentes équipes travaillent sur les « technologies disponibles et diffusables » pour améliorer la productivité des cultures, y compris fourragères. -
Application à la volée de l'engrais phosphaté soluble ou naturel sur les cultures pluviales
Cette fiche technique édifie de manière synthétique les objectifs de la fertilisation minérale et ensuite les performances de son usage. -
Les boutiques d'intrants agricoles
La présente fiche de bonne pratique s'adresse aux acteurs concernés par les boutiques d'intrants, notamment les organisations paysannes faîtières et de base, les producteurs et productrices, ainsi que les partenaires et autres acteurs du développement. L'objectif de cette fiche est de décrire la boutique d'intrants en tant que bonne pratique au Niger et d'encourager les organisations paysannes et acteurs du développement à adopter ce mode de distribution d'intrants afin d'en garantir une meilleure disponibilité pour les producteurs et productrices. -
La commande groupée d’intrants agricoles : un mécanisme d’approvisionnement
La présente fiche s’adresse à tous les acteurs concernés par le processus de commande groupée, notamment les faîtières d’organisations paysannes. -
Guide pratique sur les boutiques d'intrants
Ce livret a été développé sur la base du manuel de gestion de boutiques d’intrants (BI) à caractère coopératif (manuel du gérant élaboré en 2006 par le projet Intrants/FAO). Un atelier participatif de révision de ce manuel, organisé en mars 2010, a proposé de le présenter sous forme de trois livrets illustrés pour faciliter sa compréhension. -
Effet comparé de la fertilisation à base de biochar, engrais organique et engrais chimique sur les éléments minéraux et la production de l’oignon (Allium cepa L.)
Le biochar tient son nom du terme « bio » en référence à des résidus organiques et « char » pour charbon. En effet, ce fertilisant est une autre forme d’engrais organique qui contient des éléments minéraux nécessaires pour l’enrichissement du sol. Il est produit à partir des résidus des cultures, de biomasse, des mauvaises herbes, des déjections animales ou de forêt (bois) à travers une méthode de pyrolyse. Afin de le différencier du charbon de bois, la définition adoptée par International Biochar Initiative (IBI) spécifie que, la finalité de cette substance est son utilisation en tant qu’amendement pour les sols (Sohi et al., 2010). Le biochar est un matériel qui se présente sous forme de fragments noirs, légers, poreux, sec et facile à transporter. -
Sanitized human urine (Oga) as a fertilizer auto-innovation from women farmers in Niger
Poor soil chemical fertility and climate change restrict pearl millet grain yield in Niger Republic. Apart from the seedball technology, which targets majorly early phosphorus supply to the plants, the recommended practices of mineral fertilization and seed treatments (coating and priming) are barely affordable to the local farmers in particular. In the case of female farmers, who usually have chemically infertile farmlands often located far away from their homestead, low pearl millet grain yield can be exacerbated. In quest for a cheap, affordable, and effective solution, we hypothesized that the application of sanitized human urine (Oga), in combination with organic manure (OM) or solely, increases pearl millet panicle yield in women’s fields and on different local soils. In on-farm large-N trials (N = 681) with women farmers in two regions of Niger (Maradi, Tillabery), pearl millet panicle yields were compared between the control (farmer practice), and a combination of Oga and OM in the first and second year, and Oga alone in the third year. Our results showed an average panicle yield increase of about +30%, representing +200 to +300 kg ha−1. Major factors determining the yield effect are season, village, and local soil type. This study shows for the first time that Oga innovation can be used to increase pearl millet panicle yield particularly in the low fertile soils of women’sfarmlands in Niger. Oga innovation is affordable, locally available, and does not pose a risk to resource-poor femalefarmers of Niger.
L’urine humaine aseptisée (Oga) en tant qu’auto-innovation en engrais par les agricultrices du Niger
La faible fertilité chimique du sol et le changement climatique limitent le rendement en grains de mil perlé en République du Niger. Mis à part la technologie des boules de semence, qui cible principalement l’approvisionnement précoce en phosphore des plantes, les pratiques recommandées de fertilisation minérale et de traitement des semences (enrobage et amorçage) sont à peine abordables pour les agriculteurs locaux en particulier. Dans le cas des agricultrices, qui ont généralement des terres agricoles chimiquement infertiles souvent situées loin de leur ferme, le faible rendement en grains de mil perlé peut être exacerbé. À la recherche d’une solution bon marché, abordable et efficace, nous avons émis l’hypothèse que l’application d’urine humaine aseptisée (Oga), en combinaison avec du fumier organique (OM) ou uniquement, augmente le rendement en panicule de mil perlé dans les champs des femmes et sur différents sols locaux. Dans les essais à la ferme avec de grandes N (N = 681) avec des agricultrices dans deux régions du Niger (Maradi, Tillabery), les rendements en panicule de mil perlé ont été comparés entre le contrôle (pratique agricole) et une combinaison d’Oga et d’OM la première et la deuxième année, et d’Oga seul la troisième année. Nos résultats ont montré une augmentation moyenne du rendement en panicule d’environ +30%, représentant +200 à +300 kg ha−1. Les principaux facteurs déterminant l’effet de rendement sont la saison, le village et le type de sol local. Cette étude montre pour la première fois que l’innovation Oga peut être utilisée pour augmenter le rendement en panicule de mil perlé, en particulier dans les sols peu fertiles des terres agricoles des femmes au Niger. L’innovation Oga est abordable, disponible localement et ne pose pas de risque pour les agricultrices nigériennes pauvres en ressources. -
Les phosphates, une richesse pour l'agriculture Ouest africaine : résultats pour le mil et le niébé au Niger
Cette note est tiré du bulletin « Coraf Action n°59 / 2ème trimestre 2011 » dont le titre est : « Les phosphates, une richesse pour l’agriculture Ouest africaine » qui présente les résultats obtenus par ce projet dans chacun des pays. La note présente les résultats du Niger. -
Impact des pratiques de gestion de la fertilité sur les
rendements en mil dans le Fakara (Niger)
En vue de promouvoir l’utilisation par les agriculteurs de pratiques améliorées de gestion de la fertilité des sols, il est essentiel de pouvoir établir préalablement l’impact en conditions réelles de ces pratiques sur les rendements. C’est dans cet objectif qu’un essai en milieu paysan a été mis en place pour une durée de 3 ans dans 3 villages de la région du Fakara, au sud-ouest du pays. L’essai vise principalement la validation de la technique de placement d’engrais au poquet et la caractérisation de l’impact de pratiques indigènes de gestion de la fertilité. Il combine 3 variétés de mil (locale, ICMV IS 89305 et Zatib), 3 niveaux d’application d’engrais (témoin, DAP : phosphate diammonique et DAP + urée) et plusieurs pratiques de gestion des amendements organiques (transport de fumier et parcage) ainsi que leurs effets résiduels (un et deux ans après application). -
Fixation de l'azote chez l'arachide et le niébé en condition de sécheresse pour l'amélioration de la productivité au Sahel
L'identification des variétés d'arachide et niébé tolérantes à la sécheresse et bonne fixatrices d'azote augmenterait leurs productions et celles des céréales associées ou en rotation. Des variétés d'arachide et de niébé ont été évaluées, au champ et en pots, en condition de sècheresse ont réduit la plupart des paramètres étudiés , dont notamment le nombre nodules (40%) et le poids des gousses (30%). -
Effet de la combinaison Régénération Naturelle Assistée (RNA) et microdose d’engrais sur la production du mil (Pennisetum Glaucum (L.) R.Br) dans les zones agro-écologiques du centre-sud du Niger
Cette étude vise à identifier la microdose optimale d’engrais dans les champs de production du mil, où des pratiques de la régénération naturelle assistée (RNA) sont déjà réalisées. L’expérimentation a été conduite dans 26 villages pratiquant la RNA, dont 10 villages dans la zone sahélienne stricte, 10 villages dans la zone sahélo-soudanienne et 6 villages dans la zone nord soudanienne du centre-sud du Niger. Un dispositif en bloc randomisé est installé dans chaque village comportant 5 traitements (RNA; RNA + Fumure organique (F); RNA+F+NPK; RNA + Phosphate naturel de Tahoua (PNT) + F; RNA+PNT) et un témoin suivant les quatre points cardinaux. Les paramètres mesurés sont : la croissance en hauteur, le nombre de talles, les rendements en grains et en paille de mil. Les résultats ont montré que la hauteur moyenne la plus élevée des plants est obtenue pour le traitement RNA+PNT dans la zone sahélienne stricte (283,9±86,2 cm) et le nombre élevé de talles moyens pour le témoin de la zone nord-soudanienne (10,04±3,1). Dans toutes les zones, le traitement RNA+F+NPK a permis d’obtenir les plus grands rendements moyens en grains et en paille de mil. -
Perceptions et stratégie paysannes de gestion de la fertilité des sols dans la région de Tillabery de l'ouest du Niger
L’agriculture au Niger est considérée comme une agriculture « minière » en ce sens qu'elle prélève du sol, chaque année, plus d'éléments nutritifs qu'elle n'en retourne (Abdoul-Habou et al., 2016). Cela implique une diminution de la fertilité des sols et des rendements de culture liés à cette exploitation sans restitution des résidus de récolte et la faible utilisation d’engrais (Amonmidé et al., 2019). La baisse de la fertilité des sols constitue alors un des facteurs les plus contraignant pour la production agricole au Niger et de la sous-région Sahélienne en général (Bielders, 2015, Ravonjiarison et al., 2018, Nguessan et al., 2019. -
Influence de la profondeur d’application d’engrais minéraux par microdose sur la densité racinaire et la productivité du mil (Pennisetum glaucum)en zone sahélienne du Niger
Afin d’améliorer l’efficacité de la technique d’application localisée de fertilisants minéraux par micro-dose, un essai a été conduit en 2008 et 2009 à la station de recherche de l’ICRISAT-Sadoré/Niger. L’objectif de l’essai est d’évaluer l’impact de la profondeur d’application d’engrais minéraux par micro-dose sur la densité racinaire et les rendements du mil. Cinq traitements ont été utilisés en 2008 : (i) DAP (2g) á 5 cm, (ii) DAP (2g) á 10 cm, (iii) DAP (4g) á 5 cm, (iv) DAP (4g) á 10 cm et (v) Témoin absolu. En 2009, un sixième traitement DAP 200 kg/ha appliqués à la volée a été ajouté aux traitements précédents. Tous ces traitements ont été organisés dans un dispositif expérimental en bloc randomisé complet répété cinq fois. L’application de 2g de DAP à 10 cm de profondeur a entrainé une augmentation de la densité racinaire de 28% à 38% dans les 40 premiers centimètres du sol et celle du rendement en grain de 19 à 22 % comparé à l’application de la même dose à 5 cm de profondeur. L’augmentation du rendement à 10 cm de profondeur a été accompagnée d’une amélioration de l’efficience de l’eau de 18 à 21 %. -
Effet de NPK (15-15-15) sur la production des écotypes d’oseille de Guinée (Hibiscus sabdariffa L.) au Niger
L’oseille de Guinée (Hibiscus sabdariffa L.) est une culture importante en raison de ses feuilles, calices et graines qui jouent un rôle socio-économique considérable pour les populations du sahel. L’objectif principal de ces expérimentations est d’évaluer l’effet de la fertilisation minérale de NPK (15-15-15), afin de déterminer la dose optimale pour une production en calice, en feuilles et en graine de l’oseille de Guinée. Elles ont été conduites à Tara/Gaya (11°53’N et 3°19’E) et à Tarna/Maradi (13°27’N et 7°06’E) au cours de la saison de pluvieuse 2017. Le dispositif expérimental utilisé dans cette expérimentation a été un split plot en blocs randomisés à quatre (4) répétitions avec les écotypes en parcelles principales et les coupes d’apex en parcelles secondaires. Les résultats obtenus ont montré que l’apport de NPK a permis d’augmenter les rendements en feuilles, en calices et en graines aussi bien à Tara qu’à Tarna. Cette augmentation était d’environ 15% à Tara, contre 30% à Tarna. La dose optimale de NPK (15-15-15) pour une meilleure en amélioration de la production en oseille de Guinée est de 25 kg ha-1. Nous espérons que des études doivent être poursuivies dans les autres zones-climatiques du Niger pour mieux confirmer l’effet de la fertilisation minérale sur le rendement en oseille de Guinée. -
Approvisionnement d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux cadres des Organisations Paysannes (OP) et aux gestionnaires des boutiques d’intrants (gérants ou gérantes et membres du comité de gestion). Elle précise les étapes indispensables à suivre pour procéder à l’approvisionnement d’une boutique d’intrants chaque fois que cela est nécessaire au cours de la campagne hivernale (saison des pluies de juin à septembre) et/ou de la campagne de contre-saison (saison sèche). -
Pourquoi faire analyser son engrais ?
La majeure partie des pays du Sahel, et au Niger en particulier, souffre d’une faible fertilité naturelle de leurs sols, à laquelle viennent s’ajouter la réduction drastique de la pratique de la jachère et la mise en culture de certaines terres marginales. De plus, les apports en éléments nutritifs organiques ou minéraux sont insuffisants. Tout ceci contribue largement à la dégradation de la base nutritive de la plupart des sols. -
Caractéristiques, fonctions et activités d’une boutique d’intrants
Cette fiche s'adresse aux promoteurs et promotrices, aux utilisateurs et utilisatrices, aux responsables d'une boutique d'intrants et/ou à toute personnes intéressée par la création d'une boutique d'intrants. -
Contrôle et auto-évaluation d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, et plus spécifiquement aux membres responsables des divers organes des OP propriétaires des boutiques d’intrants (membres de l’Assemblée Générale /AG, du comité de gestion, de contrôle et au gestionnaire de la boutique d’intrants). -
Création d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, aux responsables d’organisations paysannes et/ou à toute personne intéresser par la création d’une boutique d’intrants. -
Rôle du gérant ou de la gérante d’une boutique d’ intrants
Cette fiche s’adresse aux responsables des organisations paysannes (OP) et de boutique d’intrants, et plus spécifiquement au gestionnaire d’une boutique d’intrants. Elle est également destinée aux animateurs et animatrices, agents d’encadrement pour le renforcement des capacités des OP. -
Partenaires techniques et financiers d’une boutique d’intrants
Cette fiche s'adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d'une boutique d'intrants, et plus spécifiquement à ses partenaires potentiels. Elle souligne l'importance du role des divers partenaires d'une boutique d'intrants et la collaboration continue que les Organisations Paysannes (OP), propriétaires et responsables des boutiques d'intrants, doivent impérativement entretenir avec ces partenaires afin de pérenniser les activités d'une boutique d'intrants. -
Fixation du prix de vente des engrais
Cette fiche s'adresse aux gestionnaires d'une boutique d'i intrants (gérant ou gérante et membres du comité de gestion). Elle détaille le mode de calcul du prix de vente des engrais aux utilisateurs et utilisatrices de la boutique d'intrants -
Boutiques d’intrants : les clés du succès en huit fiches
Au Niger, comme dans d’autres pays de la zone sahélienne, l’indisponibilité d’intrants de qualité au bon moment, au bon endroit et en petits conditionnements, est l’une des principales causes de la faible utilisation des intrants. L’approvisionnement en intrants est un des obstacles à la mise en place et à la continuité de systèmes de production durables et rentables. -
Bilan et performance des boutiques d’intrants et des organisations de producteurs au Niger
L’économie du Niger est vulnérable aux chocs extérieurs, en particulier à ceux climatiques, en raison de la prédominance constante de l’agriculture pluviale. La situation s’est cependant améliorée au cours des dernières années, avec une croissance positive portée par le secteur agricole alors même que la production alimentaire nationale demeure insuffisante par rapport à la demande. D’autres opportunités de croissance existent dans la mesure où moins d’un tiers des terres irrigables sont exploitées. En améliorant les techniques culturales, les rendements pourraient augmenter de façon significative. -
Gestion des intrants et genre au Niger
Ce document est une étude de cas sur le genre et le warrantage au Niger. Se basant sur les recherches approfondies des équipes des projets Capitalisation et IARBIC, la présente étude donne en détail les informations sur le warrantage et le genre appliqués par l’union Cigaba de Konkorindo, à Dosso au Niger. -
Guide pratique sur les boutiques d’intrants : volume 2, organisation et fonctionnement de la boutique d'intrants agricole
Au Niger, les producteurs et productrices agricoles ont des difficultés à s’approvisionner en intrants de qualité pour fonder des systèmes productifs durables. La non disponibilité réelle en intrants au bon moment, au bon endroit et en petits conditionnements est l’une des principales causes de la faible utilisation des intrants par les producteurs et productrices. -
Guide pratique sur les boutiques d’intrants : volume 1 , Présentation de la boutique d’intrants agricoles
Ce premier livret présente la boutique d’intrants agricoles, il est complété par deux autres : l’un porte sur l’organisation et le fonctionnement de la boutique d’intrants agricoles et l’autre sur la gestion de la boutique d’intrants agricole. -
Deuxième épisode: Microdose ou la fertilisation localisée au moment des semis des cultures
Nous sommes à l’approche de la campagne hivernale. Grâce aux revenus obtenus à travers les opérations de warrantage conduites après chaque campagne par leurs organisations paysannes, de nombreux producteurs et productrices s’approvisionnent désormais en engrais à la boutique d’intrants. Suite à des actions de développement visant à une utilisation rationnelle des engrais, les producteurs et productrices l’utilisent dans leurs champs pour améliorer le rendement des différentes spéculations qu’ils cultivent. Dans la plupart des cas, les cultures au stade de levée présentent un état végétatif agréable à voir. -
Consortium Santé du Sol Niger (NiSHC)
Le consortium santé du sol est une initiative financée par l'Alliance pour la Révolution Verte en Afrique (AGRA) qui concerne 5 pays de l'Afrique de l'Ouest qui sont le Burkina Faso, le Ghana, le Mali, le Niger, et le Nigeria. Ces pays connaissent en effet des difficultés pour l'amélioration de la production agricole. Le consortium regroupe tous les intervenants dans le cadre de la Gestion Intégrée de la Fertilité du Sol (GIFS ou ISFM « anglais ») à des fins de production agricole. A savoir les institutions de recherche, de vulgarisation, les décideurs politiques, les institutions de développements (projets et ONGs), les organisations paysannes, les fournisseurs d'intrants, les institutions financières et les· media ... -
Gestion de la fertilité du sol sur un terroir sahélien Fumure animale, matière organique et encroûtement superficiel du sol dans les systèmes de culture de mil, étude au Niger
Au Sahel, les agriculteurs luttent contre la perte de fertilité des terres en les mettant en jachère ou en périodiquement à la surface fèces et urine de zébus et de caprins. Mais aujourd'hui, de plus en plus de jachères sont remises en culture avant que la fertilité des sols n'ait été régénérée : il en résulte une baisse des rendements et de la productivité du travail ainsi que la dégradation du milieu sous forme d'encroûtement superficiel. Dans ces situations, la fumure organique peut permettre de maintenir ou d'améliorer la production du mil. -
Manuel de formation statistique sur les engrais en Afrique
En juin 2006, les dirigeants Africains se sont réunis à Abuja dans le cadre du Sommet Africain sur les fertilisants avec pour objectif de souligner l'importance des engrais pour réaliser une révolution verte Africaine. -
Les brèves du RECA : engrais 2024 / n°1
Cette note présente les relevés de prix des engrais effectués par les conseillers agricoles des Chambres Régionales d’Agriculture dans des communes des différentes régions du Niger au cours de la semaine 19, soit du 6 au 11 mai 2024. Ces relevés ont été effectués auprès de vendeurs d’engrais (boutiques ou marchés).