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Protégeons nos enfants des pesticides -- Guide visuel d’animation
Ce guide visuel présente comment réduire l’exposition des enfants aux pesticides; comment identifierque les enfants sont exposés aux pesticides, la description des effets négatifs des pesticides sur la santé et pourquoi les enfants sont plus exposés; il aborde aussi ce qu'il faut faire pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides .
Il aide à partager l’information au sein de la communauté pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides. -
La santé des sols: des technologies pour produire plus avec moins
Pour nourrir une population mondiale, en pleine expansion, nous n’avons pas d’autre choix que d’intensifier les cultures. Mais les agriculteurs sont confrontés à des contraintes sans précédent. Il leur faudra donc apprendre à produire
plus avec moins. L’agriculture doit littéralement retourner à ses racines en redécouvrant l’importance de sols en bonne santé, en utilisant des sources naturelles de nutrition des plantes et en appliquant avec discernement les engrais minéraux. -
La situation de la communication pour le développement au Niger (État des lieux)
Pour lutter contre les affres du sous-développement, les autorités ont entrepris de réorganiser le secteur de la communication et décidé de la mise en œuvre d’une Politique nationale de communication pour le développement.
A cet effet, 10 études sectorielles et thématiques ont été effectuées. Des ateliers tenus dans chacune des huit régions du pays ont permis de recueillir la perception par les communautés de base de la problématique de la communication pour le développement. -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles suivantes, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
Le développement du Warrantage au Niger
Le colloque organisé à Paris en décembre 2007 par la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) sur « Microfinance pour l’agriculture dans les pays en développement » a consacré un atelier aux produits et procédures susceptibles d’améliorer la réponse de la microfinance aux besoins de financement des agriculteurs. L’expérience du Niger en matière de warrantage a été présentée par M. Sani Boubacar (Projet Intrants FAO) et M. A. Olofson (FAO). Ce BIM présente une version abrégée de la communication de M. Sani Boubacar. L’original complet de cette communication, ainsi que la communication de M. Olofson sont disponibles auprès de la fondation Farm. -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
La fertilisation localisée au semis des cultures ou le « microdosage » consiste à mettre, au moment du semis, de petites quantités (doses) d’engrais minéraux appropriés dans les trous de semis d’une culture, communément appelé poquets ; cette technique remplace la pratique de l’épandage (application de l’engrais à la volée ou en ligne) sur toute la superficie d’un champ. Cette méthode peu onéreuse, et particulièrement bien adaptée aux cultures de mil et de sorgho, permet une utilisation plus efficace de l’engrais et une augmentation des rendements agricole de manière durable. -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles énumérées dans ce rapport, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
Etat des lieux de la riziculture : Cas du Niger
Afin de déterminer de façon spécifique les activités et le budget du projet de chacun des pays, il est apparu nécessaire de recruter un consultant national pour faire l’état des lieux de la riziculture, dégager les insuffisances au niveau de ce secteur et les axes prioritaires.
Le présent document représente donc l’état des lieux de la riziculture au Niger et s’articule autour de 12 principaux points -
Champ école paysan
Présentation du concept de champ-école paysan -
Guide pratique à l'usage des facilitateurs pour les activités champs école paysan (CEP)
Ce guide présente les étapes de création d'un champs école paysan en vue de transférer des technologies adaptées aux besoins des producteurs -
Revue du warrantage paysan au Niger
Le rapport passe en revue l’expérience de la mise en oeuvre de warrantage au Niger depuis 1999, par la FAO et les autres acteurs, fait ressortir des leçons pour les décideurs et les praticiens, et ensuite, propose des dispositifs pour accélérer l’adoption du crédit stockage. -
Guide pour l’amélioration de la gouvernance des régimes fonciers pastoraux au Niger
Qu’est-ce que le Guide technique pour améliorer la gouvernance des terres pastorales ? Ce guide présente des arguments pour sécuriser les régimes pastoraux et améliorer la gouvernance des terres pastorales. Il fournit des orientations et domaines d’actions pratiques pour améliorer la gouvernance des terres pastorales. Il s’inspire des Directives volontaires qui ont été approuvées par le Comité de la sécurité alimentaire mondiale (CSA) en 2012 et sont depuis mises en œuvre dans plus de 50 pays, dont le Niger. -
L'état de l'alimentation et l'agriculture au Niger
L’agro-biodiversité est essentiellement exploitée par une agriculture vivrière de subsistance dominée par la culture pluviale des céréales (mil, sorgho, riz, blé, maïs et fonio) et les cultures de rente (niébé, arachide, voandzou, sésame, souchet, oseille) -
La société civile s'engage fermement dans le processus de la politique foncière rurale au Niger
brochure décrivant l'engagement des OSC dans la préparation de la réforme de la politique foncière au Niger -
La mise en place des comités de transhumance au Niger : Une démarche inédite et réussie en matière de dialogue multi-acteurs pour améliorer la gouvernance des terres pastorales
La mise en place des organes de transhumance (CRT et CNT) au Niger est le fruit d’une démarche participative, inclusive, itérative et collaborative. Le succès de ce processus est le résultat de la conjugaison de plusieurs éléments spécifiques. -
Revue détaillée des projets du portefeuille PIS sur la gestion durable des terres:
Cas du Niger
La revue détaillée au Niger des projets du portefeuille du Programme D’Investissement Stratégique (PIS)/TerrAfrica, dont l’objectif est de mettre en évidence les leçons, en particulier celles des sites pilotes et de démonstration, pour mieux comprendre les opportunités et défis de la mise à l’échelle de la gestion durable des terres (GDT), a été exécutée par l’équipe de consultants (Abdoulaye Sambo Soumaila, et Domitille Vallée) en trois étapes à travers (i) un atelier de lancement réunissant les trois projets et des représentants de la plateforme GDT organisé à Niamey le 22 juillet 2015, (ii) une mission de terrain réalisée dans les régions de Maradi et de Zinder du 23 au 27 juillet 2015 accompagnée d’un atelier de restitution des résultats de la mission de terrain (28 juillet 2015 à Niamey) auprès des projets, de la plateforme GDT et de partenaires de financement actifs dans le secteur de la GDT, et (iii) des travaux complémentaires de recherche documentaire à Niamey. -
Contribution à l’évaluation des risques et santé dans les exploitations agricoles , pastorale et halieutiques du Niger
Dans les PED, l'agriculture à forte intensité de main d'oeuvre est la plus répondue avec une grande diversité de type d'exploitation et d'emploi -
Rapport d'évaluation de l'opération de lutte biologique contre la chenille mineuse de l'épi de mil dans la région de Maradi
Dans le cadre du plan d’action pour la gestion de la mineuse de l’épi élaboré par le groupe GTSA, après les opérations de lâchers du parasitoïdes Habrobracon,hebetor, il était jugé utile de procéder à l’évaluation des opérations de lâchers effectuées pour le contrôle de la chenille mineuse de l’épi dans la région de Maradi -
Stratégie décentralisée et partenariale d'approvisionnement en intrants pour une agriculture durable (SIAD)
Le SDR permet de préciser les orientations définies par le SRP dans le secteur rural et constitue l'unique cadre de référence en matière de politique économique et sociale dans le secteur -
Multiplication et diffusion de semences de qualité des variétés améliorées et adaptées au changement climatique - Fiche de bonne pratique
La bonne pratique portant sur la multiplication et diffusion de semences de qualité des variétés améliorées a été mise en œuvre au Niger par la FAO en collaboration avec les structures du Ministère en charge de l’Agriculture, les institutions de recherche agricole (INRAN et ICRISAT), les organisations des producteurs agricoles au sein desquelles, les agriculteurs‐multiplicateurs ont émergé et sont devenus des professionnels de semences.
Elle a été mise en œuvre dans le but de renforcer la disponibilité en semences de qualité, de créer les conditions d’une réponse rapide et facile aux besoins importants en semences de qualité dans les situations d’urgences agricoles, de renforcer la résilience des organisations paysannes à travers la production, la commercialisation de semences de qualité pour améliorer leurs revenus et relancer la filière semencière au Niger. -
Étude de cadrage du système agroalimentaire au Niger - Facteurs clés et chaînes de valeur prometteuses pour améliorer la durabilité du système alimentaire
Le projet AgrInvest-Systèmes alimentaires cherche à attirer des investissements conformes aux objectifs de développement durable (ODD) dans les systèmes alimentaires en tirant parti des fonds publics. Cette publication vient étayer le projet AgrInvest-Systèmes alimentaires en analysant le système alimentaire national du Niger par le biais d’une approche des systèmes alimentaires et de l’économie politique.
Cette étude de cadrage est la première étape du projet AgrInvest au Niger et poursuit les objectifs suivants :
1. Fournir une cartographie du système alimentaire au Niger et comprendre son contexte général.
2. Identifier les grandes lignes susceptibles d’améliorer la durabilité du système alimentaire du Niger et les points d’entrée prometteurs, en suggérant des pistes pour l’orientation ultérieure du projet AgrInvest en termes de chaînes de valeur à cibler.
3. Établir les bases d’une approche en termes de systèmes alimentaires et d’économie politique pour le projet AgrInvest. La compréhension du fonctionnement du système alimentaire du Niger et de l’influence de divers facteurs d’économie politique (c’est-à-dire ce premier résultat) constitue la base du déploiement d’une approche du système alimentaire politiquement informée pour promouvoir l’investissement durable dans les chaînes de valeur alimentaires, par la mise en œuvre du reste du projet AgrInvest. -
Les acquis de la loi pastorale - Ordonnance 2010-029 relative au pastoralisme et ses décrets d’application
Document de réflexion dans le cadre de l’élaboration de la politique foncière rurale de la République du Niger - La présente étude a permis d’identifier les acquis du code pastoral dans le but de faciliter l’élaboration de la politique foncière. De façon plus large, elle s’inscrit également dans le cadre de la mise en œuvre des Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts. -
Les achats locaux des vivres : une stratégie pour améliorer la sécurité alimentaire au Niger
Face à l’insécurité alimentaire chronique au Niger, le Programme alimentaire mondial des Nations unies (PAM), en partenariat avec l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a mis en place depuis 2014 un projet d’achats des vivres auprès des petits producteurs locaux. Objectif : améliorer la sécurité alimentaire et le pouvoir d’achat des agriculteurs à travers l’appui à la production agricole par la fourniture d’intrants, de matériel et l’accès à des formations techniques. L’opération a eu des impacts positifs, en particulier sur l’autonomisation des femmes vulnérables. -
Les jardins de survie au Niger
Au Niger, Christian Blind Mission (CBM) finance un programme de développement inclusif à la base (ProDIB) au sein duquel l’ONG nigérienne Karkara est chargée de mettre en œuvre le projet Jardins de survie. Ce projet vise à améliorer la qualité de vie des personnes handicapées et de leur famille en répondant à leurs besoins essentiels et en favorisant leur participation et leur inclusion dans la société. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Volume VI - Résultats définitifs - Productivité des exploitations agricoles
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Le présent document intitulé Volume VI ‘‘Productivité des exploitations agricoles’’ une des publications du Recensement Général de l'Agriculture et du Cheptel 2005/2008, est consacré à la présentation des résultats des enquêtes sur la productivité des principales spéculations cultivées en zones d’agriculture pluviale à savoir : le mil, le sorgho, le niébé et l’arachide. Cette publication est structurée autour des quatre parties ci-après : Première partie : organisation et mise en œuvre de la productivité des exploitations agricoles ; Deuxième partie : présentation des résultats de la productivité des cultures pratiquées en zone d’agriculture pluviale ; Conclusions et Annexes. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Résultats définitifs – Volet Agriculture (Niveau Régional) – Volume IV
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Cette analyse des données du RGAC permettra aux acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général de bien connaître le secteur des productions végétales à l’échelle du pays comme des régions, notamment concernant les caractéristiques climatiques, ethniques, démographiques, hydrologiques et pastorales. On insistera plus en détails sur les superficies agricoles selon les spéculations, leur importance en pur et en association, les structures des exploitations agricoles et les différents systèmes agricoles mis en œuvre. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Méthodologies
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Le présent document intitulé Rapport Technique et Méthodologique du ‘‘Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel au Niger 2004/08 constitue un travail de synthèse des approches techniques utilisées dans la préparation des enquêtes, la collecte et le traitement des données statistiques entreprises dans le cadre du projet GCP/NER/041/EC (recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel au Niger. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Volume I - Résultats du pré recensement
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC) est le résultat d’une coopération fructueuse entre le Gouvernement du Niger, l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO.
Le présent document, un volume parmi tant d’autres fourni par le RGAC, consacré au pré recensement s’intéresse aux résultats issus des enquêtes relatives à l’actualisation du nombre de ménages agricoles (Q1), au recensement des sites de production horticole (Q12), des points d’eau au niveau des zones de concentration en saison sèche (Q7), des passages terminaux des couloirs de transhumance (Q8) et l’inventaire des organisations paysannes opérant dans les domaines agricoles et de l’élevage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume V - Productivité du cheptel - Enclaves pastorales et transect
Le Niger avec l’appui des partenaires techniques et financiers (Banque Mondiale, Union Européenne et Fao) a entrepris depuis 2001 une opération de recensement du recensement général de l’agriculture et du cheptel, nommée « RGAC » et consistant en des enquêtes d’effectifs d’animaux et autres activités agricoles.
Les paramètres démographiques du cheptel (taux de reproduction, de mortalité naturelle, d’exploitation, etc.) sont des données de base nécessaires pour quantifier la production et la dynamique du cheptel. L’estimation de ces paramètres était une activité importante à mettre en œuvre. Cette activité a été programmée dans le cadre de la mise en œuvre des modules du projet RGAC et a été réalisée en mai 2007 avec la participation active de la Direction des statistiques du Ministère des Ressources Animales.
L’enquête démographique réalisée dans le cadre du RGAC avait pour objectif de fournir un diagnostic rapide sur les caractéristiques démographiques actuelles des cheptels de bovins, de caprins, d'ovins et de camelins au niveau des deux zones agro écologiques du Niger : la zone pastorale et la zone agropastorale.
Cette enquête, réalisée à grande échelle, avait également pour objectif de familiariser la direction des statistiques d’élevage à la planification et l’organisation des enquêtes sur la démographie du cheptel. Ce qui au demeurant participe au renforcement des capacités techniques et organisationnelles des structures nationales en charge des statistiques d’élevage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel – Volume VII – Résultats définitifs – Organisations paysannes
Dans le cadre de la réalisation du Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGA/C), une enquête a été conduite en 2007 en vue de constituer une base de données fiables sur les organisations paysannes au plan national. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume VIII b – Résultats définitifs – Dimension genre « Agriculture »
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey.
Le présent document constitue un travail spécifique de prise en compte de l’aspect genre dans le cadre de cette importante investigation statistique qui est le RGAC 2005/2007. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume II – Résultats définitifs – Volet cheptel
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. Ce document présente un travail de synthèse de cette importante investigation statistique et comporte les parties suivantes : organisation et mise en œuvre du Recensement du Cheptel et présentation des principaux résultats. A la suite de la présentation des principaux résultats du cheptel nigérien, le document présente dans la partie ‘‘ANNEXES’’ les tableaux détaillés, les graphiques et cartes, les questionnaires et la liste des participants au recensement du cheptel. Les résultats présentés dans le présent Volume II ne sont qu’une partie de la grande masse d’informations contenues dans le RGAC. Ainsi donc, des analyses thématiques pourront être faites ultérieurement soit par le Ministère des Ressources Animales (MRA) et le Ministère du Développement Agricole (MDA), soit par les chercheurs ou encore par tout autre utilisateur. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume IX – Résultats définitifs – Horticulture
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2008) a été conçu et réalisé par le Ministère du Développement Agricole (MDA) et le Ministère des Ressources Animales (MRA), qui ont travaillé en étroite collaboration avec le Ministère des Finances et de l’Economie (MFE), avec l’assistance technique de la FAO et l’appui financier de l’UE.
Ce volet du RGAC vise à mettre en place un système de production de données régulières et fiables sur le secteur horticole, afin d’assurer de manière durable sa relance. En outre, ce recensement horticole à comme objectif, la constitution d’une base de sondage riche et variée sur le secteur horticole à travers l’identification et le dénombrement des sites de production et des exploitations horticoles. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel 2005–2007 - Analyse des résultats des enquêtes sur les marchés à bétail et le cheptel aviaire
Toute la commercialisation du bétail prend ancrage au niveau des marchés à bétail traditionnels La Direction de la Statistiques savait approximativement que le Niger dispose de plus de 500 marchés à bétail ; aujourd’hui l’enquête a démontré avec exactitude que leur nombre est de 635. Les présentes enquêtes marchés qui viennent d’être menées par le RGAC permettront de mieux préciser certaines caractéristiques de ces marchés et des transactions commerciales qui s’y déroulent afin de tirer des enseignements qui pourraient être opportunément exploités par le pouvoir décisionnel.
La deuxième enquête qui a trait à l’enquête complémentaire des effectifs du cheptel aviaire s’est penchée sur l’évaluation du cheptel aviaire villageois mais également sur l’état de la consommation de la volaille locale et des circonstances coutumières et culturelles de la consommation de la volaille ainsi que de la détermination du nombre moyen des effectifs élevés par espèce volaille et par ménage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel 2005–2007 – Résultats définitifs production animale - Répartitions régionales - Analyse - Perspectives
Il faut rappeler que depuis les indépendances, le Niger n’a connu aucun recensement de son cheptel, les effectifs utilisés dans les statistiques étaient déterminés par extrapolation par rapport aux taux de fécondité.
C’est ainsi que grâce à la coopération fructueuse entre le gouvernement du Niger et les partenaires au développement notamment l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO, le projet de Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel s’est concrétisé en 2004, sous la responsabilité des deux ministères en charge de l’agriculture et de l’élevage.
La présente communication a pour objet d’informer les acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général, des énormes potentialités dont dispose le pays dans le domaine de l’élevage, mais aussi de faire ressortir quelques axes de réflexion sur les contraintes et les perspectives qui peuvent découler de la gestion de ce cheptel. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC) – Niger - Conclusions et recommandations du projet
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) à été conçu et réalisé par le Ministère du Développement Agricole (MDA) et le Ministère des Ressources Animales (MRA), qui ont travaillé en étroite collaboration avec le Ministère des Finances et de l’Economie (MFE), avec l’assistance technique de la FAO.
Le lancement officiel du projet « Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC » s’est effectué le 5 août 2004 par les ministres en charge du projet RGAC à savoir, le ministre du développement agricole et son homologue des ressources animales, en présence du Délégué de l’Union
Européenne, de la Représentante de la FAO et d’un Représentant de la Banque Mondiale au Niger. Le
RGAC a été conjointement financée par le gouvernement du Niger à hauteur de 1,5 millions FCFA et l’Union Européenne pour 4,2 milliards FCFA (6.371.000 Euros, soit 7.900.039 Dollars EU), avec la FAO comme agence d’exécution. Le RGAC s’est étalé sur 48 mois.
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Disponibilité en semences améliorées : Niger campagne 02
Pour la deuxième année consécutive (2000-2001 et 2001-2002),le Projet Intrants/FAO et le SICCLA/ DA ont mené une enquête concernant la production et les multiplicateurs de semences améliorées au Niger. -
Communiquer le genre pour le développement rural : Intégrer le genre dans la communication pour le développement
Dans les projets de développement rural et agricole, les approches « communication pour le développement » et « genre » sont indispensables pour atteindre de façon durable les objectifs de sécurité alimentaire, de lutte contre la pauvreté et d’égalité entre les hommes et les femmes. Ces deux approches se rejoignent dans des valeurs communes : la participation active et égale de tous et toutes et le renforcement des pouvoirs (autonomisation) des populations, notamment des plus démunies. Elles ne se contredisent pas et pourtant, rares sont les actions de communication qui prennent en compte la problématique de genre. Sans doute, parce que cette dernière est mal comprise, qualifiée de complexe et perçue comme étant « une histoire de femmes ». De plus, on oublie que les conditions de vie et la situation socioéconomique des hommes et des femmes influencent au plus haut point leurs capacités à recevoir et à transmettre l’information. Enfin, les modalités de communication couramment utilisées se disent neutres au regard du genre. Dès lors que le genre est perçu comme une « histoire de femmes » et que la communication revêt un « habit unisexe », il ne faut pas s’étonner si les actions de communication pour le développement atteignent et impliquent davantage les hommes que les femmes, particulièrement en milieu rural. -
Le machinisme agricole au Niger - Rapport de mission et rapport technique
Au Niger les premières introductions de machinisme agricole sur une large échelle remontent aux années 60. Le bâti Arara est proposé partout au Niger, que les terres soient sablonneuses ou argileuses, c’est le même matériel aratoire qui est tendu aux populations. Cela sans tenir compte que certaines terres demandent à recevoir simplement un soussolage apte à éviter une trop grosse érosion.
Cette même erreur continue aujourd’hui quand les tracteurs modernes sont équipés de disques. Différents bâtis sont proposés avec le temps. Durant ces dernières années de nouveaux modèles de bâtis, plus simples et plus performants, il est vrai, sont proposés au Niger. -
Initiative sur la fertilité des sols et la collecte des eaux de ruissellement
L'initiative pour la fertilité des sols (IFS) dans les pays d'Afrique au sud du Sahara est un programme conjoint de plusieurs partenaires mené par la BM et la FAO. Le Niger y a adhéré en 1998 en associant la collecte des eaux de ruissellement et a entrepris une démarche participative qui a permis d'élaborer d'abord des plans d'action régionaux et des projet pilotes, puis le présent Plan d'action national. -
Profil national genre des secteurs de l’agriculture et du développement rural
La FAO et la Commission de la CEDEAO ont commandité une évaluation genre des secteurs de l’agriculture et du développement rural au Niger, dans le cadre de leur Projet de Coopération Technique «La réponse genre aux Plans régionaux et nationaux d’investissement agricole pour relever le Défi Faim Zéro dans la région de la CEDEAO». Cette évaluation a appréhendé, d’une part, les inégalités entre hommes et femmes dans le secteur agricole et rural et, d’autre part, l’aspect genre dans le Programme National d’Investissement Agricole (PNIA), notamment l’Initiative les Nigériens Nourrissent les Nigériens (I3N), ainsi qu’au niveau des institutions étatiques et des partenaires au développement. -
Programme de travail et budget annuel 2012
Le projet "Intensification de l'Agriculture par le Renforcement des Boutiques d'Intrants Coopératives" (IAR BIC) a pour objectif global de "contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire des populations les plus vulnérables à travers l'intensification de la production agricole vivrière". Il a comme objectif spécifique d"améliorer les rendements des cultures de mil et sorgho dans l'ensemble de la zone agricole du pays par l'utilisation maitrisée des engrais à travers le réseau des boutiques d'intrants". -
Projet de développement rural intégré de la Vallée de Keita : GCP/NER/028/ITA
A travers les incertitudes et difficultés de tout ordre, le Projet a vécu une période qui n'a pas été celle d'un Projet qui achève sa première phase pour entamer la deuxième. Tout cela, dans le cadre d'un pays qui est entrain de se réorienter et de se réorganiser. -
Rapport de la conférence technique internationale sur les ressources phytogénétiques
La conférence a réaffirmé les engagements de fonds nouveaux ou supplémentaires pris dans le cadre de l'Action 21 de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement et par les Parties à la Convention sur la diversité biologique. Au titre de ces engagements, des fonds devraient être mis à disposition pour financer la mise en œuvre par les pays en développement et les pays à économie de transition, du Plan d'action mondial. -
Évaluation agro écologique de la production agricole et des systèmes alimentaires au Niger
Le Niger, à l’instar des autres pays sahéliens, connait de profondes perturbations des systèmes de productions agricoles en raison des sècheresses récurrentes, du changement climatique et des activités anthropiques. Le secteur agricole exerce une forte pression sur les ressources naturelles en lien avec un croit démographique élevé, ce qui est de nature à conduire à une rupture définitive entre les productions agricoles et le maintien des équilibres écologiques.
L’initiative de la FAO de promouvoir l’agroécologie dans les pays du Sahel fait suite aux directives des différentes conférences des parties sur le changement climatique qui ont invité la communauté internationale à se mobiliser pour accompagner les PMA à améliorer les systèmes de productions agricoles. L’initiative sur l’un des principes directeurs de la stratégie de la FAO qui est de promouvoir des approches écosystémiques répond notamment au besoin d’assurer une assistance technique aux États dans le domaine de la transition agroécologique.
Le présent document passe en revue (i) les politiques agricoles en lien avec d’autres secteurs, (ii) les perceptions et les initiatives des principaux acteurs de l’agroécologie, (iii) l’état des systèmes agricoles et la place de l’agroécologie, (iv) les initiatives en matière de recherche, (iv) les initiatives en matière de formation, (vi) une analyse SWOT, (vii) les perspectives de développement de l’agroécologie et (viii) des recommandations. -
Intensification de l'agriculture par le renforcement des boutiques d'intrants coopératives (IARBIC) : Réhabilitation et renforcement des moyens de subsistance de population rurale du Niger face à la flambée des prix des denrées alimentaires et intrants agricoles
Le Niger, pays enclavé caractérisé par un climat rigoureux et des sols pauvres en voie de désertification présente une forte croissance démographique et de très faible indicateurs sociaux. L'économie du pays repose essentiellement sur le secteur primaire (agriculture et élevage) qui représente 36 pour cent du produit intérieur brut et qui fournit 84 pour cent des emplois. L'insécurité alimentaire est caractérisée par des déficits récurrents au niveau des ménages entre le production des denrées de base et les besoins alimentaires. -
Revue du secteur avicole Niger
Le risque d’apparition d’épizooties telles que l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène à H5N1 (IAHP) nécessite une surveillance efficace et une capacité de réponse active et rapide à un niveau national, régional et international. La crise de l’IAHP a dû et doit encore être combattue à travers le monde à sa source, c’est-à-dire au sein de la population avicole.
Une bonne compréhension des différentes filières de production et commercialisation permet de développer des mesures de contrôles des maladies qui soient appropriées et efficaces. -
Recensement général de l'agriculture et du cheptel (RGAC)
Le Niger est l’un des pays les plus vastes du Sahel. Il s’étend sur une superficie de 1.267.000 km2 dont les trois quarts sont constitués d’un désert chaud situé dans la zone septentrionale du pays. Il est frontalier à l’Algérie et la Libye au Nord, au Tchad à l’Est, au Nigeria et au Bénin au Sud, le Burkina Faso et le Mali à l’Ouest. Le seul cours d’eau permanent est le fleuve Niger qui traverse le Sud Ouest du pays sur une longueur de 550 km, depuis la frontière avec le Mali jusqu’au Bénin et le Nigeria. La population du pays estimée à 13 millions avec un taux de croissance démographique de 3,3%. -
Recensement de l'agriculture et du cheptel : (RGAC 2005/2007)
Le Recensement du Cheptel, un des deux volets du Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007), décidé par le Gouvernement est le résultat d’une coopération fructueuse entre le Gouvernement du Niger, l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO. Grâce à un financement de l’Union Européenne, de la Banque Mondiale à travers un prêt de l’IDA, et la FAO, à travers son Programme de Coopération Technique, les travaux préparatoires du recensement relatifs aux volets ‘Agriculture’ et ‘Élevage’ ont été réalisés de 2001 à 2003. -
Étude de la contribution des plantes ligneuses pérennes à l'approvisionnement en fourrage et à la sécurité alimentaire : Acacia senegal (L.) Willd.
Le gommier blanc est une plante épineuse de la famille des Fabaccae pouvant atteindre 6 à 8 m de hauteur, la plante présente des feuilles composées bipennées alternes avec une rachi composée de 3 à 6 paires de pinnules, portant chacune 9 à 15 paires de folioles oblongs. -
Évaluation des systèmes d'alerte précoce sur la sécurité alimentaire au Niger
La "Sécurité alimentaire" (SA) est assurée quand toutes les personnes, en tout temps, ont économiquement, socialement et physiquement accès à une alimentation suffisante, sûre et nutritive qui satisfait leurs besoins nutritionnels et leurs préférences alimentaires pour leur permettre de mener une vie active et saine" (définition du SICIA V suite au Sommet mondial de l'alimentation). Le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS), qui comprend neuf (9) pays sahéliens dont le Niger, a pour mandat de "S'investir dans la recherche de la Sécurité alimentaire et dans la lutte contre les effets' de la sécheresse et de la désertification, pour un nouvel équilibre écologique au Sahel". -
Rapport d'évaluation des expériences de coopération réussies : cas du projet régional d'amélioration des mils-sorgho-mais de l'Institut du Sahel
Dans le cadre de son programme de promotion de la coopération technique et scientifique entre ses membres, la FAO a entrepris d'évaluer des expériences de coopération scientifique et technique entre pays en développement (TCDC). C'est ainsi que celle de l'Institut du Sahel, axée sur l'amélioration des principales céréales et du niébé, mise en œuvre pour pallier le déficit vivrier chronique que connait cette sous-région a été retenue (voir annexe nO 1). En effet, elle est significative eu égard d'une part, au faible potentiel technique et scientifique des Etats, à la disparité de leur structure de recherche et d'intervention et d'autre part, à l'instabilité pluviométrique pesant lourdement sur l'effort des États pour assurer leur autosuffisance alimentaire. -
Étude préparatoire pour l'association régionale pour l'irrigation et le drainage
La fragilité de la situation climatique du pays à conduit le Gouvernement à accorder une première priorité au développement de l'irrigation en vue d'assurer la sécurité alimentaire des populations. II) Sur un potentiel de 270.000 ha, 81.800 ha environ sont mis en valeur à divers degré d'intensification . L'irrigation moderne à maîtrise totale de l'eau représente environ 13.000 ha. Quatre types de systèmes d'irrigation prédominent: Les périmètres collectifs irrigués par pompage à partir du fleuve Niger, les périmètres collectifs irrigués à partir de retenues collinaires, les périmètres irrigués par pompage à partir d es eaux souterraines et les périmètres privés. -
Étude agropastorale du périmètre agrosylvopastoral de l'arrondissement de Ouallam
La présente consultation a été demandée par le Ministère de l'Agriculture et de l'environnement pour le compte du projet aménagement forestier et reboisement à buts multiples,financement F.A.O. Prévue en deux phases, début de saison des pluies (juillet 1988) et fin de saison des pluies (septembre 1988). Cette étude s'est déroulée en une seule phase (septembre, octobre) pour des raisons administratives. Ceci n'a pas permis de suivre le comporte Dent du tapis herbacé le long de la saison pluvieuse. Néanmoins pour combler cette lacune nous avons essayé de retracer cette évolution à travers l a pluviométrie décadaire et l'évaporation de la région. -
Directives pour la lutte intégrée contre les ennemis de maïs
Le mais est généralement considéré comme originaire d'Amérique, bien que certains botanistas le croient venu d'Asie ou d'Afrique. Le mais était la nourriture de base des autochtones quand Christophe Colomb découvrit le Nouveau Monde en 1492. Deux générations-plus tard, ce produit avait fait le tour du globe. Parmi les cultures alimentaires, le mais présente aujourd'hui pour l'humanité autant d'importance que la pomme de terre, venant seulement après le blé et le riz. C'est la principale nourriture d'une centaine de millions d'hommes. Le mais est particulièrement précieux dans beaucoup de pays en développement d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine où il constitue une culture de subsistance. Il joue aussi un grand rôle dans l'agriculture des États-Unis et de quelques autres pays développés; il tient une place importante dans l'économie de ces pays et il contribue appréciablement à la productivité et à l'équilibre de l'agriculture mondiale. -
Intensification durable des systèmes de production en zone sahélienne : Cas du Niger
Produire plus avec moins » est la formule utilisée par la FAO pour illustrer le concept d’intensification durable de la production agricole visant une agriculture productive basée principalement sur l’amélioration de la gestion des ressources naturelles. L’intensification durable des cultures promeut la biodiversité et les approches éco-systémiques qui mettent à profit la contribution des ressources existantes et les processus naturels de croissance des plantes. Des exemples incluent les pratiques qui augmentent le taux de matière organique dans le sol, améliorent la régulation des débits d’eau ou favorisent les processus de pollinisation et de prédation. -
Préserver les terres de pâturage et de parcours au Niger
Les terres de pâturage et de parcours soutiennent l’économie nationale et la vie de 95% de la population du Niger concernée par l’élevage. Sur le terrain, les politiques et investissements semblent donner plus d’attention aux terres de culture qu’aux terres de pâturage. Ainsi, entre 1975 et 2013, le Niger a enregistré une régression des terres de pâturage de 15% associée à une augmentation des terres de culture de 94%. L’évaluation participative des terres de pâturage dans les communes du Gorouol et de Bankilaré a révélé que 76% des terres réservées à l’élevage sont dégradées. La dégradation se manifeste par la réduction de la superficie couverte par les steppes qui sont les principaux parcours de la zone, l’envahissement des parcours par Sida cordifolia et l’extension de l’érosion et des espaces dénudés. Ce qui constituent une menace sur les moyens d’existence des éleveurs. -
Manuel visuel des bonnes pratiques apicoles à l’usage des petits apiculteurs d’Afrique
La présente publication est un manuel visuel et pratique sur l’apiculture durable destiné aux petits apiculteurs des régions rurales d’Afrique. Elle a été conçue pour servir de guide de formation sur l’apiculture et a vocation à devenir un document de référence sur les bonnes pratiques apicoles élémentaires à l’usage des petits apiculteurs. Son objectif consiste à transmettre aux producteurs de miel les connaissances nécessaires pour élever des abeilles, mais également produire et récolter du miel de façon durable. Ce manuel ne prétend pas être exhaustif; il est volontairement concis afin de livrer aux petits apiculteurs d’Afrique les informations les plus fondamentales et les plus utiles sur l’apiculture. Il ne donne donc pas d’informations détaillées sur les activités postérieures à la récolte, qui doivent idéalement être réalisées dans un bâtiment spécifique (miellerie). -
Étude sur la chaîne de valeur oignon au Niger
La filière oignon au Niger a une longue histoire, qui remonte au XVIIe siècle. Compte tenu du contexte du pays, qui est majoritairement agricole, la production d’oignons est devenue une activité traditionnelle dont les pratiques, y compris la production de semences, sont transmises de génération en génération. Ainsi, la chaîne de valeur comporte également un aspect socioculturel important, avec un rôle prépondérant joué par de grands et puissants commerçants. Le Niger est le premier exportateur d’oignons d’Afrique de l’Ouest, oignons particulièrement appréciés pour leur goût piquant et leurs qualités culinaires. Des routes commerciales ont été établies au fil des ans, grâce à des réseaux sociaux et des contacts solides. Néanmoins, les exportations du Niger sont éclipsées par celles des Pays-Bas, qui sont de 7 à 10 fois plus élevées selon les données officielles disponibles. -
Disponibilité en semence améliorées _ Niger-Campagne 02
Pour la 2em année consécutive (2000-2001 et 2001-2002), le Projet Intrants/FAO et le SICCLA / DA ont mené une enquête concernant la production et les multiplicateurs de semences améliorées au Niger. -
Disponibilité en semences - Campagne 03
Ce bulletin d'information, qui à travers une large diffusion rapprochera le plus possible les acheteurs et les multiplicateurs de semences et fera sans nul doute, la promotion de l'utilisation des semences améliorées. -
Enquête sur la vulnérabilité à l'insécurité alimentaire des ménages (Décembre 2007)
L'objectif principal de cette enquête est d'évaluer et de caractériser la vulnérabilité à l'insécurité alimentaire des ménages afin de mieux asseoir le diagnostic dans un contexte post récolte et de dégager les perspectives pour les prochains mois. -
Guide d'éducation nutritionnelle (à l'usage des maitres des classes CM1-CM2)
Le présent guide est rédigé suite à un accord de services contractuels entre l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) et l'Institut National de Documentation de Recherche et d'Animation Pédagogiques (INDRAP) dans le cadre du TCP/NER/3453 (appui à la formation en nutrition au niveau communautaire). -
Programme sous-régional de formation en gestion intégrée de la production, des déprédateurs et de la pollution (GIPD/GEF) à travers le champ école paysan quatrième réunion du comité technique national de pilotage
Le présent rapport fait la situation de l'ensemble des activités réalisées par le projet pendant l'année 2012. Il s'agit principalement des activités de formation des producteurs sur le riz et les cultures maraichères, le suivi et la supervision des CEP et enfin les activités relatives au projet << d'Amélioration de la Production du Riz en Afrique de l'Ouest>> (APRAO) et autres diverses activités réalisées dans le même cadre. -
Opération de déstockage au Niger : leçons apprises en 2010
Avec 32 millions de têtes toutes espèces confondues, le Niger est sans conteste un pays d’élevage. Cette activité, outre sa forte contribution à l’économie nationale, participe significativement aux stratégies de lutte contre la pauvreté au sein des ménages. Toutefois, les sécheresses récurrentes qui sévissent au Niger constituent un risque majeur pour le bétail. Les années de sécheresse se traduisent par des déficits fourragers dont les conséquences sur le cheptel sont les mortalités, les chutes de poids et de production, les avortements. -
Analysis of Digital Agriculture Extension and Advisory Services in Niger : Developing Local Extension Capacity (DLEC) Project
The Sustainable Opportunities for Increasing Livelihoods with Soils (SOILS) Consortium led by the International Fertilizer Development Center (IFDC) intends to establish a technology park in Niger. The park will function as information and training service center and project agricultural information and innovations to accelerate dissemination and scaling efforts, provide training to farmers and other agricultural value chain actors. The SOILS Consortium in collaboration with the Feed the Future Developing Local Extension Capacity (DLEC) project conducted this study to analyze the digital agricultural extension and advisory services in Niger to support creation of the technology park and to provide insights and recommendations on how the SOILS Consortium can better use digital extension platforms and services to increase the reach of their activities. -
Recensement Général de l'Agriculture et du Cheptel 2005-2007 : Résultats définitifs; production animale
La présente communication a pour objet d’informer les acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général, des énormes potentialités dont dispose le pays dans le domaine de l’élevage, mais aussi de faire ressortir quelques axes de réflexion sur les contraintes et les perspectives qui peuvent découler de la gestion de ce cheptel. -
Initiative Grande Muraille Verte
Depuis plusieurs décennies, les pays Africains de la zone sahélo-saharienne, dont le Niger, sont confrontés à un déficit pluviométrique persistant combiné aux effets néfastes des actions anthropiques. Cette situation a sérieusement affecté les grands équilibres écologiques de la zone, entraînant ainsi la dégradation des ressources naturelles, la baisse des productions agricoles, pastorales, forestières et halieutiques, toutes choses qui maintiennent les populations dans l’insécurité alimentaire et la pauvreté. -
Les boutiques d'intrants agricoles
La présente fiche de bonne pratique s'adresse aux acteurs concernés par les boutiques d'intrants, notamment les organisations paysannes faîtières et de base, les producteurs et productrices, ainsi que les partenaires et autres acteurs du développement. L'objectif de cette fiche est de décrire la boutique d'intrants en tant que bonne pratique au Niger et d'encourager les organisations paysannes et acteurs du développement à adopter ce mode de distribution d'intrants afin d'en garantir une meilleure disponibilité pour les producteurs et productrices. -
La commande groupée d’intrants agricoles : un mécanisme d’approvisionnement
La présente fiche s’adresse à tous les acteurs concernés par le processus de commande groupée, notamment les faîtières d’organisations paysannes. -
Guide pratique sur les boutiques d'intrants
Ce livret a été développé sur la base du manuel de gestion de boutiques d’intrants (BI) à caractère coopératif (manuel du gérant élaboré en 2006 par le projet Intrants/FAO). Un atelier participatif de révision de ce manuel, organisé en mars 2010, a proposé de le présenter sous forme de trois livrets illustrés pour faciliter sa compréhension. -
Projet d'amélioration de la production du riz en Afrique de l'Ouest en réponse à la flambée des prix des denrées alimentaires (GCP/RAF/453/SPA) / Composante Niger : rapport de capitalisation des résultats
Dans le but de contribuer à la lutte contre la flambée des prix des denrées de première nécessité dans les pays de l’Afrique de l’Ouest, le Royaume d’Espagne, à travers la FAO, a accepté de financer pendant trois (3) années (2010-2012), un projet régional pour contribuer à accroître de façon durable la production rizicole nationale dans cinq (5) pays de la région dont le Sénégal, le Mali, le Niger, la Mauritanie et la Cote d’Ivoire, qui font partie des plus touchés par cette crise. -
Les produits Forestiers Non-Ligneux au Niger : Connaissances actuelles et tendances
Dans cette étude nous tenterons de collecter les données disponibles sur l'utilisation et l'exploitation des PFNL au Niger, d'évaluer leur importance relative, d'analyser les tendances passées, actuelles et futures de la consommation, de la commercialisation et de l'exportation de ces produits et enfin d'analyser les contraintes pour l'amélioration de la collecte des données statistiques. Il n'est pas question ici de faire une évaluation quantitative du potentiel des PFNL au Niger et de leur contribution à l'économie du pays. Cette étude demandera des moyens plus importants et pourrait être envisagée, lors des prochaines étapes, pour les produits les plus importants. -
Champ école agro-pastoral pour une agriculture intelligente face au climat
Ce document « Guide Pratique du facilitateur de Champ Ecole Agro-Pastoral pour une Agriculture Intelligente face au Climat » est un aide-mémoire pour les facilitateurs déjà formés à l’approche champ école qui reflète les innovations et évolutions actuelles des champs écoles au Niger. -
Initiative Eau et Sécurité Alimentaire en Afrique, Phase II (IESAII) Composante_ Niger du Projet
L’IESAII vise à améliorer la sécurité alimentaire et la résilience aux changements climatiques des populations les plus vulnérables des zones rurales via la maitrise de l’eau et le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des producteurs. Il devrait contribuer également à améliorer durablement les revenus, l’alimentation et la nutrition des groupes cibles via l’intensification, la diversification, la valorisation de la production agricole, et le renforcement des capacités des acteurs. Les activités proposées répondent au souci du Gouvernement du Niger à développer le secteur rural et à soutenir ses efforts en matière de sécurité alimentaire. Les activités s’inscrivent plus particulièrement dans la perspective de l’atteinte de l’objectif global de la stratégie de l’initiative 3N. Le Projet contribue à la réalisation des priorités et produits du document cadre de programmation de pays (CPP) de la FAO. Le projet est aligné aux cinq (5) axes de priorité de la Coopération espagnole. -
Gommiers et gomme arabique
Près de 900 espèces d'acacias sont susceptibles de fournir de la gomme arabique ; elles sont essentiellement réparties dans la ceinture tropicale du globe. La plus grande production s'est très vite concentrée en Afrique, lui valant son surnom de gomme Sénégal, sécrétion de divers acacias (légumineuses). -
Revue des filières bétail/viande et lait et des politiques qui les influencent au Niger
La filière bétail/viande se définit comme l’ensemble des actes de production, transformation, commercialisation et consommation relatifs au bétail (bovins, ovins, caprins, camelins), ainsi qu’aux produits carnés issus de ces animaux. En prenant en compte la nature du produit incriminé (animaux vivants ou viande), la filière bétail/viande est structurée autour de deux circuits : le circuit vif qui concerne le bétail sur pied ou vivant et le circuit mort ou circuit de la viande proprement dit. Les interrelations entre ces deux circuits sont très développées. En effet, le circuit mort est alimenté par le circuit vif qui fournit les marchés domestiques et extérieurs de bétail. S’agissant de l’approvisionnement du marché extérieur en bétail, il convient de souligner que le circuit vif est très actif et représente la deuxième source de devises pour le pays, après les industries extractives. Malgré la forte contribution de ce circuit vif à l’équilibre de la balance commerciale, force est de reconnaître que son exploitation génère de nombreux désavantages notamment la non création de valeur ajoutée, la perte des cuirs et peaux et surtout du cinquième quartier. -
Plantes alimentaires spontanées au Niger
Si l’agriculture, qui « consiste à obtenir une production d’une série de plantes et d’animaux, sur une certaine surface et au sein d’un milieu naturel donné, donc à travers des contraintes, en mettant en œuvre des facteurs de production » (Seblhotte, 1974) a constitué une véritable révolution multidimensionnelle dans l’organisation sociale de l’exploitation des sols et des ressources naturelles renouvelables, notamment végétales, elle n’a valorisé qu’une infime partie de ces dernières, au point que dans les pays en développement, des centaines d’espèces végétales «sauvages» continuent encore de fournir un appoint alimentaire non négligeable. Il en est ainsi au Niger où les organes de nombreuses plantes spontanées sont quotidiennement consommés aussi bien par les populations rurales qu’urbaines -
Champ école paysan
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Gonar gwadi
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Cawkey kunda
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Agriculture spéciale
La patate douce est cultivée pour ses tubercules qui servent d'aliment pour l'homme. On peut les préparer de très nombreuses façons : bouillis, frits, cuits sous la cendre, etc. Les tubercules servent également à préparer de la fécule, du sirop de l'alcool, de la confiture, etc. Certaines variétés sont très riches en amidon et, après cuisson, servent à l'alimentation du bétail. Les feuilles peuvent se consommer sous forme de brèdes ou sous forme de condiment On cultive la pomme de terre pour son tubercule qui entre pour une grosse part dans l'alimentation de nombreuses populations, sous forme de purée, de frites, de compotes, salades, etc. -
Évaluation carbone du "Programme d'Action Communautaire - Résilience au Changement climatique" au Niger
Le Niger a lancé le programme d’action communautaire (PAC2) en 2008. Le PAC2 a pour objectif de rendre les communautés rurales mieux à même de concevoir et mettre en œuvre de manière participative des plans de développement, ce qui contribuera à une amélioration des conditions de vie dans les zones rurales. Ce projet collabore avec des institutions nationales chargées de promouvoir la décentralisation et le développement local dans le cadre de la stratégie de développement rural du Niger. -
Approvisionnement d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux cadres des Organisations Paysannes (OP) et aux gestionnaires des boutiques d’intrants (gérants ou gérantes et membres du comité de gestion). Elle précise les étapes indispensables à suivre pour procéder à l’approvisionnement d’une boutique d’intrants chaque fois que cela est nécessaire au cours de la campagne hivernale (saison des pluies de juin à septembre) et/ou de la campagne de contre-saison (saison sèche). -
Pourquoi faire analyser son engrais ?
La majeure partie des pays du Sahel, et au Niger en particulier, souffre d’une faible fertilité naturelle de leurs sols, à laquelle viennent s’ajouter la réduction drastique de la pratique de la jachère et la mise en culture de certaines terres marginales. De plus, les apports en éléments nutritifs organiques ou minéraux sont insuffisants. Tout ceci contribue largement à la dégradation de la base nutritive de la plupart des sols. -
Caractéristiques, fonctions et activités d’une boutique d’intrants
Cette fiche s'adresse aux promoteurs et promotrices, aux utilisateurs et utilisatrices, aux responsables d'une boutique d'intrants et/ou à toute personnes intéressée par la création d'une boutique d'intrants. -
Contrôle et auto-évaluation d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, et plus spécifiquement aux membres responsables des divers organes des OP propriétaires des boutiques d’intrants (membres de l’Assemblée Générale /AG, du comité de gestion, de contrôle et au gestionnaire de la boutique d’intrants). -
Création d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, aux responsables d’organisations paysannes et/ou à toute personne intéresser par la création d’une boutique d’intrants. -
Rôle du gérant ou de la gérante d’une boutique d’ intrants
Cette fiche s’adresse aux responsables des organisations paysannes (OP) et de boutique d’intrants, et plus spécifiquement au gestionnaire d’une boutique d’intrants. Elle est également destinée aux animateurs et animatrices, agents d’encadrement pour le renforcement des capacités des OP. -
Partenaires techniques et financiers d’une boutique d’intrants
Cette fiche s'adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d'une boutique d'intrants, et plus spécifiquement à ses partenaires potentiels. Elle souligne l'importance du role des divers partenaires d'une boutique d'intrants et la collaboration continue que les Organisations Paysannes (OP), propriétaires et responsables des boutiques d'intrants, doivent impérativement entretenir avec ces partenaires afin de pérenniser les activités d'une boutique d'intrants. -
Fixation du prix de vente des engrais
Cette fiche s'adresse aux gestionnaires d'une boutique d'i intrants (gérant ou gérante et membres du comité de gestion). Elle détaille le mode de calcul du prix de vente des engrais aux utilisateurs et utilisatrices de la boutique d'intrants -
Les bonnes pratiques à la FAO : Une démarche de capitalisation d’expériences pour un apprentissage continu
La présente note conceptuelle est une brève introduction au processus de documentation et de capitalisation des expériences qui permettra de faire ressortir les bonnes pratiques en vue de leur partage. -
Boutiques d’intrants : les clés du succès en huit fiches
Au Niger, comme dans d’autres pays de la zone sahélienne, l’indisponibilité d’intrants de qualité au bon moment, au bon endroit et en petits conditionnements, est l’une des principales causes de la faible utilisation des intrants. L’approvisionnement en intrants est un des obstacles à la mise en place et à la continuité de systèmes de production durables et rentables. -
Bilan et performance des boutiques d’intrants et des organisations de producteurs au Niger
L’économie du Niger est vulnérable aux chocs extérieurs, en particulier à ceux climatiques, en raison de la prédominance constante de l’agriculture pluviale. La situation s’est cependant améliorée au cours des dernières années, avec une croissance positive portée par le secteur agricole alors même que la production alimentaire nationale demeure insuffisante par rapport à la demande. D’autres opportunités de croissance existent dans la mesure où moins d’un tiers des terres irrigables sont exploitées. En améliorant les techniques culturales, les rendements pourraient augmenter de façon significative. -
Commande groupée à l’international de semences de pommes de terre
Cette fiche présente l’expérience de commande groupée à l’international de la Fédération des coopératives maraîchères du Niger (FCMN-Niya). 16 coopératives membres de la FCMN ont été impliquées dans cette commande. Elles sont réparties entre les régions nigériennes d’Agadez, Diffa, Dosso, Maradi, Niamey,Tahoua, Tillabéry et Zinder. -
Comment organiser une foire aux savoirs
L’objectif de la présente fiche de bonne pratique est d’aider toute personne devant organiser une foire aux savoirs à envisager les différentes étapes à suivre avant, pendant et après l’événement. Les domaines clés à prendre en compte sont le contenu, la communication, la logistique et la facilitation. Cette fiche de bonne pratique met l’accent sur les enseignements tirés des foires précédentes afin de montrer ce qui conduit au succès, et comment éviter les pièges dans l’organisation d’un tel événement. -
Distribution et perspectives pour les produits maraîchères au Niger
Le Niger, le pays le plus sahélien des pays du Sahel, doit faire face à un déficit alimentaire chronique qui devient de plus en plus aigu. L’accroissement rapide de la population (3,2 % par an) et les sécheresses des deux dernières décennies sont à l’origine de ce déficit. La production agricole stagne depuis plusieurs années. La situation est d’autant plus préoccupante que les productions sont principalement des productions céréalières pluviales (mil, sorgho) et que les ressources naturelles (sol, eau, couvert végétal) sont menacées de dégradation. Une des mesures prises par le Gouvernement pour surmonter cette situation est l’intensification et la diversification des productions agricoles, en particulier par la production de cultures irriguées de contre-saison et plus particulièrement de cultures maraîchères (oignon, ail, chou, laitue, tomate et haricot vert). -
États généraux du foncier rural au Niger
Au Niger, les terres et les ressources naturelles se dégradent et subissent des pressions croissantes. Cette situation engendre un problème d'accès et provoque souvent des conflits violents surtout entre agriculteurs et éleveurs. Pour faire face à cette situation, le gouvernement a adopté à partir des années 1990, une ordonnance fixant les «Principes d'Orientation du Code Rural». -
Gestion des intrants et genre au Niger
Ce document est une étude de cas sur le genre et le warrantage au Niger. Se basant sur les recherches approfondies des équipes des projets Capitalisation et IARBIC, la présente étude donne en détail les informations sur le warrantage et le genre appliqués par l’union Cigaba de Konkorindo, à Dosso au Niger. -
Guide méthodologique pour la production d’émissions de radio tenant compte du genre
Le guide vise à renforcer les capacités des producteurs et productrices des radios communautaires et rurales à réaliser des émissions de qualité qui prennent en compte le genre de façon systématique. -
Guide pratique sur les boutiques d’intrants : volume 2, organisation et fonctionnement de la boutique d'intrants agricole
Au Niger, les producteurs et productrices agricoles ont des difficultés à s’approvisionner en intrants de qualité pour fonder des systèmes productifs durables. La non disponibilité réelle en intrants au bon moment, au bon endroit et en petits conditionnements est l’une des principales causes de la faible utilisation des intrants par les producteurs et productrices. -
Guide pratique sur les boutiques d’intrants : volume 1 , Présentation de la boutique d’intrants agricoles
Ce premier livret présente la boutique d’intrants agricoles, il est complété par deux autres : l’un porte sur l’organisation et le fonctionnement de la boutique d’intrants agricoles et l’autre sur la gestion de la boutique d’intrants agricole. -
L’élaboration d’un règlement intérieur pour les opérations de warrantage
La présente fiche est destinée à tous les agents intervenant dans l’encadrement technique et méthodologique des organisations paysannes (OP), notamment celles qui œuvrent dans le domaine du warrantage. La présente fiche concerne donc tous les acteurs du développement, en particulier les faîtières d’OP et les structures d’appui à ces organisations (services techniques de l’État, projets, ONG, etc.). -
La prise en compte du genre dans les différentes étapes du warrantage : une approche en faveur des producteurs et des productrices
Cette fiche de contrôle est destinée à tous les acteurs du développement qui interviennent dans l’encadrement technique et méthodologique des organisations paysannes, particulièrement celles qui œuvrent dans le domaine du warrantage : les faîtières d’organisations paysannes (OP) et les structures d’appui à ces organisations (services techniques de l’État, projets, organisations non gouvernementales, etc.). -
Les boutiques d'intrants coopératives du Niger
L’objectif de cette fiche est de rendre compte de la situation des Boutiques d’Intrants (BI) au Niger et de l’intérêt représenté par cette micro-entreprise rurale dans le système d’approvisionnement en intrants aux producteurs et productrices et celui du rôle central joué par leur propriétaire dans ce système: les Organisations de Producteurs (OP). -
Les clubs d’écoute communautaires Dimitra au Niger
Depuis leur création en 2009, les clubs d’écoute Dimitra ont suscité un grand intérêt, autant auprès des communautés rurales qu’auprès des praticiens du développement. Les clubs ont contribué à l’égalité hommes-femmes, l’accès à l’information, la mobilisation sociale, la mise en réseau et l’émancipation des femmes, contribuant ainsi au développement rural des deux régions. -
Les voyages d’échange d’expériences: conseils pour en améliorer l’impact
Cette fiche fournit les éléments méthodologiques pour la préparation, le déroulement et le suivi d’un voyage d’échange d’expériences afin que ces voyages ou visites aient un réel impact. -
Deuxième épisode: Microdose ou la fertilisation localisée au moment des semis des cultures
Nous sommes à l’approche de la campagne hivernale. Grâce aux revenus obtenus à travers les opérations de warrantage conduites après chaque campagne par leurs organisations paysannes, de nombreux producteurs et productrices s’approvisionnent désormais en engrais à la boutique d’intrants. Suite à des actions de développement visant à une utilisation rationnelle des engrais, les producteurs et productrices l’utilisent dans leurs champs pour améliorer le rendement des différentes spéculations qu’ils cultivent. Dans la plupart des cas, les cultures au stade de levée présentent un état végétatif agréable à voir. -
Organes d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, et plus spécifiquement aux membres responsables des divers organes des organisations paysannes (OP). Elle est également destinée aux animateurs et animatrices, agents d’encadrement pour le renforcement des capacités des OP. -
Premier épisode : le warrantage
Au moment de la récolte, les petits producteurs et productrices veulent mettre leurs produits en warrantage. Mais ils ne sont pas les seuls. Il y a aussi des grands commerçants qui pratiquent le warrantage et pour lesquels obtenir un crédit semble beaucoup plus facile… -
Réduire le travail des enfants pour une agriculture soutenable au Niger
Dans un pays comme le Niger, où l’activité agricole est prédominante et la population en majorité jeune etrurale, la main-d’œuvre infantile est généralement moins chère, voire gratuite. Les exploitants y font appel pour accroître leurs productions et tenter de surmonter les difficultés chroniques et structurelles auxquelles ils sont confrontés. On estime qu’en milieu rural, les enfants consacrent entre une et six heures de leur temps aux travaux agricoles. -
Troisième épisode: la boutique d’intrants
Une boutique d’intrants est une petite entreprise ayant pour but de faciliter l’accès des intrants aux petits producteurs et productrices et de fournir des services de proximité. Ces boutiques sont des entités autonomes à caractère associatif ou de type coopératif ; elles sont la propriété d’organisations paysannes (OP) de base, d’unions ou de fédérations d’OP. -
Le warrantage au Niger, une pratique adaptée aux besoins des petits producteurs et productrices
L’objectif de cette fiche est de promouvoir l’utilisation de la technique du warrantage en tant que bonne pratique agricole
et d’encourager les faîtières d’OP à adopter ce mode de financement de l’agriculture afin de garantir une gestion et une
valorisation optimales de leur production agricole. -
Atelier International sur le lait de chamelle en Afrique
Les données de la littérature sur la productivité laitière de la chamelle sont relativement rares et essentiellement issues d'observations réalisées en station, beaucoup plus rarement en milieu pastoral réel. Par ailleurs, les règles de mesure ne sont jamais mises en œuvre de façon homogène d'un auteur à l’autre : quantité moyenne quotidienne, quantité totale, quantité par an, moyenne de troupeau etc... De ce fait les comparaisons sont quelquefois acrobatiques. Il apparaît par ailleurs une très forte variabilité des productions déclarées laissant supposer un potentiel de sélection sur ce critère tout à fait envisageable, mais rarement entrepris à l'exception de travaux de l'époque soviétique en Asie Centrale. -
Le mécanisme du warrantage et ses variantes
La technique du warrantage rencontre une compréhension progressive tant des producteurs que de leurs partenaires, dont les systèmes financiers décentralisés et les banquiers classiques. Mais cette technique requiel1 aussi une solide préparation et des mesures d'accompagnement qui constituent la tâche primordiale du Projet. Quelques velléités de déviation ont déjà émergé, mais dans l'ensemble, la technique du double cadenas semble acquise (le second cadenas faisant office de « billet à ordre» ). -
Manuel de formation statistique sur les engrais en Afrique
En juin 2006, les dirigeants Africains se sont réunis à Abuja dans le cadre du Sommet Africain sur les fertilisants avec pour objectif de souligner l'importance des engrais pour réaliser une révolution verte Africaine. -
Champs école paysan (CEP)
Le Champ école paysan (CEP) représente un groupe de 20 à 25
personnes se réunissant une fois par semaine pour cultiver une
parcelle de formation tout au long d’une saison de culture et
apprendre ensemble à résoudre des problèmes de production.
• Le principe est de conduire une culture saine, d’observer toutes les interactions autour de la plante, d’identifier les potentialité les contraintes, d’expérimenter des solutions et de choisirl’itinéraire technique le plus prometteur et le plus adapté au contexte du producteur et de la productrice.
• Le CEP facilite l’intégration de techniques en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et des productrices, et des ressources naturelles accessibles. Le CEP permet d’apprendre à raisonner. -
Les ressources forestières naturelles et les plantations forestières au Niger
Ce document porte sur l’évaluation des ressources forestières naturelles et les plantations forestières au Niger. Une revue de la documentation existante a permis d’établir une typologie et une évaluation de toutes les ressources forestières existantes. C’est ainsi qu’une synthèse des typologies des formations forestières proposées par divers auteurs a été faite. Les principales formations forestières du pays sont représentées par des forêts classées et des gommeraies qui comportent des faciès plus ou moins dégradés suivant la pression démographique. A ces formations naturelles, il faut ajouter les parcs agroforestiers qui constituent également une composante non négligeable de ressources forestières. La productivité des formations a été évaluée suivant différentes méthodes développées dans le cadre de programme de recherche et d’aménagement de forêts classées. Pour les gommeraies et les parcs agroforestiers, la productivité des peuplements n’est pas estimée cependant on peut retenir que leur contribution est importante dans la satisfaction des besoins des populations locales en produits forestiers ligneux et non ligneux. -
Gommiers et gomme arabique
Il est indispensable de savoir reconnaître les feuilles, les fleurs, les
graines et les épines des différents gommiers, car la gomme friable
d’A. seyal doit toujours être récoltée et commercialisée à part.
2- La récolte ne s’effectuera pas sur A. laeta, car désormais le Codex
Alimentaire ne la considère pas comme de la gomme arabique.
3- L’exsudation naturelle d’A. senegal produit des nodules de plus
petite taille que lorsqu’il y a saignée. Les rendements sont jusqu’à 5 fois moindres. C’est pour expliquer cela qu’il n’y a qu’un récipient ou Tia de gomme au lieu de trois sur la fiche 1ter. -
Programme sous-régional de formation en gestion intégrée de la production, des déprédateurs et de la pollution (GIPD/GEF) à travers le Champs École Paysan
L’objectif global du programme de « Gestion Intégrée de la Production, des Déprédateurs et de la Pollution » (GIPD) est d’améliorer la sécurité alimentaire, la productivité et la rentabilité des exploitations agricoles et protéger les eaux riveraines des bassins des fleuves Niger et Sénégal des contaminations dues à l’utilisation des produits agrochimiques. -
L'expérience du warrantage au Niger
Le warrantage est une technique de crédit de CT, adaptée aux besoins de financement et aux capacités de garantie d’une certaine catégorie socio-professionnelle (producteurs agricoles, …), garanti par un stock de produits agricoles « warrantables » (conservables, peu encombrants et susceptibles d’augmenter de valeur) entreposés et pris en gage dans un magasin approprié et sécurisé. -
Profil des systèmes alimentaires - Niger : activer la transformation durable et inclusive de nos systèmes alimentaires
Cette note de synthèse est organisée comme suit : la première section présente le contexte national à partir de quelques indicateurs clés sur la démographie, l’économie, l’accès aux services de base, l’environnement. La section 2 donne un aperçu de la production alimentaire, de la consommation et des échanges commerciaux. La section 3 présente les principaux acteurs des systèmes alimentaires. Ces éléments jettent les bases d’une discussion dans la section 4 sur les questions clés de durabilité qui affectent les systèmes alimentaires ainsi que sur les potentiels leviers systémiques à actionner. La section 5 conclut par un projet de la transition vers des systèmes alimentaires durables. -
Formation sur la production des semences améliorées
L’objectif global de cette formation est de renforcer les compétences des techniciens/ciennes à former les producteurs/trices de coton sur la multiplication et la diffusion des semences améliorées certifiées du coton et des cultures de rotation prenant en compte le genre afin d’accroître la productivité agricole et le revenu des producteurs/trices. -
Promouvoir les programmes d’achats d’aliments dans des contextes de pauvreté rurale généralisée : le ciblage des petits exploitants dans le cadre du PAA Afrique au Niger
L’objectif général de cette étude de cas est de présenter l’approche adoptée par le PAA Afrique dans le contexte nigérien ainsi que les décisions qui ont été prises au niveau du programme pour adapter les achats locaux au contexte local et qui ont permis de parvenir aux résultats obtenus. Son objectif est également de décrire les défis associés qui se sont présentés. -
Projet de développement intégré des systèmes semenciers au sahel : niébé - Niger
Le Mali et le Niger sont deux pays continentaux sahéliens qui sont à la fois confrontés aux effets du changement climatique et à un accroissement de leur population. Entre 2012 et 2016, la population malienne a augmenté d’en moyenne 0.5 million de personnes par an tandis qu’au Niger ce chiffre atteignait 0.75 million. Paradoxalement à cette augmentation du nombre de bouches à nourrir, la productivité agricole s’affaiblit à cause des difficultés agro-pédo-climatiques. -
Projet de développement intégré des systèmes semenciers au sahel : arachide Niger
Le présent document est la brève de culture de l’arachide pour le Niger Selon les données de la FAO, la surface récoltée en arachide au Niger a augmenté régulièrement entre 2009 et 2019 de 600 000 à 900 000 hectares (Figure 1). En corrélation avec l’augmentation de la surface cultivée, la production d’arachide a également augmenté sur la même période passant d’environ 250 000 à 550 000 tonnes métriques. -
Projet de développement intégré des systèmes semenciers au Sahel : sorgho-Niger
Les superficies récoltées en sorgho au Niger sont passées d’environ 2 500 000 ha en 2009 à plus de 3 700 000 ha en 2019 (Figure 1). La production du sorgho a évolué progressivement d’environ 730 000 tonnes à près de 1 900 000 tonnes entre 2009 et 2019 (Figure 2). Enfin, le rendement, à l’instar de la surface récoltée et de la production a progressivement augmenté de 0,3 t/ha à 0,5 t/ha entre 2009 et 2019. -
Élaboration d’une vision commune pour renforcer la performance,l’équité et la gouvernance des organisations de producteurs et productrices agricoles au Niger
Au Niger, la structuration du monde paysan et l’amélioration des conditions de vie des petits producteurs et productrices agricoles sont des défis de grande ampleur. La majorité des organisations se heurtent à l’insuffisance d’appui et de formation en matière de mise en place d’OP, de leur gestion et de leur fonctionnement. Parmi les principaux obstacles, on compte également l’absence ou l’insuffisance d’éducation et d’alphabétisation des petits producteurs, notamment des femmes, ainsi que l’insuffisance des moyens financiers. A ces obstacles se rajoutent les difficultés d’accès au marché et la méconnaissance et/ou la mauvaise compréhension de la législation , ainsi que la difficulté à les faire respecter. Selon le dernier recensement de l'agriculture et de l'élevage général (2008), il existe 29 462 OP au Niger, mais seulement un nombre limité d’entre elles fait partie d'un réseau organisé. Celles-ci sont subdivisées en unions (11%), fédérations (2%) et confédérations (1%). De ce fait, 86% des OP au Niger ne font partie d’aucune structure spécifique. -
Projet de développement intégrés des systèmes semenciers au Sahel : riz-Niger
Ces brèves de cultures répertorient des données sur la production, la distribution et l’utilisation des semences des cultures suivantes : maïs, riz, sorgho, millet, arachide, niébé et légumes dans les deux pays que sont le Niger et le Mali. Le présent document est la brève de culture du riz pour le Niger. -
Caractérisation de la chèvre du sahel au Niger par analyse des indices biométriques et des paramètres phénotypiques quantitatifs
Très répandue en Afrique sèche, la chèvre du sahel représente environ 80% du troupeau caprin Nigérien. Conformément aux orienta tions nationales au Niger et dans la perspective d’une meilleure gestion de cette ressource génétique aux niveaux local et national des travaux de caractérisation phénotypique de la race ont été conduits au Nord-Ouest du pays de juillet 2011 à mai 2012. Sur la base de l’adhésion volontaire des éleveurs, des investigations de caractérisation des paramètres quantitatifs (hauteur au garrot et à la croupe, tour de poitrine, profondeur du thorax, largeur du bassin et longueurs du corps, des cornes et des oreilles) ont concerné 443 caprins (77% de femelle, 39% ayant 4 paires d’incisives permanentes) repartis dans 145 exploitations, 60 sites (7,38 ± 6,87 têtes/site), dans les régions de Tillabéri, Tahoua et Niamey. L’analyse des indices biométriques couplée à l’analyse des variances (ANOVA) et des analyses multivariées (ACP, AFD) ont fait ressortir que le cheptel caprin dans cette zone comporte quatre sous types morphologiques (Tillabéri, Tahoua, Niamey et un sous type intermédiaire Niamey-Tillabéri). Du fait de la coexistence à Niamey de plusieurs races (locales et exotiques) et son corolaire le brassage génétique, la chèvre du sahel correspondrait à deux sous types: celui de Tillabéri de grande taille (64,98 ± 6,77 cm au garrot et 68,27 ± 5,91 cm à la croupe) à oreilles et cornes longues (20,3 ± 3,08 et 14,75 ± 4,43 cm respectivement) et de Tahoua également de grande taille (60,71 ± 10,81 cm au garrot et 62,46 ± 10,65 cm à la croupe) à oreilles et cornes courtes (12,32 ± 3,62 cm et 9,95 ± 4,01 cm respectivement). -
Activités génératrices de revenus sensibles au genre au Niger
Ce programme pilote conjoint avait pour objectif de combler les objectifs humanitaires et de développement, en répondant aux besoins alimentaires immédiats tout en améliorant durablement la sécurité alimentaire dans des régions touchées par des crises prolongées et récurrentes, avec une attention particulière portée aux femmes et aux enfants vulnérables. -
Promouvoir l’autonomisation économique des femmes rurales pour améliorer la sécurité alimentaire et la nutrition au Niger
Cette fiche de bonne pratique se concentre sur le projet d’accélération des
progrès vers l’autonomisation économique des femmes rurales, qui avait le but de garantir les moyens de subsistance et les droits des femmes rurales dans les régions de Dosso et Maradi au Niger.