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Techniques de production des cultures irriguées -- Pommes de terre
Ce manuel de technique de production des cultures irriguées - pomme de terre .objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation.
Ce manuel est destiné aux prestataires de services en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite irrigation. Il donne aux formateurs des références théoriques et pratiques pour mettre en œuvre des actions de formations. Ce manuel est complété par deux supports pédagogiques à destination différente (prestataires de services et producteurs) et un cahier de formateur -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre fait partie des cultures maraichères les plus pratiquées dans la région de Maradi. Elle est cultivée sur presque tous les sites situés le long des Goulbi Maradi et Goulbi Kaba, principalement sur le site de Mafalia situé à l’extrémité ouest de la ville de Maradi. Sa production se fait en une campagne, en saison sèche froide, avec un cycle variant entre 70 à 120 jours selon les variétés. En moyenne, une production d’environ 1 000 kg pour 1 000 m2 permet de dégager un produit de 200 000 F.CFA pour 91 000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 109 000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre communément appelée « dankali tourawa » en haoussa est l’une des principales spéculations maraîchères de la région de Dosso. Elle est cultivée au niveau du département de Doutchi et de Tibiri et dans une moindre mesure dans la commune de Harikanassou. Selon la variété le cycle de la pomme de terre varie de 70 à 120 jours. Les surfaces mises en valeur varient de 200 à plus de 6.500 m² selon les localités de production. En moyenne, pour 0,5 ha on obtient une production d’environ 6.328 kg qui permettent de dégager 1.582.000 FCFA pour 558.250 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.023.750 FCFA. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’aubergine et de la pomme de terre
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture de l'aubergine et de la pomme de terre. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Evolution du prix de gros du kilo de pomme de terre pendant quatre ans sur les marchés de Niamey
Globalement, la production locale de pomme de terre - Agadez et Bonkoukou, Région de Tillabéri, principalement - est présente sur le marché de fin décembre à juin. A partir de juin ce sont les pommes de terre d’importations qui se trouvent sur le marché : la pomme de terre du Maroc avec une disponibilité quasi permanente, accompagnée par la pomme de terre du Nigeria. -
La production de pomme de terre et recompositions socio-économiques dans l’Imanan, Niger
L’Imanan est une commune rurale située dans la partie Sud du département de Filingué. Elle est limitée à l’Est par celle de Kourfeye centre, à l’Ouest et au Sud par la commune rurale de Tondikandia et au Nord par la commune urbaine de Filingué. commune rurale de l’Imanan est l’une des rares zones qui s’est très tôt attelée à la pratique de cultures de contre-saison. L’émergence de cette pratique dans cette zone géographique fait partie des éléments de l’évolution des paysanneries de ces régions. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection de l'aubergine et de la pomme de terre
Les maladies de plantes c'est comme le paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu’on est très malade -
Projet de Recherche-Action pour l’Amélioration de la Filière de Pomme de Terre au Niger (PRAAF/PT) – Synthèse des résultats
Au Niger la culture de pomme de terre prend de plus en plus de l’ampleur, notamment sur des périmètres où l’eau d’irrigation ne constitue pas une contrainte à la production horticole. En effet, afin d’accompagner les producteurs dans la maitrise de l’itinéraire technique de production, une étude expérimentale axée sur les paramètres ; nombre de tubercules par plant, poids moyen du tubercule, nombre moyen de bourgeons végétatifs par tubercule et du rendement à l’hectare a été conduite. Des résultats obtenus, il ressort que la combinaison de techniques culturales qui assure le meilleur rendement en termes de production pondérale de pomme de terre est la dose d’engrais équivalente à 250-250-250 kg/ha de N-P-K croisée avec la densité de plantation de 20 cm entre plants sur les lignes et 50 cm entre lignes, reflétant un rendement de 62,4 t/ha. C’est aussi la technique recommandable pour les producteurs des semences, en ce sens qu’elle assure un poids moyen du tubercule (62 g) et une grande capacité d’émission de bourgeons végétatifs autours du tubercule (plus de 5 bourgeons végétatifs par tubercule). -
Innovation rurale : contribution de la pomme de terre à la sécurité alimentaire dans la Commune rurale de l’Imanan
La presse présente généralement les sociétés rurales africaines, en particulier celles de l’Afrique subsaharienne comme étant essentiellement constituées de populations pauvres et vulnérables. Cette approche est largement erronée car, à l’exception des zones de guerres, ces populations subviennent la plupart du temps à leurs besoins essentiels grâce à l’exploitation ingénieuse des ressources disponibles. Elles font preuve de créativité et d’initiatives pour assurer la survie de l’unité familiale, en mettant en œuvre des savoir-faire locaux et de nouvelles pratiques pour s’adapter à la variabilité et la singularité des situations rencontrées. Elles s’adaptent quotidiennement à des milieux changeants. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions irriguées 2020-2021
Le présent document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2020-2021. L’engouement suscité cette année encore par la campagne irriguée, en particulier à travers les différents projets et programmes intervenant dans la promotion des cultures irriguées dont les objectifs et résultats attendus, renforce notre conviction et notre volonté sans cesse grandissante que l’évaluation de ladite campagne est importante à plus d’un titre : mesures des performances, contribution à la résorption des déficits alimentaires, exportations et revenus, etc. les attentes des utilisateurs des résultats de cette opération sont donc multiples et diverses mais elles ne lui enlèvent rien de sa valeur scientifique et statistique. Que ceux-ci (les utilisateurs) veuillent bien nous excuser des insuffisances qu’ils pourront constater et ne retenir que l’essentiel : les résultats qu’ils peuvent désormais utiliser comme outils de travail, d’analyse et de prospectives. -
Adaptabilité de huit variétés de pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au contexte climatique du Niger
Au Niger, les changements climatiques ont comme conséquences directes des déficits céréaliers récurrents. Pour résorber ces déficits et augmenter la qualité nutritionnelle de l’alimentation, la politique agricole met désormais un accent particulier sur les systèmes de cultures irrigués, notamment sur les cultures maraîchères. En appui à cette politique, huit variétés de pomme de terre ont été introduites et testées dans dispositif en blocs complets randomisés à 3 répétitions, dans les conditions climatiques du pays. Quatre d’entre elles (Daifla, Atlas, Sahel et Pamina qui murissent au bout de 70 jours) présentent un potentiel productif supérieur à celui du témoin local (Rosanna). Les autres (Pamela, Yona et Stemster, avec un cycle de 90 jours) ont eu des rendements inférieurs à celui du témoin et sont sujettes à des attaques des maladies et d’une mauvaise herbe (Cyperus rotundus) qui ont affecté la qualité marchande des tubercules. -
Agriculture spéciale
La patate douce est cultivée pour ses tubercules qui servent d'aliment pour l'homme. On peut les préparer de très nombreuses façons : bouillis, frits, cuits sous la cendre, etc. Les tubercules servent également à préparer de la fécule, du sirop de l'alcool, de la confiture, etc. Certaines variétés sont très riches en amidon et, après cuisson, servent à l'alimentation du bétail. Les feuilles peuvent se consommer sous forme de brèdes ou sous forme de condiment On cultive la pomme de terre pour son tubercule qui entre pour une grosse part dans l'alimentation de nombreuses populations, sous forme de purée, de frites, de compotes, salades, etc. -
Étude de marché et commercialisation de la pomme de terre au Niger
La culture de la pomme de terre il été introduite au Niger il y a bien longtemps. Les documents de l'administration coloniale font état de son introduction dans la vallée du Goulbin Maradi dès 1912 (1). Dans la région d'Agadez la pomme de terre se cultivait depuis, au moins, les années trente et dans le Dallol Bosso (Bonkoukou), la pomme de terre a été introduite par l'IRAI' depuis 1 <>54. Dans tous les sites la productivité du matériel végétal utilisé et la qualité du produit semblent s'être dégradées au cours des dernières décennies. Cet état de fait est principalement dû au 11011 renouvèlement des plants et de la non maîtrise du parasitisme. -
Stratégies de commercialisation de la pomme de terre par les producteurs membres du réseau pomme de terre de Doutchi (Niger)
La présente étude s’intéresse à l’analyse des systèmes de commercialisation de la pomme de terre produite au niveau du bassin de Doutchi en vue d’identifier les difficultés de commercialisation et les stratégies appropriées pour une meilleure valorisation de la production. L’approche méthodologique utilisée s’est fondée sur l’analyse filière. Les résultats obtenus permettent d’identifier deux systèmes de commercialisation de la pomme de terre produite dans le bassin : le système de commercialisation de mise en marché individuel et le système de mise en marché collectif. Par ailleurs quatre circuits de commercialisation ont été identifiés selon les stratégies de vente adoptées par les producteurs. L’analyse des marges a montré que la vente de la pomme de terre produite au niveau du bassin de production de Doutchi assure une marge de 73 000 F/t pour les petits producteurs au niveau des circuits 1 et 4. Les producteurs moyens et grands producteurs obtiennent respectivement 148 000 F/t et 127 000 F/t au niveau du circuit 3 contre 63 000F/t et 52 000 F/t au niveau du circuit 4. -
Agriculture Spéciale : la patate douce et la pomme de terre
La -patate douce est cultivée pour ses tubercules qui servent d'aliment pour l'homme. On peut les préparer de très nombreuses façons : bouillis, frits, cuits sous la cendre, etc. Les tubercules servent également à préparer de la fécule, du sirop de l'alcool, de la confiture, etc. Certaines variétés sont très riches en amidon et, après cuisson, servent à l'alimentation du bétail. · Les feuilles peuvent se consommer sous forme de brèdes ou sous forme de condiments. Les tiges et les feuilles ont un grand intérêt comme fourrage vert pour les animaux, ou comme fourrage sec.
On cultive la pomme de terre pour son tubercule qui entre pour une grosse part dans l'alimentation de nombreuses populations, sous forme de purée, de frites, de compotes, salades, etc. De plus en plus, la pomme de terre subit des transformations industrielles avant sa vente : chips et frites vendus en paquets, purées déshydratées etc. -
Projet de Recherche-Action pour l’Amélioration de la Filière de Pomme de Terre au Niger (PRAAF/PT)
Au Niger la culture de pomme de terre prend de plus en plus de l’ampleur, notamment sur des périmètres où l’eau d’irrigation ne constitue pas une contrainte à la production horticole. En effet, afin d’accompagner les producteurs dans la maitrise de l’itinéraire technique de production, une étude expérimentale axée sur les paramètres ; nombre de tubercules par plant, poids moyen du tubercule, nombre moyen de bourgeons végétatifs par tubercule et du rendement à l’hectare a été conduite. Des résultats obtenus, il ressort que la combinaison de techniques culturales qui assure le meilleur rendement en termes de production pondérale de pomme de terre est la dose d’engrais équivalente à 250-250-250 kg/ha de N-P-K croisée avec la densité de plantation de 20 cm entre plants sur les lignes et 50 cm entre lignes, reflétant un rendement de 62,4 t/ha. C’est aussi la technique recommandable pour les producteurs des semences, en ce sens qu’elle assure un poids moyen du tubercule (62 g) et une grande capacité d’émission de bourgeons végétatifs autours du tubercule (plus de 5 bourgeons végétatifs par tubercule). -
Opération diffusion de semences de pomme de terre et d'expérimentation de nouvelles variétés
Pour contribuer à l'autosuffisance alimentaire au Niger en 2002, sous la demande des organisations paysannes suivantes : l'APPSN, FCMN - NIYA, FUGPN - Mooriben, la coopération française a envisagé de :
-Diffuser auprès des producteurs des variétés de pomme de terre connues et adaptées au climat Sahélien
-D'expérimenter des nouvelles variétés de pomme de terre encore peu connues mais qui ont donné de bons résultats en Afrique. -
Analyse de la compétitivité régionale des filières tomates et pomme de terre au Bénin, au Niger et au Nigeria
Les échanges commerciaux entre le Nigeria et ses quatre voisins immédiats (Bénin, Cameroun, Niger Lac Tchad) sont très anciens. Ils portent sur une gamme très variée de produits tant agricoles que manufacturés, produits localement ou importés du marché international. Ces transactions ont pris au fil des années des normes variées, des exportations au transit en passant par de la réexportation sur fond de contrebande quasi artificielle dans certains cas. En effet, les opérateurs économiques ont de tout temps adapté, voire ajusté, leurs stratégies à la conjoncture et aux politiques économiques conduites dans chacun des cinq pays. Celles du Nigeria se révéleront particulièrement déterminantes dans l'orientation des flux des marchandises. -
Proposition pour l'organisation et le développement de la pomme de terre au Niger
La pomme de terre est susceptible d'héberger et de transmettre tout un cortège parasitaire (maladies et ravageurs) qui peuvent avoir pour origines le plant le sol ou l'environnement. Il est indispensable de le connaître et de le prendre en compte sans quoi il serait illusoire d'espérer améliorer durablement la production de consommation et à plus forte raison de produire du plant (local). C'est en négligeant cet aspect que beaucoup d'expériences antérieures au Niger et dans d'autres pays ont échoué. Par rapport à ce que nous savons des problèmes européens, de ce que nous avons vu sur le terrain au cours de cette mission et de missions précédentes au Niger et dans les pays voisins, on peut déjà faire quelques constats et attirer l'attention sur quelques problèmes importants. Naturellement, un travail plus approfondi d'identification, de hiérarchisation sera indispensable. -
Etude de marché et de commercialisation de la pomme de terre au Niger
De nombreuses cultures maraîchères peuvent trouver leur place dans les systèmes agraires du
Sahel dans un double objectif de sécurité alimentaire des familles rurales. La vente des surplus
sur les marchés urbains, nationaux et/ou étrangers peut également constituer une source de
revenus appréciable et contribuer ainsi à la réduction de la pauvreté de petits producteurs.
Parmi ces spéculations, la pomme de terre pourrait occuper une place importante pour la
sécurité alimentaire des populations des pays du Sahel et du Niger en particulier.