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Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ? Haoussa Document 5
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
La chenille légionnaire du maïs Spodoptera frugiperda
En 2016, une nouvelle chenille est arrivée en Afrique. Elle s’est répandue dans de très nombreux pays (Nigeria, Bénin, Togo, Afrique du Sud, etc.) où elle a fait des dégâts très importants sur le maïs. Cette chenille est appelée chenille du maïs et a pour nom scientifique Spodoptera frugiperda. Elle a été trouvée pour la première fois sur le maïs en novembre 2016 à Torodi et à Maradi. Depuis, elle se trouve dans toutes les régions du Niger. Encore plus grave, cette chenille a attaqué le mil en saison des pluies à Maradi (plusieurs milliers d’hectares) mais aussi à Torodi. Elle est donc un véritable danger potentiel pour les cultures céréalières et il faut la connaître pour pouvoir lutter contre elle. -
Conseiller en maraîchage / visite du site de Tabalak (Région de Tahoua)
Du 12 au 16 avril 2016, une équipe composée de deux chercheurs de l’INRAN et d’un ingénieur du RECA a effectué une mission de suivi pour la surveillance de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) à Tabalak, Tahoua ville, Konni et Doguéraoua dans la région de Tahoua, et Gaya dans la région de Dosso (activité menée sur financement du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest / PPAAO).
La mission a rédigé le compte rendu des visites des sites maraîchers en trois parties : (1) une note spécifique présentant les observations réalisées sur la présence de Tuta absoluta, objet principal de cette mission, (2) une note « conseiller en maraîchage » pour les sites d’Agagar et Tabalak et (3) une note « conseiller en maraîchage » pour le site de Tadis / Tahoua et Doguéraoua). Les notes de la série « conseiller en maraîchage » présentent les observations réalisées sur le terrain et les entretiens avec les acteurs rencontrés, ainsi que des analyses et commentaires de l’équipe réalisant le suivi. -
Alternariose sur oignons à Gotheye
Le périmètre irrigué du groupement féminin Wafakeye de Gotheye compte 12 ha cultivés par 113 femmes en bordure du fleuve Niger. L’oignon représente 80% des cultures. En janvier, l’oignon a subit des attaques sévères des feuilles, celles-ci se dessèchent à partir des extrémités.
L’attaque a commencé dans les pépinières et s’est étendue rapidement sur les planches d’oignons à proximité. Les productrices dont les parcelles sont atteintes sont obligées d’arracher leurs oignons même s’ils ne sont pas à maturité, sinon la récolte est détruite. C’est donc très grave. Ces attaques sont fréquentes depuis au moins 10 ans. -
Note technique pour la culture du chou
Nous avons consulté une dizaine de fiches techniques sur la culture du chou, de différents pays, et les recommandations des sociétés productrices des variétés en vente au Niger. Il existe des variations importantes sur les itinéraires techniques possibles. Dans cette note nous avons choisi de partir de la fiche technique sur le chou incluse dans le « Manuel Technique de l'irriguant privé » du projet PIP2 (juin 2008) et de donner aux conseillers maraîchers des éléments de réflexion sur l’itinéraire technique pour les aider à mieux adapter leurs conseils à la situation des producteurs et productrices. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur le moringa au Niger
Au cours d’entretien avec les revendeurs des produits maraîchers du « petit marché » de Niamey en début décembre, ceux-ci ont expliqué que cette année le prix du moringa n’avait pas baissé après la fête du Ramadan car le moringa était « attaqué », ce qui entraine une baisse de la production. -
ALERTE / Tuta absoluta a refait son apparition sur les tomates
En février 2013, les premières attaques de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) avaient été signalés dans des parcelles du village de Bourbourkabé situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. Par la suite, il est apparu que ce nouveau ravageur était également présent dans les régions d’Agadez, Niamey et Tillabéri. Les dégâts enregistrés par les producteurs ont été très importants dans de nombreuses localités. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur les agrumes au Niger
A 100 km au sud de Niamey, dans une ferme isolée (20 km de la route bitumée), les orangers sont malades. Cette maladie attaque différents agrumes. Les orangers, citronniers et pomelos sont considérés comme très sensibles. Les tangelos, dont la production est très importante au Niger, sont considérés comme sensibles à moins sensibles. -
Mise à l’échelle de Système de Riziculture Intensive (SRI) hors aménagement
Le riz est la troisième céréale cultivée au Niger après le mil et le sorgho. Il constitue cependant la nourriture de base des citadins. La production nationale atteint 130 000 t, couvrant à peine le tiers des besoins de population. Les rendements obtenus en hors aménagement sont encore très faibles. Pour renverser cette tendance il est nécessaire d’augmenter la productivité du riz et des sols. D’où l’introduction du système de riziculture intensive (SRI). -
Rapport de formation des producteurs de riz hors aménagement sur le système de riziculture intensive (sri)
Dans le cadre de la mise à l’échelle de l’approche SRI (Système de Riziculture Intensive) par le PPAAO au Niger, une formation pratique des producteurs de riz hors-aménagement s’est tenue du 13 au 14 Aout 2018 sur le périmètre rizicole de Sébéri. L’objectif principal était de former des champions SRI capables à leur tour de disséminer l’information à d’autres producteurs de riz de leur zone. De façon spécifique, il s’agissait d’augmenter le nombre de producteurs spécialisés en SRI qui peuvent être utilisés comme des facilitateurs dans les champs écoles paysans en vue d’une vulgarisation à grande de cette nouvelle approche écologique de produire du riz. -
Lutte intégrée contre les nématodes parasites des cultures maraîchères
Dans les pays du Sahel, les nématodes parasites des cultures constituent un facteur limitant à la production maraîchère. Pour minimiser les pertes de rendements qu’ils occasionnent, les producteurs ont à leur disposition plusieurs méthodes de lutte. Mais aucune d’elles n’est efficace si elle est utilisée individuellement. D’où est né le concept de lutte intégrée. -
Association canne à sucre au maïs en système irrigué
La canne à sucre et le maïs sont deux des plus importantes cultures irriguées du Département de Gaya au Niger. Les productions de ces cultures fluctuaient entre 120 à 160 mille tonnes pour la canne à sucre et 2 à 3 mille tonnes pour le maïs. Dans le Dallol Maouri, les méthodes culturales observées sont très variables. -
Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation ?
Au sahel, les cultures subissent une pression parasitaire très importante, surtout celle exercée par les nématodes sur les cultures maraichères. Avec l’intensification de l’irrigation, ces ravageurs sont actuellement devenus un des problèmes phytosanitaires les plus préoccupants sur les cultures, à tel point que certains n’hésitent pas à les qualifier d’ennemis des maraichers ou de ravageurs sournois car leurs attaques passent le plus souvent inaperçues. -
Conseiller en maraîchage / des cas pratiques (3) Gérer les résidus de culture
Au Niger de nombreux maraîchers abusent des pesticides pour faire face aux multiples attaques des ravageurs. Cependant, tout le monde est unanime, il faut utiliser moins de pesticides pour la protection des cultures et faire recours à la « lutte intégrée ». Mais comment faire ? -
Fiche descriptive Nagode
L’hybride Nagode est une variété à graine jaune, précoce (85 jours), productive (5 à 7 tonnes/ha) qui se comporte bien en sol de vallée et même sur sol dunaire riche en matière organique. La variété présente un feuillage de couleur vert-claire et des soies et anthères de couleur rose-claire. La panicule présente un nombre de ramification relativement élevé. La présence du bourrelet anthocyanique à la base des glumes n’est observée que dans des rares cas. Les épis sont gros, insérés au milieu de la tige et présentent une bonne fermeture des spathes. Du fait des poids des épis à la maturité, les tiges ont tendance à s’incliner à leur base au sol notamment sur sol dunaire si le buttage n’est pas effectué au dernier sarclage. Les graines jaunes présentent au niveau de leur sommet une tache jaunâtre d’albumen farineux. Elles sont insérées en rangées droites sur une rafle blanche, cylindro-conique sans pigmentation anthocyanique. -
Promotion de la technique de compostage aérien au niveau de l’exploitation maraîchère
L’un des facteurs limitant de la production agricole est l’insuffisance ou la carence des sols en éléments fertilisants (Guéro et al, 2002). L’utilisation de la matière organique sous forme de compost est l’une des solutions écologiques et durables les plus recommandées. Il existe plusieurs méthodes de fabrication du compost. La technique du compostage aérien permet la fabrication à même le sol du compost à partir des débris organiques (fumier des animaux, ordures ménagères organiques, et autres matières organiques). -
Lexique illustre de quelques plantes du Niger
Le développement durable, la gestion durable des ressources naturelles, etc. sont actuellement des notions courantes dont l’application passe par un minimum de connaissances des espèces végétales. Les agents du développement rural notamment les services techniques de l’Etat, les ONG et parfois les scientifiques (nationaux ou d’autres pays) qui interviennent sur la diversité biologique éprouvent le besoin d’identifier les espèces qu’ils rencontrent. Mais très souvent ils manquent d’outil pratique de cette identification Devant les nombreuses demandes émanant d’organismes ou de personnes intéressés, l’Institut National de Recherches Agronomiques du Niger a assuré la 2e réédition du lexique des plantes du Niger de M. PEYRE de FABREGUES. Du fait des légères modifications apportées, il est intitulé lexique illustré de quelques plantes du Niger (3e édition). Il s’agit surtout de photographies en couleur de certaines espèces pour faciliter une meilleure identification car lorsque sur le terrain on a le plant et un nom local, la vérification à l’aide du lexique peut confirmer avec plus de certitude l’identification faite. -
Ovins de race koundoum
Dans le cadre du projet développement des petits ruminants au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les races ovines du Niger dont le mouton Koumdoum qui est une race menacée et localisée dans la région de Tillabéri. -
Ovins de race ara ara
Dans le cadre du projet développement des petits ruminants au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les races ovine du Niger dont la ovine Ara Ara. -
Ovins Oudah variété bicolore
Dans le cadre du projet développement des petits ruminant s au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les race ovine du Niger dont la race peulh Oudah de variété bicolore -
Ovins de race peulh oudah blanc
Dans le cadre du projet développement des petits ruminants au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les races ovines du Niger dont le mouton peulh Oudah blanc. -
Pratique et Gestion de la Régénération Naturelle Assistée
Ce travail a été rendu possible grâce à la subvention d’assistance technique du FIDA accordée au World Agroforestry Centre (ICRAF TAG 1225) en collaboration avec les Instituts Nationaux de Recherches Agronomiques du Burkina Faso (INERA), du Mali (IER) et du Niger (INRAN), dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet « Les Arbres des Parcs Agro forestiers et les Moyens de Subsistance : Adaptations aux Changements Climatiques dans le Sahel Ouest Africain ». Au cours des cinquante dernières années, le Sahel a connu des changements dans le régime des précipitations qui se sont traduits par une répartition irrégulière, de graves sécheresses se sont succédées, les conséquences pour les précipitations et la végétation devraient être brusque et rapide (Foley et al. 2003, Wang et Eltahir 2000), avec des implications énormes pour la productivité, les moyens de subsistance et la vulnérabilité socio-écologique. La plupart des espèces d’arbres ont l’aptitude de régénérer à partir des souches et des racines après une coupe à ras du sol. Ce sont des millions d’hectares de champs et d’aires de pâturages qui renferment des souches d’arbres vivantes avec une aptitude de fournir de nouveaux rejets. Beaucoup des espèces d’arbres ont aussi une capacité de régénérer à partir des stocks de semences qui sont dans le sol. -
Mieux valoriser les foins, les gousses d’Acacia radiana et le son de céréales en embouche ovine au Sahel
L’embouche ovine, activité traditionnelle est réalisée à grand frais de fanes de légumineuses, de grains et son de céréales. Il est nécessaire de mettre au point des rations plus économiques pour l’embouche ovine sans concurrence avec l’alimentation humaine. -
Fiche technique de production des plants de Combretum glutinosum Perrot. Ex Dc
Combretum glutinosum (CG) est une espèce soudano-sahélienne sempervirente au port arborescent rencontrée sur les latérites et les sols sableux. Elle fleurit à partir de janvier. La fructification et la maturation des fruits s’étendent de février à avril. -
Fiche technique : préparation d’une solution aqueuse de neem contre les ravageurs des cultures maraîchères
Cette fiche a été réalisée à partir des documents de l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) et d’un support vidéo de l’Association des Professionnels de l’Irrigation Privée et des Activités Connexes (APIPAC, Burkina Faso). -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon
Les Chambres d’agriculture du Niger ont été créées par la Loi 2000-15 du 21 août 2000, complétée par le décret d’application du 18 mai 2001. Il y a huit Chambre Régionale d’Agriculture (CRA), une par région, et le Réseau National des Chambres d’Agriculture (RECA). Les CRA sont dirigés par des responsables professionnelles agricoles élus tous les 4 ans. La loi a confié aux Chambres d’Agriculture des missions d’intérêt général : représentation des agriculteurs, éleveurs, pêcheurs, exploitants forestiers, appui conseil / vulgarisation, formation, information des professionnels agricoles. L’oignon est une plante avec un nombre réduit d’ennemis comparé aux autres plantes maraîchères. Malgré tout, des ennemis peuvent réduire le rendement de manière significative. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs du poivron et du piment
L’objectif de ce module de formation est d’être capable de reconnaître les ravageurs des cultures du poivron ou piment au Niger, d’être capable de faire des observations sur les ravageurs et les cultures et être capable de proposer et d’expliquer aux producteurs et productrices des mesures de lutte à mettre en place (lutte intégrée) en fonction des situations. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
La noctuelle de la tomate est un petit papillon de nuit, c’est à dire qu’il se déplace et se nourrit au crépuscule et la nuit. Ces papillons sont le plus souvent de couleur grise. Cette note présente sa chenille qui est un des principaux ravageurs de la tomate, surtout en saison sèche, mais s’attaque également à d’autres légumes fruits comme le poivron et le gombo, mais aussi au coton et au maïs. Cette chenille est le principal ravageur de la tomate en saison sèche. On la trouve dans toutes les régions du Niger. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’aubergine et de la pomme de terre
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture de l'aubergine et de la pomme de terre. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Yadda tsutsar tumati Noctuelle da ake cema Helicoverpa a turance take
Tsutsar tumati da ake cema Noctuelle wani dan karamin malan batata ne yake futowa da dare yana neman abincin shi. Wanan malan batatan nada launi toka toka. Wanan hoton na nuna karamar tutsar da irin bannar da take hadasa wa a cikin diyan tumati musaman ma a lokacin zahi,haka zalika jinjirara tsutar na apkama ma sauran albarkatun noma kamar su tattasai da miyar kubewa da kuma kada da masara, wanan tsutar ita ce tafi bata tumati a lokacin rani,ana samun ta a cikin jahohin kasa ga baki daya. -
Tomaato nooniizo (Helicoverpa armigera) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Tomaato nooniizo wo ciini alfaga caw-caw no, zama a si fatta kala za wayna kaù kala mo ma bo. Da ba yaù, alfaga caw-caw wone hari boosa boosa no fatey ga ga. Tira wo, tomaato nooniizo bon no a ga salaù zama nga no ga ti tomaato aùùwaara i kulu ilaala, waana waana hayni waate. Tomaato nooniizo ga tuurize boobo digsa sanda tattaasa, la wala binde haabu wala mo kolkoti. Tomaato nooniizo ga ti, hayni ra, tomaatey aùùwaara laala. Niizer jarjarey kulu ra no a ga diya. -
Kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance
Yau zamu muku hira kan wani mungun kwari dake banna cikin garake kuma manoma sun sanshi kwarai da gaske,wannan kwarin shine ake cema kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance. In manoma sun san irin bannar da wannan kananan kwarin farfaru keyin saman tattasey da tomati da tonka,abincin su kenan, to har yanzu basu gano irin cutitikan da suke iya hadasama wanan shipkoki ba. -
Mouche blanche : Zarma : Hamniize kwaara kaù se i gane faransi ciine ga mouche blanche (Bemisia tabaci) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Hunkuna, iri ga salaù araù se nda jaw-kali goyey aùùwaara fo kaù ga hasaraw te hala manti mooso, kaù alfarey nda kurkey ga bay ga boori, nga ga ti « hamniize kwaara ». Ba da alfarey ga hasarawey kaù hamniize kwaara wo ga te bay, i si bay doorey kaù a ga hin ga kande ga daù tuurey ga. -
Yadda tsutsar chou ko plutella take
Zamu muku hira kan wani mungun tsutsar chou da ake cema teigne du chou a turance. Tsutsar chou da ake cema plutela da turance wani karamin malan batata ne(wanda yafi sabro girma,photo na 1) tsutsar shi ce tafi yawan banna ga chou a kasar Nijar. Wanan kwarin ana samun shi koda yaushe tsawon dukan shekara a fadin kasar Nijar aman yafi yawa a lokacin zahi tsakanin watan mars da mai,yana iya bata illahirin gonar chou. -
Suwo nooniizo kaù se i ga na fransi cine ra « teigne » tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Su nooniizo kaù se i ga ne faransi ciine ga « teigne » : alfaga caw-caw kayniyaw fo no ga a hay (A si beeri ga ba soboro, Foto 1) Niger fi azulmata ra no a go, su aùùwaara i kulu ilaala no. Amma a si laala kala dungay waate annasaara handu hinzanta ga koy iguwanta. A ga hin ga su fari kulu alandaaba. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
Cette note présente le contenu d’une émission radio préparée par des agents du RECA, de la DGPV et de l’INRAN puis enregistrée en Zarma et en Haoussa avec la radio Jeunesse de Goudel pour être diffusée sur l’ensemble des régions du Niger. -
ALERTE Spodoptera frugiperda une nouvelle chenille, ravageur du maïs
Cette chenille originaire d’Amérique a été observée pour la première fois en Afrique de l’Ouest en janvier 2016, au sud du Nigeria où elle a causé d’importants dégâts. En août 2016, la presse béninoise avance le chiffre de 30.000 à 40.000 ha de maïs détruits dans les régions du Nord Bénin. La chenille a également fait d’importants dégâts au Nigeria et au Togo. Fin novembre 2016, elle est signalée à Torodi (Région de Tillabéri), et également à Dosso. Il s’agit de la larve d’un papillon à moeurs nocturnes de la famille des Noctuidés ou noctuelles. Les insectes de cette famille sont malheureusement bien connus des producteurs car elle comprend les ravageurs les plus dévastateurs des cultures comme par exemple la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera). -
Intensive, une approche pour booster la production système de riziculture du riz au Niger
Le SRI est une nouvelle approche d’augmentation de la productivité de la culture du riz. C’est une innovation qui change les pratiques classiques de production du riz. La méthode est souple et s’adapte à plusieurs environnements. Il suffit simplement de : (i) incorporer la matière organique bien décomposée au sol, (ii) repiquer des plants de riz plus jeunes (12 jours) à un plant/poquet, (iii) repiquer plus espacer (25 cm x 25 cm) et (iv) contrôler l’alternance d’assec et d’humidification. En plus de l’accroissement du rendement, le SRI limite la consommation de semences et d’eau ainsi que l’apport en engrais chimique. -
Essai de germination et de croissance de Artemisia annua L. au Niger
L’essai a été conduit à la pépinière de l’INRAN de Niamey et à la cuvette de l’INRAN de Kollo, et a porté sur la germination, croissance, développement de Artemisia annua (l’hybride F2 et M), plante qui a des vertus anti-paludique. Cette étude a pour objectif d’évaluer les meilleures conditions de culture de artemisia annua et le meilleur substrat pour son adaptation. Le Niger, pays d’endémie du paludisme, maladie qui constitue la première cause de morbidité et de mortalité. Face à cette menace, les autorités ont opté pour l’utilisation des dérivés d’artémisinine comme molécule de choix dans la prise en charge du paludisme comme l’a recommandé l’OMS. Les tests de la levée en pépinière ont été effectués dans un bac à semis et un germoir en planche. Les plants ont été repiqués après levée dans des pots avec trois types de substrats (substrat dunaire, substrat de bas fond et substrat de sable du fleuve) afin de déterminer le meilleur substrat pour la culture de la plante en pépinière. Il ressort des résultats obtenus que le substrat de bas fond offre les meilleures valeurs pour la hauteur, le diamètre au collet et le nombre de feuilles que les substrats dunaires et du fleuve. Les plants ont été transférés sur le site de Kollo et transplantés sur terre ferme. Pour la biomasse c’est la variété F2 qui a enregistrée les meilleurs rendements même si au niveau de la hauteur, elle enregistre les valeurs les plus basses comparativement à la variété M. Cette étude a montré que Artemisia annua peut s’adapter au Niger et son introduction offre à la population un moyen supplémentaire de lutte contre le paludisme. -
Contrôle et valorisation de Sida cordifolia
Le Sida Cordifolia est une plante envahissante des parcours, des couloirs de passage des animaux et les bordures des routes et dépôts d’ordures au Niger. La présente intervention vise la maîtrise de Sida Cordifolia par sa valorisation en nutrition animale. -
Les systèmes agriculture- élevage au Niger
L’espace pastoral s’est restreint en même temps que son occupation se densifie. L’insécurité foncière, la baisse de la fertilité des sols, le surpâturage sont autant de phénomènes qui remettent en cause l’équilibre de la région et compromettent la reproduction des écosystèmes locaux. Les conflits entre agriculteurs et pasteurs aboutissent à la rupture de l’ancienne complémentarité entre agriculture et élevage. -
Recueil de quatorze fiches techniques du domaine Agro-Sylvo-Pastoral
Le présent recueil comprend quatorze (14) fiches techniques :
- Production du fourrage de Medicago sativa (Luzerne) au Niger
- Production d’Echinochloa stagnina (Bourgou) au Niger
- Amélioration de la disponibilité du fourrage par la culture de Dolichos lablab (dolique)
- Amélioration de l’aviculture familiale au Niger
- Mise au point des rations alimentaires pour les ruminants à base des ressources locales au Niger
- Contrôle et valorisation de Sida cordifolia au Niger
- Production de l’oignon d’hivernage : conduite d’une pépinière en saison de pluie avec le Violet de Galmi
- Techniques de production de bulbilles d’oignon Violet de Galmi
- Production de bulbes d’oignon de conservation au Niger
- Production de riz hors aménagement au Niger
- Banque alimentaire à base de Moringa par semis direct au Niger
- Banque alimentaire à base de Adansonia digitata (Baobab) au Niger
- Banque alimentaire à base de jujubier amélioré au Niger
- Conduite de la Régénération Naturelle Assistée (RNA) au Niger
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Promotion de la technique de compostage aérien au niveau de l'exploitation maraichère
Fiche technique portant sur la réalisation et l'utilisation de compost aérien, à destination de maraichers nigériens. -
Rapport d’activités de la première campagne de collaboration INRAN/PIDM : hivernage 2003 (site de Yélou et Kizamou)
Les contraintes générales liées aux systèmes de productions agricoles au Niger sont multiples et variées. Parmi les plus importantes, on peut citer la précarité de la pluie et sa mauvaise répartition dans l’espace, la dégradation de la fertilité des sols, le dysfonctionnement ou même la quasi-inexistence des circuits d’approvisionnement en
intrants de productions et la quasi-inexistence des circuits fiables de commercialisation
des productions agricoles. En plus, cette situation se trouve être compliquée par la faible capacité des organisations paysannes à se prendre en charge par elles mêmes.
Dans ce contexte, la réalisation des systèmes irrigués et l’amélioration de leur gestion, constituent dès lors une réponse à ces multiples contraintes que vit le monde rural nigérien. En se fixant l’objectif de réaliser cinq aménagements, le Projet Irrigation dans le Dallol Maouri (PIDM) contribue à la réalisation de l’objectif d’intensification et de sécurisation des productions vivrières de manière à procurer aux exploitants une autosuffisance alimentaire et à contribuer au renforcement de leurs capacités. -
Rapport final:Gestion intégrée du ver gris (Agrotis ipsilon) et la mineuse de la tomate (Tuta absoluta De Meyrick) ravageurs de la pomme de terre sur le mont Bagzam.
La DGPV a reçu du Conseil National de la Recherche Agronomique (CNRA), à travers le financement des projets compétitifs des ressources financières pour la mise en œuvre des activités du projet intitulé Gestion intégrée du ver gris (Agrotis ipsilon) et la chenille mineuse de la tomate (Tuta absoluta De Meyrick) ravageurs de la pomme de terre sur le mont Bagzam. La mise en œuvre des activités de ce projet est assurée par la DGPV avec la participation de l’INRAN et du RECA. -
Une mauvaise herbe colonise les rizières et les sites maraîchers
On observe depuis quelques années, la prolifération d’une adventice (ou mauvaise herbe) sur la plupart des périmètres irrigués à usage rizicole ou maraîcher. Cette plante, apparemment introduite, est méconnue des producteurs et semble devenir un problème phytosanitaire sérieux. Un échantillon de cette plante, provenant d’un des animateurs de la Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso a été présenté au Dr Baina Danjimo, botaniste de l’INRAN, qui l’a identifié sous le scientifique (latin) de Elatine ambigua Wight. Pour éviter la prolifération de E. ambigua dans un jardin, le maraîcher doit apprendre à gérer cette plante en continue : arrachage précoce avec destruction des plantes, entretien avec les producteurs voisins pour une application collective de cette mesure afin de diminuer les possibilités de ré-infestation. -
La cicadelle écumeuse des céréales
La cicadelle des céréales ou Spitle bug, en Anglais, est un petit insecte sauteur de couleur généralement brunâtre mesurant entre 9 et 11 mm de long. Elle appartient à l’ordre des Homoptères et la famille des Aphrophoridae. Elle est connue sous son nom scientifique de Poophilus spp. Plusieurs espèces ont été décrites en Afrique de l’Ouest sur le mil et sorgho parmi lesquelles P. costalis et P. grisescens. C’est un ravageur occasionnel. -
Manuel de production et d’utilisation des fourrages verts hydroponiques (FVH) au Niger
L’hydroponie, qui est une variante des "cultures hors sol", est une technique qui permet l’obtention de jeunes pousses de céréales indépendamment de la disponibilité de sols cultivables et du type de climat. On obtient un tapis fourrager vert, succulent et frais, prêt à l’utilisation en seulement 7 à 10 jours de production et qui est entièrement consommé par les animaux. La production des fourrages verts par les techniques hydroponiques (FVH) constitue une alternative prometteuse dans l’alimentation des petits ruminants. Cette technique qui est actuellement en expérimentation par l’ONG OXFAM-Niger en partenariat avec l’INRAN dans les communes de Bermo, Gadabedji, Diffa et Foulatari peut se révéler très bénéfique pour les éleveurs des petits ruminants dans les zones pastorales. -
Rapport définitif: atelier de restitution des études INRAN-PAFRIZ
Cet atelier est de restituer les résultats des études aux acteurs de la filière riz et animer les débats suscités par les différents thèmes -
Multiplication et diffusion de semences de qualité des variétés améliorées et adaptées au changement climatique - Fiche de bonne pratique
La bonne pratique portant sur la multiplication et diffusion de semences de qualité des variétés améliorées a été mise en œuvre au Niger par la FAO en collaboration avec les structures du Ministère en charge de l’Agriculture, les institutions de recherche agricole (INRAN et ICRISAT), les organisations des producteurs agricoles au sein desquelles, les agriculteurs‐multiplicateurs ont émergé et sont devenus des professionnels de semences.
Elle a été mise en œuvre dans le but de renforcer la disponibilité en semences de qualité, de créer les conditions d’une réponse rapide et facile aux besoins importants en semences de qualité dans les situations d’urgences agricoles, de renforcer la résilience des organisations paysannes à travers la production, la commercialisation de semences de qualité pour améliorer leurs revenus et relancer la filière semencière au Niger. -
Pratiques d’élevage et indicateurs morphométriques de performance laitière chez les éleveurs de bovins Kouri au Niger
Dans la région de Diffa au Niger, une enquête a été conduite dans 140 exploitations, afin d’analyser les pratiques d’élevage et les performances laitières des bovins de race Kouri. Par ailleurs, les traits morphométriques indicateurs de performance laitière chez les éleveurs ont été documentés. Les éleveurs étaient des sédentaires et les troupeaux de taille moyenne pour la majorité (36 ± 30 têtes par exploitation). Chez les vaches ayant eu les plus récentes lactations complètes, la production laitière par vache a été en moyenne de 2,7 ± 1,4 litres par jour pour une durée moyenne de lactation de 7,2 ± 2,8 mois. Chez les vaches considérées comme les meilleures laitières, la production de lait par vache a été de 4,2 ± 1,5 litres par jour pour une durée moyenne de lactation de 8,9 ± 2,7 mois. -
De la dune fixée à la cuvette retrouvée
La cuvette oasienne peut se définir comme une unité géomorphologique spécifique, dépressionnaire, inter dunaire, de taille réduite (quelques ares à quelques hectares), à sols argileux. Elle présente une nappe d’eau provenant du lac Tchad, pratiquement affleurante ou proche et un écosystème caractérisé par deux à trois étages de végétation (dattiers, autres fruitiers et cultures annuelles par endroit). La présence de natron en son centre reste plus ou moins variable mais sans être systématique. Enfin on peut distinguer les cuvettes principalement agricoles et fruitières, les cuvettes pastorales et sylvicoles et les cuvettes de natron (présence de sol salé). Ces cuvettes sont menacées par l’ensablement. L’ensablement est un phénomène lourd de conséquences au Sahel : menace sur l’habitation et sur le maintien de la vie rurale, réduction de la capacité de production, contraintes fortes sur l’économie domestique, exode rural, etc. Ce document présente les réponses opérationnelles et sociales face à l’ensablement et les enseignements des activités de l’ONG Karkara à l’Est du Niger. -
Elément radio sur l’araignée rouge ou acarien rouge (Tetranychus spp)
Cette note correspond au contenu d’une émission radio diffusée dans les différentes régions et dans les différentes langues du Niger. Le contenu de l’émission a été préparé par des techniciens du Réseau National des Chambres d’Agriculture (RECA), de l’Institut National de la Recherche Agronomique et de la Direction Générale de la Protection des Végétaux. Aujourd’hui, nous allons vous parler d’une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu, l’araignée rouge. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraichères, surtout celles de la famille des solanacées citées plus haut. -
Itinéraires techniques de production de niébé de qualité
Le raccourcissement de la saison pluvieuse et la mauvaise répartition des pluies au Niger dû aux manifestations des changements climatiques, exigent que les pratiques agricoles soient revues et adaptées à ces nouvelles conditions afin d’assurer une résilience des agriculteurs. Ces pratiques d’adaptation peuvent se faire à travers une bonne maîtrise des itinéraires techniques des principales cultures (mil, sorgho, niébé, etc…). C’est dans ce cadre que cette fiche a été élaborée pour décrire ainsi les itinéraires techniques à suivre par les producteurs pour une production de niébé de qualité au Niger. -
Efficacité de l’huile de neem (Azadirachta indica) et de Bacillus thuringiensis (Biobit 2X) sur la dynamique de la population de Bemisia tabaci (Gennadius 1889) et Helicoverpa armigera (Hubner, 1808) dans une plantation de tomate au Niger
Dans un champ école paysans à Dogaraoua, zone de production de tomate au Niger, lors d’une séance de réunion hebdomadaire, un facilitateur et son groupe de 25 producteurs apprenants décident de mettre en place un essai GIPP (Gestion Intégrée Protection Production) de la tomate sous la supervision d’un entomologiste.
Les résultats obtenus montrent que l’huile de neem permet de contrôler Bemisia tabaci à 70% et le biobit réduit l’infestation de Helicoverpa armigera de 50% par rapport au témoin non traité. Les producteurs peuvent utiliser l’huile de neem pour contrôler la mouche blanche afin de réduire à 80% le cas d’attaque du TYLC et le biobit dans le contrôle de la noctuelle de la tomate. -
Culture du mil [Pennisetum glaucum (L) R. Br] et ses contraintes à la production: une revue
Le mil est la culture sahélienne par excellence du fait de son adaptation aux conditions particulières de production dans cette région. Le Niger est le deuxième pays producteur du mil en Afrique après le Nigeria. Le mil se trouve être caractéristique des systèmes de culture les plus dominants occupant plus de 65% de la superficie emblavée. Cependant, la croissance et la productivité du mil sont entravées par l’incidence des maladies fongiques telle que le mildiou du mil causé [Sclerospora graminicola (Sacc)], des insectes comme la chenille mineuse de l’épi [Heliocheilus albipunctella (De Joannis)], des foreurs de tiges [Coniesta ignefusalis (Hampson)], des adventices et des oiseaux. A ceux-ci s’ajoutent un bilan hydrique déficitaire, la baisse progressive de la fertilité des sols, la mise en culture des terres marginales et l'absence de jachère.
Cette synthèse bibliographique offre une vision des travaux de recherches scientifiques conduits sur la culture du mil, ses contraintes à la production et permet de mieux orienter les futures recherches à mener dans la lutte contre les bioagresseurs du mil tels que le mildiou et le foreur des tiges du mil afin d’améliorer le rendement de cette céréale combien importantes dans les zones arides et semi-arides. -
Effet de quatre types de fumiers d’animaux domestiques sur le développement de Meloidogyne javanica et la croissance du poivron (Capsicum annuum) sous serre.
Les nématodes à galles du genre Meloidogyne constituent un facteur limitant à la production des cultures maraîchères dont les Solanacées (poivron, tomate, aubergine, etc.). Au Niger, la lutte chimique par utilisation de nématicides de synthèse est la méthode la plus utilisée contre ces ravageurs. Pour trouver un substitut à cette méthode très onéreuse et qui pollue l’environnement, une étude sur l’effet de fumiers d’ovins, de caprins, de bovins et de volaille sur le développement de Meloidogyne javanica et la croissance du poivron a été menée sous serre dans des pots plastiques.
Le plus grand effet dépressif sur ces paramètres nématologiques est obtenu avec la plus grande dose de 20 % de fumier tandis que la croissance du poivron a été améliorée avec un effet plus important à la dose de 10 %.
Conclusion et application : Tous les types de fumier ont eu un effet dépressif sur le développement de Meloidogyne javanica sur le poivron. Ils peuvent donc être utilisés en amendement du sol pour lutter contre cet important ravageur des cultures maraîchères. -
Potentialités fourragères du mil (Pennisetum glaucum (L.) R. Br) : Revue de littérature
Dans ce contexte de déficit fourrager, devenu structurel en terroir sahélien, du fait des changements climatiques et de la pression démographique, le mil est de plus en plus exploité comme une plante fourragère ou du moins une plante à double fin (grain et fourrage) dans le souci d’assurer la sécurité alimentaire du bétail. Au Niger, le mil se trouve être caractéristique des systèmes de culture les plus dominants. Adapté aux conditions édaphiques et climatiques difficiles, il pourrait bien suppléer aux déficits fourragers induits par les changements climatiques du contexte. Cependant, bien que la recherche sur le mil ait fait l’objet d’une production abondante d’articles de recherche depuis plusieurs décennies, il est aisé de constater que peu d’études ont abordé des thèmes sur les potentialités fourragères du mil dans la littérature scientifique. Ce travail, basé sur une ample revue de littérature vise à dresser un panorama des grandes thématiques de recherche sur le mil d’une part et à documenter les performances fourragères du mil. -
Evaluation technique et économique des formules alimentaires de blocs multi nutritionnels d’embouche ovine au Niger
L’essai conduit en 75 j à la station de recherche de Kollo visait l’évaluation des performances de croissance des béliers nourris avec 5 formules alimentaires à base des ressources locales associées au tourteau de coton et son de blé. Le matériel biologique était constitué de 50 béliers de race Ara-Ara, âgés de 18 à 24 mois et de poids moyen de 25,00 ±3,02 kg. Les rations ont été distribuées en 2 repas/jour et les refus ont été collectés chaque jour. La pesée des béliers a été faite par quinzaine en 2 jours successifs. Les prix des différents ingrédients ont été suivis sur les marchés de Kollo et Niamey durant l’essai. Les GMQ obtenus étaient de 95g/j pour la formule 1 ; 79 g/j pour la formule 2 ; 59 g/j pour la formule 3 ; 118 g/j pour la formule 4 et 75g/j pour la formule 5. Les meilleures performances ont été réalisées par les béliers ayant reçu les formules 1 et 4, avec des marges nettes/ bélier de 4623 FCFA pour la formule 1 et 4763 FCFA pour la formule 4. Les formules 4, 1 et 2, ayant été les plus rentables, sont recommandées aux emboucheurs et fabricants d’aliments pour le bétail. -
Alerte : L’aflatoxine un tueur silencieux au Niger
Les aflatoxines sont des substances toxiques produites par plusieurs espèces de champignons du genre Aspergillus qui infectent diverses cultures, comme le maïs, le sorgho et l’arachide. La consommation d’aflatoxines peut causer de graves maladies, tant chez les humains que chez les animaux.
Au Niger, des collectes d’échantillons de maïs, de sorgho et d’arachide (418 échantillons, toutes espèces confondues) montrent que l’aflatoxine est présente dans toutes ces cultures et dans toutes les régions avec des concentrations inquiétantes. Le constat est amer, l’aflatoxine est présente partout au Niger et sur plusieurs cultures. Elle constitue un véritable problème de santé publique.
Pour réduire la contamination par les aflatoxines, un produit de biocontrôle a été mis au point : Aflasafe. Il s’applique aux cultures après semis, environ 2 à 3 semaines avant la floraison. Lorsqu’il est correctement appliqué en association avec certaines bonnes pratiques agronomiques, les souches Aflasafe s’associent à la culture et empêchent l’installation des souches de champignons toxigènes offrant ainsi une protection permanente et de facto, la réduction de la teneur en aflatoxines. -
Amélioration de la disponibilité des fourrages par la diversification des systèmes de cultures à base du mil en zone agricole au Niger
La pratique de l’élevage en mode sédentaire et l’insuffisance du pâturage en toute saison de l’année, commandent aux agro-éleveurs du Niger la diversification des systèmes de cultures pour augmenter la disponibilité du fourrage et la production grain en vue de satisfaire les besoins de la population et du cheptel.
Pour cela, la diversification des systèmes de cultures à base du mil est indispensable. Notre étude s’est intéressée à l’association mil /niébé, mil / oseille, mil / niébé / oseille et niébé/ oseille avec une densité au semis de 0,8m x 0,8m en lignes intercalées. Les résultats obtenus montrent que les systèmes de cultures associées mil / niébé / oseille »et « mil / niébé » sont les plus intéressants en offrant des avantages en production de biomasse avec un LER respectif de 48 % et 41 % et en production grain, l’avantage est de 20 % pour le premier système et 33 % pour le second. Cependant, le niébé et l’oseille donnant d’autres produits de grande valeur économique comme les cosses pour le niébé et le calice pour l’oseille, une analyse économique est nécessaire pour bien dégager le système de culture le plus rentable pour les producteurs. -
Risques pluviométriques, source d’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Niger
Au cours des dernières décennies, le Niger a subi des nombreux aléas climatiques qui ont pour conséquences une diminution de la production agricole et une recrudescence des crises alimentaires et nutritionnelles. L’objectif de cette étude, vise à analyser le lien entre l'insécurité alimentaire nutritionnelle et les risques pluviométriques. La méthodologie utilisée est surtout basée sur des enquêtes (entretiens en groupe et entretiens individuels) dont les populations cibles sont celles des régions de Maradi, Tahoua et Tillabéri. Les résultats relèvent qu’il existe une différence significative entre les précipitations des trois régions. Les résultats, ont aussi, montré que les deux risques pluviométriques sont : les sécheresses et les inondations. Mais, au vu de la population rurale, les sécheresses impactent beaucoup négativement sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle car elles engendrent une diminution de la production céréalière et une augmentation des prix des céréales locaux. La sécheresse contribue fortement au déterminisme de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Niger -
Contrôle de Pergularia tomentosa par la coupe profonde
Pergularia tomentosa est un arbuste non appété mais utilisé en tannerie et qui envahit les parcours, particulièrement dans la région de Diffa. Traditionnellement les parties aériennes de la plante sont récoltées et utilisées dans le processus de tannage des peaux. Les résultats d’un essai de coupes au ras du sol, -5 cm et -10 cm du sol ont montré que les coupes au niveau de -5 cm et -10 cm du sol permettent de contrôler la plante. -
Comment évaluer les performances globales de l'irrigation sur un aménagement hydro-agricole rizicole?
L'amélioration et la consolidation des aménagement hydro-agricole existants passent nécessairement par une évaluation de leurs performances. Il est donc nécessaire, pour se faire, de mettre à la disposition des techniciens de terrain des méthodologies avec des indicateurs simples pour procéder au diagnostic du fonctionnement des périmètre. -
Comment développer la production du riz par le système de riziculture intensive?
Le riz constitue la troisième céréale produite au Niger et représente 2,3% de la production de céréales. Tandis que le potentiel de terres irrigable est estimé à 270 000 ha, les terres exploitables en riziculture représentent 24 000 ha. Ces terre sont surtout localisées dans la vallée du fleuve dans les régions de Tillabéri et Dosso et autours du Lac Tchad. -
Comment garantir durablement l'accès aux engrais, aux producteurs des périmètres irrigués?
Le mode d'exploitation du riz dans les aménagements hydro-agricoles est caractérisé par la double culture du riz et nécessite, pour les objectifs de rendements recherchés, un approvisionnement régulier d'engrais de bonne qualité. Or, aujourd'hui comme l'indique plusieurs rapports, que ce soit au niveau national ou au niveau des coopératives rizicoles, la demande d'engrais est limitée par son indisponibilité. -
Système de riziculture intensive, une approche pour booster la production du riz au Niger
Le SRI est une nouvelle approche d'augmentation de la productivité de la culture du riz. C'est une innovation qui change les pratiques classiques de production du riz. La méthode est souple et s'adapte à plusieurs environnements. Il suffit simplement de : i) incorporer la matière organique bien décomposée au sol, ii) repiquer des plants de ris plus jeune (12 jours) à un plant/poquet, iii) repiquer plus espacé (25 cm * 25 cm) et iv) contrôler l'alternance d'assec et d'humidification. -
Étude de la contribution des plantes ligneuses pérennes à l'approvisionnement en fourrage et à la sécurité alimentaire : Acacia nilotica (L.) Willd. ex Delile
Plante épineuse pouvant atteindre 25 m de haut, à feuilles composées bipennées alternes, le gommier rouge est de la famille de Fabaccae. Les rachis des feuilles portent 2 à 8 paires de pinnules, composées chacune d'une quinzaine de pair de folioles oblongues. Les inflorescences axillaires de couleur jaune d'or vif, en capitules sphériques portent des bractées courtes vers le centre de leur pédoncule. -
Étude de la contribution des plantes ligneuses pérennes à l'approvisionnement en fourrage et à la sécurité alimentaire : Acacia senegal (L.) Willd.
Le gommier blanc est une plante épineuse de la famille des Fabaccae pouvant atteindre 6 à 8 m de hauteur, la plante présente des feuilles composées bipennées alternes avec une rachi composée de 3 à 6 paires de pinnules, portant chacune 9 à 15 paires de folioles oblongs. -
Étude de la contribution des plantes ligneuses pérennes à l'approvisionnement en fourrage et à la sécurité alimentaire : Acacia seyal Del
Plante ligneuse de la famille des Fabaccae, Acacia seyal est une épineuse pouvant atteindre 17 m de hauteur. Le tronc lisse verdâtre, avec parfois des écailles surtout chez les vieux pieds, est le plus souvent couvert de lichens poudreux jaune ou rougeâtre. -
Étude de la contribution des plantes ligneuses pérennes à l'approvisionnement en fourrage et à la sécurité alimentaire : Acacia tortilis (forks.) Hayne subsp. Raddiana (Savi.) Brenan
Connue sous le nom de faux gommier, Acacia tortilis est une plante épineuse clé des milieux semi-aride et aride de la famille de Fabaccae (APG, 2016) de 12 à 13 m de hauteur. Elle a des feuilles composées de type penné, munies de rachi portant 5 à 15 paires de folioles. Les pétioles des feuilles de 10 à 15 m longueur, portent à la base deux stipules épineuse blanchâtres conées, glabre et divariquées, de 2 à 4 cm de longueur (Maire, 1987). -
Étude de la contribution des plantes ligneuses pérennes à l'approvisionnement en fourrage et à la sécurité alimentaire : Bauhinia rufescene Lam.
Arbuste de la famille de Fabaccae, très branchu, généralement de moins de 8 m de hauteur, le plus souvent buissonnant. La plante présente une écorce de couleur grise pale, le plus souvent écailleuse. Les feuilles persistantes et bilobées sont alterne. -
Étude de la contribution des plantes ligneuses pérennes à l'approvisionnement en fourrage et à la sécurité alimentaire : Combretum Micranthum G. Don
Arbuste buissonnante pouvant atteindre parfois 10 m de hauteur, Combrethum micranthum présente une écorce fibreuse de couleur tranche orangée à brun- rougeâtre. Les feuilles opposées ou verticillées sont à limbe dont le sommet acuminé et à la base en coin, et à nervure pennées peu saillante -
Référentiel d'étude de la dynamique de la composition floristique d'un parcours au cours du temps
La composition floristique est l'ensemble des espèces végétales présentes en un site donné. Dans le cadre des études écologiques, elle peut être appréciée en établissant la liste de toutes les espèces présentes sur l'ensemble du parcours à évaluer (ROSELT/OSS, 2003). -
Catalogue des cellules épidémiques des feuilles des plantes fourragères des parcours sahéliens pour l'étude de régimes alimentaires des ruminants domestiques
Cette note présente les épidermes de feuilles de plantes pérennes fourragères de parcours sahélien, elle est destinée aux chercheurs, enseignants chercheurs, étudiants et aux techniciens d'élevage. -
Étude de la contribution des plantes ligneuses pérennes à l'approvisionnement en fourrage et à la sécurité alimentaire : Piliostigma reticulatum (DC.) Hochst.
Arbuste plus souvent buissonnant par rejet de souche, de la famille des Fabaccae, Piliostigma recticulatum peut atteindre 10 m de hauteur. Les feuilles coriaces fortement bilobées avec nervure palmées sont alterne. -
Référentiel d'étude du recouvrement de la végétation des parcours
Le recouvrement d'une espèce est défini comme le pourcentage de la surface du sol qui est recouverte par la projection verticale des organes aériens de cette espèce. Mais le recouvrement de la végétation correspond au recouvrement total de l'ensemble des espèces végétales présentes en une formation, un parcours ou un site donné (ROSELT/OSS, 2003). -
Référentiel nomenclatural, taxonomique, biologique et phytogéographique de la flore vasculaire des parcours de Zinder, Niger
Cette note aborde pour la première fois la classification photogénique des plantes des parcours de Zinder, elle est destinée aux chercheurs, aux enseignants chercheurs, aux étudiants et aux techniciens d'élevage. -
Production mixte du sorgho SEPON-82
Au Niger, la disponibilité en quantité et en qualité du fourrage est la contrainte majeure dans l'alimentation du bétail. Le pâturage naturel qui est source de l'alimentation de base est insuffisant. Pour réduire ce déficit et améliorer la qualité du fourrage, il est important de faire la promotion des cultures fourragères des espèces végétales adaptées au milieu et améliorer la production des résidus des cultures. -
Étude de la contribution des plantes ligneuses pérennes à l'approvisionnement en fourrage et à la sécurité alimentaire : Bauhinia rufescens Lam.
Arbuste de la famille des Fabaccae, très branchu, généralement de moins de 8 m de hauteur, le plus souvent buissonnant. La plante présente une écorce de couleur gris pale, le plus souvent écailleuse. Les feuilles persistantes et bilobées sont alternes. -
Référentiel d'étude de la richesse spécifique de la végétation des parcours
La richesse spécifique correspond au nombre d'espèces végétales en un site donné. C'est la mesure de la composition taxonomique (diversité) d'une communauté au sens strict de Whitaker (1972). -
Fiche technique des blocs multi nutritionnels densifiés pour bétail
Au Niger, l’élevage joue un rôle très important dans l’économie nationale et des ménages, dans la sécurité alimentaire en milieu rural et occupe 80% de la population. Malgré son importance, l’élevage rencontre plusieurs contraintes qui limitent sa productivité parmi lesquelles l’insuffisance quantitative et qualitative des ressources fourragères. L’insécurité alimentaire du cheptel liée au déficit fourrager chronique, nous impose de rechercher les solutions alternatives pour atténuer les effets néfastes de l’insuffisance des ressources alimentaires du bétail sur sa productivité et le revenu des éleveurs et agro éleveurs. Dans cette optique, l’INRAN et la FAO ont mis au point une technologie simple de fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés pour Bétail à base des fourrages locaux, des sous produits
agro-industriels, des minéraux et des liants. -
Amélioration de la conduite alimentaire des troupeaux allaitants
L'élevage laitier en dépit de sa proximité de la ville et des dépenses importantes engendrées par l'alimentation, est confronté à un faible niveau de performance de production. Ceci est du à plusieurs raisons, à savoir notamment le bas niveau nutritionnel, le faible potentiel génétique des animaux, la non maitrise de santé animale et le faible niveau technique des éleveurs. -
Fabrication d'aliment de bétail sous forme de poudrette
Au Niger, l'élevage se trouve au deuxième rang après l'agriculture parmi les activités qui procurent des revenus importants dans les zones rurales. Il occupe plus de 80% de la population nigérienne. Il contribue pour 11% du PIB national, 35% au PIB agricole (INS-Niger, 2013). -
Amélioration de l'élevage de jeune poussins et pintadeaux en aviculture traditionnelle ou villageoise
Les jeunes sujets représentent la base de réussite d'un élevage avicole. Cependant, ils sont confrontés à des nombreux aléas qui limitent ainsi la productivité d'un élevage de basse-cour en milieu villageois. Les caractéristiques d'un tel élevage sont notamment: Exposition aux intempéries et prédateurs ; Faible couverture sanitaire; Mortalité très élevé après éclosion; Faible performance de croissance. Ceci suppose qu'il y a nécessité d'adopter un plan rigoureux de soins intensifs d'hygiène et de prophylaxie. -
Rapport scientifique 2020
L’Unité Semencière de l’INRAN a commencé ses activités formellement au cours des années 2001 dans l’optique principale de contribuer à la sécurité alimentaire par la promotion de l’utilisation des semences de variétés améliorées pour accroître les rendements et les productions agricoles. -
Convention de mise en œuvre et de gestion des activités du pole régional CORAF de la recherche sur les systèmes irrigués entre la CORAF et l'INRAN / Niger
Le Pôle régional CORAF de recherche sur les systèmes irrigués soudano-sahéliens est une forme d'organisation communautaire répondant à un enjeu régional important du développement rural, avec une gestion en commun de moyens propres à chacun des partenaires pour constituer une capacité régionale de recherche performante, ce qu'aucun des partenaires, pris isolément, ne pourrait faire. -
Productivité, valeur pastorale et capacité de charge des parcours naturels de la région de Maradi, Niger
La région de Maradi dispose d’importantes ressources animales et pastorales. Mais l’extension des terres agricoles et l’accroissement du cheptel entrainent une forte pression sur les pâturages,ressources essentielles pour l’élevage au Sahel.Ainsi, cette étude vise à connaitre l’état actuel de ces pâturages en les caractérisant en termes de valeur pastorale, de productivité et de capacité de charge.Les données ont été collectées par la méthode linéaire de Daget et Poissonet (1971) et la méthode de récolte intégrale de biomasse. Les résultats montrent que la valeur pastorale des pâturages augmente avec le gradient climatique Sud-Nord tandis que la productivité des pâturages,elle,est plus élevée au Sud et plus faible au Centre de la région. La capacité de charge de tous les pâturages est très faible mais très variable entre les zones bioclimatiques,les pâturages du Sud présentant les plus grandes capacités de charge suivis des pâturages du Nord. Ainsi, la faible capacité de charge, l’extension des cultures au détriment des pâturages et l’accroissement du cheptel vont accentuer la dégradation de ces écosystèmes sahéliens déjà fragilisés ce qui aura une conséquence néfaste sur les performances zootechniques
du cheptel et l’économie de la Région. -
Trend and Structure of Populations of Balanites aegyptiaca in Parkland Agroforestsin Western Niger
In Sub-Saharan Africa, trees and shrubs are intentionally cultivated with crops for multiple ecological and socioeconomical benefits [1-3]. Agroforestry systems are important for improving crop productivity, maintaining ecosystem integrity, and limiting capital resources depletion such as water, nutrients and soil [4,5]; mitigating the effect of global climate changes due to permanent tree cover that stores terrestrial carbon [6-9]; and reducing forest destruction by providing wood and non-timber products for human wellbeing [10]. Classically, agroforestry systems have been classified into six categories in which the woody plant component has the central role in the functioning of the agroforestry systems. These systems include crops under tree cover, agroforests, agroforestry in a linear arrangement, animal agroforestry, sequential agroforestry and minor agroforestry techniques [11]. The systems of crops under tree cover include all combinations of trees and crops in which the woody component creates an upperstorey covering the crops. -
Programme de recherche du CGIAR sur le Changement Climatique, l’Agriculture et la Sécurité Alimentaire (CCAFS)
Résumé des résultats des enquêtes de base niveau ménage : site de Fakara, NigerCe rapport présente les résultats des enquêtes de base conduites au niveau des ménages de sept (7) villages du site de Fakara (Niger) dans le cadre du programme de recherche du CGIAR sur le Changement Climatique, l’Agriculture et la Sécurité alimentaire. L’objectif de ces enquêtes était de de collecter toutes les données et informations sur des indicateurs clés de base concernant les ménages notamment les moyens de subsistance, l’agriculture et la gestion des ressources naturelles, les besoins d’information sur le climat et la gestion des risques, et les pratiques d’atténuation et d’adaptation. La population du site pratique l’Islam et est majoritairement active (âge compris entre 5-60 ans). Cependant on observe un faible niveau d’éducation avec environ 58% des ménages ayant un membre avec un niveau primaire. L’agriculture et l’élevage constituent les principales activités économiques de production. La majorité des ménages a accès à au moins 1ha de terre. Les intrants agricoles sont très peu utilisés, essentiellement des engrais. L’agriculture est diversifiée et constitue la source majeure pour la satisfaction des besoins alimentaires des membres des ménages. L’essentiel de la production est destinée à l’autoconsommation, avec un faible pourcentage de produits agricoles et animaux vendus. -
Faidherbia albida (Delile) Effets du dépérissement des arbres sur la production végétale dans les parcs agroforestiers du sud-ouest du Niger
Faidherbia albida est une espèce d'arbre agroforestier jouant un rôle agroécologique et socioéconomique important dans les zones arides et semi-arides d'Afrique. Pendant de nombreuses années, les stress anthropiques et abiotiques ont été considérés comme les principales menaces pour l'espèce dans les parcs agroforestiers d'Afrique de l'Ouest. Un dépérissement considérable s'est récemment produit dans les arbres F. albida des parcs agroforestiers du centre-sud-ouest du Niger, et les causes sont inconnues. Les objectifs de cette étude sont (i) d'étudier l'ampleur du dépérissement des arbres F. albida et (ii) d'évaluer les perceptions des communautés locales sur les effets du dépérissement de F. albida sur la production agricole. L'état de santé et la phénologie de 213 F. albida ont été observés dans la zone où se produit le dépérissement. De même, un échantillon de 144 personnes, dont 86% d'agriculteurs, a été interrogé. L'incidence du dépérissement des arbres F. albida était de 19%, avec une mortalité de 6%. Les arbres de grand diamètre ont un dépérissement plus important que les arbres de petit diamètre. Les parties les plus touchées de l'arbre étaient les branches à 54% et les troncs à 39%. -
La SSD-35 une variété de sorgho résistante à la cécidomyie pour améliorer la production et générer des revenus
Le sorgho SSD-35 a été développé au Niger. L’objectif du développement de SSD35 est de résoudre la contrainte d’attaque de la cécidomyie, Stenodiplosis sorghicola (Coquillet) qui est un insecte uniquement rencontré sur le sorgho et cause des dégâts très importants sur les panicules en floraison. La cécidomyie cause plus de dégâts sur les variétés tardives qui développent une mauvaise formation des grains de l’ordre de 50% (Photo1). Parmi toutes les méthodes de lutte préconisées ou recommandées pour lutter contre la cécidomyie beaucoup sont impraticables, modérément effectives ou coûteuses. La résistance variétale est la mieux recommandée car elle est peu coûteuse pour le producteur (Sharmaetal,1992). L’utilisation des variétés résistantes ne nécessite aucun investissement dans le domaine de la lutte contre la cécidomyie. -
Pratiques et contraintes de l’élevage de la chèvre rousse de Maradi en milieu rural au Niger
Au Niger, l’élevage caprin occupe une place importante dans l’économie des ménages ruraux. Une étude a été conduite dans la région de Maradi afin de caractériser les pratiques de gestion des élevages des chèvres rousses et analyser leurs contraintes. Ainsi, 180 agro-éleveurs répartis dans 12 villages de la région ont été questionnés. Les thèmes abordés au cours des interviews ont porté sur : les caractéristiques du ménage, les objectifs de production, le mode de conduite des animaux, la gestion de l’alimentation, la santé animale ainsi que les contraintes auxquelles les producteurs font face. Les résultats ont révélé que la majorité (72,8%) des propriétaires des caprins sont des femmes. Les caprins sont élevés en priorité comme épargne pour subvenir aux besoins du ménage. Pendant la saison sèche, plus de la moitié (51%) des éleveurs font recours à l’achat du son de blé pour la complémentation des animaux. -
Effets du ramassage des fourrages sur l'environnement et sur les activités agro-sylvo-pastorales et commerciales dans les régions sahéliennes au Niger
Au Sahel, pour répondre à la demande croissante en produits animaux, les éleveurs utilisent essentiellement les fourrages naturels sur pieds et récoltés. Cette pratique affecte surtout les écosystèmes péri-urbains. La présente étude vise à évaluer les effets visibles du prélèvement des fourrages sur l’environnement et sur les activités rurales en zones périurbaines. Une enquête de perception des populations sur les effets de la collecte de paille, conjuguée à la mesure de la matière organique, à l’inventaire forestier, au comptage de surfaces dénudées et de ravins sur un hectare en deux répétions, a été réalisée dans les sites de collecte de 12 villages des régions de Maradi et Tillabéry. -
Patrimoine génétique animale du Niger : Guide de bonne pratique pour la complémentation alimentaire des bovins Azawak au Niger
Le Niger est par excellence un pays d'élevage du fait de l'importance et la diversité de son cheptel estimé en 2017 à 46.484.801 têtes de ruminants ( statistique d'élevage, 2017) et un potentiel physique impressionnant de 60 millions d'hectares pâturables. Même si le secteur semble reconnaitre une relative stagnation, il joue un rôle central dans l'économie par ses productions notamment le bétail sur pied. -
Patrimoine génétique animale du Niger : Guide de bonne pratique pour l'élevage de la chèvre du Sahel à robe blanche au Niger
La chèvre du sahel à robe blanche est une race locale endémique, élevée aussi bien pour la viande que pour son lait. Son mode d'élevage est de type semi-nomade qui valorise la race tout en apportant aux familles d'éleveurs une alimentation riche en lait et une épargne durable par la commercialisation des chevreaux élevés. -
Technique de production de bulbilles d'oignon violet de Galmi
Les légumes sont importants pour l'équilibre alimentaire des populations et leurs productions constituent aussi une source de revenu non négligeable. Au Niger, les cultures les plus rentables sont l'oignon, la tomate, le chou et la pomme de terre. Les revenus tirés de ces cultures en hivernage sont en moyenne cinq fois supérieurs aux revenus de contre saison du fait de la rareté de ces productions en cette période. -
Catalogue Nationale des Espèces et Variétés Végétales : Techniques culturales, manioc
Le manioc préfère les sols riches et profonds Avant la plantation, il est recommandé de bien labourer le terrain. De préférence billonner avant de planter sur les billons. -
Techniques de production de bulbilles d'oignon violet de Galmi
Les légumes sont importants pour l'équilibre alimentaire des populations et leurs productions constituent aussi une source de revenu non négligeable. Au Niger, les cultures les plus rentables sont l'oignon, la tomate, le chou et la pomme de terre. Les revenus tirés de ces cultures en hivernage sont en moyenne cinq fois supérieurs aux revenus de contre saison du fait de la rareté de ces produits en cette période. -
Fiche technique : patrimoine génétique du Niger - Guide de bonne pratique pour l'élevage de la chèvre du Sahel à robe blanche
La chèvre du Sahel à robe blanche est une race locale endémique, élevée aussi bien pour la viande que pour son lait. Son mode d'élevage est de type semi-nomade qui valorise la race tout en apportant aux familles d'éleveurs une alimentation riche en lait et une épargne durable par la commercialisation des chevreaux élevés. -
Expérimentation conjointe d’une innovation paysanne en fumage de poissons au Niger
Dans les pays du Sahel, les systèmes nationaux de recherches agricoles, malgré leur ouverture aux approches participatives, restent encore, pour la plupart, caractérisés par l’approche « transfert de technologies » où seuls les chercheurs développent les technologies véhiculées passivement par les conseillers agricoles vers les paysans. Cette approche ne stimule pas la créativité des paysans et n’encourage pas non plus leurs initiatives en matière de développement de technologies. -
Budget Général de l'exercice 2015
Le Budget général de l'INRAN au titre de l'exercice 2015 s'équilibre en recettes et en dépenses à la somme de trois milliards deux cent cinquante cinq millions cent cinquante mille neuf cent quatre vingt seize (3.255.150.996) francs CFA contre deux milliards huit cent quarante six millions huit cent trente cinq mille six cent quarante sept (2.849.835.647) francs CFA en 20214. Cette hausse s'explique par des prévisions de financements extérieurs en légère augmentation avec l'inscription de nouveaux projets comme SMIL (ex INTSORMIL). -
Manuel du système de riziculture intensive (SRI) pour le riz irrigué au Niger
Traditionnellement, la riziculture se pratique essentiellement le long du fleuve Niger (régions de Tillabéri et Dosso à l’Ouest) et de la Komadougou (région de Diffa à l’Est). De nos jours, elle est rencontrée dans plusieurs autres régions (Tahoua et Zinder). Il existe actuellement trois grandes formes de riziculture qui s’effectue sur : Une riziculture fluviale ou sous inondation, en bordure du fleuve ou autour des mares. C’est une riziculture d’hivernage, très dépendante des crues et de la pluie. Les surfaces exploitées sont estimées à 10.000 ha, avec des rendements moyens de l’ordre de 0,7 t/ha. -
Système de culture en bandes alternées, 4 lignes mil / 4 lignes niébé avec rotation mil / niébé
Au Niger, le manque de moyens financiers empêche les producteurs de payer les engrais minéraux. Il est possible d’adopter une technologie à faible cout pouvant améliorer la fertilité du sol et le rendement de cultures. Le système en bande alternée (4 rangs de mil et 4 rangs de niébé) est une solution au problème de faible fertilité du sol et de productivité de cultures. -
Gestion de l'eau et décentralisation au Niger : cas de la mare de Tashi (Bonkoukou et Filingué)
La gestion de ressources limitées d’eau mais d’accès libre, telles que les mares, offre sans aucun doute les cas d’exemples de plus forts cumuls de problèmes de gouvernance territoriale en milieux semi-arides sahéliens. C’est que par la forte attraction qu’ils y exercent, les plans d’eau de surface (mares, retenues, lacs, etc.) polarisent plusieurs territoires enchâssés et à géométries variables selon les saisons. Leur exploitation met ainsi en compétition des groupes d’origines diverses et de statuts bien différents. La gestion de l’eau au Sahel est de ce fait un défi permanent auquel il faut faire face par des dispositifs adaptés à chaque territoire. -
Alerte sur la présence de la cuscute sur les cultures de contre-saison au Niger
Lors d’une visite sur le périmètre irrigué de Konni, nous avons remarqué la présence d’une plante parasite dénommée « cuscute » sur certaines espèces végétales. Après des échanges avec le producteur et ses voisins, il est apparu que ces derniers connaissent bien cette plante et l’ont d’ailleurs surnommée « sarka », mot haoussa qui veut dire « chaîne », du fait qu’elle étrangle les tiges des plantes attaquées et qu’elle est dépourvue de racines. Ils ont expliqué que cette plante est d’apparition récente et qu’elle a d’abord été observée sur la dolique (une culture très répandue sur le périmètre en contre-saison). -
Diagnostic sur les contraintes environnementales en relation avec la variabilité et changement climatiques dans les zones d’intervention du projet DIVANI-Résilience (Tillabéry et Zinder)
Cette étude rentre dans le cadre des activités du projet de diffusion des nouvelles variétés de niébé pour accroitre la résilience des producteurs au changement climatique dans les régions de Tillabéry et Zinder au Niger. Ce projet financé par le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO) sur les fonds compétitifs octroyés par la Banque Mondiale et l’Etat du Niger. Le projet est mis en œuvre par l’ONG Comité d’Appui au Développement Local (CADEL). -
Application à la volée de l'engrais phosphaté soluble ou naturel sur les cultures pluviales
Cette fiche technique édifie de manière synthétique les objectifs de la fertilisation minérale et ensuite les performances de son usage. -
Rapport technique d'activités
Le Conseil National de la Recherche Agronomique se réunit deux fois par an en session ordinaire. Il peut se réunir en session extraordinaire sur convocation de son Président. Ses délibérations sont soumises au Gouvernement pour approbation. Le CNRA est assisté dans son fonctionnement par un Secrétariat Permanent qui est chargé d’exécuter ses décisions, de veiller au bon fonctionnement de l’ensemble du système de recherche Agronomique, d’assurer la coordination des actions, le suivi et la mise en œuvre du plan stratégique des projets et programme de la recherche. -
Projet de Recherche-Développement pour la Sécurité alimentaire et l'adaptation au changement climatique : rapport de la revue interne
L’objectif global de cette revue interne est de montrer et mesurer les changements opérés du fait des actions du projet REDSAACC à travers l’évaluation des effets/impacts de la mise en œuvre de l’approche du projet dans le transfert des technologies et le partage des innovations locales pour une adaptation des systèmes de production agricole aux changements climatiques. -
Champ école paysan, une approche participative pour l'amélioration du rendement du Niébé : résultats d'expériences pilotes conduites dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
En vue de favoriser les interactions entre groupes de producteurs pour résoudre les problèmes de production et diffuser les technologies éprouvées, en culture du niébé, trente champs écoles ont été misen place de 2013 à 2014 au centre sud du Niger avec 600 producteurs dans les départements de GuidanRoumdji, Madarounfa, Magarria, Tanout et la commune de Droum. La fumure organique (5tha-1) et l’engrais minéral NPK, 15 - 15 - 15 (60kg ha-1). Et la combinaison des deux ont été appliqués pour améliorer la fertilité des sols. La protection des cultures contre les ravageurs a été assurée par des extraits aqueux de graines de neem (Azadirecta indica) appuyé par certains composés chimiques. Pour les essais variétaux, le rendement moyen en grains le plus important (1074 kg ha-1) a été obtenu avec la variété améliorée IT90K 372 - 1- 2 sur les deux années d’essais. Les génotypes IT99K 573 - 1 - 1 ; IT89KD 374 - 57 ; TN 5 -78 ; IT97 K 499 - 38 ; KVX 30 - 309 - 6G ont donné des rendements moyens (entre 649 et 812 kg ha-1). -
Étude du comportement du palmier-dattier au Niger : Bonkoukou, Dallol Bosso
C'est en 1973 que fut creee au sud de Fillingué une station en vue d'étudier le comportement des dattiers du Niger dans leur limite sud de culture. Cette station est située dans un dallol (ancien lit d'oued) au niveau de l'isohyète 450 mm, sur des sols sableux à sablo-argileux. La nappe phréatique est facilement accessible et se trouve située entre 3 et 5 m de profondeur. -
Le mil et le sorgho, une alternative de l'utilisation du maïs dans les aliments des poules pondeuses au Niger, Afrique de l'Ouest
L’objectif de l’étude était de déterminer les effets des aliments contenant le maïs, le mil ou le sorgho sur les performances de production et la qualité des œufs des poules pondeuses. 120 poules de souche Harco âgées de 19 semaines ont été utilisées pendant trois mois de ponte. Les poules ont été réparties dans 20 lots avec 6 poules par lot à la ferme avicole Guidan Gona de Maradi. L’aliment témoin était à base de maïs comme source d’énergie. La farine de poisson et le tourteau d’arachide ont été les principales sources de protéine. Le mil et le sorgho ont été utilisés pour remplacer uniquement le maïs sur la base kg/kg dans les aliments. Les traitements étaient ainsi : 1) Témoin (100% maïs) ; 2) 50% maïs + 50% mil; 3) 50% maïs +50% sorgho; 4) 100% mil et 5) 100% sorgho. Les 5 aliments (traitements) ont été répartis de manière aléatoire dans les 20 lots avec 4 répétitions par aliment. Les paramètres suivis étaient le taux de ponte, l’ingestion alimentaire, l’indice de consommation, le coût des aliments, le poids des œufs et la coloration du jaune d’œufs. Les résultats ont montré que le taux de ponte n’a pas été statistiquement influencé (P > 5%) par le type de céréale ou leur combinaison. Les autres paramètres ont été statistiquement influencés (P <5%). -
Écologie de l'espèce Acacia senegal et conséquences sur la productivité en gomme dans diverses conditions stationnelles des gommeraies naturelles de Kodjimeri et Nguel Kolo (Région de Diffa, République du Niger)
Le présent travail porte sur l'écologie de l'espèce Acacia senegal dans diverses conditions stationneIles des gommeraies naturelles de Kodjimeri et Nguel Kolo et ses conséquences sur la productivité en gomme. Cette étude est conduite dans deux zones climatiques différentes suivant le gradient pluviométrique. L'étude a pour objectifs d'une part de caractériser les deux peuplements du point de vue état, organisation et d'autre part, de caractériser les paramètres édaphiques et climatiques prévalant dans ces deux zones pour enfin dégager leur influence sur la productivité en gomme. -
De nouvelles attaques sur le riz dans les périmètres irrigués le long du fleuve Niger : des vers de terre incriminés
Si pour la majorité des agronomes les vers de terre sont des animaux bénéfiques pour les sols et les plantes, il existe plusieurs espèces de vers de terre qui sont impliquées dans de attaques du riz dans certaines régions du monde comme l’Australie, l’Inde, les Philippines et l’Afrique du Sud. L’espèce la plus impliquée dans ce genre d’attaques appartient au genre Eukerria. Mais il semble que ces vers sont incapables de se nourrir directement sur les plants de riz, car elles n’ont pas de pièces buccales masticatrices. -
Note de préparation de l'émission radio : Plantation et entretien des manguiers au Niger
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa. -
Champ école paysan
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Gonar gwadi
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Cawkey kunda
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Amélioration participative des céréales et légumineuses et conservation de l'agro-biodiversité au Niger
L'agriculture est apparue au néolithique, il y a près de dix mille ans (Hawkes, 1983). Sur près de 250.000 espèces végétales répertoriées dans le monde, dont environ 30.000 comestibles, seules quelques 7.000 sont utilisées pour l'alimentation humaine (FAO, 2001). Entre 150 et 230 seulement de ces espèces sont cultivées (Simmonds, 1988 ; FAO, 2001). Plus de 75% de la population mondiale (estimée à 6 milliards en 2006) doivent leur pitance à moins d'une dizaine de cultures (blé, riz, maïs, sorgho, mil, pomme de terre). Ces données illustrent gravement au besoin l'étroitesse de la base génétique sur laquelle repose le sort alimentaire de l'humanité. Conséquence d'une agriculture industrielle, imposée par le libéralisme économique international, basé exclusivement sur 1e profit et privilégiant l'uniformité à 1a diversité des cultures, cette situation pourrait à terme porter préjudice à la sécurité alimentaire mondiale. Si cette sélection outrancière se maintenait et dans l'hypothèse que l'importante diversité des ressources inutilisées est vouée à l'indifférence humaine, voire à la disparition dans un environnement écologique planétaire sérieusement perturbé, rien n'empêcherait de projeter à juste titre un avenir alimentaire peu rassurant pour le monde. -
Les méthodes de conservations et de lutte contre les ravageurs de stock du mil et du sorgho à Tahoua et Maradi, Niger
Au Niger, le sorgho et le mil représentent les deux (2) céréales les plus importantes en termes de superficie cultivées et de productions. Les effets combinés des contraintes biotiques et abiotiques entrainent des pertes post-récoltes. Une étude a été conduite pour évaluer les connaissances des producteurs sur les ravageurs et les méthodes de lutte lors de la conservation. -
Fiche Technique pour la variété de niébé Dan Hadjia
Cette nouvelle variété de niébé est déjà disponible au niveau de plusieurs multiplicateurs de semences principalement dans la région de Maradi, mais aussi dans celles de Zinder et Dosso (Annuaire National 2020 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger / MAGEL). -
Document du formateur : la protection de la tomate
La gestion intégrée des ravageurs et maladies est un système de lutte qui emploie toutes les techniques et méthodes appropriées pour maintenir la population des ravageurs à des niveaux limitant les dommages : utilisation de variétés résistantes/tolérantes, pratiques de culture appropriées et application rationnelle de pesticides (en mettant l’accent sur les pesticides biologiques). -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraichères au Niger : protection de la tomate (module de formation)
Le développement des cultures irriguées à la fois en termes d’espaces mais également en termes de périodes de production entraine une augmentation de la pression des ravageurs et maladies. A cela s’ajoute l’apparition de nouveaux ravageurs. Le manque de connaissances des producteurs maraîchers sur les ravageurs et maladies des cultures ainsi que sur les différentes méthodes de lutte entraine des pertes très importantes et une utilisation abusive et/ou inappropriée des pesticides chimiques. -
Note sur la teigne du chou (Plutella xylostella)
La Teigne des choux ou Plutella sont le nom d’un très petit papillon (un peu plus gros qu’un moustique, photo1) dont la chenille est le plus grand ravageur des choux au Niger. Cet insecte est présent durant toute l’année, sur toute l’étendue du territoire mais il est surtout présent pendant les périodes chaudes, entre mars et mai. Il peut dévaster toutes les cultures de choux. -
Lexique illustré de quelques plantes du Niger
Le développement durable, la gestion durable des ressources naturelles, etc. sont actuellement des notions courantes dont l’application passe par un minimum de connaissances des espèces végétales. Les agents du développement rural notamment les services techniques de l’Etat, les ONG et parfois les scientifiques (nationaux ou d’autres pays) qui interviennent sur la diversité biologique éprouvent le besoin d’identifier les espèces qu’ils rencontrent. Mais très souvent ils manquent d’outil pratique de cette identification Devant les nombreuses demandes émanant d’organismes ou de personnes intéressés, l’Institut National de Recherches Agronomiques du Niger a assuré la 2e réédition du lexique des plantes du Niger de M. PEYRE de FABREGUES. Du fait des légères modifications apportées, il est intitulé lexique illustré de quelques plantes du Niger (3e édition). -
Fondey kai i ga hima ka gana ka haamo alambaana dumiize hanney zaadandi nizeer laabo ra
Dumize zaadandiyaiJ wo goy no kaiJ ga naiJ alfarey duura ma tonton farmo do hare. Dumi kaiJ i mana goy, goyyaiJ hanno wala nongu kaiJ i mana soola, dumo din fattayaiJo gonda karha gumo ; a ga ganji alfaro ma du nafaa kaiJ a miile. Alfarey kulu ma du ga nafa nda dumi Alambaaney se no, INRAN saruuso nda laabo gaakasinayko yaiJ go ga gurjay alfarey baafuna ma boori, me-IJWaaro ma du ka ba gumo. INRAN saruuso no ga haggoy nda kuray nda farmi bol) ceeciceeciyaiJey Nizeer laabo ra. INTSORMIL mo, AMILKA laabo saruusi no kaiJ go ga INRAN gaakasinay a ma ceeci-ceeciyal) te hayni nda haamo dumey boiJ. WINROCK mo, sata no kaiJ ga alfari hina buuney gaakasinay i ma du meIJWaari wasante nda arzaka. -
Manuel de production de semence de qualité du niébé
Ce document est écrit pour servir de guide à la production de semences du niébé. Il décrit les procédures à observer depuis le terrain jusqu’au magasin afin d’obtenir de bon rendement mais aussi les semences de bonne qualité. -
Consortium Santé du Sol Niger (NiSHC)
Le consortium santé du sol est une initiative financée par l'Alliance pour la Révolution Verte en Afrique (AGRA) qui concerne 5 pays de l'Afrique de l'Ouest qui sont le Burkina Faso, le Ghana, le Mali, le Niger, et le Nigeria. Ces pays connaissent en effet des difficultés pour l'amélioration de la production agricole. Le consortium regroupe tous les intervenants dans le cadre de la Gestion Intégrée de la Fertilité du Sol (GIFS ou ISFM « anglais ») à des fins de production agricole. A savoir les institutions de recherche, de vulgarisation, les décideurs politiques, les institutions de développements (projets et ONGs), les organisations paysannes, les fournisseurs d'intrants, les institutions financières et les· media ... -
Agronomie Générale : synthèse des résultats campagne 1986
Cette réunion était une occasion pour les chercheurs de la Section Agronomie Générale (A.G.) et leurs collaborateurs dans d'autres sections ou départements de discuter les résultats préliminaires de 1986 et le programme de recherches pour la campagne en cours. Elle a aussi permis aux participants de réfléchir sur les moyens de coordonner les recherches en agronomie générale afin d'en tirer le maximum de bénéfice tout en évitant la duplication d'efforts. -
Champs école paysan (CEP)
Le Champ école paysan (CEP) représente un groupe de 20 à 25
personnes se réunissant une fois par semaine pour cultiver une
parcelle de formation tout au long d’une saison de culture et
apprendre ensemble à résoudre des problèmes de production.
• Le principe est de conduire une culture saine, d’observer toutes les interactions autour de la plante, d’identifier les potentialité les contraintes, d’expérimenter des solutions et de choisirl’itinéraire technique le plus prometteur et le plus adapté au contexte du producteur et de la productrice.
• Le CEP facilite l’intégration de techniques en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et des productrices, et des ressources naturelles accessibles. Le CEP permet d’apprendre à raisonner. -
Le dépérissement des agrumes : Niger
Depuis un certain temps, on constate un dépérissement des agrumes (oranger, tangelo, pamplemoussier) qui entraîne souvent la mort des arbres dans la plupart des vergers au Niger. Les plants d’âge supérieur à 4 ans sont particulièrement affectés. Des visites effectuées dans plusieurs vergers ont permis de noter qu’en moyenne 60 % des vergers sont touchés par la maladie. -
Gestion multi-usage, socialement et écologiquement durable des écosystèmes forestiers nigériens : Colloque international sur la« gestion des ressources forestières des territoires périurbains et changement climatique » Niamey (Niger) du 31 octobre au 2 novembre 2017
Les formations forestières du Niger sont soumises
à de nombreuses contraintes qui mettent en péril
leur pérennité. Les causes ont été identifiées de longue date, à savoir :
• les problèmes climatiques (sécheresses),
• les facteurs humains (les défrichements anarchiques de l’agriculture
• le surpâturage et les prélèvements incontrôlés du bois pour les besoins du milieu rural et urbain -
Amélioration de la productivité et valorisation du sésame (sesamum indicum L) au Niger
L'objectif général de cette étude est de contribuer à l’amélioration des revenus et la sécurité alimentaire des ménages ruraux dans un contexte de variabilité climatique. -
La pratique de l’embouche ovine : un choix de rations alimentaires
Cette note d’information présente, d’une manière générale, la pratique de l’embouche au Niger. L’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a travaillé sur un projet d’amélioration de l’alimentation des animaux avec l’appui du PPAAO. Pour réussir l’embouche, il y a un certain nombre de facteurs à prendre en compte. -
Techniques de production du moringa
Moringa oleifera est une plante originaire du sous-continent indien. De là, il s’est propagé dans toutes les zones tropicales et subtropicales du monde. Il s’agit d’un arbre à usages multiples qui attire de plus en plus l’attention des populations tant rurales que citadines. En effet, toutes ses parties sont utilisées pour leurs propriétés nutritionnelles et pharmacologiques. Il peut aussi être utilisé dans l’artisanat et pour la purification de l’eau de boisson. Le moringa peut également jouer un rôle important dans la conservation des sols et de l'eau et dans l'atténuation des effets du changement climatique. Il génère des revenus importants pour les producteurs et sa commercialisation à grande échelle lui fait jouer un rôle économique croissant (Bibata et al., 2023). -
Valoriser les produits pour mieux les conserver : structure et fonctionnement des filières gomme arabique au Niger
L’intervention du projet de gestion forestière communale et communautaire (GESFORCOM) vise à définir la stratégie de développement de la filière gomme dans le cadre de l’élaboration d’un schéma d’aménagement forestier (SAF) qui constitue l’une des bases contractuelles de ce projet. Le présent article s’attache à retracer l’organisation et le fonctionnement de la filière à Torodi, en vue de dégager les contraintes et opportunités pour un développement durable, capable d’impulser une nouvelle dynamique dans l’exploitation des ressources naturelles au Niger. -
Kwari masu cuta ma wake da masu taimaka mishi
Poster sur les ravageurs du niébé.