L’oignon est une des principales cultures irriguées dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis (Goulbi Maradi et Goulbi Kaba) et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données de 2015 du Ministère de l’Agriculture, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34.200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. La surface moyenne par producteurs est d’environ 1.200 m2 et le rendement moyen est évalué à 20 tonnes/ha (conseil de gestion aux exploitations 2017).
L’objectif de cette étude est de comprendre les fonctionnements du marché de produits frais dans la ville de Maradi. Cela en faveur de la production aisée des cultures maraichères du milieu et des modes du commerce qui existent. Pour se faire, les Chambres Régionales d’Agriculture (CRA) du Niger dans leur Rôle et leur collaboration avec des projets en faveur des paysans (producteurs et commerçants), donne aussi en particulier le plus de leurs potentielles pour le développement des marchés.
Le présent article tente de développer une méthodologie et de démontrer le potentiel en fourrage ligneux aérien produit dans les parcelles agricoles grâce à la RNA. L’article décrit une méthodologie originale à partir des résultats de recherche sur la RNA et intègre celle-ci dans le bilan fourrager défini par le ministère de l’élevage. La méthodologie développée pourrait mettre en évidence un accroissement des bilans. Toutefois, nombreuses sont les hypothèses qui ont mené à la réalisation de la méthode de travail. Celles-ci mériteraient d’être explorées et confrontées plus amplement aux réalités du terrain afin de les confirmer ou infirmer.
La présente étude dite ″Etude Sahélienne″ cherche à identifier les changements par suite de l’intervention des projets dits de gestion des ressources naturelles ou de récupération des terres. Pour notre part, il s’agit d’appréhender le changement de la fertilité des sols des terroirs d’étude selon la perception des producteurs. Elle s’est déroulée dans les régions de Tillabéri, Tahoua et Maradi