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Comment l'utilisation des technologies de l'information transforment-elles les dispositifs de conseil ?
Une enquête auprès des 17 16 services au Burkina -FasoLe Groupement Inter-réseaux Développement Rural – IRAM – CERFRANCE – CIRAD a été mobilisé par l’Agence Française de Développement (AFD) pour engager une réflexion sur le conseil agricole. Ce processus s’inscrit dans le cadre de la formulation d’une stratégie qui guidera l’AFD dans le dialogue avec les pays partenaires et dans les réflexions internationales sur le conseil agricole. C’est dans ce contexte que le CIRAD a été mandaté pour la réalisation de la présente fiche de capitalisation. -
Comment l'utilisation des technologies de l'information et de la communication transforme-t-elle les dispositifs de conseil? Une enquête auprès de seize (16) services au Burkina Faso
Depuis une dizaine d’années, les termes « E-Agriculture », « ICT4Ag » ou « M-Agri » sont de plus en plus fréquemment utilisés pour rendre compte de l’utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) – et notamment les téléphones portables – dans le secteur agricole. Ces concepts se sont fortement popularisés suite à une étude conduite par la FAO en 2006 et à la création de sites internet permettant l’échange au sein de communautés de pratiques1. Des études recensant les initiatives en la matière dans les pays du Sud soulignent le potentiel de ces technologies, couvrant un champ très large allant au-delà de la fourniture d’informations aux agriculteurs : services financiers, automatisation de tâches, traçabilité et sécurité alimentaire, gestion des risques, gestion des ressources collectives … (voir par exemple FAO, 2013 ; FAO, 2015 ; World Bank, 2012 ; World Bank, 2017). -
La capitalisation d’expériences à l’épreuve de la pratique au Niger et au Burkina Faso
De 2009 à 2013, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a mis en œuvre le projet « Capitalisation des bonnes pratiques en appui à la production agricole et à la sécurité alimentaire » au Niger et au Burkina Faso dans le cadre du Programme de Partenariat FAO-Belgique « Gestion des connaissances et genre ». Au cours de ces quatre années et demi, le projet «Capitalisation» a testé et adapté des méthodologies développées par plusieurs organisations en vue de capitaliser les expériences en matière de gestion des intrants agricoles et d’en dégager des bonnes pratiques. Ces méthodologies de capitalisation reposent sur un processus d’apprentissage participatif qui a fait appel à la collaboration de nombreux partenaires. Au sein de ce projet, les thématiques visées par la capitalisation ont porté sur la gestion des intrants agricoles, le genre ainsi que les méthodologies participatives pour la capitalisation d’expériences.