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Point de situation de la pisciculture intensive ou semi-intensive le long du fleuve Niger / Décembre 2014
La Fédération Nationale des Groupements des pêcheurs du Niger (FNGPN) a été créée le 14 Février 2004 par Arrêté n° 041/MI/DGAPJ/DLP. Son siège social est à Niamey. Elle compte actuellement 1.890 membres répartis dans 63 groupements situés dans 7 Régions du pays. Face à la désertification et à l’ensablement du fleuve, la Fédération a recommandé à ses membres de s’engager dans la pisciculture afin de compenser la diminution des revenus de la pêche et ainsi subvenir aux besoins de la famille. La production de poissons au Niger est estimée entre 40.000 et 50.000 tonnes par an, en fonction des documents, dont la majorité provient du Lac Tchad avec une commercialisation essentiellement sous forme fumée en direction du Nigeria. -
Note d’information sur le développement de la pisciculture à Maradi
La pisciculture se développe de plus en plus à Maradi, en emboitant le pas à Niamey et Dosso, et surtout à la suite de l’essor croissant de cette activité au Nigeria voisin. Depuis quelque temps, le service de l’Environnement s’intéresse à cette activité effectuée par des particuliers ou des groupements dans leurs jardins. -
Pisciculture en zone tropicale
Ce document de vulgarisation et de formation traite de la pisciculture en milieu tropical, plus spécialement en Afrique de l’Ouest. Il tente de donner au lecteur des notions sur tout ce qui pourrait le concerner dans l’exercice de sa fonction de pisciculteur, vulgarisateur ou formateur. Il comprend une description des différentes étapes qui aboutissent à la production des principales espèces de poissons dans ces régions y compris la construction des étangs et l’étude du comportement des poissons (éthologie). -
La pisciculture en eau douce à petite échelle
Ce présent guide a pour objectif de fournir des informations de base sur la
mise en place d’une installation piscicole à petite échelle en vue de satisfaire les besoins quotidiens en protéines. -
La pisciculture de la carpe en rizière
Connaissez-vous un moyen simple et efficace de produire du poisson sans investissement couteux ? Il s’agit de la pisciculture en rizière, appelée aussi rizipisciculture. Cette pratique agro écologique permet de valoriser vos ressources en eau et vos rizières en produisant du poisson en même temps que le riz. Les bas-fonds rizicoles des Hauts Plateaux malgaches sont particulièrement propices au développement de la rizipisciculture qui peut concerner des dizaines de milliers d’exploitations agricole familiales. Cette bande dessinée permet de mieux faire connaitre auprès des jeunes ruraux le grossissement de la carpe en rizière qui jouent déjà un rôle important dans la sécurité alimentaire et la consolidation du revenu agricole des ménages. Essayez !! Et vous verrez !! -
Interactions du genre, de la biodiversité agricole et des savoirs locaux au service de la sécurité alimentaire - manuel de formation
Ce manuel de formation représente un guide conceptuel
pour les formateurs qui peut être utilisé pour les guider dans les questions de genre et de savoirs locaux qui sont des éléments importants pour la gestion de la biodiversité agricole et la sécurité alimentaire -
La pisciculture de subsistance en étangs en Afrique : Manuel technique
Manuel de pisciculture, ayant pour objectif d’apporter les éléments indispensables pour la mise en place de production de protéines animales « poisson » à moindre coût, en relation avec les ressources naturelles existantes et avec un minimum d’apports externes, dans un contexte de subsistance -
Cours de pêche et pisciculture
Comme la plupart des animaux, les poissons ont un corps qui comprend la tête, le tronc et les membres. Le corps a en général,une forme allongée. La tête, le tronc et la queue se suivent sans séparation, ce qui permet au poisson de glisser facilement dans l'eau. Les membres sont des nageoires. -
Guide sur les méthodes de planification pour la gestion et la conservation des ressources naturelles
Ce guide a pour objectif de lutter contre la dégradation des terres en milieu rural, qui s'accentue sous l'effet des activités de production agricoles usurpatrices de ressources, notamment le surpâturage et la surexploitation des terres. Ainsi, il va permettre une gestion adéquate des ressources naturelles à l'initiative des populations en mettant en application des techniques destinées à assurer une production agricole durable en fonction des spécificités naturelles et sociales de la région. -
Quatrième Rapport National sur la Diversité Biologique
Dans le cadre de la mise en œuvre de la Convention sur la Diversité Biologique qu'il a ratifiée en Juillet 1995, le Niger a élaboré sa Stratégie Nationale et son Plan d'Actions en matière de Diversité Biologique (SNPA/DB), conformément aux dispositions de l'article 6 de ladite Convention. La stratégie nationale et le plan d'actions ainsi élaborés s'intègrent au Plan National de l'Environnement pour un Développement Durable (PNEDD) et constituent un de ses programmes majeurs. En vertu de l’article 26 de la Convention sur la Diversité Biologique, les Parties à la Convention sur la Diversité Biologique sont requises de présenter régulièrement un rapport à la Conférence des Parties. Le présent rapport qui est le quatrième du genre, a été préparé conformément aux règles prévues dans le paragraphe 3 de la décision VI/25 et en se basant sur les lignes directrices relatives à l’établissement des rapports nationaux adoptées par la Conférence des Parties au paragraphe 2 de sa décision V/19. -
La biodiversité au quotidien : le développement durable à l'épreuve des faits
La biodiversité est à la mode. Qui n’a pas ressenti de l’émotion devant le spectacle désolant d’une nature ravagée par les hommes ou les éléments naturels. Ou à l’occasion de reportages qui nous font vivre les derniers moments d’espèces en voie de disparition. Telle qu’elle nous est le plus souvent présentée, la biodiversité est ainsi la victime innocente de l’espèce humaine qui pille, ravage, détruit les écosystèmes et les ressources naturelles. Du moins, tel est le discours un peu réducteur de nombreuses ONG de protection de la nature, relayé par certains scientifiques acquis à leur cause. Et ce discours n’est pas entièrement faux. Pourtant, dans la vie quotidienne, la diversité biologique ne se résume pas à cette vision manichéenne du monde. Nous entretenons avec elle d’étroites relations faites d’amour mais aussi d’intérêts bien compris, voire d’hostilité déclarée. Car la victime innocente a aussi les moyens de nous nuire et de se défendre ; mais ces autres visages de la biodiversité restent le plus souvent dans l’ombre. Nous allons, dans cet ouvrage, essayer de sortir de la logique « biodiversité victime » et tenter d’ouvrir quelques portes, au risque — assumé — d’aller à l’encontre des idées dominantes. Car cet ouvrage n’est pas un nouveau manuel académique. Il s’agit du regard que je porte, en tant que scientifique, sur une thématique à laquelle j’ai consacré une partie de mon activité professionnelle. -
La pisciculture hors sol
La pisciculture est une des branches de l'aquaculture qui désigne l'élevage des poissons en eaux douces, saumâtres ou salées. La pisciculture a été inventée en Chine, le premier traité de pisciculture y fut écrit par Fan Li en 473 AV JC. -
Définition et diverses perceptions de la biodiversité
Le terme «biodiversité», contraction de «biologie al diversity», est proposé en 1988 par Wilson (Wilson et Peter, 1 988). Il fait référence à la variété des organismes vivants quelle que soit leur milieu d'origine et prend en compte les diversités intraspécifique, interspécifique et fonctionnelle. Il s'agit d'analyser, à différentes échelles, les relations entre les changements d'origine naturelle ou anthropique de l'environnement et les variations des diversités et d'en comprendre les déterminants écologiques. Il s'agit aussi d'analyser les problèmes de conservation d'espèces rares ou menacées et de proposer des solutions. -
Alimentation des poissons à partir des produits locaux
L’activité piscicole se développe davantage dans plusieurs régions d’Afrique, car la rareté du poisson dans les milieux naturels se fait de plus en plus ressentir. Au Bénin, le développement de la pisciculture voit émerger de nouveaux pisciculteurs afin de répondre aux beso ins de la population en termes de disponibilité de protéines animales et notamment ceux des poissons. Ces nouveaux pisciculteurs sont cependant encore peu nombreux et concentrés dans le sud du pays. De plus, leurs activités piscicoles sont confrontées aux coûts élevés de l’alimentation, car elles sont basées sur l’utilisation exclusive de la provende importée. -
Intégration Maraichage Pisciculture (IMP)
L’accès à une alimentation diversifiée à tout moment, basée sur la disponibilité et l’accessibilité des denrées alimentaires pour les ménages, est un droit universel pour tous. Cette alimentation nécessite une combinaison de trois catégories d’aliments dans l’assiette : les aliments de fonctionnements (légumes, feuilles et fruits), de croissances (noix, graines, légumineuses et protéines animales) et de forces (céréales, racines, tubercules, huiles et graisses). Cependant, nombreuses sont encore les personnes pour qui cette combinaison d’aliment n’est pas aisé toute l’année, notamment en saison sèche ou les denrées alimentaires se font rares et le manque de moyens ne permet pas d’y avoir facilement accès. -
Des infrastructures piscicoles simples et peu couteuses : pour une Intégration Maraichage Pisciculture
L’alimentation, basée sur la disponibilité et l’accessibilité aux denrées alimentaires pour les ménages, nécessite une combinaison de différents types d’aliments. AMSANA a dans ce cadre accompagné le maraîchage de
saison sèche afin de faciliter la diversification de la nourriture en période soudure, en complétant les cultures
maraîchères par la production de poissons. -
Un exemple d’exploitation intégrée maraichage - pisciculture
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif dénommé Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP, l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre autant que possible l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. -
Visite de la ferme d’un promoteur à Takalmaoua particularité du site : arboriculture, pisciculture, maraichage et élevage
Le site de ce promoteur est situé dans la vallée de Takalmaoua sous les coordonnées géographiques N14°58’01.31’’ E05°18’07.14’’, à 10 km au Nord-Est de la ville de Tahoua. Il a été créé en 2013 par un privé passionné d’agriculture, descendant d’un pisciculteur de Gaya. Les investissements réalisés sont financés sur fonds propres de l’exploitant. Le site couvre une superficie de plus de 8 hectares, le promoteur a recruté six (6) ouvriers permanents qui vivent jours et nuit dans cette exploitation, il emploie également plus de 10 personnes en main d’œuvre temporaire qui sont mobilisées en cas de besoin pendant les travaux de préparation du sol, le repiquage, le sarclage et la récolte. Cette exploitation comporte différents systèmes de culture :
- L’arboriculture fruitière (manguiers, agrumes, goyaviers, dattiers, papayers, etc.) ;
- Le maraichage (tomate, poivron, oignon, ail, pastèque et moringa) ;
- Pisciculture (carpe, capitaine, silure) ;
- Élevage (bovins, ovins, caprins, lapins, poules, pigeons, canards). -
Guide pratique d'analyse financière d'une entreprise agricole : théorie et application à la pisciculture
Le document traite de l’analyse financière de l’entreprise agricole ou agroalimentaire. Il aborde l’analyse financière dans sa vision rétrospective et dans sa vision prévisionnelle. Dans le premier cas, deux principales méthodes ont été développées à savoir la méthode des marges ou l’approche budget d’entreprise (incluant les charges opérationnelles, les charges de structure, les charges directes et indirectes, les marges brute et nette, et le profit) et la méthode des résultats d’exploitation (consommations intermédiaires, valeur ajoutée, Résultat brut d’exploitation, résultat net d’exploitation). L'analyse financière prévisionnelle concerne les investissements, c’est-à-dire des activités ou des projets que l’on prévoit faire dans le futur. Dans ce cas, le document présente les techniques pratiques de réalisation des comptes (de trésorerie, de production, d’exploitation, etc.) ainsi que les indicateurs d’appréciation des projets tels que la valeur actualisée nette (VAN), le taux de rentabilité interne (TRI), le délai de récupération, le ratio bénéfice/coût, l’indice de rentabilité et le taux d’enrichissement relatif. -
Techniques d'élevage de carpes
Pour produire des carpes (alevins, poissons de consommation ou géniteurs), il faut
réaliser les travaux par étape et dans un certain ordre. Avant de les détailler dans ce chapitre, les principales étapes sont expliquées brièvement. Avant de commencer la construction d'une
ferme piscicole propice à l'élevage de carpes en milieu rural, il faut identifier un site. Rappelons que l'identification du site est un facteur clé pour la réussite de tout élevage de poissons. Notons que l'élevage de carpes est également appelé carpiculture. -
Gestion de la biodiversité
Etymologiquement, le mot biodiversité est composé du préfixe « Bio » qui signifie la vie et du suffixe « diversité » qui désigne la variété. La biodiversité ou la diversité biologique est donc la variété incroyable des êtres vivants dans la nature et comment ils interagissent les uns avec les autres (Ainsworth et al, 2013). En d’autres termes, la biodiversité est la variabilité des organismes vivants et des complexes écologiques dont ils font partie, y compris la diversité au sein des espèces (diversité génétique), entre espèces (diversité spécifique) et des écosystèmes (diversité des milieux).