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La lutte contre la pourriture blanche et sèche -- Fusarium oxysporum
Cette affiche présente les symptômes de la maladie "Fusarium oxysporium"et les méthodes de luttes appropriées -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Ce manuel a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation.
Il est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des compétences des producteurs dans le domaine de la PI. Il donne aux fmateurs des références théoriques et pratiques pour mettre en oeuvre des actions de formations. LE MANUEL Structuré autour des dix module dont (6 sur les maladies , les ravageurs et les actions de lutte; et 4 autres sur :
la gestion des nématodes parasites des cultures . -
Utilisation des pesticides - gestion intégrée des ennemis des cultures
Utilisation des pesticides - gestion intégrée des ennemis des cultures -
Protégeons nos enfants des pesticides -- Guide visuel d’animation
Ce guide visuel présente comment réduire l’exposition des enfants aux pesticides; comment identifierque les enfants sont exposés aux pesticides, la description des effets négatifs des pesticides sur la santé et pourquoi les enfants sont plus exposés; il aborde aussi ce qu'il faut faire pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides .
Il aide à partager l’information au sein de la communauté pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides. -
Bonnes pratiques avant le traitement : Traiter ou ne pas traiter ?
Une pluie qui survient après le traitement d'une surface peu ou pas perméable peut avoir des conséquences graves sur la contamination des eaux superficielles (entraînement des substances actives vers le réseau d'eau pluviale par exemple). C 'est essentiellement le désherbage qui représente le plus gros facteur de risque. -
Comment lutter contre le Striga et les foreurs de tige du maïs ?
Cette fiche technique offre quelques conseils pour lutter contre le striga -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce document décrit la tomate (Lycopersicon esculentum), les itinéraires techniques de sa production et conditionnement au Sénégal et la gestion des ennemis de cette cultures -
Lutter contre la mineuse de l’épi du mil sans pesticides, c’est possible !
Tous les producteurs du Niger redoutent le ravageur du mil qui est appelé en français la chenille mineuse de l’épi, en Haoussa murzouna et en Zarma guéri-guéri. Cette chenille s’attaque au mil quand les chandelles sont sorties et que les producteurs espèrent une bonne récolte. Elle
est capable de détruire une bonne partie de la récolte ou même de la totalité.
Les années où cette chenille s’attaque au mil, elle peut être présente dans tous les champs d’un terroir et il est impossible de la traiter en utilisant des pesticides. Mais il existe un autre moyen de lutter contre la mineuse de l’épi.
Nous allons partager avec vous l’expérience de l’élevage d’un de ses plus redoutables ennemis qui se nomme Habrobracon. -
La chenille légionnaire du maïs Spodoptera frugiperda
En 2016, une nouvelle chenille est arrivée en Afrique. Elle s’est répandue dans de très nombreux pays (Nigeria, Bénin, Togo, Afrique du Sud, etc.) où elle a fait des dégâts très importants sur le maïs. Cette chenille est appelée chenille du maïs et a pour nom scientifique Spodoptera frugiperda. Elle a été trouvée pour la première fois sur le maïs en novembre 2016 à Torodi et à Maradi. Depuis, elle se trouve dans toutes les régions du Niger. Encore plus grave, cette chenille a attaqué le mil en saison des pluies à Maradi (plusieurs milliers d’hectares) mais aussi à Torodi. Elle est donc un véritable danger potentiel pour les cultures céréalières et il faut la connaître pour pouvoir lutter contre elle. -
Tsutsar masara da ake cema da turanci : Spodoptera frugiperda
A shekara ta 2016, wata sabuwar tsutsa ta bayana a kasar africa,wanan tsutsar.ta.mamaye.kasashen.africa da dama kamar su nigeria,benin,togo,africa ta kudu da sauran su ; tsutsar masara.spodoptera frugiperda tayi banna sosai a cikin gonankan masara. Wannan tsutsar masara ana.ce mata spodoptera frugiperda a turance,an ganota ne a karon farko jikin masara a garin torrodi.da maradi shekara ta 2016 ;tun daga wanan lokaci sai ta bazu a dukan fadin kasa. Abun.al’ajabi wanan tsutsar bata tsaya ga masara kadai ba, a lokacin daminar bara a garin maradi da.torodi ta apkama gonankan hatsi inda tayi bana sosai ;wanan tsutsa dai babbar matsala ce ga hatsi.da dawa, ya kamata manoma su nemi saninta don su yaketa. -
Kolkoto noonizo kan si gane annasarakine ga spodoptera frugiperda
Annasara jiiri 2016 nga no noonize tagi fo bangay iri africa laabu bobo yan ra,laabey kan yan ra a go nga gati(nigeria,benin,togo afrique du sud,kala ama koy laabu gerey ra) nankanyan ana hasarawo bobo te kolkoto ga. I sintin ga diya Torodi nda Maradi gandara novembre hando 2016, sonhon nango bobo na go iri niijer laabo ra. Nankan haya ga hunburandi koyne noonizo din halada haynay nadi manan kayidiya wate, Maradi Torodi batama beeri yan ra yadin ga hasarawo bobo no aga te dumizey kan yan I ga fare bon ihima no ga fondo konno sanbu ga duga tangame nda. -
Le « Violet de Galmi » est-il menacé ?
Le plus célèbre des oignons ouest africains, le Violet de Galmi, a été ces derniers mois au coeur de nombreux débats. Retour sur la longue histoire de cette variété et éclairages sur les enjeux actuels. -
Alternariose sur oignons à Gotheye
Le périmètre irrigué du groupement féminin Wafakeye de Gotheye compte 12 ha cultivés par 113 femmes en bordure du fleuve Niger. L’oignon représente 80% des cultures. En janvier, l’oignon a subit des attaques sévères des feuilles, celles-ci se dessèchent à partir des extrémités.
L’attaque a commencé dans les pépinières et s’est étendue rapidement sur les planches d’oignons à proximité. Les productrices dont les parcelles sont atteintes sont obligées d’arracher leurs oignons même s’ils ne sont pas à maturité, sinon la récolte est détruite. C’est donc très grave. Ces attaques sont fréquentes depuis au moins 10 ans. -
Reconnaître les ravageurs au stade larvaire : araignée rouge, mouche blanche, puceron, thrips.
Lors des formations des animateurs et conseillers en maraîchage sur la protection phytosanitaire, les ravageurs sont abordés les uns après les autres. Pour chaque ravageur, il est examiné les différents stades : larves, pupes ou nymphes et adultes. Lors du suivi des animateurs, il est apparu des difficultés à identifier les ravageurs les plus petits, notamment aux stades larvaires. Or, identifier précocement les ravageurs est très important pour intervenir rapidement surtout pour les ravageurs ayant une très forte capacité de multiplication. C’est le cas de l’araignée rouge, la mouche blanche, les pucerons et les thrips. Le premier est un acarien, les trois autres sont des insectes. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur le moringa au Niger
Au cours d’entretien avec les revendeurs des produits maraîchers du « petit marché » de Niamey en début décembre, ceux-ci ont expliqué que cette année le prix du moringa n’avait pas baissé après la fête du Ramadan car le moringa était « attaqué », ce qui entraine une baisse de la production. -
ALERTE / Tuta absoluta a refait son apparition sur les tomates
En février 2013, les premières attaques de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) avaient été signalés dans des parcelles du village de Bourbourkabé situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. Par la suite, il est apparu que ce nouveau ravageur était également présent dans les régions d’Agadez, Niamey et Tillabéri. Les dégâts enregistrés par les producteurs ont été très importants dans de nombreuses localités. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur les agrumes au Niger
A 100 km au sud de Niamey, dans une ferme isolée (20 km de la route bitumée), les orangers sont malades. Cette maladie attaque différents agrumes. Les orangers, citronniers et pomelos sont considérés comme très sensibles. Les tangelos, dont la production est très importante au Niger, sont considérés comme sensibles à moins sensibles. -
Lutte intégrée contre les nématodes parasites des cultures maraîchères
Dans les pays du Sahel, les nématodes parasites des cultures constituent un facteur limitant à la production maraîchère. Pour minimiser les pertes de rendements qu’ils occasionnent, les producteurs ont à leur disposition plusieurs méthodes de lutte. Mais aucune d’elles n’est efficace si elle est utilisée individuellement. D’où est né le concept de lutte intégrée. -
Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation ?
Au sahel, les cultures subissent une pression parasitaire très importante, surtout celle exercée par les nématodes sur les cultures maraichères. Avec l’intensification de l’irrigation, ces ravageurs sont actuellement devenus un des problèmes phytosanitaires les plus préoccupants sur les cultures, à tel point que certains n’hésitent pas à les qualifier d’ennemis des maraichers ou de ravageurs sournois car leurs attaques passent le plus souvent inaperçues. -
Etude de cas du warrantage au Niger (septembre 2014)
Niger est un pays dont les grands produits vivriers sont le mil, le niébé et l’arachide. Il produit aussi environ 75.000 de riz par an, mais dépend surtout des importations. En outre, il faut remarquer que le Niger est le deuxième producteur d’oignon en Afrique de l’Ouest après le Nigeria, et le plus grand exportateur dans la région. Les variations saisonnières des cours de marché sont en moyen plus prononcées pour les oignons (beaucoup plus de 100% sur les prix de récolte) et le niébé (autour de 50%), mais relativement modestes pour les céréales et les arachides et assez minime pour le riz. La plupart du crédit warranté impliquant des produits agricoles locaux au Niger est le warrantage communautaire. On trouve aussi une quantité significative d’entreposage en tierce détention qui est discuté brièvement. -
Le warrantage au Niger, pour renforcer la trésorerie des paysans
Le warrantage, ou « crédit stockage », est une technique qui permet aux paysans de mieux valoriser leurs produits agricoles tout en sécurisant le financement rural. Il connaît un franc succès au Niger, où il a été introduit il y a plus de 10 ans. -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles suivantes, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
Les principaux arthropodes nuisibles des céréales, des légumineuses et du cotonnier au Sahel et leur contrôle
Cette note technique répertorie les principaux ennemis de cultures au Sahel et en propose une méthode de contrôle et de lutte en fonction de la phénologie de la culture. -
Fiche technique : les pucerons du poivron
Les agents responsables des principales attaques sur les cultures de poivrons sont des insectes phytophages (qui se nourrissent des plantes), des acariens, les nématodes et des virus. Une lutte efficace contre ces ennemis des cultures implique la connaissance de leur biologie (mode de vie, caractéristiques naturelles, …). -
Le Blanc de Gothèye, l’autre oignon du Niger
Le Niger, le pays des oignons … L’oignon est la première culture maraîchère au Niger. La production annuelle est estimée à 500.000 tonnes, classant le Niger au deuxième rang des producteurs ouest-africains. Le Niger est le premier exportateur d’oignons de la CEDEAO. Le Niger exporte sa variété la plus connue, le Violet de Galmi, dont le goût, la tenue dans les sauces et les aptitudes à la conservation ont conquis tous les pays de l’Afrique de l’Ouest. Mais le Niger est aussi le pays des oignons par le nombre de ses « écotypes », c'est-à-dire de nombreuses variétés d’oignons. -
La maladie du rabougrissement de l’arachide : observations sur champ
En Afrique deux maladies virales peuvent entrainer une baisse de production, il s'agit du rabougrissement de l'arachide et de la rosette de l'arachide. -
Fiche descriptive Nagode
L’hybride Nagode est une variété à graine jaune, précoce (85 jours), productive (5 à 7 tonnes/ha) qui se comporte bien en sol de vallée et même sur sol dunaire riche en matière organique. La variété présente un feuillage de couleur vert-claire et des soies et anthères de couleur rose-claire. La panicule présente un nombre de ramification relativement élevé. La présence du bourrelet anthocyanique à la base des glumes n’est observée que dans des rares cas. Les épis sont gros, insérés au milieu de la tige et présentent une bonne fermeture des spathes. Du fait des poids des épis à la maturité, les tiges ont tendance à s’incliner à leur base au sol notamment sur sol dunaire si le buttage n’est pas effectué au dernier sarclage. Les graines jaunes présentent au niveau de leur sommet une tache jaunâtre d’albumen farineux. Elles sont insérées en rangées droites sur une rafle blanche, cylindro-conique sans pigmentation anthocyanique. -
Guide de bonnes pratiques phytosanitaires pour la production de tubercules et de feuilles de manioc (Manihot esculenta) en pays ACP
Le document « Guide de Bonnes Pratiques Phytosanitaires » (fruit ou légume) détaille toutes les pratiques phytosanitaires liées au (fruit ou légume) et propose essentiellement des substances actives soutenues par les fabricants des pesticides dans le cadre de la Directive Européenne 91/414 et devant respecter les normes Européennes en matière de résidus des pesticides. Au stade actuel ces substances actives n’ont pas été testées en pays ACP par le PIP pour vérifier la conformité avec les LMR européennes.Les informations données sur les substances actives proposée est donc et sera adaptée en continu selon les nouvelles informations que rassemblera le PIP. Il est évidemment entendu que seules les formulations légalement homologuées dans leur pays d’application sont autorisées à l’usage. Chaque planteur aura donc le devoir de vérifier auprès de ses autorités réglementaires locales si le produit qu’il souhaite utiliser figure bien sur la liste des produits homologués. -
Adoption des semences améliorées du mil et de niébé dans le département de Damagaram Takaya, Région de Zinder
Au Niger, la faible productivité des cultures amènent la recherche à mettre au point des nouvelles variétés vulgarisées par l’Etat et partenaire au développement auprès des producteurs. C’est dans ce cadre que l’ONG CADEL, l’INRAN et le service de l’agriculture ont procédé à la diffusion des semences améliorées du mil et niébé auprès des producteurs de Damagaram Takaya dans la région de Zinder afin d’augmenter la productivité de ces cultures. La présente étude intervient après des années d’introduction de ces semences améliorées. Elle a pour objectif de faire une analyse de l’adoption pour en déterminer les facteurs qui favorisent l’utilisation ou le rejet des semences améliorées par les agriculteurs. Pour se faire, sur la base d’un listing des ménages agricoles des villages, un échantillonnage aléatoire a été réalisé au niveau des villages de Bougoum, Brundi, Tourmou et Kandine). Au total, 97 producteurs, représentants 17% de l’échantillon ont été choisis et enquêtés au moyen d’un questionnaire ménage. Ces résultats montrent qu’il est nécessaire à la recherche et la vulgarisation de renforcer les actions permettant d’augmenter l’utilisation des semences améliorées dans la zone de Damagaram Takaya et toutes les autres zones agricoles du Niger. -
La mosaïque africaine du manioc, une maladie ignorée des producteurs au Niger
Le manioc (Manihot esculenta Crantz) est cultivé dans près d’une quarantaine de pays d’Afrique. En 2012, la production au Niger se chiffre à plus de 100 000 tonnes obtenues sur environ 7 000 hectares. Cette production représente près de 45 482 tonnes en équivalents céréaliers (Rép. Niger, 2012). Au vu de cette importance dans l’alimentation des Nigériens, toute menace sur la production doit être considérée comme une atteinte à la sécurité alimentaire, et de ce fait être sérieusement combattue. La plus grande contrainte biotique1 à la production de manioc au Niger est sans contexte la Mosaïque Africaine du Manioc (ou African cassava mosaic disease, ACMD), maladie qui sévit dans toutes régions productrices de notre pays. -
Note sur la disponibilité des semences améliorées dans la région de Maradi pour la campagne 2019
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Maradi est engagée, dans le cadre des activités du Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible aux risques Climatiques (PASEC), à informer et sensibiliser les producteurs de la région sur la pratique de l’Agriculture Intelligente face au Climat (AIC). On note parmi les techniques AIC recommandées, l’utilisation de semences améliorées. L’utilisation de ces semences améliorées contribue à l’adaptation de notre agriculture aux changements que connait aujourd’hui le climat et cela grâce à certaines de leurs caractéristiques : précocité, résistance au stress hydrique, résistance à des maladies, résistance au striga, résistance à certaines attaques, bon rendement… L’objectif visé par la CRA est de contribuer à rehausser l’utilisation des semences améliorées par les producteurs de la région. Ainsi, la CRA informe les producteurs sur l’importance de l’utilisation des semences améliorées, leur disponibilité, les prix et également les points de vente. Cette information se fait via plusieurs canaux à savoir des émissions radio, des notes d’information et l’application WhatsApp. -
Striure brune du manioc
Striure brune attaque le manioc et dans les cas modérés à sévères rend les racines impropres à la consommation humaine ou animale. -
Supports de formation et d’animation sur la thématique de la production agricole
Un guide opérationnel destiné à tous les acteurs concernés par les questions de financement de l’agriculture et ayant pour objectif d’appuyer la construction d’une nouvelle alliance entre OPA et institutions financières. Il présente de manière détaillée les étapes d’une démarche visant à i) renforcer la capacité de OPA et des institutions financières à analyser les besoins et contraintes de financement de l’agriculture ii) consolider les capacités de ces acteurs à choisir et à proposer aux agriculteurs un accès efficace, équitable et viable aux services financiers iii) formaliser un cadre de réflexion et d’action pour construire des partenariats permettant un financement durable des agricultures familiales du Sud. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger.
Le développement des cultures irriguées, à la fois en termes d’espaces mais également en termes de périodes de production, entraine une augmentation de la pression des ravageurs et maladies. A cela s’ajoute l’apparition de nouveaux ravageurs. Le manque de connaissances des producteurs maraîchers sur les ravageurs et maladies des cultures, ainsi que sur les différentes méthodes de lutte, entraine des pertes très importantes et une utilisation abusive et/ou inappropriée des pesticides chimiques. Quand un producteur voit sa parcelle, et donc son gagne-mil (adaptation de l’expression gagne-pain) se faire rapidement dévorer et détruire par des ravageurs, il prend la décision la plus facile ou rapide et court acheter un « médicament », un flacon, une boite ou un sachet de pesticides chimiques auprès d’un vendeur de proximité. C’est souvent trop tard et pas très efficace. -
Conseiller en maraîchage / des cas pratiques (2)
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers et animateurs maraîchers (OP, services techniques, GSC, GIE, projets …). Il s’agit d’une ferme installée dans le dallol Bosso à l’entrée de Birni Ngaouré (Région de Dosso), avec un système d’irrigation goutte à goutte pour les cultures de tomate, poivron, piment et melon principalement. Le 6 février, date de la visite, il y avait des parcelles de tomates en production et des parcelles de poivron en floraison. -
Conseiller en maraîchage / Cas pratiques (4) Attaques sur tomates
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers maraîchers (OP, services techniques, GSC, …). Il s’agit d’une visite auprès des producteurs de tomate de Bourboukabé à 15 km au nord de Niamey. Dans ce village, les producteurs pratiquent la culture de la tomate depuis plus de 25 ans, avec différents cycles de production adaptés aux différents terrains disponibles. Le premier cycle de production correspond à des semis en pépinière au début du mois d’août et une récolte qui commence en octobre alors que les prix sur le marché de Niamey sont encore élevés (15.000 à 18.000 F le panier de 32 kg). C’est une production économiquement importante pour ces producteurs. La production se fait sur des sols sableux de chaque côté de la vallée qui est encore inondée. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger -- Document technique : la protection de la tomate
La gestion intégrée des ravageurs et maladies est un système de lutte économique qui emploie toutes les techniques et méthodes appropriées pour maintenir la population des ravageurs à des niveaux limitant les dommages : utilisation de variétés résistantes/tolérantes, pratiques de culture appropriées et l’application rationnelle de pesticides (en mettant l’accent sur les pesticides biologiques). La tomate est une des cultures les plus répandues à travers le monde. La tomate est cultivée partout au Niger pendant les trois saisons : saison sèche fraiche, saison sèche chaude et saison hivernale. La production principale se situe pendant la saison sèche fraiche. La tomate est un légume fruit de la famille des solanacées, c'est-à-dire de la même famille que le poivron, la pomme de terre, l’aubergine ou le piment. Cela signifie que certains ravageurs seront communs à ces plantes de la même famille et surtout qu’il ne faut pas qu’elles se succèdent dans la rotation. -
Fiche technique : préparation d’une solution aqueuse de neem contre les ravageurs des cultures maraîchères
Cette fiche a été réalisée à partir des documents de l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) et d’un support vidéo de l’Association des Professionnels de l’Irrigation Privée et des Activités Connexes (APIPAC, Burkina Faso). -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon
Les Chambres d’agriculture du Niger ont été créées par la Loi 2000-15 du 21 août 2000, complétée par le décret d’application du 18 mai 2001. Il y a huit Chambre Régionale d’Agriculture (CRA), une par région, et le Réseau National des Chambres d’Agriculture (RECA). Les CRA sont dirigés par des responsables professionnelles agricoles élus tous les 4 ans. La loi a confié aux Chambres d’Agriculture des missions d’intérêt général : représentation des agriculteurs, éleveurs, pêcheurs, exploitants forestiers, appui conseil / vulgarisation, formation, information des professionnels agricoles. L’oignon est une plante avec un nombre réduit d’ennemis comparé aux autres plantes maraîchères. Malgré tout, des ennemis peuvent réduire le rendement de manière significative. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger La protection du moringa
Il est Indispensable de savoir reconnaître les ravageurs et maladies et de BIEN connaître son ennemi pour le combattre. Tout n’est pas marqué dans les livres et chaque producteur et technicien doit être capable d’observer On ne peut pas lutter contre les ravageurs avec une seule mesure, les producteurs doivent comprendre l’ensemble des mesures à mettre en place. Les ravageurs et maladies n’étant pas bien connus, les producteurs et animateurs doivent apporter leur contribution pour mieux les maîtriser. -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce guide liste les techniques mobilisables pour la production de semences de tomates de qualité -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : préparation et application des bio pesticides
L’objectif de ce module de formation est de sensibiliser les producteurs aux méfaits des pesticides sur la santé de l’homme et de l’environnement, connaitre les plantes à vertus pesticides sur les quels des travaux de recherche ont permis de voir leur efficacité, apprendre à fabriquer eux même les produits à base de ces plantes, les intégrer dans un programme de lutte intégrée sur leur parcelle. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs du poivron et du piment
L’objectif de ce module de formation est d’être capable de reconnaître les ravageurs des cultures du poivron ou piment au Niger, d’être capable de faire des observations sur les ravageurs et les cultures et être capable de proposer et d’expliquer aux producteurs et productrices des mesures de lutte à mettre en place (lutte intégrée) en fonction des situations. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
La noctuelle de la tomate est un petit papillon de nuit, c’est à dire qu’il se déplace et se nourrit au crépuscule et la nuit. Ces papillons sont le plus souvent de couleur grise. Cette note présente sa chenille qui est un des principaux ravageurs de la tomate, surtout en saison sèche, mais s’attaque également à d’autres légumes fruits comme le poivron et le gombo, mais aussi au coton et au maïs. Cette chenille est le principal ravageur de la tomate en saison sèche. On la trouve dans toutes les régions du Niger. -
Niébé et arachide à Zinder : une année à chenille poilue
En ce début de saison des pluies, l’arachide, le niébé mais également le mil, le sésame ou la pastèque subissent des dégâts importants à cause de la chenille poilue dont le nom scientifique est Amsacta moloneyi. C’est une chenille polyphage, c'est-à-dire qu’elle peut se nourrir de nombreuses plantes cultivées ou non. Il a été observé des dégâts jugés sévères de la chenille poilue dans des localités des départements de Matameye mais aussi de Mirriah et de Magaria Les chenilles peuvent atteindre 4 cm de long. Elles sont de couleurs vives (jaune, orange, brun) et surtout portent de longs poils serrés. En début de saison, la chenille poilue d’Amsacta moloneyi s’attaque principalement aux plantules du niébé. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon.
Le présent atelier de formation s'adresse aux producteurs et animateurs des structures d'appui conseil sur les maladies et ravageurs de l'oignon. l'objectif de l'atelier est de renforcer les connaissances et ces acteurs. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : La protection du chou
Le chou appartient à la famille des crucifères (Bracicaceae). Il est la seule culture de la famille qui a une importance économique au Niger ; il en existe deux sortes : chou pommé (le plus cultivé et chou-fleur). Autre crucifère cultivé au Niger : le Navet et la radis (la production est négligeable). A la fin de la formation, les producteurs doivent: Connaitre l’importance de des ravageurs et maladies de la culture, Savoir reconnaître les ravageurs et maladies et comprendre l’ensemble des mesures à mettre en place pour combattre ces ennemis de la cultures. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : Les mouches des fruits
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les mouches des fruits. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Les nématodes parasites des cultures maraîchères
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les nématodes parasites des cultures maraîchères au Niger -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’oignon
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture d'oignons. Cette lutte passe par l'identification des principaux ennemis de cette culture. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Connaissance et utilisation des pesticides
Ce module de formation traite de l'utilisation des pesticides. Cette utilisation passe par la connaissance de la typologie des pesticides au Niger. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger La protection du poivron et du piment
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture du poivron et du piment. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’aubergine et de la pomme de terre
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture de l'aubergine et de la pomme de terre. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Tomato noonizo kan se i gane “TUTA”
A te alwati kan iri Niger laabu alfarey i go gadi sanday tomato farmo do zaama noonize fono goono kan ga tomato fuunu fuunu. A to jiiri hinza kan noonize tagi fo banguay noonizo din ga kaina gumo;amma halla ga ka sohon alfarey mana fahame ase; hasarawo booba kan agate se, nga no nan alfari foyan na tomato farmo gaayi. -
Jan tauttau ko lalaba da turawa ke cema : acarien rouge
Yau zamu baku labarin wata karamar hallita aman ana iya ganinta ido da ido,wanan hallita ita ce jan tattau ko lalaba. Manoma sun san wanan tsutsar tunda tana saka gidan tane saman ganyen shipkokin gapta ko aubergine,tumati,tattasey,tashi da dankalin turawa. Wannan tsutsar na boyewa kalkashin ganyen shipkoki,manoma sun santa sosai domin a cikin lokaci kalilan take hallaka gona ga baki daya musaman ma in shipkokin dake cikin gonar sun danganta da wanda muka zana can sama. -
Tsutsar tumati : TUTA
Manoman kasar Nijar sun jima suna fama da wata tsutsa dake fu fude diyan tumati ; aman yau da hekaru uku (3), wata karamar tsutsa ta bullo,wanda har yanzu manoma basu gane ta ba,wanan sabuwar tsusta kankanuwa ce aman banar da takeyi nasa manoma asara diyawa wanda har ta kai gasa manoman kin noman na tumati ; wanan tsutsa ita ce ake cema TUTA. -
Dadara kira kan se ngane annasara ciine ga : acarien rouge
Hunkuna day iri ga salan aran se no nda anwarize kaynafo kan booro ga hini ga diya moga kan zi gane dadara kira. Alfarey ga bay zama a ga nga fuwo ciina dumizey koptey ga wana wana wana obergino tomato tattasey,tonko,nda pommpi terro. dabayan a ga lanba ga nga fuwo ciina dumizey koptey bandey ga alfarey ga bay zama aga hini ga dumizey me a me hasara wane wane dumizey kanyan iri ki za bene. -
Yadda tsutsar tumati Noctuelle da ake cema Helicoverpa a turance take
Tsutsar tumati da ake cema Noctuelle wani dan karamin malan batata ne yake futowa da dare yana neman abincin shi. Wanan malan batatan nada launi toka toka. Wanan hoton na nuna karamar tutsar da irin bannar da take hadasa wa a cikin diyan tumati musaman ma a lokacin zahi,haka zalika jinjirara tsutar na apkama ma sauran albarkatun noma kamar su tattasai da miyar kubewa da kuma kada da masara, wanan tsutar ita ce tafi bata tumati a lokacin rani,ana samun ta a cikin jahohin kasa ga baki daya. -
Tomaato nooniizo (Helicoverpa armigera) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Tomaato nooniizo wo ciini alfaga caw-caw no, zama a si fatta kala za wayna kaù kala mo ma bo. Da ba yaù, alfaga caw-caw wone hari boosa boosa no fatey ga ga. Tira wo, tomaato nooniizo bon no a ga salaù zama nga no ga ti tomaato aùùwaara i kulu ilaala, waana waana hayni waate. Tomaato nooniizo ga tuurize boobo digsa sanda tattaasa, la wala binde haabu wala mo kolkoti. Tomaato nooniizo ga ti, hayni ra, tomaatey aùùwaara laala. Niizer jarjarey kulu ra no a ga diya. -
Kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance
Yau zamu muku hira kan wani mungun kwari dake banna cikin garake kuma manoma sun sanshi kwarai da gaske,wannan kwarin shine ake cema kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance. In manoma sun san irin bannar da wannan kananan kwarin farfaru keyin saman tattasey da tomati da tonka,abincin su kenan, to har yanzu basu gano irin cutitikan da suke iya hadasama wanan shipkoki ba. -
Mouche blanche : Zarma : Hamniize kwaara kaù se i gane faransi ciine ga mouche blanche (Bemisia tabaci) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Hunkuna, iri ga salaù araù se nda jaw-kali goyey aùùwaara fo kaù ga hasaraw te hala manti mooso, kaù alfarey nda kurkey ga bay ga boori, nga ga ti « hamniize kwaara ». Ba da alfarey ga hasarawey kaù hamniize kwaara wo ga te bay, i si bay doorey kaù a ga hin ga kande ga daù tuurey ga. -
Yadda tsutsar chou ko plutella take
Zamu muku hira kan wani mungun tsutsar chou da ake cema teigne du chou a turance. Tsutsar chou da ake cema plutela da turance wani karamin malan batata ne(wanda yafi sabro girma,photo na 1) tsutsar shi ce tafi yawan banna ga chou a kasar Nijar. Wanan kwarin ana samun shi koda yaushe tsawon dukan shekara a fadin kasar Nijar aman yafi yawa a lokacin zahi tsakanin watan mars da mai,yana iya bata illahirin gonar chou. -
Suwo nooniizo kaù se i ga na fransi cine ra « teigne » tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Su nooniizo kaù se i ga ne faransi ciine ga « teigne » : alfaga caw-caw kayniyaw fo no ga a hay (A si beeri ga ba soboro, Foto 1) Niger fi azulmata ra no a go, su aùùwaara i kulu ilaala no. Amma a si laala kala dungay waate annasaara handu hinzanta ga koy iguwanta. A ga hin ga su fari kulu alandaaba. -
Les étiquettes des pesticides ne donnent pas satisfaction : il faut les remplacer par des fiches techniques adaptées aux utilisateurs
Les premières investigations et notes du RECA indiquent que les pratiques des agriculteurs pour la protection des cultures irriguées et l’utilisation des pesticides ne sont globalement pas bonnes, au détriment des producteurs eux-mêmes (santé et revenus) et des consommateurs. Ceci est confirmé par la plupart des partenaires intervenant en appui aux producteurs. -
DANGER / Tuta absoluta, un nouveau ravageur de la tomate identifié au Niger
Le village de Bourbourkabé est situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. C’est une zone de production maraîchère isolée (loin de la route) où les producteurs sont spécialisés depuis des années sur la culture de la tomate. Au cours d’une visite des techniciens du RECA, le 20 février 2013, les producteurs ont signalé des attaques très importantes de leurs tomates. Effectivement, la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) était fortement présente. Mais les producteurs ont déclaré qu’il y avait une seconde chenille, apparue cette année pour la première fois, qui cause beaucoup plus de dégâts. Ils ont pu montrer la chenille sur feuille et sur fruit, ainsi que son papillon. -
La politique semencière nationale
Ce rapport porte sur la politique semencière nationale du Niger -
Méthodologie de la multiplication de semence de pomme de terre
Ce rapport porte sur la méthodologie de la multiplication de semence de pomme de terre au Madagascar -
La multiplication des semences de pommes de terre
Ce manuel est un guide pour les formateurs soutenant le développement des entreprises consacrées à la production de semences de pommes de terre. Il est donc destiné à être utilisé comme un guide du formateur. Il l’aide à fournir un programme d’appui ainsi qu’une formation bien structurée et complète aux aspirants multiplicateurs professionnels de pommes de terres, et ce pendant toute une saison. Il donne également des directives et des conseils au formateur. Le manuel n’est pas un guide technique ; c’est la raison pour laquelle il est fondamental que les formateurs aient de l’expérience en matière de multiplication de semences de pommes de terre.
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La production de semences maraîchères
Ce présente fiche technique porte sur La production de semences maraîchères
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Comment produire et conserver ses propres semences de légumes : un guide pour les producteurs
Ce guide de formation édité par le centre mondial des légumes porte sur la production et conservation de ses propres semences de légumes -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles énumérées dans ce rapport, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
Note sur l’écoulement des semences améliorées au niveau des producteurs de la région de Zinder
En avril 2018, la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Zinder a rédigé une note sur la disponibilité en semences améliorées de mil, sorgho, niébé et arachide qui a fait l’objet d’émissions radios diffusées sur 15 radios communautaires de la région. -
Note sur le financement des clôtures par le crédit agricole dans la région de Maradi
L’une des rubriques récurrentes dans les devis/facture proforma des producteurs de Maradi, demandeurs de crédit agricole avec subvention, est la clôture de leurs sites productifs. Dans le contexte de Maradi, cette clôture peut se justifier. Les producteurs associent généralement l’arboriculture fruitière à la production maraîchère et, puisque les cas de vols sont fréquents, la clôture est perçue comme un moyen de réduire les vols. La clôture permet aussi de matérialiser clairement les limites d’une parcelle. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
Cette note présente le contenu d’une émission radio préparée par des agents du RECA, de la DGPV et de l’INRAN puis enregistrée en Zarma et en Haoussa avec la radio Jeunesse de Goudel pour être diffusée sur l’ensemble des régions du Niger. -
ALERTE Spodoptera frugiperda une nouvelle chenille, ravageur du maïs
Cette chenille originaire d’Amérique a été observée pour la première fois en Afrique de l’Ouest en janvier 2016, au sud du Nigeria où elle a causé d’importants dégâts. En août 2016, la presse béninoise avance le chiffre de 30.000 à 40.000 ha de maïs détruits dans les régions du Nord Bénin. La chenille a également fait d’importants dégâts au Nigeria et au Togo. Fin novembre 2016, elle est signalée à Torodi (Région de Tillabéri), et également à Dosso. Il s’agit de la larve d’un papillon à moeurs nocturnes de la famille des Noctuidés ou noctuelles. Les insectes de cette famille sont malheureusement bien connus des producteurs car elle comprend les ravageurs les plus dévastateurs des cultures comme par exemple la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera). -
Tuta absoluta (Meyrick) : un ravageur invasif des cultures maraîchères pour l’Afrique sub-saharienne
T. absoluta est un un lépidoptère nocturne de la famille des Gelechiidae, originaire d’Amérique du Sud. Les adultes mesurent 6-7 mm de long et environ 8 à 10 mm d’envergure. Ils sont gris argenté à marrons avec des écailles de couleur brune à noire sur les ailes antérieures (Photo 1). Les mâles sont un peu plus sombres et plus petits que les femelles. Les antennes sont filiformes et mesurent les 5/6èmes des ailes. Les oeufs, de 1 mm environ, sont de forme cylindrique et de couleur crème à jaunâtre (Photos 2 et 3). Les chenilles sont de couleur crème (1er stade) puis deviennent verdâtres et rosâtre au dernier stade (du 2ème au 4ème stade). Elles mesurent de 0,6 à 0,8 mm au 1er stade jusqu’à 7,3 à 8 mm au 4ème stade (Photos 4 et 5). Une caractéristique des chenilles de T. absoluta est la présence au niveau de la tête de 2 étroites bandes noires, une latérale et une ventrale. La chrysalide (4 à 5 mm) initialement de couleur verte devient progressivement brune (Photo 6). -
Utilisation des Pesticides – alphabétisation fonctionnelle – annexe curriculum gestion intégrée des ennemis des cultures (Version française)
Ce module de formation des producteurs sur l’utilisation des pesticides est un support essentiellement adressé aux producteurs analphabètes. C’est un module qui donne les pistes d’une bonne utilisation des pesticides dans la vie courante des producteurs. Malgré toutes les sensibilisations menées jusque-là, les contaminations par les pesticides et les risques de mauvaises pratiques persistent. L’une de nos préoccupations majeures est de tendre vers les bonnes réponses aux questions que se posent tous les acteurs agricoles en général et les maraichers en particulier suite aux risques énormes auxquels s’exposent les manipulateurs des pesticides. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Le présent manuel est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui du PromAP à travers sa composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
Scénario du film : Utilisation des Pesticides – Alphabétisation fonctionnelle – annexe curriculum gestion intégrée des ennemis des cultures (Version française)
Le présent document s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du PSRCA-PI. -
Première approche sur l’inventaire et l’importance des ennemis de 10 cultures maraîchères dans les 10 pays du RADHORT)
Ce travail fait suite à l’article paru dans le Bulletin de Liaison N°11 du 31 mai 1997 (p 74-88) et présente pour 10 cultures, la liste des ennemis présents dans au moins un des 10 pays du Réseau Africain de Développement de l’HORTiculture (RADHORT) Burkina, Cap-Vert, Côte d’Ivoire, Guinée, Guinée-Bissau, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad -
Les pesticides : composition, utilisation et risques
Définition, classification et application effective des pesticides. Risque et utilisation effective des produits -
Les variétés de mil
Ce catalogue présente quelques unes des principales variétés de mil cultivées au Niger -
Conduite de la multiplication et certification de la semence améliorée
Cette note est tirée de la thèse intitulée « Déterminants et effets socio-économiques de l’adoption des variétés améliorées de mil et de niébé dans les exploitations agricoles des régions de Tillabéry et Zinder (Niger) » soutenue par Monsieur M. OUMAROU HALADOU Issoufou en mars 2018 à l’université Abdou Moumouni. -
Les nématodes parasites du Moringa dans la zone périurbaine de Niamey (Niger)
Moringa (Moringa oleifera Lam) est une culture qui prend de plus en plus de l’importance au Niger mais très peu d’intérêt a été porté aux problèmes phytosanitaires. L’objectif de l’étude était d’identifier les nématodes parasites qui lui sont associés.
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Fiche technico-économique pour la culture de chou
Cette fiche aborde plusieurs sujets : comment cultiver le chou, choisir les semences, entretenir une culture de chou, et le commercialiser -
Préparer une décoction d'ail pour lutter contre les chenille
Fiche technique pour la préparation d'une décoction d'ail -
traitements phytosanitaires naturels : 4 recettes
4 recettes de traitement phytosanitaire biologique -
Mildiou du basilic : Point sur les connaissances actuelles de lutte contre le mildiou
Aujourd’hui, les maraîchers des Alpes-Maritimes rencontrent des difficultés
avec le mildiou du basilic principalement en période d’été ou de changement
climatique.
De plus, le nombre de protections chimiques diminue d’années en années. Pour répondre à la demande des producteurs bio et conventionnels, une expérimentation au CREAT et un suivi chez un producteur en bio ont été réalisés en 2017, à travers le projet Is@m. -
Les mesures à prendre pour limiter la dérive en pulvérisation agricole
Cette présente fiche porte sur les mesures à prendre pour limiter la dérive en pulvérisation agricole -
Améliorer sa pulvérisation pas à pas
Conseil pour améliorer sa technique de pulvérisation de produits phytosanitaires -
Annuaire National 2020 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
L’Annuaire National de disponibilité en semences des variétés améliorées, institué depuis 2010 par le Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage est un précieux référentiel qui met à la disposition des utilisateurs des semences, les détails essentiels sur les acteurs (producteurs semenciers et agriculteurs multiplicateurs) de la chaine de production en fournissant des renseignements sur :
leurs localités ;
leurs contacts ;
les espèces ;
les variétés produites;
les catégories de semences disponibles ;
les quantités produites ;
et ainsi que les éléments de traçabilité de chacun des lots de semences acceptés par les inspecteurs semenciers assermentés et codifiés par la Direction du Contrôle et Certification des Semences -
Auxiliaires de cultures ornementales et maraîchères
Reconnaissance des ravageurs et auxiliaires -
Biocontrôle de l'acarien rouge en verger de pommiers
Cette fiche technique présente plusieurs options pour assurer le contrôle de l'acarien rouge en arboriculture fruitière, sous production biologique -
Les herbicides en vente au Niger en 2019
Cette note porte sur la vente des herbicides en Niger -
Liste des produits insecticides et acaricides en vente ou utilisés au Niger en 2019
Ce présent guide porte sur liste des produits insecticides et acaricides en vente ou utilisés au Niger en 2019 -
Protection Biologique Intégrée
Ce guide donne des informations sur les techniques de protection biologique intégrée -
Utiliser le papayer comme insecticide et fongicide dans la lutte contre la rouille du caféier
Cette fiche décrit la fabrication et l'utilisation d'insecticides à base de papayer -
Utiliser le piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes
Cette note porte sur la fabrication du piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes -
Utiliser le tabac pour lutter contre les mouches blanches ainsi que la rouille du haricot et du blé
Cet article porte sur la fabrication d'insecticide à base de Tabac contre les pucerons mineuses des feuilles, les charançons, la mouche blanche, les chenilles, la rouille du haricot et du blé -
Utiliser les feuilles et tiges de tomate contre la piéride du chou et la teigne
Cette note montre comment fabriquer des insecticides / répellents naturels à base de feuilles et tiges de tomate -
La récolte du Mil à GABI région de Maradi : les étudiants de l’UDDM de Maradi s’engagent dans la vulgarisation des semences améliorés dans leurs terroirs
Mr ELH MAHAMANE Rabé est étudiantrégulièrement inscrit en Master II Science de production végétale à l’Université Dan Dicko Dankoulodo de Maradi (UDDM). Lors du module sur la gestion des risques climatiques des cultures pluviales, enseigné par Dr Hannatou Moussa, chercheur au CERRA-INRAN Maradi, le professeur a présenté les caractéristiques d’une variété précoce de mil, la variété Chakti qui a un cycle de 50 à 60 après semis. -
Cendre de bois : Lutte contre les fourmis, pucerons et mouches
Cette note indique comment utiliser les cendres de bois pour lutter contre les pucerons, fourmis et mouches -
Les insectes auxiliaires du jardin
Le présent guide porte sur les ravageurs, qui sont des organismes qui causent des dégâts aux plantes cultivées, aux stocks alimentaires ou au bois d’oeuvre et de construction. -
Guide du Jardinage Ecologique : Alternatives aux Pesticides pour les Particuliers
Pesticides, on peut faire autrement ! Le présent guide propose des alternatives à l'utilisation de pesticides pour les particuliers -
Utiliser l'eucalyptus en tant qu'insectifuge, contre la teigne de la pomme de terre
Cette note présente les propriétés de l'eucalyptus pour lutter contre les ravageurs de la pomme de terres -
Guide de production des semences de riz
Ce guide pratique a pour but d’appuyer les groupes d’agriculteurs producteurs de semences de riz à améliorer la qualité des semences qu’ils vont produire. Il se veut une contribution à l’amélioration de la production rizicole au Mali. -
Revue du warrantage paysan au Niger
Le rapport passe en revue l’expérience de la mise en oeuvre de warrantage au Niger depuis 1999, par la FAO et les autres acteurs, fait ressortir des leçons pour les décideurs et les praticiens, et ensuite, propose des dispositifs pour accélérer l’adoption du crédit stockage. -
Les variétés améliorées de pastèque disponibles au Niger avec des conseils pour la culture : Liste au 31 juillet 2020
La culture de la pastèque se pratique dans toutes les régions du Niger et de plus en plus en toutes saisons. La pastèque est une plante annuelle, originaire d’Afrique tropicale, appartenant à la famille des cucurbitacées,comme la courge, la calebasseou le melon.La pastèque est une espèce rustique, très résistante à la chaleur et à la sécheresse, elle peut être cultivée en saison des pluies bien qu’elle soit plus sensible à l’éclatement.C’est une plante rampante qui demande des sols aérés riches en matières organiques. La récolte peut intervenir de 75à 90 jours après la mise en culture. La pastèque est très exigeante en chaleur et en lumière. -
Liste globale des pesticides autorisés par le Comité Sahélien des Pesticides Version de Novembre 2019
La Liste des pesticides autorisés par le Comité Sahélien des Pesticides -
La production de semences maraîchères
Pour réussir une culture semencière, les techniques culturales préconisées sont d’abord celles qui permettent d’optimiser le rendement d’une culture destinée à la consommation. En effet, la production de semences sur une plante ne peut être maximisée que si celle-ci a une croissance vigoureuse, un développement normal,
une floraison abondante, une fructification maximale et un état sanitaire parfait. -
Fiche maraîchage : lutte contre le flétrissement bactérien
Le flétrissement bactérien (Ralstonia solanacearum) est une bactérie du sol, pathogène des végétaux. Elle est particulièrement virulente dans les régions tropicales et subtropicales et colonise le xylème. Elle cause une pourriture bactérienne ou bactériose vasculaire chez de nombreuses plantes-hôtes. -
Fiche maraîchage n°5 : filets de protection
Le filet de protection permet de protéger les cultures des agressions extérieures telles que les insectes nuisibles et les oiseaux. Grâce à celui-ci, les traitements insecticides sont supprimés ou diminués. -
Quelques maladies et ravageurs du mil, sorgho et riz
Cette présente fiche porte sur les maladies et ravageurs du mil, sorgho et riz -
Produire des semences de courgette dans un itinéraire agrobiologique
Cette fiche technique porte sur la production de semences de courgette dans un itinéraire Agrobiologique
-
Produire des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique
La présente fiche porte sur la production des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences d'oignon dans un itinéraire agrobiologique
Cette présente fiche porte sur la production des semences d'oignon dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences de céréales dans un itinéraire agrobiologique
Cette présente fiche porte sur la production des semences de céréales dans un itinéraire agrobiologique -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Ce présent document porte sur les méthodes pour lutter contre les ravageurs du chou
en maraîchage biologique -
Produire des semences de carotte dans un itinéraire Agrobiologique
Cette fiche porte sur la production des semences de carotte dans un itinéraire Agrobiologique -
Produire des semences de chou dans un itinéraire agrobiologique
Ce document porte sur la production des semences de choux dans un itinéraire Agrobiologique -
Produire des semences de laitue dans un itinéraire agrobiologique
Ce guide porte sur la production des semences de Laitue dans un itinéraire agrobiologique -
La mineuse de la tomate
Cette fiche technique montre comment reconnaître et lutter contre la mineuse de la tomate, aussi appelée tuta absoluta -
Démarrer ses cultures avec des plants sains
Les maladies transmises par les semences sont causées par différents bio agresseurs : bactéries, virus, champignons, qui peuvent parfois survivre jusqu’à 2 ans sur la graine comme la pourriture noire (Xanthomonas campestris). Les symptômes sont très variables et surviennent à différents stades physiologiques des plantes. Pour éviter les maladies, mieux vaut démarrer la culture avec des plants sains. -
Les auxiliaires entomophages
Les insectes nuisibles sont régulés par leurs ennemis naturels (prédateurs, parasitoïdes et pathogènes) appelés auxiliaires des cultures. Le préfixe « entomo - » désigne les insectes, les auxiliaires sont donc qualifiés d’entomophages s’ils consomment les insectes (araignées, insectes prédateurs et parasitoïdes), ou d’entomopathogènes s’ils les rendent malades (micro-organismes). -
la lutte biologique par conservation
Les insectes prédateurs et parasitoïdes, les araignées et les champignons entomopathogènes s’installent spontanément et durablement dans les milieux qui leur sont favorables et contribuent naturellement au contrôle des insectes ravageurs : ainsi s’opère la lutte biologique par conservation. Trois conditions sont essentielles pour favoriser les auxiliaires... -
La lutte contre les insectes ravageurs - exemples de méthodes par piégeage
Cette fiche rassemble quelques techniques utiles afin de lutter contre certains insectes nuisibles des cultures. Ces méthodes simples à réaliser utilisent des systèmes par attractif alimentaire ou piège dit mécanique. -
Lutte contre la fourmi manioc
Les fourmis manioc appartiennent aux genres Atta et Acromyrmex, elles sont qualifiées de fourmis coupeuses-de-feuilles ou champignonnistes. Elles se nourrissent du champignon Leucoagaricus gongylophorus qu’elles cultivent sur un substrat de feuilles en décomposition (compost). Ces fourmis sont bien connues des agriculteurs pour les dégâts causés au feuillage des arbres (surtout la nuit). -
Produire des semences fourragères en agriculture biologique : Des techniques en évolution
Ce document porte sur la production des semences fourragères en agriculture biologique -
Insectes ravageurs au champ : guide d'identification
Ce guide pratique permet d'identifier les principaux ravageurs du maïs. -
Comment lutter contre les pourritures du fruit et les coups de soleil sur cultures d'ananas
Fiche technique présentant une méthode écologique de lutte contre les pourritures du fruit et les coups de soleil sur cultures d'ananas : l'utilisation de filets protecteurs -
Guide technique sur les nuisibles de la banane plantain, le maïs, le manioc et la tomate.
Une bonne connaissance des nuisibles des cultures est nécessaire pour permettre une meilleure gestion de leurs effets néfastes. La maîtrise des nuisibles nécessite par ailleurs la mise en place d’une stratégie de protection
intégrée et d’utilisation rationnelle des pesticides, afin de préserver l’environnement et de réduire les cas d’intoxication des utilisateurs et des consommateurs. -
Guide des ravageurs de sol en grandes cultures
Ce présent document porte sur des ravageurs de sol en grandes cultures -
Guide de gestion des nuisibles du sorgho à l’usage des coopérateurs
Ce document porte sur la gestion des nuisibles du sorgho à l’usage des coopérateurs -
Guide pratique de conception de systèmes de culture tropicaux économes en produits phytosanitaires
Ce guide montre comment concevoir des systèmes de culture
tropicaux innovants, économes en produits phytosanitaires -
Synthèse par culture des méthodes de lutte disponibles
Ce document constitue un recensement des méthodes de lutte applicables immédiatement (I) et des méthodes de lutte potentielles (P). Pour chaque méthode de lutte, il est indiqué le pays ou l’organisme où l’on peut obtenir de plus amples informations. -
Gestion intégrée de la chenille légionnaire d’automne sur le maïs : Un guide pour les champs-écoles des producteurs en Afrique
La chenille légionnaire d’automne (Spodoptera frugiperda), CLA, est un insecte originaire des régions tropicales et subtropicales des Amériques. Les larves de la CLA (photo) se nourrissent sur plus de 80 espèces de plantes, dont le maïs, le sorgho, le millet, la canne à sucre, les cultures maraîchères et le coton. La CLA peut entraîner d’importantes pertes de rendement si elle n’est pas bien gérée.
Elle peut avoir plusieurs générations par an et la noctuelle peut parcourir
jusqu’à 100 km par nuit. -
Lutte raisonnée contre les ravageurs et les maladies de la pomme de terre
Ce guide porte sur la lutte raisonnée contre les ravageurs et les maladies de la pomme de terre -
Production de plants de pomme de terre indemnes de maladies
Cette fiche porte sur la production de plants de pomme de terre indemnes de maladies -
Les semences dans les situations d’urgence : manuel technique
Cette publication constitue une étape vers l’amélioration de la qualité et de l’efficacité des semences distribuées lors des opérations d’urgence. Il est nécessaire de comprendre les principaux aspects techniques des semences pour planifier et pour réaliser les évaluations sur la sécurité semencière ainsi que pour fournir des semences de qualité aux ménages vulnérables. Ce manuel a pour objectif de mettre à disposition du personnel de terrain chargé de ces opérations, les connaissances techniques de base requises. -
Le citrus greening : détection et moyens de lutte envisageables
Le Citrus Greening ou Huanglongbing est causé par Candidatus Liberibacter, une 'bactérie' du Phloème. La maladie fut détectée pour la première fois en Guadeloupe en avril 2012. Cette maladie est mortelle pour les agrumes et aucun traitement n’existe. Elle est transmise par un insecte vecteur, le psylle (Diaphorinia citri) qui s’attaque aux jeunes pousses. -
Fiches descriptives des maladies et ravageurs de la pomme de terre
Ce guide inclut un ensemble de fiches descriptives permettant de reconnaître et lutter contre les maladies et ravageurs de la pomme de terre -
Guide de reconnaissance des ravageurs : noctuelle de la tomate et noctuelle méditerranéenne
Ce présent guide porte sur la reconnaissance des ravageurs : noctuelle de la tomate et noctuelle méditerranéenne -
Gestion intégrée de la production et des déprédateurs du
coton : Guide du facilitateur pour les Champs écoles des producteursL’objectif du guide est de fournir aux facilitateurs un document de référence qui présente l’approche de conduite des CEP dans le cas spécifique du coton en mettant l’accent sur les pratiques culturales et les options de gestion des ravageurs, des maladies et des adventices du coton suivant les principes de la gestion intégrée de la production et des déprédateurs. Il s'agit aussi de promouvoir le partage des connaissances générées, depuis 2001, par le programme sous-régional en Gestion intégrée de la production et des déprédateurs. -
Systèmes Appropriés de Stockage des Semences et des Grains pour les Agriculteurs à Petite Échelle : Pratiques clés pour les praticiens de la Réduction des Risques de Catastrophes
Ce document contient des directives pratiques sur les installations et les méthodes de stockage pour aider les exploitants agricoles de l’Afrique australe qui sont fortement exposés aux aléas naturels, tels que les cyclones, les sécheresses et les inondations principalement. -
Les Banques de Semences Communautaires. Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) - Guide de l’animateur
Le but de ce module est de fournir des informations aux formateurs des Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) afin qu’ils soient en mesure de parler des banques de semences communautaires, et en particulier de leur importance en ce qui concerne la sécurité semencière et alimentaire, l’agro-biodiversité et l’agriculture durable. Une série de discussions en petits groupes, de jeux de rôles, de saynètes et d’études de cas permettront de mettre en lumière le sujet des banques de semences communautaires. -
Alternaria alternata
Guide technique de reconnaissance et de lutte contre les ravageurs -
Protection intégrée du chou en Guyane
Ce présent guide porte sur les détails des techniques de production propres au chou pommé celles-ci n’étant guère éloignées de celles employées pour les choux chinois (Pak-choï et Pe-Tsaï). -
Protection intégrée du concombre en Guyane
Ce présent document porte sur la protection intégrée du concombre en Guyane