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Situation de référence dans la zone d’intervention du pip2
Le projet de Promotion de l’Irrigation Privée (PIP2) vise l’augmentation de la production et la rentabilisation des cultures irriguées à haute valeur ajoutée par les petits producteurs, grâce à l’utilisation de technologies simples et à faible coût.
Cet objectif devrait être atteint à travers : i) l’utilisation optimale de technologies adaptées et à faible coût, ii) l’intensification des cultures à haute valeur ajoutée ; iii) le renforcement des capacités des organisations professionnelles, des acteurs publics et privés dans le cadre de leurs missions respectives; iv) le soutien financier aux activités productives et connexes ; v) la gestion durable des ressources naturelles.
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Rapport d’activités de la première campagne de collaboration INRAN/PIDM : hivernage 2003 (site de Yélou et Kizamou)
Les contraintes générales liées aux systèmes de productions agricoles au Niger sont multiples et variées. Parmi les plus importantes, on peut citer la précarité de la pluie et sa mauvaise répartition dans l’espace, la dégradation de la fertilité des sols, le dysfonctionnement ou même la quasi-inexistence des circuits d’approvisionnement en
intrants de productions et la quasi-inexistence des circuits fiables de commercialisation
des productions agricoles. En plus, cette situation se trouve être compliquée par la faible capacité des organisations paysannes à se prendre en charge par elles mêmes.
Dans ce contexte, la réalisation des systèmes irrigués et l’amélioration de leur gestion, constituent dès lors une réponse à ces multiples contraintes que vit le monde rural nigérien. En se fixant l’objectif de réaliser cinq aménagements, le Projet Irrigation dans le Dallol Maouri (PIDM) contribue à la réalisation de l’objectif d’intensification et de sécurisation des productions vivrières de manière à procurer aux exploitants une autosuffisance alimentaire et à contribuer au renforcement de leurs capacités. -
Etude sur la Dynamique de l’Ensablement dans le Département de Maïné-Soroa
Le Projet d’Appui à la Gestion des Ressources Naturelles (PAGRN) a entrepris de réaliser, dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités, une étude sur la dynamique de l’ensablement dans le département de Maïné-Soroa. Cela a été possible grâce au partenariat traditionnel qui existe entre l’Association Française des Volontaires du Progrès (AFVP) et l’ONG KARKARA.
L’étude couvre plus précisément la partie sud des cantons de Maïné-Soroa et Goudoumaria sur une superficie de 5764 km2 soit 38,43% de la superficie du département de Maïné-soroa.
Cette étude consiste principalement à établir des produits cartographiques sur l’occupation des sols et de l’ensablement à partir des données spatiales multidates (1975, 1986, et 2003) afin d’analyser la dynamique de l’ensablement des unités paysagères et de déterminer les zones à risque. -
Rapport de mission de supervision du projet d'appui au développement agricole dans la région de zinder ( PADAZ) du 10 au 18 juillet 2004
Une mission de supervision du projet d'appui au développement agricole dans la région de Zinder. L'objectif de cette mission est d'apprécier outre les principaux résultats du projet obtenu au cours du premier semestre 2004 -
Bilan des réalisations physiques 2003 du projet d'appui au programme spécial sécuritaire alimentaire (PSSA)
L'objectif principal du Programme Spécial pour la Sécurité Alimentaire (PSSA) est de réduire l'insécurité alimentaire et la malnutrition au Niger, par une augmentation rapide de la productivité et de la production vivrière sur une base durable tant du point de vue économique qu'écologique. La Banque Islamique de Développement (BID) a manifesté son intérêt à fournir une assistance financière au PSSA. C'est ainsi que le Niger a pu bénéficier courant novembre 2011 d'un prêt de 1,9 million de dollar US et un don de 400.000 dollar US servant respectivement au financement des activités du PSSA et une subvention pour financer la coopération sud/sud. -
Plan d'aménagement de la doumeraie du Goulbi N'Kaba (Mayahi)
La vallée du Goulbi N'kaba traverse le département de Mayahi (Région de Maradi) sur une distance de 70 km et couvre une superficie d'environ 31.500 hectares.
Les effets conjugués des sécheresses et d'une pression anthropique croissante ont modifié un peu plus de deux décennies la structure et la composition de cette palmeraie à Hyphaene thebaica (palmier doum) autrefois très dense. Les doums adultes ont fortement régressé pour laisser la place à des taches de rejets au niveau des souches exploitées. La reconstitution du peuplement n'a pu se faire ni par voie végétative, ni par voie générative à cause des pratiques liées à l'exploitation intensive des feuilles pour l'artisanat et à la récolte des fruits. Le peuplement ligneux accompagnant le doum a subi aussi de fortes pressions pour satisfaire aux besoins en bois de feu et de service des populations riveraines. Il est aujourd'hui principalement constitué de tiges d'avenir.
Après une phase d'études relatives aux filières des produits du doum et du bois, au foncier et à l'inventaire des ressources forestières et pastorales, des consultations locales ont été engagées pour mettre en place un plan d'aménagement intégré, basé sur la régénération d'un peuplement adulte de doums et d'essences ligneuses accompagnatrices. -
Programme d'urgence des cultures irriguées : 2004-2005
La campagne agricole d'hivernage 2004 a été caractérisée par différents phénomènes agro-climatiques (ratarddes semis, attaques parasitaires de tous ordres, insuffisance pluviométrique, arret brusque des pluies dans beaucoup de régions avant le 15 septembre) qui ont porté préjudice au bon déroulement de la campagne; ainsi, à la fin du mois de septembre, on a dénombré 2.742 villages déficitaires avec une population estimée à 3.197.139 habitants. -
Consultation d'experts sur les problèmes juridiques liés à la cites et aux espèces aquatiques faisant l'objet d'une exploitation commerçiale
Ce document présente le rapport de la Consultation d’experts sur les problèmes juridiques liés à la CITES et aux espèces aquatiques faisant l’objet d’une exploitation commerciale. La Consultation d’experts s’est tenue à Rome (Italie), du 22 au 25 juin, suite à une décision de la vingt-cinquième session du Comité des pêches de la FAO (COFI) qui a jugé nécessaire de convoquer une consultation d’experts pour examiner deux questions concernant la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES). -
Situation du matériel agricole et des pièces de rechanges à l'A.F.M.A
Le présent document relève la situation du matériel agricole et des pièces de rechanges à l'A.F.M.A à travers des tableaux explicites. -
Vingt ans de prévention des crises alimentaires au Sahel : Bilan et perspectives
La première réunion du Réseau de prévention des crises s'est tenue à Paris les 23-24 Octobre 1985. Après trois années de pénurie le Sahel renouait avec une production très honorable : plus de 50% par rapport à l'année 1984. Le Sahel n'allait devoir gérer seulement la pénurie mais aussi parfois des excédents! Cette problématique allait traverser les travaux du Réseau pendant vingt ans. -
Usine intégrée : Egrenage et délintage
Ce descriptif et le plan de masse préliminaire P 0001 annexé précise les prestations de S.I.C cotées dans les proformas.Nota: le plan masse définitif sera établi en fonction du terrain où sera installé l'usine. Il s'agit d'une réalisation« clé en main» qui comprend: 1Prestations études: Direction et Coordination du projet;Établissement des données générales topographiques et physiques pour l'établissement du plan de masse définitif et des conditions d'exécution; Analyse et études des moyens logistiques nécessaires à la réalisation du Projet; Établissement des plans d'exécution dans tous les corps d'état, et des documents nécessaires à la réalisation et la construction complète de l'usine;Liaisons avec le Maître d'ouvrage., les organismes financiers et les autorités administratives locales . -
Production fourragère en zone tropicale et conseils aux éleveurs
Depuis longtemps, des tentatives d'introduction de plantes fourragères cultivées ont été faites dans de nombreux pays d'Afrique tropicale. Si les résultats sont satisfaisants, et même parfois encourageants en station (Burkina-Faso : Farako-ba, Banankélédaga, Mali : Sotuba, Côte d'Ivoire : Bouaké, Sénégal : Sangalkam, etc.) la vulgarisation pose problèmes et rares sont les villages où l'on peut observer des cultures fourragères en place et en bon état. Des obstacles existent, qu'il faut connaître avant de tenter l'introduction d'une culture fourragère. -
Rapport de la formation sur la transformation du jujube (Zyziphus mauritiana)
Le jujubier ou Ziziphus mauritiana est un arbre fruitier de la famille des Rhammnaceae qui pousse dans des sols fertiles ou assez pauvres et même aride. Le jujubier commence à produire la quatrième année après son semis. Les noyaux contiennent 50 % d’huile utilisée dans l’industrie pharmaceutique, en cosmétologie et comme lubrifiant pour les moteurs soumis à haute pression. Dans la pharmacopée africaine, le fruit est recommandé pour le traitement des affections inflammatoires de la gorge, des voies respiratoires, urinaires, il est également utilisé contre la constipation et le diabète. Des recherches sont effectuées en Asie sur ses propriétés tranquillisantes et antalgiques, anti- inflammatoires et broncho-dilatatrices. -
2em Session 2004 du Comité de suivi et d'orientation (CSO) : 28 mai 2004
L'examen des dossiers et leur sélection doivent à titre indicatif tenir compte des éléments d'appréciation suivants : Les activités proposées par le Promoteur vont-elles dans le sens de la résolution des contraintes de développement de la filière concernée conformément au plan d'actions de développement de cette filière; le professionnalisme du Promoteur dans la fIlière ou un segment de la filière (à apprécier à travers son expérience) ; La valeur ajoutée du sous-projet dans la fIlière; L'impact social (création d'emplois, l'effectif des membres de la structure etc.) ; la prise en compte de l'aspect genre ; l'impact sur l'environnement; Les éléments de rentabilité économique et financière; Les dispositions prises par le Promoteur pour assurer la durabilité des activités; l'innovation des activités proposées par le sous-projet.
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Bilan des actions du ministère du développement agricole : période 2000-2004
Dans ses efforts de développement agricole, le Niger est confronté à d'énormes contraintes liées principalement à l'expansion démographique, à la forte pression exercée sur les ressources naturelles et au caractère aléatoire de la pluviométrie qui ont des répercussions néfastes sur la production et la sécurité alimentaire de la population. -
Étude du programme du renforcement de la capacité pour la lutte contre la désertification basée sur la communauté dans le sud de la région de Ségou en République du Mali
Le Mali, situé à la limite du désert du Sahara, est un pays de l'intérieur de l'Afrique Occidentale, qui fait partie du groupe des pays les plus pauvres du monde (PNB de 220 dollar US/2002 par habitant). Cette situation est due à la fragilité de bases économiques et au problème de la désertification qui frappe tout le pays. -
Etude de faisabilité de réhabilitation du département de Dakoro
L'étude de faisabilité du Projet de Réhabilitation du Département de Dakoro a été financée par la Banque Arabe pour le Développement Economique en Afrique (BADEA) à la demande du Gouvermement du Niger. Elle a pour objectif global la définition des actions visant à promouvoir un développement multi sectoriel, basé sur les potentialités et contraintes du département et tenant compte des besoins spécifiques des populations concernées.
Conformément aux termes de références, l'étude de faisabilité a selon l'approche méthodologique du Consultant, été conduite en deux phases:
• le bilan diagnostic de l'ensemble du département;
• l'étude de faisabilité proprement dite.
Les rapports issus de chacune des deux phases ont fait l'objet d'examen et de validation par un comité interministériel. Des observations très pertinentes ont été formulées par le comité à chaque étape et
prises en compte dans le document final concerné.
Toutefois, en dépit de la pertinence des actions proposées par l'étude et qui cadrent parfaitement avec la politique du Gouvernement en matière de mise en œuvre des projets, le coût des actions envisagées dépasse largement le cadre habituel de financement des projets de développement qu'octroie la BADEA pour la période de cinq ans prévue pour ce projet. C'est pour pallier ces insuffisances qu'un avenant a été élaboré en vue de la reformulation du projet en deux phases de durée moyenne (4 à 6 ans) en tenant compte des priorités des populations locales concernées, de celles du Gouvernement en matière du développement du monde rural et des capacités
de financement de ce dernier.
Afin d'aboutir aux résultats attendus et ce, conformément aux TDR de l'avenant, des actions prioritaires à entreprendre ont été proposées en première et seconde phases, parmi celles déjà identifiées et validées dans le cadre de l'étude de faisabilité. Cette proposition a fait l'objet d'une large concertation des services techniques, des autorités administratives et coutumières, des députés nationaux (au titre du département), des projets, ONG et associations socioprofessionnelles du département pour convenir des priorités des actions à programmer en phase 1 et les autres en phase 2 du projet. Egalement, au niveau régional, cette même proposition a été exposée en vue de recueillir les observations et conseils des partenaires concernés par la mise en œuvre du futur projet. Enfin, les propositions d'actions revues à l'issue des rencontres au niveau départemental et régional ont aussi été restituées à nouveau au comité interministériel qui en a validé. Ainsi, le présent rapport représente la version définitive de la phase 1 du projet reformulé, basée sur les propositions amendées et validées par les différents partenaires. -
Projet d'Appui à la Gestion des Ressources Naturelles : l'étude des filières de commercialisation des produits agricoles et forestiers dans le cadre du PAGRN : cas de la datte et de la gomme arabique
Le palmier dattier appartient au genre Phoenix de la tribu des Phoenicea. Aucun vestige de phoenix n’a été trouvé jusqu’à présent dans les zones actuelles de palmiers dattiers, alors qu’un dattier fossile datant du début de l’ère quaternaire fut trouvé en Europe. Ainsi, le continent européen serait considéré comme le centre d’origine du dattier. Les plus anciens documents écrits sur le palmier dattier se trouvent à Babylone et datent de 4000 ans avant JC. Cette plante était le symbole de la fertilité pour les Egyptiens, de la paix pour les chrétiens. Aux Etats-Unis, le palmier fut introduit par les conquêtes espagnoles (NIXON, 1978). A l’heure actuelle on trouve des palmiers dattiers jusqu’aux zones sahéliennes, tels les cas du Manga et du Damagaram au Niger. -
Étude de marché et commercialisation de la pomme de terre au Niger
La culture de la pomme de terre il été introduite au Niger il y a bien longtemps. Les documents de l'administration coloniale font état de son introduction dans la vallée du Goulbin Maradi dès 1912 (1). Dans la région d'Agadez la pomme de terre se cultivait depuis, au moins, les années trente et dans le Dallol Bosso (Bonkoukou), la pomme de terre a été introduite par l'IRAI' depuis 1 <>54. Dans tous les sites la productivité du matériel végétal utilisé et la qualité du produit semblent s'être dégradées au cours des dernières décennies. Cet état de fait est principalement dû au 11011 renouvèlement des plants et de la non maîtrise du parasitisme. -
Conflits fonciers et aménagement hydro-agricoles dans le canton de Dessa
Il Y a un peu plus d'un demi-siècle, en 1947, Pinon décrivait le régime des terres3 dans le canton de Dessa Il en soulignait la grande complexité et notait une tendance marquée vers l'appropriation privée des terres par la chefferie. A côté des terres de chefferie, on notait aussi l'existence d'un domaine foncier propre aux hommes libres (Kourtey et Kado) où les terres sont cessibles, par héritage, par location ou par vente 4. Quant aux « captifs », ou descendants d'esclaves, ils n'avaient guère qu'un droit d'usage sur la terre que leur concédaient les hommes libres (leurs anciens maîtres) et la chefferie, et étaient, de ce fait, astreints au paiement de la « zakat» ou d'une dîme locative (jakurma). -
Le foncier pastoral: évolution et dynamiques actuelles: Le cas du terroir de Dembouten (Tchintabaraden)
De la période coloniale à nos jours, la question du foncier pastoral a été appréhendée de diverses manières selon les conjonctures politiques et économiques. L'administration coloniale ne s'est pas préoccupée de la gestion de l'espace, focalisant plutôt son action sur le domaine de la santé animale pour préserver les animaux contre les grandes épizooties qui les décimaient. L'idéologie des terres vacantes et sans maîtres était encore prégnante et ne permettait ni de s'intéresser aux droits des éleveurs ni à la gestion des ressources naturelles par ces derniers. Aux lendemains des indépendances, l'élevage devient un des axes prioritaires de la politique de développement rural du régime du Rassemblement démocratique africain (RDA). C'est ainsi que l’État a fixé une limite nord des cultures. La loi n061-005 du 27 mai 19961 interdit la pratique de l'agriculture au-dessus de l'isohyète 350 mm qui est une bande, située au nord des arrondissements de Filingué, Tahoua, Dakoro, Tanout, Gouré et N'guigmi. Seules les productions vivrières de subsistance des pasteurs et les cultures d'oasis y sont autorisées. Les dégâts commis dans cette zone par les animaux sur les cultures ne sont pas susceptibles de dédommagement. Il s'agissait donc d'une volonté de réserver une portion du territoire national aux activités de l'élevage. -
Étude sur les filières et les systèmes de production de la Komadougou
Le cadre de cette mission se situe en début d’exécution du Projet d’Appui aux Producteurs de la Komadougou (PAPAK), défini comme sous projet du Projet d’Appui Danois au développement Rural dans les régions de Zinder et de Diffa (ADDR, phase II, 2003-2007), financé par la Coopération Danoise. La présente étude est essentiellement à finalité d’appui méthodologique à l’équipe du PAPAK, en conformité aux termes de référence : L’objectif principal du volet de l’étude relatif aux filières de commercialisation et d’approvisionnement est recentré sur l’appui méthodologique que la mission apportera à l’équipe projet. Il a été reformulé dans les termes suivant : Avoir créé toutes les conditions (démarche et outils) de la maîtrise par l’équipe du projet, sur la base d’une pratique de l’analyse économique et organisationnelle concertée avec les acteurs, appliquée à un nombre limité de filières. L’objectif du volet de l’étude des systèmes de production a été reformulé dans les termes suivants : Avoir défini avec l’équipe du projet une approche méthodologique centrée sur l’analyse et le conseil en gestion des exploitations. -
Étude sur l’approfondissement du diagnostic et l’analyse des systèmes de production agro-sylvo-pastoraux dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de développement rural
Le présent document traite des informations recueillies dans la région d'Agadez. Les éléments d’analyse présentés sont les résultats d’intenses travaux entre les consultants et les cadres régionaux des ministères de l’hydraulique de l’environnement et de la lutte contre la désertification, du développement agricole, des Ressources Animales, du Développement Communautaire. D’autres structures ont été également associées. Il s’agit de l’éducation, la santé, le commerce, l’artisanat, des organisations de producteurs et de commerçants.