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Termit et Tin-Toumma refuges de la faune au Niger
De manière générale, cette vidéo fait état de la gestion de la faune dans la Réserve Naturelle Nationale de Termit et Tin-Toumma. En effet, cette réserve couvre la vaste superficie de 86 215 km². Elle est l'une des plus grandes aires terrestres protégées au Monde. La Réserve réunit trois écosystèmes remarquable : le massif de Termit, le désert de Tin-Toumma, et un écosystème sahélosaharien. -
L'élevage face à l'insécurité civile au Sahel et en Afrique de l'Ouest
Depuis 2012, l’insécurité affecte les zones traditionnelles d’élevage : Conflits politico-militaire, terrorisme, vol de bétail, trafic de tout genre, circulation des armes légères, banditisme et criminalité transfrontalière, etc. Les crises sécuritaires sont devenues de plus en plus complexes et imbriquées, confinant une frange croissante de la population rurale régionale dans la précarité et la vulnérabilité. Plus que tous les autres secteurs d’activités, le secteur de l’élevage et plus particulièrement les systèmes agropastoralisme et pastoral transhumant sont touchés par la crise sécuritaire. -
Concertation de haut niveau sur la dynamisation du cadre de concertation : Maradi (Niger) et Katsina (Nigeria) pour la sécurisation de la transhumance et la mobilité transfrontalière du cheptel
A l’initiative conjointe de la CEDEAO, du CILSS, du Gouvernement du Niger, du RBM, du Gouvernorat de Maradi, et de l’Etat fédéré de KATSINA a été organisée le samedi 14 mai 2022 une concertation de haut niveau sur la dynamisation du Cadre de concertation Maradi - Katsina pour la sécurisation de la transhumance et la mobilité transfrontalière du cheptel entre le Niger et le Nigeria. -
Stratégie Régionale Climat (SRC) de la CEDEAO et Plan d’actions (2022-2030)
Représentant actuellement seulement 1,8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES)2, les pays de l’espace CEDEAO contribuent de façon très faible au réchauffement climatique. Pour autant, le continent africain se situe au cœur des enjeux des changements climatiques de cette première moitié du 21ème siècle. Selon les scenarios les plus pessimistes, l’Afrique de l’Ouest connaîtra, d’ici à 2060, une augmentation de température de +2,3°C, soit un réchauffement de +0,6°C par décennie. Les précipitations seront quant à elles, plus erratiques et entraineront un accroissement de la fréquence et de l’intensité des aléas climatiques extrêmes déjà connus dans notre région : inondations, variabilité pluviométrique accrue, érosion côtière et des sols dans les bassins fluviaux, poches de sécheresse extrêmement longues, entre autres corollaires , avec des conséquences humaines et économiques dramatiques sur l'ensemble des secteurs économiques et sur les populations les plus vulnérables, dont notamment les femmes, les jeunes et les personnes âgées. -
Agriculture, développement rural, biodiversité : cadre d'intervention sectoriel
Ce document a pour objectif de présenter les orientations du groupe AFD dans le secteur de l’agriculture, du développement rural et de la biodiversité. Ces orientations s’inscrivent dans la droite ligne de différents engagements internationaux, français et spécifiques à l’AFD décrits plus loin. Elles constituent une déclinaison de la stratégie territoriale et écologique de l’Agence pour les secteurs concernés. Elles sont complétées par plusieurs notes thématiques, notamment sur les forêts et les océans. S’agissant de la biodiversité, ce document traite des interventions de l’AFD directement dédiées à la préservation, la restauration et la gestion des écosystèmes naturels, et décrit les modalités d’intégration des enjeux de biodiversité dans le secteur de l’agriculture et du développement rural. La prise en compte transversale de la biodiversité dans l’ensemble des secteurs d’intervention de l’AFD est abordée dans d’autres documents de référence, et en particulier dans la feuille de route transversale «biodiversité » de l’Agence. -
Plan de gestion des pestes et des pesticides
La Banque Africaine de Développement (BAD) en collaboration avec le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) a initié depuis 2014 le financement et la mise en œuvre du Programme régional de résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2RS) au profit de sept (7) pays membres du CILSS dont le Niger. En effet, une solution durable à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel nécessite l’amélioration de la résilience au changement climatique, le financement à long terme du secteur agricole et le développement du commerce et l’intégration régionale. C’est dans ce cadre que le Programme de Renforcement de la Résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2RS) a été conçu. L’objectif sectoriel du programme est de contribuer à la réduction de la pauvreté et à l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel. Son objectif spécifique est d’accroître, sur une base durable, la productivité et les productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques au Sahel. -
Cadre juridique et institutionnel : Niger
Les Fiches « Analyse des cadres juridiques et institutionnels » du CTFD fournissent par pays, un état des lieux des dispositifs organisant le foncier et l’accès aux ressources naturelles (renouvelables ou non), et en étudient les liens avec les processus de décentralisation à l’œuvre dans les différents États. Elles proposent une analyse institutionnelle et juridique, tout en portant un regard éclairé sur les pratiques et les dynamiques politiques.