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Document de politique et stratégie de promotion coopérative au Niger
De nombreux discours sur le progrès social dans le monde présentent la coopérative comme un moyen privilégié de lutte contre la pauvreté. Grace à l'auto emploi, à la création d'emplois et à la promotion des activités génératrice de revenus dans les milieux défavorisés,elle constitue un important outil d'auto assistance des personnes économiquement exclues de nos sociétés. En effet, il est aisé de comprendre que le regroupement des efforts et des moyens par des individus disposant des moyens limités permet d'accroitre leurs capacités individuelles et collectives.Le système coopératif dont l'une des règles de base est l'équité en est un outil important qui incite à la promotion de l'effort individuel et permet une meilleure répartition des revenus. -
Plan de Développement Économique et Social : sous secteur agriculture (2000-2004)
L'agriculture représente la principale activité de plus de 85% de la population active du pays. Sa part au PIB national a représenté, au cours de ces quatre dernières années. -
Plan national d'adaptation aux changements climatiques
Les impacts des changements climatiques sont observés au niveau mondial, régional, national et local et appellent à une action collective. Pour le Niger, pays en développement, et très vulnérable aux effets néfastes des changements climatiques, la mise en œuvre des actions d’adaptation y compris le renforcement de la coopération internationale s’avère nécessaire. Ainsi, le Gouvernement du Niger s’est engagé dans plusieurs initiatives à travers le Conseil National de l’Environnement pour un Développement Durable (CNEDD), organe multisectoriel qui coordonne la mise en œuvre des politiques liées au climat. Depuis 2014, la préparation du Plan National d’Adaptation (PNA) aux changements climatiques a été lancée afin de promouvoir, à moyen et à long termes, l’intégration de l’Adaptation aux Changements Climatiques (ACC) dans les politiques et stratégies de développement du pays afin de réduire la vulnérabilité des secteurs de développement et de renforcer leur résilience. -
Stratégie Régionale Climat (SRC) de la CEDEAO et Plan d’actions (2022-2030)
Représentant actuellement seulement 1,8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES)2, les pays de l’espace CEDEAO contribuent de façon très faible au réchauffement climatique. Pour autant, le continent africain se situe au cœur des enjeux des changements climatiques de cette première moitié du 21ème siècle. Selon les scenarios les plus pessimistes, l’Afrique de l’Ouest connaîtra, d’ici à 2060, une augmentation de température de +2,3°C, soit un réchauffement de +0,6°C par décennie. Les précipitations seront quant à elles, plus erratiques et entraineront un accroissement de la fréquence et de l’intensité des aléas climatiques extrêmes déjà connus dans notre région : inondations, variabilité pluviométrique accrue, érosion côtière et des sols dans les bassins fluviaux, poches de sécheresse extrêmement longues, entre autres corollaires , avec des conséquences humaines et économiques dramatiques sur l'ensemble des secteurs économiques et sur les populations les plus vulnérables, dont notamment les femmes, les jeunes et les personnes âgées. -
Stratégie régionale climat (SRC) de la CEDEAO : version courte
Représentant actuellement seulement 1,8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES)1, les pays de l’espace CEDEAO contribuent de façon très faible au réchauffement climatique. Pour autant, le continent africain se situe au cœur des enjeux des changements climatiques de cette première moitié du 21ème siècle. Selon les scenarios les plus pessimistes, l’Afrique de l’Ouest connaîtra, d’ici à 2060, une augmentation de température de +2,3°C, soit un réchauffement de +0,6°C par décennie. Les précipitations seront quant à elles, plus erratiques et entraineront un accroissement de la fréquence et de l’intensité des aléas climatiques extrêmes déjà connus dans notre région : inondations, variabilité pluviométrique accrue, érosion côtière et des sols dans les bassins fluviaux, poches de sécheresse extrêmement longues, entre autres corollaires, avec des conséquences humaines et économiques dramatiques sur l’ensemble des secteurs économiques et sur les populations les plus vulnérables, dont notamment les femmes, les jeunes et les personnes âgées. -
Plan Stratégique de Développement 2022-2026 du FISAN
Le Plan Stratégique de Développement (2022-2026) du FISAN s’intègre dans les politiques nationales et stratégies sectorielles du gouvernement. Il s’agit notamment de l’Initiative 3N d’où il tire sa légitimité et sa raison d’être, la Stratégie Nationale de la Finance Inclusive (SNFI) qui lui fournit les outils d’interventions et toutes les stratégies transversales qui donnent des orientations permettant de mettre en place un cadre harmonisé et formel de financement Agricole. De manière spécifique, les interventions du FISAN s’inscrivent dans cinq programmes opérationnels du plan d’action 2021-2025 de l’I3N. Il s’agit de i) PO1 : Accroissement des productions sous irrigation ii) PO2 : Augmentation des productions des cultures pluviales iii) PO3 : Accroissement et Diversification des Productions Animales ; iv) PO5 : augmentation des productions issues de la transformation (artisanale et agro-industrielle) des produits locaux et v) du PO6 : Augmentation de la disponibilité et de la mise en marché des produits issues de la transformation (artisanale et agro-industrielle) sur les marchés intérieurs et extérieurs. -
Plan de Développement Économique et Social (PDES) 2022-2026 : Volume I Diagnostic stratégique
Le présent rapport d'analyse diagnostique constitue la première phase du processus de formulation du PDES 2022-2026. Cette analyse porte sur la situation de gouvernance, du développement du capital humain, des infrastructures et équipements, du secteur privé et de la modernisation du monde rural. Elle prend en compte les contributions régionales et sectorielles, ainsi que différentes études réalisées dans ces domaines. -
Feuille de route nationale semencière du Niger
La Feuille de Route Nationale Semencière (FdRNS) est un document stratégique qui guide les acteurs du secteur semencier du Mali à œuvrer pour une augmentation de l'accès et de l'utilisation de semences de qualité de variétés améliorées par les agriculteurs. Le document est une contribution essentielle à l'élaboration des principales politiques publiques agricoles. Il peut également servir à guider le gouvernement, les acteurs du secteur semencier et les partenaires de développement dans l'exploration et l’accord sur les moyens pour favoriser le développement du secteur semencier de manière coordonnée, harmonisée et structurée. La FdRNS développe une vision, décrit les réussites et les défis actuels, les ambitions et les voies d'innovation stratégiques contribuant à la réalisation de ces ambitions. La FdRNS est structurée autour de trois questions principales à propos de la performance du secteur semencier : (i) « Où en sommes-nous ? » (ii) « Où voulons-nous aller ? » et (iii) « Comment y arriverons-nous ? ». La base de ce document est le Guide de référence du secteur semencier du Mali (Bonnand et al., 2022a), les brèves de cultures (KIT, 2022) et l'atelier multipartite tenu à Bamako en Novembre 2021 constituant la réponse à la question « Où en sommes-nous ? ». -
La nouvelle Stratégie de la Grande Muraille Verte
L'élaboration de cette nouvelle stratégie et de son plan décennal de mise en œuvre a été précédée d'une analyse FFOM (Forces, Faiblesses, Opportunités et Menaces) détaillée, qui a été partagée avec un grand nombre de parties prenantes afin de recueillir leurs commentaires et leurs contributions. La stratégie définit la mission, la vision, les valeurs et les principes directeurs pour la prochaine décennie (2023-2030). Concernant les valeurs et les principes directeurs, la nouvelle stratégie promeut l’approche axée sur les liens (approche « nexus »). Elle met l'accent sur le lien entre gestion durable des terres, de l’eau et des sols, intégrant la conservation de la biodiversité et la gouvernance à travers les secteurs et les échelles. Cette approche repose sur l'idée que les ressources environnementales sont liées entre elles.