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Fiche technico-économique pour la culture de la tomate Région d’Agadez
La tomate est l’une des principales cultures maraichères pratiquées dans la région d’Agadez. Elle est produite toute l’année. Le cycle de production par campagne dure entre 100 et 120 jours. Les superficies exploitées par producteur varient entre 160 et 6.700 m²1. Le rendement moyen est près de 11 tonnes à l’hectare (variant entre 2 et 29 T/ha). Avec une superficie moyenne de 1.000 m², on obtient un produit de 210.000 F.CFA pour 47.400 F.CFA de charges opérationnelles, soit une marge brute de 162.600 F.CFA. -
Comment tailler les tomates ?
Conseil d'un horticulteur pépiniériste sur la taille des tomates -
Lutte biologique contre les ennemis du chou
Explications sur les techniques de lutte biologique données par un horticulteur français -
Fiche technico-économique pour la culture de chou
Cette fiche aborde plusieurs sujets : comment cultiver le chou, choisir les semences, entretenir une culture de chou, et le commercialiser -
# Dossier photographique : Production de tomate en hivernage
Le site de production de tomate de Tolkoboye est situé à une dizaine de kilomètres de la ville de Ouallam, Plus de 700 femmes exploitent . Elles proviennent des villages et hameaux environnants et sont toutes membres d'une OP.
La production de tomate au mois d'aout procure plus de revenu à ces femmes (période de pénurie de ce produit) -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Les larves de la mouche du chou et les chenilles de divers papillons provoquent les principaux dégâts d’insectes en
culture biologique de chou, et peuvent être responsables d’importantes pertes économiques. Cependant, une vigilance accrue et divers moyens de lutte permettent de limiter ou éviter ces dégâts. Les altises, pucerons et aleurodes peuvent également demander une attention particulière. Vous trouverez dans cette fiche quelques points de vigilance concernant les principaux ravageurs du chou. -
# Dossier photographique : Dégâts de la teigne sur un champ de chou
L’importance des dégâts causés au Niger ?
La teigne des choux est un sérieux problème pour l’économie et la sécurité alimentaire au Niger. Ainsi, elle peut occasionner des pertes totales de la production. Ce phénomène oblige, dans beaucoup de localités au Niger, les petits producteurs maraîchers à abandonner leurs cultures.
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Les semences de tomate disponibles au Niger
Au Niger, la tomate est cultivée dans toutes les régions. Cependant, les productions demeurent beaucoup plus faibles pendant la période de saison sèche chaude et la période d’hivernage. En général, les sachets ou boites de semences ne donnent pas d’informations sur la variété proposée : période de culture, caractéristiques, techniques à suivre et surtout résistance* 1 ou tolérance* à certaines maladies présentes au Niger. De plus, si la photo du sachet donne la forme de la tomate, elle ne permet pas de juger de la taille des fruits, ce qui trompe souvent les producteurs. Cette liste a pour objectif de permettre aux productrices et producteurs de mieux choisir la ou les variétés à mettre en culture en fonction de la période, de la taille des fruits, des maladies pouvant être présentes dans leurs parcelles. -
Fiche technico-économique pour la culture de chou / Région de Zinder
Le chou se cultive sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder. Il est produit sur les sites de Ichirnaoua, Guidimouni, Wacha, Falki, Fotoro, Doungou, sur le long de la Korama et sur le site de Tiss. Il est le plus souvent cultivé en saison sèche froide sur des superficies comprises entre 500 à 2 500 m2.
Sur une superficie de 2 500 m2, il est produit en moyenne 9 tonnes de chou et ce qui permet de générer des produits de 660.000 F.CFA pour 87.000 F de charges opérationnelles soit une marge brute de 573.000 F et un ratio (produits / charges opérationnelles) supérieur à 7.
La main-d’œuvre et la fertilisation (fumures organique et minérale cumulées) sont les principales charges opérationnelles. Ensuite suivent le carburant/entretien GMP et achat des semences, également non moins importants. Les besoins en trésorerie sont surtout concentrés sur le 2ème mois de culture en novembre (voir D. Calendrier). Les coûts de main d’œuvre représentent 28% des charges opérationnelles. Au sein de ces coûts de main d’œuvre, ceux liés au transport (50%), sont les plus importants. -
Effets de la fertilisation à base de la biomasse du Sida cordifolia L. sur les performances agronomiques et la rentabilité économique de la tomate (Lycopersicum esculentum Mill.) en culture irriguée
Publication scientifique, sur l'effet de la fertilisation organique de type "engrais vert" sur la culture des tomates en irrigué. -
Protection intégrée de la tomate en Guyane
Nous détaillons ici les techniques de production de la tomate en pleine terre. Les techniques de production hors-sol sont complexes et ne seront pas détaillées ici. Par la suite, les problématiques phytosanitaires et les méthodes de lutte seront traitées. Production des plants en pépinière. Le semis est réalisé au préalable en terrine ou en mini-motte dans un terreau sain. Les graines germent en 3 jours avec une température du sol de 20 à 25 °C. Après 12 jours, les plantules sont repiquées dans des mottes de terreau de 7 cm ou en godet.En cas d’ensoleillement intense, une ombrière peut être installée pour protéger les plantules. -
Informations parues dans la presse sur la transformation de tomate en Afrique de l’Ouest
Au Nigeria, le marché de la tomate et de ses produits dérivés est parmi l’un des plus importants en Afrique. Selon les estimations, le pays importe environ 150 000 tonnes de concentrés de tomate par an. Par ailleurs, selon un rapport du cabinet d’audit PricewaterhouseCoopers (PwC), la valeur des achats a atteint en moyenne 360 millions $ en 2017 [RECA : environ 180 milliards F.CFA] contre 200 millions $ en 2013.