Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture de l'aubergine et de la pomme de terre. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures.
On dit du violet de Galmi qu’il est le plus célèbre des oignons ouest-africains. Dans la vallée de la Maggia, dans la région de l’Ader au Niger (à 500 kilomètres de Niamey sur la route nationale N°1), on cultive des oignons depuis plusieurs siècles, à cause de la présence de terres riches et de nappes phréatiques permettant l’irrigation en saison sèche. En 1965, l’Institut français de recherche en agronomie tropicale (Irat) lance un programme de sélection variétale à partir de souches d’oignons de la vallée de la Maggia. Et en 1975, cela aboutit au violet de Galmi. Explications avec Moumouni Dagna, docteur en développement rural, ingénieur agroéconomiste qui travaille à la direction ces études et de la programmation au ministère de l'Agriculture et de l'Elevage à Niamey.
Les larves de la mouche du chou et les chenilles de divers papillons provoquent les principaux dégâts d’insectes en
culture biologique de chou, et peuvent être responsables d’importantes pertes économiques. Cependant, une vigilance accrue et divers moyens de lutte permettent de limiter ou éviter ces dégâts. Les altises, pucerons et aleurodes peuvent également demander une attention particulière. Vous trouverez dans cette fiche quelques points de vigilance concernant les principaux ravageurs du chou.
L’importance des dégâts causés au Niger ?
La teigne des choux est un sérieux problème pour l’économie et la sécurité alimentaire au Niger. Ainsi, elle peut occasionner des pertes totales de la production. Ce phénomène oblige, dans beaucoup de localités au Niger, les petits producteurs maraîchers à abandonner leurs cultures.