Tomates locales de très grandes tailles pouvant peser entre 1,5 et 2 kg dénommées « El Sittin » en Haoussa par les producteurs ce qui signifie 60 jours, soit le nombre de jours entre le repiquage et la récolte
Tsutsar tumati da ake cema Noctuelle wani dan karamin malan batata ne yake futowa da dare yana neman abincin shi. Wanan malan batatan nada launi toka toka. Wanan hoton na nuna karamar tutsar da irin bannar da take hadasa wa a cikin diyan tumati musaman ma a lokacin zahi,haka zalika jinjirara tsutar na apkama ma sauran albarkatun noma kamar su tattasai da miyar kubewa da kuma kada da masara, wanan tsutar ita ce tafi bata tumati a lokacin rani,ana samun ta a cikin jahohin kasa ga baki daya.
Tomaato nooniizo wo ciini alfaga caw-caw no, zama a si fatta kala za wayna kaù kala mo ma bo. Da ba yaù, alfaga caw-caw wone hari boosa boosa no fatey ga ga. Tira wo, tomaato nooniizo bon no a ga salaù zama nga no ga ti tomaato aùùwaara i kulu ilaala, waana waana hayni waate. Tomaato nooniizo ga tuurize boobo digsa sanda tattaasa, la wala binde haabu wala mo kolkoti. Tomaato nooniizo ga ti, hayni ra, tomaatey aùùwaara laala. Niizer jarjarey kulu ra no a ga diya.
Cette note présente le contenu d’une émission radio préparée par des agents du RECA, de la DGPV et de l’INRAN puis enregistrée en Zarma et en Haoussa avec la radio Jeunesse de Goudel pour être diffusée sur l’ensemble des régions du Niger.
Cette note est rédigée suite à la visite d’un site maraîcher dont certains producteurs ont bénéficié d’une formation sur la protection phytosanitaire organisée par la Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey et la Fédération des Coopératives Maraichères du Niger dans le cadre du contrat de performance entre l’Etat et les Chambres d’Agriculture. La visite a permis un suivi de la formation reçue, de voir avec les producteurs les problèmes qu’ils rencontrent sur les cultures maraichères et de donner des conseils ou propositions de solutions. Au total, les entretiens ont concerné 15 producteurs.
Ce guide est destiné à toutes les personnes désirant réaliser une fertilisation qui optimise la qualité de la production et le résultat économique du verger, tout en préservant l’environnement. Une première étape, indispensable pour aboutir à ce résultat, réside dans une bonne connaissance des besoins des différentes espèces fruitières. Comment se nourrit l’arbre ? Quels sont les éléments minéraux nécessaires et en quelles quantités ? À quels moments sont-ils prélevés ? L'observation du fonctionnement du sol est la base de la nutrition des arbres fruitiers. Cela passe par une observation indispensable du profil racinaire des arbres, une bonne préparation du sol avant plantation et une gestion de l'alimentation hydrique adaptée au sol. Pour faciliter le raisonnement différents outils sont actuellement disponibles. L’analyse de sol guide sur les fumures de correction à apporter. Le reliquat azoté permet un pilotage en temps réel de la fumure azotée du verger. Enfin l’analyse foliaire permet de valider le pilotage de la fertilisation réalisé à partir de l’analyse de sol et du reliquat azoté.