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PromAP -- Formation des OP des femmes et jeunes adultes en conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région de Tahoua
Le présent rapport rend compte du déroulement et de l’évaluation d'une mission de formation , par le Cabinet Agri-Bilan pour l’animation d’une formation sur la transformation et la conservation des produits maraichers. L’a formation a regroupé les associations féminines de 13 groupements féminins de la région de Tahoua sur les innovations et les problèmes liés aux techniques de conservation et transformation de l’oignon, tomate, chou et pomme de terre récoltés sur leur exploitations . -
Moringa : prévention des maladies chroniques dégénératives
On l’appelle le Moringa, c’est un arbre qui pousse dans les zones tropicales. On le connaît bien en Inde et en Afrique.
Aujourd’hui, on va vous le vendre comme plante miracle.
Qu’en est-il exactement ?
Voici mon point de vue sur le sujet, comme toujours ancré dans la science et la tradition plutôt que dans le marketing gonflé à l’hélium.
www.altheaprovence.com/moringa-prevention-maladies-chroniques-degeneratives/ -
Moringa oleifera dans la résilience et la sécurité alimentaire des populations de la commune urbaine de Tibiri Gobir au Niger
L’objectif de notre travail est d’identifier les combinaisons alimentaires à base de Moringa, leurs fréquences de consommation journalière ainsi que sa contribution dans la sécurité alimentaire. L’enquête à ainsi permis d’identifier cinq combinaisons alimentaires faites de feuilles cuite du Moringa dans cette zone. Il s’agit de feuilles cuites du Moringa avec du piment, du tourteau, de la farine de manioc, du riz et du couscous. -
Stratégies d’adaptation du Mil (Pennisetum glaucum [L.] R.Br) face à la variabilité et au changement climatique au Niger : Prise en compte des Perceptions communautaires et des techniques agronomiques dans la gestion des risques agroclimatiques.
L’objectif de ce travail est de rendre la culture du mil encore plus résiliente face au changement accentué du climat en liant les connaissances scientifiques aux perceptions communautaires. Pour cela, une enquête sur les risques agroclimatiques a été conduite sur 361 chefs de ménage de l’ouest du Niger et des techniques de transplantation et des coupes des feuilles des jeunes plants ont été testées au Centre Régional AGRHYMET. Les résultats des essais ont été évalués avec le Modèle SARRA_H par rapport au climat futur et auprès des paysans. Les résultats de l’enquête ont montré que les communautés sont conscientes des risques agroclimatiques, dont les plus fréquents et les plus sévères sont la fin précoce des pluies, les vents de sable en début de saison et les séquences sèches. -
Gestion intégrée des foreurs de tiges du mil à Maradi, Niger
L’objectif alloué à cette étude est de générer des combinaisons des méthodes pour une gestion intégrée des foreurs de tiges du mil en vue d’augmenter le rendement du mil au Niger. L’étude est basée sur l’utilisation des variétés, de la densité du semis et de la fumure organique pour une gestion intégrée des foreurs de tige du mil au Niger. -
Effets de la transplantation de jeunes plants sur la croissance et le développement du mil au Niger
Le mil est la plante la plus cultivée dans la zone sahélienne en général et au Niger en particulier. A l’instar des autres céréales pluviales, cette culture reste tributaire des conditions agro-climatiques et phytosanitaires très aléatoires dans la zone. Dans le but de proposer de bonnes techniques d’adaptation du mil face aux variabilités climatiques, les effets de la transplantation (précoce et tardive) de jeunes plants ont été testés sur la croissance et le développement de trois variétés de mil à savoir HKP (cycle de 90 jours), Sounna 3 (cycle de 105 jours) et Somno (photopériodique). Les résultats obtenus ont montré que la transplantation des plants, préalablement cultivés en pépinière, pendant environ un mois avant la date de début de la saison des pluies et transférés au champ dès la première pluie utile (≥ 15mm), a permis de réduire significativement la durée de la croissance végétative des plants au champ (notamment la durée du stade tallage). Elle a également permis d’augmenter les rendements en pailles et en grains des variétés à cycles courts (HKP et Sounna 3), par rapport au traitement témoin. Quant au traitement de la transplantation tardive de plants issus d’une pépinière mise en place le jour de la première pluie utile, elle a entrainé une réduction des rendements en pailles et en grains de toutes les variétés testées, sans avoir un effet significatif sur la durée des phases phénologiques. De par les résultats obtenus, on peut déduire que cette technique est assez prometteuse pour accroitre la production du mil dans le contexte de variabilités climatiques au Sahel.