Recherche
14 items
-
Comment l'utilisation des technologies de l'information transforment-elles les dispositifs de conseil ?
Une enquête auprès des 17 16 services au Burkina -FasoLe Groupement Inter-réseaux Développement Rural – IRAM – CERFRANCE – CIRAD a été mobilisé par l’Agence Française de Développement (AFD) pour engager une réflexion sur le conseil agricole. Ce processus s’inscrit dans le cadre de la formulation d’une stratégie qui guidera l’AFD dans le dialogue avec les pays partenaires et dans les réflexions internationales sur le conseil agricole. C’est dans ce contexte que le CIRAD a été mandaté pour la réalisation de la présente fiche de capitalisation. -
Catalogue Régional des Espèces et Variétés Végétales CEDEAO-UEMOA-CILSS - Variétés homologuées 2016-2018
Les variétés homologués des cultures suivantes : riz, maïs, sorgho, mil, arachide, niébé, manioc, igname, pomme de terre -
Plan d'opération 2018 : Schéma programmatique
Le présent document est annexe dans laquelle les différentes activités du CILSS sont détaillées pendant l'année 2018. -
Plan d'opération 2018
La zone d'intervention du CILSS est régulièrement affectée par des crises alimentaires à répétition, la crise énergétique, l'avancé de la désertification, la pression démographique, la variabilité et les changements climatiques. Face à ces difficultés, les défis majeurs que le CILSS doit relever sont entre autre la sécurité alimentaire, la gestion durable des ressources naturelles, la maitrise de l'eau, la fluidification des échanges intra régionaux des produits agro-pastoraux, la transition démographique, en d'autres termes le développement durable. -
Projet de budget 2018 du Système CILSS
Le budget 2018 a été préparé conformément aux dispositions du Règlement financier du CILSS et est exprimé en FCFA. -
Rapport administratif et financier au 31 Décembre 2017
Le système comptable du CILSS se compose d'une comptabilité budgétaire et d'une comptabilité générale. Ces deux comptabilité sont tenues en francs CFA par une année civile allant du 01 Janvier N au 31 décembre N. -
Biodiversité et carbone organique des sols : entretenir les zones arides
La biodiversité des sols et le carbone organique des sols sont essentiels au fonctionnement des écosystèmes et déterminent en grande partie le rôle de la terre dans la production de nourriture, le stockage de l’eau et l’atténuation des changements climatiques. Ils sont la clé pour débloquer les multiples avantages économiques et environnementaux – la multifonctionnalité – de la terre.
La restauration ou la préservation de la biodiversité des sols et du carbone organique des sols nécessite soit une augmentation des apports en matière organique, soit une réduction des pertes de carbone, ou les deux. Il est particulièrement important de préserver le carbone organique des sols (COS), voire l’augmenter si possible.
Dans les sols des zones arides, les niveaux du COS sont souvent bas et proches du point de basculement où la restauration ne serait plus possible, laissant place à une dégradation irréversible des sols. Cependant, les mesures visant à accroître la biodiversité des sols et le carbone organique des sols peuvent prendre de nombreuses années. La restauration des terres dégradées pouvant être coûteuse, il est préférable a priori d’éviter de sa dégradation et ce par l’adoption de méthodes de gestion durable des terres et la protection durable de paysages agricoles. -
Les défis de la pérennisation des banques d'aliments du bétail dans la perspective de la promotion d'économies pastorales viables au Sahel et en Afrique de l'Ouest
Les banques d’aliments du bétail peuvent contribuer à la régulation du marché, grâce à la qualité du système de gestion déléguée qui permet de garantir la reconstitution périodique des stocks, tout en offrant au gestionnaires la possibilité de maîtriser leurs marges bénéficiaires et d’éviter de compromettre l’accessibilité financière des produits. Le renforcement de ces stocks permettra d’exercer une réelle influence susceptible de peser sur le phénomène de la spéculation sur les prix de l’aliment du bétail. -
L'accès à l'alimentation du bétail, clé de la sécurisation des pasteurs et éleveurs : vers des producteurs d'approvisionnement des marchés institutionnels harmonisées, adaptées et reconnues
Cette note présente les enjeux d’un accès facilité à l’aliment du bétail pour les pasteurs et agropasteurs sahéliens, dans le cadre de la sécurisation et du renforcement de la résilience des systèmes de production mobile, de l’amélioration de la productivité, de la gestion des crises pastorales et de la prévention des crises alimentaires des ménages d’éleveurs. Sur la base d’une analyse des spécificités des marchés de l’aliment du bétail, elle résume les propositions de modalités et procédures d’approvisionnement recommandées pour la passation des marchés institutionnels en Afrique de l’Ouest, passés par les organisations de producteurs, les institutions publiques nationales, régionales et internationales, ainsi que les ONG. Ces modalités sont détaillées dans le projet de manuel de procédures élaboré par le Réseau Bilital Maroobé, dans le cadre du projet PROPILAB, sur financement de l’Agence Régionale pour l’Agriculture et l’Alimentation. -
La décentralisation et la mobilisation des stocks d'aliments du bétail dans la zone du Niger oriental pour s'adapter aux exigences des systèmes d'élevage mobile
Située à l’Est du Niger, la région de Diffa se caractérise par la cohabitation de plusieurs communautés de pasteurs qui s’y sont implantées à une période relativement ancienne pour certains et plus récemment pour d’autres. L’histoire de cette zone est marquée par des vagues successives de migrations qui ont donné lieu à une composition sociale hétérogène comprenant cinq groupes ethniques principaux (Peul, Boudouma, Toubou Kanouri et Arabes) dont certains se répartissent en plusieurs sous-groupes. Les flux migratoires ont varié en intensité suivant le caractère pacifique ou violent des périodes concernées : exodes massifs de populations à la recherche de nouvelles aires d’implantation à certaines périodes et diffusion lente à d’autres moments, avec l’arrivée en ordre dispersée de petits groupes de migrants qui ont fini par se fixer en fonction des opportunités. -
Un modèle de dispositif de conseil multi-acteurs, porté par une filière locale et autour d'un acteur pivot, un centre de collecte laitier paysan multi-service
Au Niger, une grande réforme du conseil agricole a été lancée en 2016. Le nouveau système national de conseil agricole SNCA se base sur une multitude de dispositifs de conseil sur le terrain - publics, de la profession agricole et privés. Les dispositifs publics sont d’ailleurs aujourd’hui minoritaires. Parmi ces dispositifs, il existe des dispositifs originaux portés par la filière lait local autour de centres de collecte laitiers paysans multiservices. Les centres de collecte reposent sur cinq piliers : (1) un bassin de production à l’amont ; (2) la contractualisation avec un industriel à l’aval ; (3) une gouvernance paysanne ; (4) multiservices : approvisionnement, collecte/commercialisation, conseil ; (5) collecter, refroidir, contrôler la qualité et vendre du lait cru plutôt que de le transformer (ce ne sont pas des mini-laiteries). -
Projet de renforcement de la résilience par le biais des services BRICKS liés à l’innovation, à la communication et aux connaissances
Cette note, la troisième du genre consacrée à la fixation des dunes , s’inscrit dans le cadre des semaines thématiques initiées par le Projet de renforcement de la résilience par le biais de services liés à l’innovation, à la communication et à la gestion de connaissances (BRICKS) en appui au Programme Sahel et Afrique de l’Ouest (SAWAP) en appui à l’initiative de la Grande muraille verte (GMV). L’objectif du projet est de favoriser la mise à l’échelle des bonnes pratiques de gestion durable des terres en partageant des informations techniques, institutionnelles, économiques et de contraintes pour la mise à l’échelle. -
Note de cadrage : amélioration de la santé animale en zone sahélienne
Dans les sociétés sahéliennes, l’élevage des ruminants domestiques (bovins, ovins, caprins et dromadaires) tient une place prépondérante en raison de l’aptitude de ces animaux à valoriser des terres souvent peu propices aux cultures végétales pluviales. Les systèmes d’élevage sahéliens, basés sur la mobilité des éleveurs et de leurs troupeaux sont particulièrement bien adaptés à ce milieu difficile. La productivité des troupeaux conditionne la qualité de vie et les revenus des populations humaines. La maîtrise de la santé animale est un facteur majeur de cette productivité et, par conséquent, du bien être des ménages pastoraux et des économies nationales. La présence et l’opérationnalité des services vétérinaires sont ainsi reconnues de tous comme un des facteurs de sécurisation du pastoralisme. Essentiel à la performance des troupeaux et à la résilience de l’élevage pastoral sahélien, l’enjeu de santé animale rassemble et crée des liens entre professionnels, vétérinaires, services techniques et ministères en charge de la santé animale. -
Comment l'utilisation des technologies de l'information et de la communication transforme-t-elle les dispositifs de conseil? Une enquête auprès de seize (16) services au Burkina Faso
Depuis une dizaine d’années, les termes « E-Agriculture », « ICT4Ag » ou « M-Agri » sont de plus en plus fréquemment utilisés pour rendre compte de l’utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) – et notamment les téléphones portables – dans le secteur agricole. Ces concepts se sont fortement popularisés suite à une étude conduite par la FAO en 2006 et à la création de sites internet permettant l’échange au sein de communautés de pratiques1. Des études recensant les initiatives en la matière dans les pays du Sud soulignent le potentiel de ces technologies, couvrant un champ très large allant au-delà de la fourniture d’informations aux agriculteurs : services financiers, automatisation de tâches, traçabilité et sécurité alimentaire, gestion des risques, gestion des ressources collectives … (voir par exemple FAO, 2013 ; FAO, 2015 ; World Bank, 2012 ; World Bank, 2017).