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PromAP - Formation des associations féminines sur la conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région d'Agadez
Dans le cadre de ses activités, le PromAP a décidé de soutenir les associations féminines des productrices à travers une session de formation sur les techniques de conservation/transformation des produits maraichers notamment l’oignon ; la pomme de terre ; la tomate ; le chou et le moringa.
Le présent rapport s’articule au tour des 5 principaux points suivants :
1-- Introduction
2 -- Rappel des objectifs et des résultats attendus
3 -- Organisation de la formation
4 -- Contenu et progression de la formation
5 -- Conclusion/Recommandations -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds. Il est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou est de 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 2.215 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un produit de 155.000 FCFA pour 77.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 78.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est l’une des cultures principales du département de Tibiri qui constitue l’un des plus grands bassins de production de la zone. Les superficies moyennes cultivées par producteur varient de 100 m² à 5.000 m2. Une production moyenne de 2500 m2 permet de générer des revenus de 275.000 F.CFA pour 77.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 198.000 F.CFA et un ratio (produits/charges opérationnelles) supérieur à 2. -
Mouche du chou
La mouche du chou a été introduite en Amérique du Nord probablement au début des années 1800 et elle est maintenant retrouvée partout au Canada. Cette espèce produit de 3 à 4 générations par année. Au Québec, les adultes provenant des pupes hibernantes émergent du sol de la fin avril à la mi-mai. Ceux-ci peuvent parcourir plusieurs centaines de mètres par jour pour trouver une plante-hôte. Au moment de la ponte, les œufs sont généralement déposés dans le sol à proximité de leurs plantes-hôtes, sur la tige de celles-ci ou sur le sol directement -
Evolution des prix de gros de la tomate et du piment pendant la période du Ramadan sur le marché Djémadjé (Niamey)
La période du Ramadan peut être considérée comme une période de « prix sensibles ». Les augmentations des prix des denrées alimentaires sont mal vécues par les consommateurs et les commerçants spéculateurs montrés du doigt. Cette année 2017, comme les autres années, la tomate a défrayé la chronique. Les réseaux sociaux ont débordé de plaintes des consommateurs sur une tomate difficilement accessible. Cette note fait le point sur les prix de gros de la tomate et du piment et leurs provenances sur le marché de Djémadjé au cours des trois dernières périodes de Ramadan. -
Evolution du prix de gros de l’aubergine pendant trois ans sur les marchés de Niamey (Djémadjé, Harobanda)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 45 (début novembre) de l’année 2017. Les informations présentées portent sur 135 semaines suivies.
Ce suivi de l’aubergine concerne les marchés de Djémadjé et Harobanda qui sont les marchés de gros de Niamey pour ce produit. L’aubergine commercialisée sur les marchés de Niamey est produite dans la ceinture maraîchère de Niamey, principalement sur la rive droite du fleuve et dans la région de Tillabéri (Toulouaré Boulandjam, Bitinkodji et Kobadjé). A partir de la rive droite, l’aubergine arrive directement sur le marché de Harobanda, puis une partie est acheminée vers le marché de Djémadjé.