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Cahier du formateur : Techniques de production maraîchère -- Oignon
Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la PI. Il explique les techniques de production de l'oignon selon les étapes ci-dessous:
1 -- Description des généralités sur la culture de l’oignon au Niger;
2 -- Description de la conduite d’une pépinière de culture d’oignon;
3 -- Opérations d’entretien d’une culture d’oignon;
4 -- Techniques de production locale de semences;
5 -- Evaluation des apprentissages. -
Aménagement et préparation du terrain en maraîchage. Pratiques paysannes au Niger
Cette note présente les explications du choix des planches de 10 m2 et fait un tour des pratiques paysannes que l’on rencontre au Niger. Ces pratiques peuvent s’expliquer, dans la majorité des cas, par les contraintes que rencontrent les producteurs et productrices et donc des choix raisonnés pour s’adapter. -
Le poivron rouge de Diffa
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatassaye », est cultivé en irrigué dans la vallée de la rivière Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria. C’est la production irriguée majeure de la vallée de la Komadougou. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 8.000 à 10.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron est la culture « locomotive » de la vallée de la Koumadougou avec environ 6.000 producteurs. -
Conseil en maraîchage - Site maraîcher de Gourdjia (Maradi)
Les 4 et 21 mars 2016, une équipe technique composée de la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi et du RECA a rendu visite à l’Union des producteurs de Gourdjia sur le site de production maraîchère de Darto. Gourdjia est une vallée où la culture principale est le poivron. En 2014, les producteurs de Gourdjia Darto ont bénéficié d’un champ école paysan du PPI Ruwanmu sur la culture de l’oignon. Les producteurs participant au CEP ne pratiquaient pas cette culture. -
Formation des formateurs Jeunes agriculteurs et agricultrices Module sur la pépinière
Les pépinières sont des endroits où le maraîcher fait germer et pousser ses graines en pleine parcelle ou sur pilotis ou planche surélevée. L’objectif de ce module permet de maîtriser la conduite d’une pépinière afin d’optimiser les rendements des cultures maraîchères. -
Étude de développement des oasis sahéliennes en République du Niger (edos) : support de formation sur les techniques des cultures maraichères
Dans le cadre de son programme d’appui aux cultures de contre saison, l’Etude de Développement des Oasis Sahéliennes en République du Niger (EDOS) a initié des formations à l’endroit des producteurs maraîchers de ses sites afin de mieux les accompagner dans la mise en valeur.
Le présent support est destiné aux exploitants des sites maraîchers. Il comporte l’ensemble de la démarche à suivre dans la conduite des cultures maraîchères -
Formation maraîchage sur sol vivant : 1 : introduction
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage. -
Formation maraîchage sur sol vivant : 2 : approche globale de la fertilité des sols : cycles de l'azote et du carbone
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 3 : Fonctionnement du sol
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 4 : compostage à froid
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 5 : azote et autofertilité
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Formation maraîchage sur sol vivant : 6 : calcul des apports d'azote
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Formation maraîchage sur sol vivant : 7 : la légumineuse
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 8 : concilier productivité, économie et environnement
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 9 : physique du sol
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 10 : biologie du sol
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 12 : les ravageurs : limaces, taupins et autres
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 11A : comment construire un système de cultures : exemple de couvertures
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 11B : comment construire un système de cultures : exemple de couvertures
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Conseil en maraîchage - Des boutures de manioc virosées distribuées à Guidan Idder
Ce samedi 17 décembre, nous sommes sur une parcelle irriguée de 0,55 ha qui est mise en valeur par Madame Hadiza Nomao, une productrice de Guidan Idder. Elle cultive de l’oignon chaque année mais cette année, en plus, elle a repiqué des tomates et entre les planches d’oignon des boutures de manioc provenant de « l’opération bouture de manioc 2016 ». Comme c’est la première fois qu’elle plante du manioc, elle n’est pas certaine mais trouve que les feuilles semblent « malades». -
Culture des oignons en hivernage / Expérience des producteurs pour la réalisation des pépinières (Région de Tahoua / Niger)
Dans la région de Tahoua, de nombreux producteurs font une culture d’oignon d’hivernage.
En fait, le calendrier de ces cultures est très étalé avec des pépinières qui vont de juin à août et des repiquages de juillet à septembre. Les récoltes se font toutes en saison sèche, de fin septembre pour les cultures les plus précoces jusqu’à fin décembre ou début janvier. Ce sont donc des oignons qui arrivent sur le marché au moment où les quantités disponibles sont réduites. -
Stratégie de régulation de l’arrivage de l’oignon sur les comptoirs d’Agadez
L’élaboration et la mise en œuvre de cette stratégie par la Chambre Régionale d’Agriculture d’Agadez (CRA/AZ) a été guidée par les constats suivants :
• Saturation du marché et la mévente,
• Baisse drastique des prix de l’oignon sur les marchés,
• Manque à gagner pour les producteurs, transporteurs, les mairies et les faîtières (comptoirs) ;
La stratégie a consisté à identifier et appliquer des mesures visant non seulement à réguler l’entrée de l’oignon jusqu’à écoulement des stocks sur les comptoirs mais aussi à contrôler la desserte des marchés d’oignons d’Agadez. Ceci visait un double objectif : rehausser les prix dans un premier temps et les stabiliser par la suite. -
Evolution des prix de l’oignon pendant un an sur les marchés de Niamey
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-
24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 33 (mois d’août) de l’année
2016. Sur les 60 semaines de cette période, 4 semaines n’ont pas fait l’objet de relevés, aussi les informations présentées portent sur 56 semaines.
Ce suivi de l’oignon concerne les deux marchés de gros qui reçoivent de l’oignon : en premier le marché de Katako (le plus important pour les volumes) en second le marché de Djémadjé. -
Effet de l’azote sur l’aptitude à la conservation des bulbes d’oignon (Allium cepa L.)
L’oignon est le deuxième produit d’exportation au Niger après l’uranium. Le « Violet de Galmi » est la variété la plus appréciée et recherchée par les consommateurs locaux et sous-régionaux. Ce travail a pour objectif d’évaluer les pertes dues à la conservation des bulbes d’oignon en fonction de la variation des unités d’azote apportées à la culture. Ainsi, quatre doses d’unité N, P et K (T2 : 30-3030 ; T3 : 60-30-30 ; T4 : 90-30-30 ; et T5 : 120-30-30) sont comparées à un témoin Zéro (T1 : sans engrais mais avec du fumier) dans un essai à quatre répétition. Les unités fertilisantes sont apportées en trois apports avec du NPK (15-15-15) et de l’urée (46-0-0). Les rendements obtenus sont : 17, 22, 28, 27, et 34 tonnes des bulbes par hectare pour les doses correspondant à T1, T2 ; T3 ; T4 et T5 respectivement. Les pertes sont évaluées en termes de nombre des bulbes pourries et pré-germés pour chacune de ces doses. Le taux de perte au bout de quatre mois de conservation est : 28,3 ; 16, 3 ; 34,6 ; 30,0 et 33, 5% pour T1, T2 ; T3 ; T4 et T5 respectivement. La dose d’engrais 30N30P30K (T2) permet d’obtenir un taux de perte de 16% au bout de quatre mois de conservation. Ce qui permettra au producteur d’améliorer son revenu car pendant la récolte, le sac de 130 kg de bulbes d’oignon ne dépasse pas 10 000 francs CFA (soit 15,25 €) alors que quatre mois plus tard, il peut atteindre 100 000 francs CFA (soit 152,55€).