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L’économie de la dégradation des terres en Afrique: Les bénéfices de l’action l’emportent sur les coûts
Le rapport passe en revue les données au niveau régional relatives aux coûts économiques de l’érosion des sols relative à la dégradation des sols. Il analyse également les limites et les défis de l’utilisation de ces données et les divergences qu’entrainent les diverses méthodologies. Le rapport aborde également l’approche méthodologique utilisée pour les estimations au niveau régional et l’analyse des coûts du bénéfice de l’action entreprise contre les pertes des nutriments induites par l’érosion des sols sur les terres arables exploitées pour la production des céréales et qui est un des aspects de la dégradation des sols. -
Effets environnementaux et socio-économiques de la plantation d'Acacia Sénégal dans la zone d'intervention du projet Biocarbone
L’acacia senegal est reconnu comme une espèce résistante aux risques climatiques comme la sécheresse, sa valeur économique (production de la gomme arabique et le crédit carbone) et sa capacité à récupérer et à fertiliser le sol. Cette espèce a été utilisée par le Projet Biocarbone dans le cadre de son programme de restauration et de récupération de terre dans 26 sites répartis dans l’ensemble du territoire Nigérien. Ces sites sont classés en quatre catégories des terres à savoir : les terres vacantes, les terres agricoles, les terres vacantes plus les terres agricoles et la forêt classée. La présente étude concerne quatre sites (un site sur chaque catégorie de terre), le choix de ces sites a été fait de manière aléatoire. C’est ainsi que les sites de Boukki (terre vacante) dans la région de Dosso, Chabaré (forêt classée), dans la région de Maradi, Lido (terre agricole) dans la région de Dosso et Cheri (terre agricole plus terre vacante) dans la région de Diffa ont été retenu pour l’étude. Malgré que Les principales activités sources de revenus que sont la gomme arabique et le crédit carbone ne sont pas encore exploités, l’intervention du projet dans ces localités a permis sur le plan environnemental et socio-économique de restaurer ces terres jadis dégradées, d’augmenter la fertilité du sol, d’augmenter la production agricole, un retour de la biodiversité tant animale que végétale et l’augmentation de revenus de la population à travers les travaux de récupérations des terres dégradées et les opportunités qu’offrent ces sites récupérés ainsi que le renforcement de la cohésion sociale jadis dégradée. Comme tout autre projet du développement ce projet a des impacts négatifs non moins importants que la population règle à l’amiable. -
Plan d'Actions National des Energies Renouvelables (PANER)
Ce Plan d'Actions National des Energies Renouvelables présente les orientations stratégiques énergétiques nationales -
Contribution Prévue Déterminée au niveau National - CPDN (INDC) du Niger
Ce présent rapport porte sur la Contribution Prévue Déterminée au niveau National - CPDN (INDC) » du Niger -
Premiers résultats de l’analyse des données du conseil de gestion a l’exploitation familiale (CGEF) sur Maradi
Au cours de la campagne maraîchère 2014 / 2015, la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi a suivi 20 producteurs maraîchers des sites de Tarna et Soumarana (Goulbi Maradi) en conseil de gestion à l’exploitation familiale. Cette note présente les premiers résultats obtenus. Attention, le nombre limité de producteurs suivis pour cette première expérience ne permet pas de tirer des conclusions généralisables de ces premiers enregistrements. De plus, le lecteur s’apercevra à la lecture de cette note qu’il y a plus de questions que de réponses pour cette première année. Mais pour les équipes de la CRA, et de la FCMN Niya qui est associée à ce travail, c’est un apprentissage de la lecture des résultats et performances d’une exploitation maraîchère. -
25 ans de réhabilitation et de conservation des sols au Sahel
Les gouvernements allemand et nigérien font partie des pays signataires de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CLD) qui engage les pays membres à « lutter contre la désertification et à atténuer les effets de la sécheresse dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification en particulier en Afrique ». Ainsi, les gouvernements du Niger et de l’Allemagne ont initié, depuis le début des années 1980, des actions de lutte contre la dégradation des terres et des ressources naturelles notamment dans les régions de Tillabéri-Nord et de Tahoua. Le Projet de développement rural de Tahoua (PDRT) a démarré en 1985 et en 1986, le Projet de protection intégrée des ressources agro-sylvo-pastorales (PASP) a lancé sa phase pilote dans la région de Tillabéri Nord. À partir de 2004 jusqu’à fin 2011, les actions des deux projets initiaux se sont poursuivies dans le cadre du Programme de lutte contre la pauvreté en milieu rural (LUCOP). Financés sur des fonds du ministère allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ), ces actions ont été réalisées par la Coopération technique (GIZ), la Coopération financière (KfW) et le Service Allemand de Développement (DED). En partie, les travaux se poursuivent actuellement. -
Rapport de l' atelier national de concertation, sur le processus de la mise en place du Fond d'Investissement pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (FISAN).
Ce rapport présente une synthèse avec les résultats suivants : Construire le FISAN non pas comme un fonds centralisé mais plutôt comme un ensemble de dispositifs basés sur des mécanismes existants, est pertinente ;
• La configuration du FISAN en trois facilités autonomes mais complémentaires, à savoir:
(i)Facilité 1 : Crédit!Agricole,
(ii)Facilité 2 : Investissements structurants
(iii)Facilité3 : Subventions ciblées ;
-L’approfondissement de la compréhension des trois facilités et le consensus sur le contenu précis de chacune d’elles ont été réalisés ;
• La nécessité de poursuivre le processus à travers un cadre de concertation multi acteurs autour de chaque facilité a été formellement approuvée par les partici pants.
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Rapport de formation sur "l'apport de l'agroforesterie dans l'agroécologie : cas des arbres fertilitaires"
Présentation illustrée d'une séance de formation dédiée à l'utilisation des arbres fertilitaires en agroécologie -
Programme d'études de la campagne d'alphabétisation et de formation des adultes
Le présent programme d’études de la campagne pour les centres d’alphabétisation et de formation des adultes a été élaboré conformément aux directives du Cadre d’Orientation du Curriculum (COC) et validé techniquement. Ce programme d’études donne des informations sur les éléments suivants :
-les textes officiels de référence
-les finalités et les orientations
-la banque de situations
-le profil de sortie
-le régime pédagogique
-les conseils pédagogiques
-les domaines et les sous-programmes
-les contenus des sous-programmes -
Revue détaillée des projets du portefeuille PIS sur la gestion durable des terres:
Cas du Niger
La revue détaillée au Niger des projets du portefeuille du Programme D’Investissement Stratégique (PIS)/TerrAfrica, dont l’objectif est de mettre en évidence les leçons, en particulier celles des sites pilotes et de démonstration, pour mieux comprendre les opportunités et défis de la mise à l’échelle de la gestion durable des terres (GDT), a été exécutée par l’équipe de consultants (Abdoulaye Sambo Soumaila, et Domitille Vallée) en trois étapes à travers (i) un atelier de lancement réunissant les trois projets et des représentants de la plateforme GDT organisé à Niamey le 22 juillet 2015, (ii) une mission de terrain réalisée dans les régions de Maradi et de Zinder du 23 au 27 juillet 2015 accompagnée d’un atelier de restitution des résultats de la mission de terrain (28 juillet 2015 à Niamey) auprès des projets, de la plateforme GDT et de partenaires de financement actifs dans le secteur de la GDT, et (iii) des travaux complémentaires de recherche documentaire à Niamey. -
Résultats Définitifs de la Campagne Agricole d'Hivernage 2014 et Perspectives Alimentaires 2014-2015
La campagne agricole d'hivernage 2014 a démarré à partir de la troisième décade du mois d'avril. Ce qui a permis d'effectuer des semis partiels de mil au niveau de 384 villages des régions de Dosso , Maradi et Tahoua. -
Renforcer la résilience face aux changements climatiques : la voie à suivre pour répondre aux effets des événements climatiques extrêmes sur l'agriculture
Au cours des dernières décennies, le nombre de catastrophes à l'échelle mondiale a eu tendance à augmenter, entrainant la croissance des impacts économiques associés. -
Rapport d'analyse de l'évaluation du personnel des projets PASADEM et PPI/Ruwanmu pour le redéploiement au profit du programme de développement de l'agriculture familiale ProDAF
Dans le cadre du redeploiement du personnel des projets pasadem et PPI/Ruwanmu au profit du programme de développement de l'agriculture familiale,un comité restreint chargé d'analyse de l'évaluation du personnel,réakisé par le cabinet management for entreprise consult a été mis en place par arrete n°130/MAG/SG/DEP du 24 kuin 2015. -
Rapport de mission de surveillance et de confirmation des zones d'infestation de la mineuse de l'épi du mil. Campagne agricole d'hivernage 2015-2016
Le mil est l'aliment de base de la population du Niger. Sa culture est confronté à plusieurs contrainte parmi lesquelles la pression parasitaire qui affecte très souvent la production finale -
Approvisionner durablement Niamey en lait local par les petits éleveurs
Le projet fait suite à la mise en place du centre de collecte de lait d’Hamdallaye construit en 2008 par le projet PSEAU. Le projet Nariindu a démarré officiellement en janvier 2012 pour une durée de 3 ans, sur financement du Comité Français pour la Solidarité Internationale (CFSI) et de l’Agence Française de Développement (AFD).
L’objectif général est l’amélioration de l’approvisionnement en lait local des centres urbains en zone sahélienne, au profit des petits éleveurs périurbains.
Cette évaluation a été réalisée en juin/juillet 2015. La conclusion de l’évaluation est la suivante : Le projet Nariindu, de par ses innovations et la pertinence de son modèle, mériterait de voir son action soutenue et poursuivie, car l’ensemble des structures, de la gouvernance et des partenariats est encore faible, malgré des atouts forts et des partenaires convaincus. -
Atelier des producteurs d’oignon de la région de Tahoua - Thème principal : bilan des magasins RESEDA
En plus du thème principal (magasins RESEDA), quatre autres thèmes ont fait l’objet de présentations et d’échanges : (1) la situation des semences d’oignon au Niger ; (2) les tests d’oignon en hivernage, présentation complétée par une visite sur le terrain ; (3) un partage d’informations sur la gestion du comptoir de Tsernaoua et (4) une présentation sur les chambres d’agriculture et leurs fonctions. -
Rapport annuel 2015
Le CONACILSS se réunit deux fois par ans sur convocation de son Président qui en fixe l'ordre du jour -
Une expérience originale de mécanisation partagée en Afrique - les Coopératives d’utilisation de matériel agricole du Bénin
Dans les départements du Borgou et de l’Alibori (Nord Bénin), une coopérative d’utilisation de matériel agricole (Cuma) est constituée d’une dizaine d’agriculteurs en moyenne rassemblés autour de l’achat et de la gestion d’un tracteur d’une puissance de 30 à 70 CV, d’une charrue à disques et d’une remorque de trois tonnes. Aujourd’hui, 102 Cuma sont recensées au Bénin, regroupant environ 850 producteurs.
L’objectif premier que se donnent les groupes ayant créé une Cuma porte sur la motorisation du labour, avec en complément, les activités de transport en période de récolte. En moyenne, une Cuma couvre environ 100 hectares par tracteur pour le labour.
Chaque membre contribue aux charges d’exploitation du matériel, proportionnellement à son utilisation. Le montant de l’apport en capital de chaque membre à la Cuma est fonction de ses superficies travaillées. Après des expériences de financement à crédit peu concluantes, les agriculteurs réunissent désormais eux-mêmes la totalité du capital nécessaire pour acheter les équipements. -
Projet d'intensification des production agricoles pour la sécurité alimentaire dans les régions de tahoua et tillabéri (PIPA/SA) : programme de travail et budget annuel ( PTBA) 2016
Le projet d'intensification des productions agricoles pour la sécurité alimentaire dans les régions de tahoua et tillabéri est conjointement financé par la banque ouest africaine de développement ,l'état du niger et les populations bénéficiaires pour un montant global de 10 milliards 484 millions de fcfa hors taxes et hors douane. -
Rapport de mission : participation du Ministère de l'agriculture à la COP21 à Paris du 30 novembre au 12 décembre 2015
Cet organe, ouvert à la participation de toutes les parties, est composé des représentants du gouvernements, experts dans le domaine du changement climatique -
Rapport d'activités PRODEX
L'objectif de développement du projet est d'accroitre la valeur de certains produits commercialisés par des productions soutenus par le projet -
Rapport de l'atelier de validation de deux (2) curricula de formation des pds étatiques et prives de la petite irrigation au Niger Africa hall, Niamey Niger 15 septembre 2015
Pour asseoir une base durable au sous-secteur de la petite irrigation, le Ministère de l'Agriculture (MAG), a décidé d'élaborer une stratégie spécifique dénommée « Stratégie de la Petite Irrigation au Niger » (SPIN) dont l'objectif est de doter le pays d'un cadre d'orientation en matière de la petite irrigation en tant que vecteur important pour la sécurité alimentaire, l'amélioration des revenus des producteurs et l'adaptation de l'agriculture nigérienne aux changements climatiques. -
Potentiel agrumicole de Timia
Au Niger, quatre régions produisent 95% de la production du pays en agrumes. Il s'agit de la région d'Agadez qui produit 41%, suivie de Zinder, de Maradi et Tillabéry 5% (MDA, 2008).
L’essentiel de la production d’agrume qui place la région d’Agadez première en agrumiculture provient essentiellement des communes de Timia, Tabelot, Dabaga et Tchirozerine.
C’est dans ce cadre que cette étude sur le potentiel de production de Timia et diagnostic de la filière agrumicole, a été initiée par l’ONG HED Tamat et exécuté conjointement par la Direction régionale de l’Agriculture (DRA) d’Agadez et le GIE Tagazt. Elle a pour objectif global de guider les acteurs locaux et nationaux pour la mise en œuvre de politiques efficaces et cohérentes de valorisation des productions d’agrumes de Timia. De façon spécifique, l’étude doit permettre une meilleure connaissance du potentiel productif de la commune et faire le diagnostic de la filière.
Le présent rapport est la synthèse des travaux de recherches documentaires et une enquête terrain réalisés dans les communes dans une dizaine de sites et dans 382 vergers d’agrumes. Il rappelle le contexte de l’étude, la méthodologie de travail et les résultats de l’étude. -
Rapport de la formation sur « l’apport de l’agroforesterie dans l’agroécologie : cas des arbres fertilitaires
Du 16 au 19 juin 2015, le Conseil National de l’Agriculture Biologique du Burkina Faso (CNABio) a organisé un atelier de formation à l’intention de ses membres à Koudougou, capitale de la région du Centre - ouest. Le thème principal de cette formation portait sur « l’apport de l’agroforesterie dans l’agro-écologie », mais l’atelier a aussi été l’occasion de renforcer les connaissances des participants sur les techniques de réalisation du Zaï, des demi-lunes et du cordon pierreux.
Cette formation s’insère parmi les multiples actions que le CNABio conduit depuis sa création pour développer et accroitre les performances de l’agriculture biologie au Burkina. Elle visait à renforcement les capacités des membres sur l’agroforesterie et plus particulièrement l’utilisation et la gestion des arbres fetilitaires dans des champs agro-forestiers. -
Dispositif de suivi du niveau de nappe phréatique dans les vallées équipées de seuil d’épandage du bassin versant de Badaguichiri
La non durabilité de l'usage des eaux souterraines pour l'irrigation est un problème important non seulement pour les pays qui font un usage intensif des eaux souterraines, mais aussi pour le monde dans son ensemble. La disponibilité et la mobilisation des eaux souterraines constituent un facteur constituent un préalable pour la pratique et la promotion des cultures irriguée. Dans les vallées du bassin versant la pratique des cultures maraichères est possible du fait de l’existence de nappe alluviale dont la profondeur du niveau statique n’excède pas les 15m. La recharge se fait par infiltration des eaux de pluies et de ruissèlement. Elle dépend fortement du temps de résidence sur les surfaces des zones de recharge. Pour accroitre ce temps dans les vallées, le projet Badaguichiri construira des seuils d’épandage au niveau de plusieurs vallées.
Le CNSEE responsable du volet suivi écologique et environnement au niveau dudit projet envisage de suivre l’effet des seuils qui seront construit sur la recharge de la nappe phréatique. Cette information constituera un outil d’aide à la décision pour la promotion des cultures irriguées en général. -
L’agriculture et l’alimentation en Afrique de l’Ouest – Mutations, performances et politiques agricoles
Ce bilan couvre de nombreuses problématiques auxquelles sont confrontés les producteurs, les acteurs des filières agroalimentaires et les consommateurs. Il traite de la situation agricole et alimentaire aux niveaux régional et de chacun des pays. S’il présente l’ECOWAP et sa mise en œuvre régionale, il s’attarde aussi sur les programmes nationaux d’investissements agricoles.
Les sections consacrées aux enseignements contribuent à nourrir un dialogue politique que la Commission de la CEDEAO engagera en 2015 avec les États membres et les acteurs professionnels sur les réformes à envisager pour amplifier et accélérer les impacts des politiques agricoles. -
Développer des chaînes de valeur alimentaires durables : Principes directeurs
Ces dix dernières années, la chaîne de valeur s’est imposée comme l’un des principaux paradigmes pour la réflexion et la pratique dans le domaine du développement. C’est pourquoi l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a lancé une nouvelle série de manuels sur le développement de chaînes de valeur alimentaires durables; la présente publication inaugure cette série. Ces manuels ont pour objet de donner des conseils pratiques sur le développement de chaînes de valeur alimentaires durables en facilitant la diffusion de solutions innovantes et tirées de l’expérience auprès d’un public cible composé de décideurs politiques, de concepteurs de projets et d’acteurs de terrain.
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Diagnostic de l’armature commerciale de la ville de Niamey - Rapport final
L’objectif de l’étude de l’armature commerciale de la Ville de Niamey est de contribuer à l’amélioration du fonctionnement commercial et de l’approvisionnement alimentaire de la ville de Niamey à travers l’établissement d’un diagnostic et d’une stratégie.
Le rapport commence par une partie historique qui retrace l’évolution urbaine de Niamey et de son armature commerciale (pour les passionnés de l’histoire de la capitale) puis la typologie des marchés. Il se poursuit par les analyses des pratiques et attentes des commerçants et des consommateurs puis par le diagnostic des circuits et des chaînes de valeur. -
Mission de suivi de la mise en œuvre des instructions du Premier Ministre relatives à l'assainissement des banques céréalières implantées dans la région de Maradi
Du 18 au 28 mars 2018 a eu lieu une mission de suivi de la mise en œuvre des instructions du Premier Ministre relatives à l'assainissement des banques céréalières implantées dans la région de Maradi. Cette mission était conduite par Monsieur Boubacar Gaoh Illiassou Secrétaire Général Adjoint du Ministère de l'Agriculture, vice Président du Groupe Ad hoc. Elle est également composée d'autres membres du groupe ad hoc. -
Programme d'appui au développement agricole durable dans la région de Dosso
Au Niger, le secteur primaire dominé par les activités agropastorales, joue un rôle des essentiel dans la croissance économique, en particulier, le sous-secteur agricole qui demeure la source la source presque exclusive des aliments et nutriments consommés par les nigériens. Malheureusement, la forte sensibilité des activités agropastoraux aux risques multiples fait que le pays n'assure pas une alimentation saine et suffisante à l'ensemble de la population. -
Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder
Le FIDA intervient au Niger depuis trois décennies dans les zones rurales où la concentration de familles pauvres est la plus importante, par une approche intégrée de développement de bassins versants et de leurs bassins de production, au sein de pôles de développement économique et en collaboration avec les collectivités territoriales. -
Programme de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel
Le programme de Renforcement de la Résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2RS) est financé par la Banque Africaine de Développement (BAD) et le Gouvernement du Niger. La coopération et la mise en œuvre de ce programme est de contribuer à l'éradication des crises alimentaires et nutritionnelles au Sahel à l'horizon 2032. -
Programme de travail et budget annuel (PTBA) révisé : 1er Janvier au 31 Décembre 2015, financement additionnel
Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet de Développement des exportations et des Marchés Agro-Sylvo-pastoraux (PRODEX), le Gouvernement du Niger a obtenu de la Banque un financement additionnel de 13,8 millions de dollars US pour assurer d'une part la consolidation du projet initial (le renforcement des maillons faibles des filières, l'accès au financement bancaire, la mise en place d'un système de gestion pour les sous projet) et d'autre part pour appuyer la préparation d'un programme national de gestion des risques agricoles pour le pays. -
Projet d'appui au développement du secteur rural
Dans le cadre de la coopération entre la République du Niger et l'Union Européenne, la convention de financement N° NE/FED/023-065 du Projet d'Appui au Développement du Secteur Rural dans les régions de Dosso et Zinder (PADSR) a été signée par les deux parties en date du 8 mars 2012. -
Rapport d'activités 2014 et plan d'actions 2015
La Direction de Règlementation Phytosanitaire et du Suivi Environnemental (DRP/SE) a élaboré le bilan annuel de ses activités de 2014 et procédé à la répartition aux différentes divisions des activités retenues dans le plan d'action 2015 de la Direction Générale de Protection des Végétaux (DGPV). -
Rapport d'activités premier semestre 2015
Le Gouvernement du Niger a obtenu de l'Association Internationale pour le Développement (IDA), un financement additionnel de 13,8 millions de $USD pour assurer la consolidation des acquis pastoraux du Projet de Développement des Exportations et des et des marchés Agro-Sylvo-Pastorux (PRODEX). Ce financement servira en particulier à renforcer les maillons faibles concernant la valorisation, l’accès au financement bancaire et la mise en place d'un système de gestion pour les projets. -
Rapport d'activités : Période du 1er janvier au 30 aoùt 2015
Le Gouvernement du Niger a obtenu de l'Association Internationale de Développement (IDA), un pret pour le financement du Projet de Développement des Exportations et des Marchés Agro-Sylvo-Pastoraux (PRODEX). L'objectif de développement du Projet (ODP) et d'accroitre la valeur de certains produits commercialisés par des producteurs soutenu par le projet. L'indicateur de performance associé à l'ODP est la valeur additionnelles des produits commercialisés par les producteurs (agriculteurs et éleveurs) et associations dans les filières retenues. -
Rapport d'avancement des activités du premier semestre : Janvier - Juin 2015
Le Gouvernement de la République du Niger et la Banque Ouest Africaine de Développement ont signé le 18 janvier 2011, l'accord de financement de la mise en oeuvre du Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA). Il est conjointement financé par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), l'Etat du Niger et les populations bénéficiaires pour un montant de 10 milliards 484 millions de fcfa hors taxe et hors douane. -
Rapport de mission de mission des activités du PTBA 2015 et d'appui à l'élaboration des micros projets dans six communes de la région de Diffa
Du 13 Avril au 09 Mai 2015, la Direction des Études et de la Programmation du Ministère de l'Agriculture, a effectué une mission de supervision des activités du PAC 3 au titre du PTBA 2015. Cette mission a concerné l'ensemble de huit cellules de coordination du PAC 3. -
Participation du Ministère de l'Agriculture à la COP21 à Paris (France) du 30 novembre au 12 décembre 2015
La convention cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique (CCNUCCI), adopté en 1992 à Rio de Janeiro, a instituer en son article 7, une conférence des parties appélée COP, sigle de terminologie anglaise (conference of parties) -
Mission d’évaluation finale du PLECO (Rapport final)
La mission de terrain de l’évaluation finale du Projet de Lutte contre l’Ensablement des Cuvettes oasiennes dans les Départements de Gouré (Zinder) et Maïné-Soroa (Diffa) - PLECO - a été conduite du 11 Novembre au 05 Décembre 2015. Elle a consisté à (i) analyser le cadre de financement et de mise en oeuvre du projet, (ii) organiser des visites et des entretiens avec les populations des sites d’intervention du projet, (iii) collecter des données, (iv) évaluer les performances et les résultats obtenus par rapport aux objectifs fixés et indicateurs de vérification et (v) formuler les recommandations subséquentes.
Afin de faire face aux conséquences désastreuses de ces changements climatiques et la sécheresse récurrente qui sévit sur l’ensemble du pays, dans la poursuite des actions initiées depuis le début des années 90s, le Gouvernement du Niger avec l’appui du FEM et le PNUD, a initié le PLECO pour apporter une réponse stratégique et pratique à l’ensablement dans les deux régions les plus menacées de Diffa et de Zinder.
Le PLECO poursuit trois objectifs spécifiques qui répondent aux attentes des stratégies et des politiques du Gouvernement du Niger et des programmes opérationnels du FEM visant à faire face aux défis environnementaux et de développement socioéconomique durable du pays : Composante 1: Amélioration des pratiques locales de gestion des terres et des écosystèmes ; Composante 2 : Renforcement des capacités des institutions et des communautés locales pour la GDT; Composante 3: Système de suivi des phénomènes d’ensablement et de dégradation des terres. -
Document technique relatif au financement OFID3 "Programme de Développement de l'Agriculture Familiale - PRODAF"
Le Niger est un pays enclavé d'une superficie de 1.267.000 km² qui fait partie des Pays les Moins Avancés (PMA) et des Pays à Faible Revenu et à Déficit Vivrier. La population nigérienne a été estimée à plus de 17,13 millions de personnes lors du dernier recensement général de la population et de l'habitat de 2012. Les secteurs agricoles et l(élevage au Niger occupent prés de 80% de la population et représentent 41% du PIB du Niger (en 2007). -
Rapport de mission de supervision des activités de l'Agriculture (agriculture et élevage) dans le cadre du PPAAO dans les régions de Tillabéry, Dosso, Tahoua, Maradi et Zinder
Dans le cadre de la mise en oeuvre du Programme de Production Agricole en Afrique de l'Ouest (PPAAO) au Niger financé par la Banque Mondiale, le ministère de l'Agriculture a introduit des Termes de Références pour faire le suivi des activités conduites par les agences d'exécutions de l'agriculture et de l'élevage dans le cadre de la composante 3. -
Rapport sur l'évolution du secteur agricole et des vies des ménages au Niger
Situé en Afrique de l'Ouest, le Niger est un pays continental vaste de 1.267.000 km². Il est situé à 700 km au nord du Golf de Guinée, à 1.900km à l'est de la cote Atlantique et à 1.200 km au sud de la Méditerranée. Du point de vue climatique, le pays est caractérisé par un climat tropical de type soudanien qui alterne entre deux saisons, une longue sèche d'octobre à mai et une saison de pluie de juin à septembre. -
Rapport annuel 2015 : Les statistiques du secteur de l'élevage
Le Ministère de l’Élevage a été invité à la deuxième édition du Salon International de l'Agriculture du Maroc (SIAM) à Meknès sur le thème " les Produits de terroir". La délégation du Niger a participé à cette édition dans l'objectif de s'enquérir de l'expérience marocaine dans le cadre de la mise en œuvre du Plan Maroc Vert, Plan similaire à l'Initiative 3N "Les Nigériens Nourrissent les Nigériens". -
Construction et/ou réhabilitation de 108,44 km de pistes rurales dans les régions de Maradi et Tahoua
Le présent avis d'appel d'offres fait suite à l'avis général de passation de marchés du Ministère de l'Agriculture pour l'année 2015 publié dans le journal Sahel Dimanche N° 1631 du 27 février 2015. 2. Dans le cadre de l'exécution du financement additionnel au Projet d'Urgence pour l'appui à la sécurité alimentaire et le développement rural (PUSADER+) sur financement du Fonds de l'OPEP pour le développement international (OFID) dans le cadre du Programme Niger FIDA , le Ministère de l'Agriculture lance un Appel d'Offres International pour la réalisation des travaux de construction/ réhabilitation de 108,44 km de pistes rurales dans les régions de l"1aradi et Tahoua. -
Conférence internationale de l'AFD sur le développement 12èm édition
La politique forestière développée au Niger du début des années 1930 à 1990 a été marquée par le rôle prééminent de l’État colonial puis du Niger indépendant. A la fin des années 1980, il a été décidé d’associer, après près de 70 ans d’exclusion, les populations riveraines des massifs forestier d’aborder prioritairement la question de l’approvisionnement en bois de feu des centres urbains par l’aménagement forestier communautaire et de mettre en œuvre la Stratégie Énergie Domestique, nouvelle politique forestière bois-énergie. Cette politique était soutenue et initiée par la mise en place d’un cadre légal (le décret 92-037) qui réformait la règlementation forestière et fiscale en donnant la possibilité aux populations rurales de percevoir des taxes sur le commerce du bois-énergie à la source et autorisait la création de marchés ruraux de bois, lieux villageois de vente aux commerçants-transporteurs. L’enjeu était de permettre une réelle appropriation des ressources par les populations riveraines et d’assurer un transfert financier de l’aval (les bûcherons urbains) vers l’amont des filières (les bûcherons de ces marchés ruraux). -
Identification des pôles de production de tomate dans les régions de Tahoua, Dosso et Tillabéri
Cette note a été rédigée suite à une mission effectuée en deux étapes du 19 au 22 juin et du 10 au 12 juillet 2015 par une équipe du RECA et de l’Institut National de Recherches Agronomiques du Niger (INRAN) pour identifier les principaux pôles de production de la tomate dans les régions de Tahoua et Dosso et interroger les producteurs sur une éventuelle présence de la mineuse de la tomate Tuta absoluta 1. Les visites ont été facilitées au niveau de chaque région par la Chambre régionale d’Agriculture (CRA) à travers ses animateurs de terrain et ses membres consulaires. Au total, 10 sites ont été visités dont 3 à Tahoua, 2 à Dosso et 5 à Tillabéri. Cette mission fait partie d’un programme collaboratif réunissant l’INRAN, le RECA et la DGPV pour lutter contre la mineuse de la tomate sur financement du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO Niger). -
Programme national des énergies domestiques du Niger
Le Programme National des Énergies Domestiques du Niger s’inscrit dans le cadre régional et international des politiques pour l’accès aux énergies de cuisson propres soutenues par Global Alliance for Clean Cookstove, le Livre Blanc Régional de l’Accès de la CEDEA/UEMOA et les politiques régionales de la CEDEAO pour les Energies renouvelables et l’Efficacité Énergétique. Cette étude est financée par la Banque Mondiale. -
Revue des initiatives existantes en matière de gestion des risques agricoles au Niger
La plateforme pour la gestion des risques agricole (PARM), mise en place à l’initiative du G8 et du G20 et hébergée par le Fonds international de développement agricole (FIDA), fournit un appui technique aux gouvernements pour la gestion des risques agricoles. Le secrétariat de la plateforme PARM agit sur le continent africain dans le cadre d’un partenariat stratégique avec l’Agence du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) mis en place par l’Union africaine. Ce partenariat consiste principalement à accompagner le NEPAD dans son approche des risques agricoles, notamment en appuyant huit pays d’Afrique sub-saharienne, dont le Niger, dans l’élaboration d’un plan d’action de gestion des risques agricoles, selon une approche méthodologique harmonisée et un programme d’intervention déjà établi. -
Diagnostic des risques d'inondation et de sécheresse dans les villages administratifs de Garbey Kourou et de Tallé, Commune de Gotheye, Niger
Le diagnostic des risque inondation et sécheresse dans les villages administratifs de Garbey Kourou et Tallé, Commune de Gothèye (Niger) succédant à l’analyse du risque à l’échelle communale conduite par le Projet Anadia-Niger dans la région Tillabéri. Un diagnostic similaire à été développée pour quatre villages de la commune d’Ouro Gueladjio et pour celle de Imanan. Le diagnostic a été développé par une équipe mixte italo-nigérienne composé par fonctionnaires de la commune de Gothèye, de la DMN, chercheurs de l’Ibimet-CNR et du DIST-Politecnico et Université de Turin avec la participation des agriculteurs des deux villages. Garbey Kourou et Tallé sont deux gros villages de la commune (4.600 et 2.600 habitants en 2012) étalées sur la rive gauche de la rivière Sirba prés de sa confluence avec le fleuve Niger. Les deux villages sont ainsi exposés au débordement de la rivière, à inondation pluviale et à sécheresse. -
PAIS-Plan d'Adaptation aux Inondations et à la Sécheresse Villages administratifs de Garbey Kourou et Tallé, Commune de Gothèye, Niger
Le Diagnostic des risques d’inondation et de sécheresse dans les villages administratifs de Garbey Kourou et de Tallé, Commune de Gothèye (Braccio et al. 2015) a identifié l’inondation pluviale comme risque principal à Garbey Kourou et le risque sécheresse en premier place à Tallé étant le risque débordement de la rivière est moins important. Bien que les récepteurs exposés soient bien plus importants en zone de débordement de la rivière Sirba, l’haute probabilité d’une pluie intense en 2015 amène en première place le risque inondation pluviale à Garbey Kourou. L’étendue des cultures exposées à la sécheresse et le 13% de probabilité d’avoir une séquence sèche en 2015 amène en la deuxième place le risque sécheresse (en première place à Tallé). Enfin la moyenne probabilité (2%) d’avoir un débordement catastrophique en 2015 place ce risque en dernière place. -
Étude Diagnostique sur l’Intégration du Commerce au Niger
(E.D.I.C)
L’objectif général visé par la présente étude est d’actualiser le diagnostic et les priorités du Niger contenus dans l’EDIC 2008 en vue de promouvoir son intégration dans le commerce sous régional, régional et international ainsi que son développement économique et social en tenant compte des évolutions et changements intervenus dans les neuf domaines de l’EDIC à savoir : le cadre macroéconomique, le commerce extérieur, le climat des affaires, les douanes, les transports, l’agriculture, l’élevage, les mines, le tourisme et l’artisanat ainsi que d’autres domaines prioritaires ressortis dans le PDES et l’Initiative «3 N» et de proposer une matrice d’actions qui contribue au renforcement de capacités commerciales du Niger, eu égard aux nouveaux défis auxquels le pays doit y faire face.
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Bonne gouvernance et gestion des programmes de développement rural
Dans les pays du sud, le développement de l'agriculture est d'une importance cruciale si l'on veut réduire l'extreme pauvreté des populations vivant en milieu rural dont les 3/4 de la population dépendent directement ou indirectement de l'agriculture pour la survie. Cette agriculture reste fortement tributaire des changements climatiques et la dégradation de l'environnement caractérisée par le persistance des systèmes de productions traditionnels. -
Budget Général de l'exercice 2015
Le Budget général de l'INRAN au titre de l'exercice 2015 s'équilibre en recettes et en dépenses à la somme de trois milliards deux cent cinquante cinq millions cent cinquante mille neuf cent quatre vingt seize (3.255.150.996) francs CFA contre deux milliards huit cent quarante six millions huit cent trente cinq mille six cent quarante sept (2.849.835.647) francs CFA en 20214. Cette hausse s'explique par des prévisions de financements extérieurs en légère augmentation avec l'inscription de nouveaux projets comme SMIL (ex INTSORMIL). -
Note d'information sur l’État d'avancement de la mise en œuvre des activités du PTBA 2015 pour la période de Janvier à Avril 2015
La vision et l'approche d'intervention du PPI Ruwanmu ont pour ambition de faire émerger une dynamique de Poles d'intervention de Développement Economiques (PDE) à travers lesquels les producteurs soutenus par les collesctivités locales s'organisent, aménagent et exploitent de manière rationnelle te durable les bassins de production en vue d'augmenter le revenu de 65.000 ménages ruraux (455.300 personnes). -
Rapport d'activités annuel 2015 du projet d'intensification des productions agricoles pour la sécurité alimentaire dans les régions de Tahoua et Tillabéri
Le projet s'inscrit dans le processus de la mise en oeuvre du Programme Spécial de Sécurité Alimentaire de la Banque Ouest Africain de Développement (BOAD), initié pour venir en appui aux actions entreprises par les États membres de l'UEMOA dans le cadre de la crise alimentaire. Il s'inscrit aussi dans l'axe 3 << sécurité alimentaire et développement agricole durable >> du plan de Développement Économique et Social (PDES) 2012-2015. -
Plan de travail et budget annuel 2015 - programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest
L'objectif de développement du projet est de contribuer à l'augmentation de la productivité agricole dans les filières majeures des pays participants. La première du Projet vise à générer et à accélérer l'adoption de technologies améliorées pour les principaux produits agricoles prioritaires des pays de la sous-région. Il s'agit des fruits et légumes; la banane plantain, la pisciculture, les racines et les tubercules; les céréales sèches; le riz; le bétail.... -
Rapport annuel d'activité 2015
Au cours de l'année 2015 d'importantes activités ont été réalisées dans le cadre de mise en oeuvre du Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERSA-MTZ). Trois années et demi se sont écoulées, au cours desquelles nonobstant les contraintes multiples, le projet s'est pleinement investi dans l'atteinte des objectifs de renforcement de la sécurité alimentaire et de réduction de la vulnérabilité aux crises alimentaire des populations de la zone d'intervention qui lui sont assignés. -
Directives pour la mise en œuvre du PDDAA pays sous la Déclaration de Malabo
La 2ème Assemblée de l’Union Africaine tenue à Maputo, au Mozambique en juillet 2003, a vu la signature d’une déclaration sur l’agriculture et la sécurité alimentaire. Cette Déclaration de Maputo appelait à un programme type panafricain du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD): le Programme détaillé de développement de l’agriculture africaine (PDDAA). Le PDDAA est considéré comme le véhicule à même de stimuler la production et de relever le défi de la sécurité alimentaire au sein des populations du continent. A ce jour, la Déclaration de Maputo est surtout connue pour son engagement à allouer un minimum de 10% du budget national à l’agriculture pour atteindre une croissance de 6% de l’économie agricole. -
Mesurer la durabilité des systèmes de culture du coton : vers un cadre d'orientation
Le présent rapport expose les résultats d’une étude visant à mesurer la durabilité des systèmes de culture du coton. C’est l’aboutissement de plusieurs années de coopération pour mener à bien une évaluation rigoureuse, sur des bases scientifiques, d’un éventail de conventions, de normes et de critères pertinents. L’étude s’est caractérisée par un processus consultatif qui a, par sa nature ouverte et scientifique, stimulé un dialogue intersectoriel et transfrontalier, et contribué à créer un consensus autour de questions critiques de durabilité et de l'approche chiffrée qui s’y rapporte. -
Projet d'aménagement et de gestion du Bassin de Badaguichiri (PGBV/B) / Rapport annuel 2015
Le présent document constitue le rapport annuel 2015 du projet, qui couvre douze (12) mois (janvier décembre) de mise en œuvre des activités du PTBA 2015 par le projet. Il décrit l’état d’avancement des activités du Projet par rapport aux activités prévues sur la période considérée, les résultats obtenus, les difficultés rencontrées et les recommandations pour lever les difficultés. Il se situe dans le cadre de la convention de financement, où la Coordination du projet doit soumettre au Maitre d’Ouvrage (MESU/DD) et à l’AFD des rapports semestriels et annuels relatifs à la mise en œuvre des activités. -
Réactualisation du profil de Moyens d’Existence : Zone pastorale de Bermo/Bororo dans la région de Maradi au Niger
Au Niger, les conditions de vie et de production de nombreux éleveurs se sont dégradées sous l’effet de plusieurs contraintes: les crises climatiques, les prix non incitatifs à la production et à la vente, la persistance de certaines maladies, la faible productivité, le faible investissement public et privé, l’insuffisance de l’alimentation, le faible encadrement technique, le manque d’organisation des acteurs, les conflits croissants avec les agriculteurs dont les champs empiètent de plus en plus sur les zones de pâturage, l’urbanisation et enfin l’insécurité physique dans les zones reculées. Ces différentes contraintes influent sur la dégradation des termes de l’échange bétail/céréales et de l’appauvrissement des pasteurs. -
Réserve naturelle national de l'Aïr et du Ténéré
La Réserve Naturelle Nationale de l’Aïr et du Ténéré (RNNAT) de la République du Niger a été inscrite sur la Liste du Patrimoine mondial en 1991, sur la base des critères naturels (vii) (ix) et (x). En 1992, elle est inscrite sur la liste du patrimoine mondial en péril lors de la seizième session du Comité du patrimoine mondial suite à l’éclatement de la rébellion armée dans la région d’Agadez. Du 03 au 12 mai 2005, sur demande de l’Etat Partie Nigérien, une mission de suivi réactif de la RNNAT a été réalisée par l’UICN pour évaluer l’état de conservation de sa valeur universelle exceptionnelle. L’état de mise en œuvre des mesures correctives issues de cette première mission de suivi réactif de 2005 a été analysé par la présente mission. -
Consommation et distribution des produits laitiers à Niamey (Niger), Bamako et Sikasso (Mali), Touba et Dahra (Sénégal)
La présente étude tente de caractériser les besoins des consommateurs en produits laitiers et de permettre ainsi aux promoteurs des initiatives de mieux les prendre en compte dans leur organisation. Les enquêtes ménages font ressortir dans les trois pays que les consommateurs recherchent principalement des laits caillés, du lait frais et de la poudre de lait. Les consommateurs choisissent prioritairement des produits qu’ils connaissent déjà soit par les médias de masse, soit parce qu’ils y ont déjà gouté. Le gout, la texture, la disponibilité et le prix sont les éléments principaux conditionnant l’acte d’achat. Les arguments d’achat qui reviennent le plus souvent sont la santé et l’équilibre de la ration alimentaire du ménage y compris pour les produits à base de poudre ré-engraissé en graisse végétale. Ces arguments sont largement véhiculés par les publicités dans les médias tels la TV et la radio qui sont les principales sources d’information des consommateurs sur les produits laitiers. -
Les championnes de la résiliences
Le Sahel, de part de nombreux facteurs écologiques, structurels, économiques, politiques et sociaux, est l’une des régions les plus vulnérables au monde. Depuis 2005, les périodes de sécheresse répétitives, l’appauvrissement du sol, l’accroissement de la population, et la dégradation des ressources naturelles, contribuent aux crises alimentaires et nutritionnelles qui exposent les plus vulnérables à un risque accru d’insécurité alimentaire. -
Capitalisation d’expériences de collecte et de mise en marché du lait local par des organisations d’éleveurs pastoraux et agropastoraux
Le présent rapport vise à décrire des expériences de valorisation du lait local au Mali. Les descriptions sont issues des ateliers nationaux et d’entretiens avec des porteurs de projet et des ONG qui les accompagnent. Cette analyse a permis de mieux faire connaître ces initiatives aux partenaires du projet NARIINDU et notamment aux membres du RBM. Elle a permis d’alimenter les échanges lors de l’atelier régional à Niamey. -
Rapport de mission : clôture de projet de capitalisation, Atelier final
Dans le cadre du volet « capitalisation » (RA4) du projet Nariindu, RBM a la responsabilité de l’organisation d’un atelier de partage d’expériences sous-régionales, s’appuyant sur les premières conclusions des études pays et sur la synthèse du LARES. Célia Coronel, en tant que responsable « capitalisation » du projet Nariindu, assure un appui technique à RBM et au LARES, et réalisera dans ce cadre des appuis directs à l’occasion de sa mission : appui à la finalisation des rapports pays et de la synthèse du LARES, appui à l’organisation de l’atelier sous-régional, appui à l’animation de l’atelier. -
Mission d’appui au projet Nariindu : Bilan de l’année 2014 des deux centres de collecte et perspectives de viabilité
Hamdallaye et Kollo sont actuellement les plus grands centres de collecte de lait cru auprès des éleveurs au Niger. En pic de collecte ils collectent chacun plus de 1.000 litres / jour. Les volumes collectés sont en augmentation pour les deux centres et devraient continuer à augmenter. Par ailleurs la forte demande en lait cru sur Niamey n’est toujours pas satisfaite et représente une opportunité pour les éleveurs. Un partenariat avec Solani - le principal client des centres qui souligne la qualité du lait fourni par les centres – se développe actuellement. Les quantités collectées sont cependant très variables au cours de l’année avec un pic de collecte en janvier-février-mars et un creux de collecte pendant l’hivernage de mai à septembre. -
Appui PPI Ruwanmu dans le cadre des projets d'infrastructures marchandes - phase APS
Le PASADEM a confié à Groupe Huit la réalisation d’un appui dans le cadre de la réalisation de trois projets d’infrastructures marchandes dans la région de Maradi (Sabon Machi, Tessaoua, Djirataoua). Au mois de mai 2015, une mission d’évaluation du FIDA, concernant les activités du PASADEM et du PPI Ruwanmou, a recommandé un appui supplémentaire de Groupe Huit pour les projets d’infrastructures marchandes du PPI Ruwanmou. Ceci afin de suivre la même procédure de mise au point et d’analyse des projets effectué par le consultant sur les projets du PASADEM. -
Rapport de base sur les priorités et les objectifs nationaux en matière de changements climatiques et sur les initiatives de développement des capacités concernées
Le réchauffement du système climatique est sans équivoque, car il est maintenant évident dans les observations de l’accroissement des températures moyennes mondiales de l’atmosphère et de l’océan, la fonte généralisée de la neige et de la glace, et l’élévation du niveau moyen mondial de la mer. Cela est dû principalement à l’augmentation dans l’atmosphère des concentrations des gaz à effet de serre dues aux activités humaines : les augmentations du dioxyde de carbone sont principalement dues à l’utilisation des combustibles fossiles et au changement d’utilisation des terres, tandis que ceux du méthane et du protoxyde d’azote sont principalement dus à l’agriculture. -
Travaux de construction de seuils à Karkara et de traitement de koris à Dareye
Le présent document fait office du rapport d'exécution des travaux du marché relatif à la réalisation de seize (16) seuils de traitement de koris à Darey région de Tillabéry commune rurale de Ouallam et d'un (1) seuil d'épandage à Karkara région de Tahoua commune rurale de Allakaye. -
Evaluation du potentiel en terre irrigable du Niger
L'économie du Niger est en grande parte basée sur l'exploitation agricole et occupe en moyenne, 77% des ménages (RGPH 2012) dont 96% vivent en zone rurale.
Le secteur agricole est fortement dépendant de la pluie, mais du fait de son insuffisance et de sa mauvaise répartition dans le temps et dans l'espace, le Niger enregistre fréquemment d'importants déficits dans la production agro-pastorale, et le pays se trouve confronté à une insécurité alimentaire chronique.
Cette situation a poussé les plus hautes autorités à lancer l'initiative 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens ». L'objectif global de cette initiative est de contribuer à mettre les populations Nigériennes à l'abri de la faim et leur garantir les conditions d'une pleine participation à la production nationale et à l'amélioration de leurs revenus. Plus spécifiquement elle vise à renforcer les capacités nationales de productions alimentaires, d'approvisionnement et de résilience face aux crises alimentaires et aux catastrophes.
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Résultats définitifs de l’enquête sur les productions horticoles 2013/2014
Ce document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2013– 2014.
Le dispositif de collecte est constitué des agents enquêteurs, des chefs d’équipes, des contrôleurs départementaux, des superviseurs régionaux et nationaux, une unité de contrôle de complétude et de codification, une unité de saisie, une équipe d’apurement et de traitement, des analystes et un coordonnateur. -
Résultats définitifs de la Campagne Agricole d'Hivernage 2014 et perspectives alimentaires 2014-2015
La campagne agricole d’hivernage 2014 a démarré à partir de la troisième décade du mois d’Avril. Ce qui à permis d’effectuer des semis partiels de mil au niveau de 384 villages des régions de Dosso, Maradi et Tahoua. A la suite des précipitations enregistrées, les semis se sont poursuivis jusqu’à la troisième décade de juillet dans les régions d’Agadez, Diffa et Zinder. Les régions de Dosso, Maradi, Tahoua et Tillabéri ont bouclé leur semis dans la deuxième décade de juillet et celle de Niamey dès la troisième décade de Juin. Comme en 2013 la campagne agricole d’hivernage 2014 a accusé un retard sur le plan du parachèvement des semis dû aux longues périodes de sécheresse ou retards de semis dans les régions d’Agadez, Diffa et Zinder.