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Ravageurs des planches maraîchères de Moringa oleifera dans la région du centre (Burkina Faso)
Etude ayant comme objectif l'identification et la caractérisation des ravageurs des feuilles de moringa oleifera, ainsi que la détermination de l'ampleur de la défoliation sur les jeunes plants en culture maraîchère -
Fiche technique pour la culture du moringa
Le moringa aime les sols bien drainés. Le sol ne doit pas s’engorger car le moringa est sensible à une présence de l’eau au niveau des racines. On pense que l’excès d’eau favorise le développement de maladies du moringa.
Il faut utiliser une matière organique bien décomposée, obtenue par un compostage à chaud. -
Analyse structurelle des systèmes agroforestiers à base de Moringa oleifera Lam. dans les vallées du fleuve Niger et du Goulbi de Maradi (Niger)
Les structures des systèmes agroforestiers à base de Moringa oleifera ont fait l’objet de suivi et d’analyses approfondies sur les sites de la vallée du fleuve Niger et du Goulbi de Maradi. Le suivi a porté sur la détermination des cultures maraîchères associées au M. oleifera, la durée ainsi que l’arrangement spatial des composantes de cette association. Les données ont été collectées à l’aide d’une fiche qui renseigne sur les paramètres à étudier. Aussi, des interviews semi-structurées ont été organisées avec les exploitants pour appréhender les motivations qui sous-tendent leur choix d’associer telle ou telle culture au M. oleifera. Il ressort de cette étude que sur les deux (2) sites, l’agrosylviculture domine avec plusieurs formes d’association du M. oleifera avec les cultures maraichères notamment Solanum melongena (24% des cultures associées au M. oleifera dans la vallée du fleuve) et Lycopersicon lycopersicum L (50% des cultures associées au M. oleifera dans le Goulbi de Maradi). Les raisons avancées par les exploitants pour choisir les cultures associées au M. oleifera sont d’ordre édaphique ou socioéconomique. Les superficies moyennes exploitées représentent 0,1915 ± 0,1707 ha/exploitant et 0,185 ± 0,0766 ha/exploitant respectivement dans la vallée du fleuve Niger et le Goulbi de Maradi. -
Sécurité alimentaire dans les pays en développement : quelle contribution des filières d'exportation?
L’article propose un modèle micro-économique pour analyser les interactions entre les filières domestiques et les filières d’exportation des pays en développement et leur rôle dans la disponibilité de l’offre alimentaire sur les marchés domestiques. L’analyse prend en compte la rareté du foncier agricole et évalue deux politiques publiques : un quota minimal de production imposé aux exportateurs et réservé aux marchés domestiques et une subvention à l’entrée des producteurs spécialisés dans les cultures domestiques. Nous montrons comment un quota minimal de production imposé aux exportateurs ne suffit pas, quand il est pratiqué isolément, à satisfaire à la fois l’objectif de sécurité alimentaire et une participation importante de producteurs locaux. -
Rapport d'activités annuel 2015 du projet d'intensification des productions agricoles pour la sécurité alimentaire dans les régions de Tahoua et Tillabéri
Le projet s'inscrit dans le processus de la mise en oeuvre du Programme Spécial de Sécurité Alimentaire de la Banque Ouest Africain de Développement (BOAD), initié pour venir en appui aux actions entreprises par les États membres de l'UEMOA dans le cadre de la crise alimentaire. Il s'inscrit aussi dans l'axe 3 << sécurité alimentaire et développement agricole durable >> du plan de Développement Économique et Social (PDES) 2012-2015. -
Rapport annuel d'activité 2015
Au cours de l'année 2015 d'importantes activités ont été réalisées dans le cadre de mise en oeuvre du Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERSA-MTZ). Trois années et demi se sont écoulées, au cours desquelles nonobstant les contraintes multiples, le projet s'est pleinement investi dans l'atteinte des objectifs de renforcement de la sécurité alimentaire et de réduction de la vulnérabilité aux crises alimentaire des populations de la zone d'intervention qui lui sont assignés.