Du 28 au 30 octobre 2013 s’est tenu à l’Hôtel Terminus à Niamey au Niger, l’atelier sur "Les Statistiques de l'Elevage au Niger: Situation et perspectives''. Ont pris part à cet atelier, les délégués du Burkina Faso, du Mali et de la Mauritanie mais aussi les représentants des Coopérations Belge (CTB) et Suisse, et les représentants d’organisations internationales ou centres étrangers de recherche tels que : l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), la Banque Africaine de Développement (BAD), la Banque Mondiale, l’Observatoire Economique et Statistique d’Afrique Subsaharienne(AFRISTAT), le Fonds des Nations Unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO), Vétérinaires Sans Frontière (VSF), le Centre National français de la Recherche Scientifique (CNRS).
Comme toute stratégie, les orientations de la stratégie nationale de réduction des risques de catastrophe découlent d’une vision partagée et d’un processus de planification axée sur les résultats, c'est-à-dire d’une projection dans l’avenir, des changements souhaités et des étapes intermédiaires à franchir avant d’y arriver. L’ambition de la stratégie nationale de réduction des risques de catastrophe est que le Niger puisse réduire de façon significative sa vulnérabilité structurelle aux catastrophes pour entrer véritablement dans le processus du développement durable.
En application de la CDB qu’il a signée et ratifiée, le gouvernement du Niger met en œuvre depuis 1998 une stratégie et un plan d’actions en matière de diversité biologique. Elle avait été élaborée sur la base d’un état des lieux sur la Diversité Biologique au Niger. Aussi, la SNPA_DB visait trois objectifs spécifiques déclinés à travers 118 actions et couvrant les principaux domaines de la DB.