Recherche
135 items
-
Base de données documents PADIP: Liste triée par thème
Cette fiche présente une liste triée par thème de la Base de données documents PADIP. Elle dresse la liste des Documents disponibles en version électronique. -
La dynamique accélérée des koris de la région de Niamey et ses conséquences sur l'ensablement du fleuve Niger
L’Afrique de l’Ouest est soumise depuis quelques décennies à un rapide changement d’usage des sols, lié à la très forte pression démographique. La région de Niamey en particulier, avec de très nombreux oueds exoréiques appelés localement, « koris » participe de cette dynamique. Il semblerait que l’endoréisme recule à l’échelle des koris comme celui de Boubon, Gorou Kirey etc. L’objectif de cette recherche est de mettre en évidence cette évolution et à l’expliquer, ainsi qu’à insérer cette évolution dans le contexte régional, d’un Sahel où l’endoréisme est très répandu. On essaie de montrer la part des responsabilités entre et facteurs anthropiques et climatiques. On utilise pour cela des relevés de terrain ainsi que des études diachroniques. L’accent est mis sur des suivis cartographiques et diachroniques de l’hydro - morphométrie du bassin, des mesures topographiques in situ sont effectuées à l’aide d’une station totale, des prélèvements ponctuels de matières en suspension dans les koris. Ces suivis sont couplés aux mesures de ruissellement et de pertes en terre sur un de ses versants, selon les états de surface les plus représentatifs de la région. -
Installation des haies vives pour la protection des jardins à Yoreizé koira
Par définition, les haies vives défensives sont composées de buissons, des plantations denses et alignées d’arbres ou d’arbustes à branches nombreuses et impénétrables dans un but de délimitation, de défense ou de protection. Le village de Yoreyzé Koira est situé à une cinquante de kilomètres de Niamey sur la route de Namaro et sur la rive droite du fleuve Niger. La haie vive a été introduite dans la commune rurale de Namaro dans les années 90 par les Japonais à travers un projet financé par Japan International Cooperation Aency (JICA). Ce projet a incité des producteurs à clôturer leurs parcelles de culture maraîchère ou fruitière, et à installer des haies vives sur les dunes pour lutter contre l’érosion éolienne. -
Fiche descriptive Nagode
L’hybride Nagode est une variété à graine jaune, précoce (85 jours), productive (5 à 7 tonnes/ha) qui se comporte bien en sol de vallée et même sur sol dunaire riche en matière organique. La variété présente un feuillage de couleur vert-claire et des soies et anthères de couleur rose-claire. La panicule présente un nombre de ramification relativement élevé. La présence du bourrelet anthocyanique à la base des glumes n’est observée que dans des rares cas. Les épis sont gros, insérés au milieu de la tige et présentent une bonne fermeture des spathes. Du fait des poids des épis à la maturité, les tiges ont tendance à s’incliner à leur base au sol notamment sur sol dunaire si le buttage n’est pas effectué au dernier sarclage. Les graines jaunes présentent au niveau de leur sommet une tache jaunâtre d’albumen farineux. Elles sont insérées en rangées droites sur une rafle blanche, cylindro-conique sans pigmentation anthocyanique. -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
La fertilisation localisée au semis des cultures ou le « microdosage » consiste à mettre, au moment du semis, de petites quantités (doses) d’engrais minéraux appropriés dans les trous de semis d’une culture, communément appelé poquets ; cette technique remplace la pratique de l’épandage (application de l’engrais à la volée ou en ligne) sur toute la superficie d’un champ. Cette méthode peu onéreuse, et particulièrement bien adaptée aux cultures de mil et de sorgho, permet une utilisation plus efficace de l’engrais et une augmentation des rendements agricole de manière durable. -
Interactions entre la variabilité des écotypes de l’oignon (Allium cepa L.) et les facteurs agro-climatiques au Niger
L’oignon est la première culture maraîchère au Niger. La production annuelle est estimée à près de 561.000 tonnes, classant le Niger au deuxième rang des producteurs ouest-africains derrière le Nigeria. Une collecte portant sur des cultivars locaux d’oignon du Niger réalisée en 2008 a été suivie d’une étude de leur interaction avec les facteurs agro-climatiques du Niger. Les méthodes classiques de collecte de matériel végétal (localisation des sites de collecte sur la carte, identification et description des échantillons, historique des écotypes, conditions culturales, etc..) ont été utilisées. L’aspect variétal vis-à-vis des facteurs agroclimatiques des différentes zones de collecte a été mis en évidence. Le travail a permis de réunir 21 écotypes locaux d’oignon comprenant le Violet de Galmi répartis sur toute la zone de collecte. Il a également permis de montrer que certaines caractéristiques variétales comme la couleur des bulbes, le cycle sont liées aux différences agro-climatiques et géomorphologiques des sites de collecte tandis que d’autres se révèlent indifférentes. -
La conservation du niébé : goulot d’étranglement de la filière et innovation technologique
Cette note est tirée d’une communication intitulée « Innover pour développer les marchés : le cas de la conservation du niébé au Burkina Faso ». Les connaissances utilisées dans cette communication proviennent des travaux menés par le CIRAD1 avec la collaboration de l’INERA2 dans le cadre de son partenariat avec le Programme d’Appui au Développement de l’Agriculture du Burkina Faso (PADAB II / 2006‐2011) sur sept filières (niébé, poisson, bétail viande, volaille, karité, gomme arabique, bois énergie) dans trois régions du pays (Est, Centre Est, Sahel). Ce programme est soutenu par la Coopération danoise. -
Le triple ensachage pour la conservation du niébé - Un point de situation
Cette note a été rédigée dans le cadre du partenariat entre le RECA et le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), le RECA étant chargé de réaliser une évaluation des technologies éprouvées dans deux régions du Niger et d’identifier les préoccupations des producteurs et de leurs organisations. -
Initiative ''3N'' pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle et le développement agricole durables ''les nigériens nourrissent les nigériens''
Face au déficit chronique des produits vivriers, notamment céréaliers, l’insécurité alimentaire devient de plus en plus inquiétante et la pauvreté gagne chaque jour du terrain dans le monde rural qui comptabilise actuellement 80% des pauvres du pays, le Président de la République et le Gouvernement ont lancé l’initiative 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens ». Le présent document de stratégie est la traduction opérationnelle de l’initiative. L’i3N est un credo et un engagement politiques forts du Président de la République du Niger. Il constitue un axe majeur du Programme du Président de la République pour la renaissance du Niger. Il est bâti sur les acquis de la Stratégie de Développement Rural et s’inscrit dans le processus de mise en œuvre du Plan de Développement Détaillé pour l’Agriculture en Afrique (PDDAA) et de la Politique Agricole Commune de la CEDEAO (ECOWAP) ainsi que la Politique Agricole de l`UEMOA (PAU). L’I3N permettra au Niger d’accélérer l’atteinte des Objectifs du millénaire, notamment l’OMD1 et l’OMD7. Le contexte du Niger se caractérise par le fait que l’économie du pays est dominée par le secteur primaire (45,2% du PIB en 2010) et une étroitesse du secteur secondaire (11,4% du PIB en 2010). Le secteur primaire est essentiellement agropastoral ; il joue un rôle essentiel dans la croissance économique. Entre 2006 et 2010, le PIB du secteur primaire est passé de 817,66 milliards de FCFA à 1021,27 milliards, soit une progression de 25%, contre 20% pour l’ensemble des secteurs (1906,83 milliards en 2006 à 2295,39 milliards en 2010). -
Avant-projet de document de politique nationale en matière de changements climatiques (PNLCC)
Ce présent rapport porte sur L'analyse de la situation en matière de changements climatiques, les actions initiées en réponse aux variabilités et changements climatiques , les objectifs et axes de la Politique Nationale en matière de Changements Climatiques (PNCC) et le dispositif institutionnel de mise en œuvre et de suivi-évaluation -
La politique semencière nationale
Ce rapport porte sur la politique semencière nationale du Niger -
Plan forestier national du Niger (PFN 2012 – 2021)
Le plan forestier national du Niger est le document de référence pour la mise en oeuvre des actions d'aménagement, de reboisement et de protection des massifs forestiers au Niger -
Combien pourrait rapporter une plantation de gommiers dans la région de Diffa ?
Dans le cadre des microprojets mis en place sur financement du Fonds d’Appui Régional du Programme d’Appui au Secteur Rural, deux groupements de producteurs de la commune de Goudoumaria ont obtenu un financement pour la réhabilitation / plantation de 10 hectares de gommeraie (Acacia senegal), chacun. Le dossier de financement précise que chaque plantation de 10 ha dégagera un revenu de 350.000 F.CFA la cinquième année et 700.000 F.CFA à partir de la sixième année. -
Le traitement de la paille à l’urée Cas de la Région de Diffa
Cette note a été rédigée dans le cadre du partenariat entre le RECA et le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), le RECA étant chargé de réaliser une évaluation des technologies éprouvées dans deux régions du Niger et d’identifier les préoccupations des producteurs et de leurs organisations. Elle est basée sur des entretiens menés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa avec des membres des Services techniques, des éleveurs, des OP et des projets, et complétée par la lecture de documents. Le RECA ne prétend pas avoir fait le tour de la question, ni vu toutes les expériences, ni rencontré tous les acteurs. Les observations et analyses sont provisoires. Cette note sera progressivement complétée et améliorée. Les apports et compléments sont souhaités afin d’enrichir ce travail de capitalisation sur la situation des technologies et techniques générées et/ou diffusées au Niger par l’ensemble des acteurs. -
Techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel
Techniques de maraîchage. gestion des exploiataions maraîchères. fiches techniques de production des cultures maraîchères -
Champ école paysan
Présentation du concept de champ-école paysan -
Développement des cultures irriguées : Rôle des organisations paysannes et modalités d’appui à la petite irrigation familiale
Sur la base des expériences acquises par les organisations paysannes partenaires du PADIP, cet article présente les différents instruments et/ou stratégies d’intervention mises en oeuvre en matière d’appui au développement de la petite irrigation familiale au Niger. Il vise ainsi à établir un état des lieux des actions réalisées en mettant en évidence les contraintes qui continuent à peser fortement sur les petits producteurs et qui limitent considérablement leurs capacités à mettre en valeur les ressources en eau existantes et à tirer pleinement avantage des cultures de contre-saison. -
Avant projet de loi relative aux semences d'origines végétales
Agriculteur-multiplicateur: La catégorie d'agriculteurs spécialisés dans la multiplication des semences
Allogamie: le monde fécondation croisée ou le deux gamètes proviennent deux individus différents -
Initiative "3N" pour la sécurité alimentaire et le développement agricole durable "Les nigériens nourrissent les nigériens" . Cadre stratégique et coût estimatif des programmes de l'initiative pour la période 2012-2015
Face au déficit chronique des produits vivrières notamment céréaliers insécurité alimentaire devient de plus en plus inquiétante et la pauvreté gagne chaque jour du terrain dans le monde rural qui comptabilise actuellement 80% des pauvres du Niger, le Président de la république et le gouvernement ont lancé l’initiative "3N". Le présent document de stratégie est la traduction opérationnelle de l'initiative. -
Rapport national sur le progrès vers l'atteinte des objectifs du millénaire pour le développement
Le texte fondateur des objectifs du millénaire pour le développement est la déclaration du millénaire adoptée le 8 septembre 2000,lors de l’ouverture de la 55éme session de l'assemblée générale des Nations Unies. -
Plan de développement économique et social
Avec le présent plan de développement économique et social ( PDES) 2012-2015 ,le Niger renoue véritablement avec l'exercice de planification économique après plusieurs décennies d'affaiblissement de la fonction de planification -
Plan de développement économique et social ( PDES ) 2012-2015 plan d'action prioritaire
Le gouvernement du Niger a adopté le 1er août 2012, le plan de développement économique et social 2012-2015.dans le cadre des modalités de sa mise en oeuvre,il est prévu l'élaboration d'un plan d'action prioritaire. -
Plan de développement économique et social (PDES) 2012-2015 cadre de mesure des résultats stratégiques
Comme indique dans le document du PDES, son dispositif de suivi et évaluation s'inspire des acquis et des enseignements tirés de la mise en œuvre de ceux de la SDRP et des stratégies sectorielles. -
Plan de développement économique et social 2012-2015 : plaquette de présentation
Les choix stratégiques pour le Niger ,tels qu'exprimés par les plus hautes autorités nationales,visent à concilier les impératifs de court terme-consistant en la recherche de solutions aux préoccupations urgentes-et la nécessité d’élaborer et mettre en oeuvre une stratégie à moyen terme permettant d'optimiser la gestion des ressources naturelles et d'assurer un développement économique et social inclusif équilibre,équitable et durable -
Synthèse du cadre stratégique et coût indication des programmes pour la période 2012-2015
D’importantes ressources ont été investies au Niger dans le secteur agricole de l’Indépendance à nos jours. Nonobstant ces investissements, les déficits des productions céréalières et fourragères persistent, soumettant les populations et leur cheptel à une insécurité alimentaire et nutritionnelle de plus en plus fréquente (2005, 2009 et 2011). L’insécurité alimentaire et nutritionnelle chronique touche en moyenne 11 à 25% de la population dont particulièrement 40% des enfants de moins de 5 ans -
Cahier du formateur «Réparation et entretien de la petite motopompe»
(entretien courant)
Conscient de la valeur du potentiel de la petite irrigation en tant que vecteur du développement du secteur économique rural, l’Etat nigérien a mis en place des politiques qui ont favorisé l’émergence des initiatives prometteuses de prestations de services privés (services conseils, approvisionnement en intrants, fabrication et réparation des pompes, crédit) à côté de celle joué par les structures étatiques mises en place. La priorisation du développement de toutes les formes d’irrigation est aujourd’hui considérée comme un moyen pour accroître la résilience des producteurs agricoles ruraux et renforcer la stabilité économique locale et nationale, malgré la faiblesse observée des résultats en termes d’appropriation des technologies et d’autonomisation des producteurs. -
Cahier du formateur
«Entretien périodique planifié » (destiné aux producteurs)Conscient de la valeur du potentiel de la petite irrigation en tant que vecteur du développement du secteur économique rural, l’Etat nigérien a mis en place des politiques qui ont favorisé l’émergence des initiatives prometteuses de prestations de services privés (services conseils, approvisionnement en intrants, fabrication et réparation des pompes, crédit) à côté de celle joué par les structures étatiques mises en place. La priorisation du développement de toutes les formes d’irrigation est aujourd’hui considérée comme un moyen pour accroître la résilience des producteurs agricoles ruraux et renforcer la stabilité économique locale et nationale, malgré la faiblesse observée des résultats en termes d’appropriation des technologies et d’autonomisation des producteurs. -
Projet de valorisation des retenues d'eau et d'auto-promotion des communautes locales au sahel
La superficie du territoire de la république du niger est d'environ 1.260.000m2 ( 3,5 pls grande que celle du japon dont près de 65% est situé dans le désert saharien. -
Rongeurs urbains et invasion biologique dans le sud ouest du Niger : écologie des communautés et génétique des populations
Les invasions biologiques semblent pouvoir suivre des modalités et des dynamiques
spatio-temporelles extrêmement variées. De très nombreux cas de figure sont possibles dans
la nature : ils dépendent de multiples paramètres géographiques, historiques,
environnementaux et évolutifs qui interagissent et qui, de plus, varient au cours des
différentes phases de l’invasion (Facon et al., 2006). Néanmoins, Facon et al. (2006)
proposent de classifier ces différents scénarios d’invasion biologique en trois catégories
théoriques (et extrêmes) principales, basées sur leprocessus à l’origine de l’invasion (voir
aussi Wilson et al., 2009) : -
Pratiques pour une production durable : lutter contre l'érosion des sols 1
L'érosion est un phénomène naturel qui peut avoir des effets bénéfiques comme le dépôt d'alluvions fertiles-et des effets nuisibles. -
La culture du Guar se développe au Niger
Une plante tolérante à la sécheresse et même qui ne bien pousse que dans les zones arides et semi-arides. Une plante qui aime les sols sableux -
Rapport final: Projet de réhabilitation des abattoirs frigorifiques de Maradi, Zinder et Tahoua
Pour rendre opérationnelle et atteindre les objectifs de développement durable, le Niger a élaboré plusieurs politiques et programmes sectoriels de développement dont, entre autres, la Stratégie de Développement Rural (SDR). Dans le cadre de la mise en œuvre de cette stratégie, le Gouvernement a soumis et obtenu de l’Association Internationale pour le Développement (IDA), le financement du Projet de Développement des Exportations et des Marchés Agro-Sylvo-Pastoraux (PRODEX). Le PRODEX a pour objectif de développement, l’accroissement des revenus et la diversification des opportunités économiques dans le but d’améliorer les conditions de vie des populations du Niger. Il est adossé au programme structurant 3 :« Organisations professionnelles et structuration des filières ». -
Rapport de mission : appréciation de la gestion participative et la bonne gouvernance au sein des banques céréalière dans le département de Filingué
L'objectif global est d'apprécier la gestion participative et la bonne gouvernance au sein de vingt (29) banques céréalière dans le département de Filingué dont 23 dans la commune rurale d'Imanan, 3 dans la commune rurale de Tondikandia et 3 dans celle de Tagazar. -
Programme d'urgence pour la sécurité alimentaire
2011-2012 : bilan
La campagne agropastorale 2011-2012 a été caractérisée par une pluviométrie erratique, mal répartie dans l'espace et dans le temps avec de nombreux épisodes de sécheresse tous plus longs les uns que les autres. Il en a résulté un déficit céréalier quasi record de l'ordre de 700 000 tonnes, justifiant à posteriori les instructions de Son Excellence El Hadj ISSOUFOU MAHAMADOU, Président de la République, Chef de l'Etat, d'anticiper dès le début du mois d'août 2011, l'élaboration et la mise en œuvre pour l'exercice 201 1-2012, d'un programme d'urgence comme mesure corrective aux mauvaises récoltes attendues. -
Enquête de référence sur les organisations des professionnels des filières et les membres de leurs ménages
Le Gouvernement du Niger a obtenu de l’Association Internationale pour le développement (IDA), un prêt pour le financement du Projet de Développement des exportations et des Marchés Agro- Sylvo-Pastoraux (PRODEX) afin de favoriser l’accès des producteurs ruraux aux opportunités économiques pour créer les conditions d’une croissance économique durable en milieu rural. S’inscrivant comme bien d’autres projets de développement dans la logique de la Gestion Axée sur le Résultat (GAR), le PRODEX, pour mieux mesurer l’impact des actions du projet sur les bénéficiaires, en collaboration avec l’Institut National de la Statistique (INS) a organisé du 20 août au 18 septembre 2012 une enquête nationale de référence sur les organisations des professionnelles des filières (OPF) et leurs ménages. Cette enquête a porté sur un échantillon de 499 OPF et 3992 ménages. -
Répertoire de la faune aquatique de la zone d’intervention du projet
Les ressources halieutiques du Niger sont concentrées dans le fleuve Niger et ses affluents, la Komadougou Yobé, le Lac Tchad, 970 mares naturelles et 69 retenues d’eau artificielles. Ce document présente les spécimens de la faune aquatique de la zone du projet avec leurs noms scientifiques et vernaculaires. -
Bilan des activités
Le Niger a obtenu de la Banque Mondiale à travers le Fonds fiduciaire en réponse à la crise des prix alimentaires (FPCR) le financement du second Projet d'Urgence d'appui à la Sécurité Alimentaire (PUSA2) dans la région de Tillabéri. Ce projet vise l’atténuation des effets de la crise alimentaire et pastorale de 2009 qui a affecté les populations les plus vulnérables dans cette région. Le PUSA2 fait partie du Programme de développement d'Urgence de Sécurité Alimentaire et de développement Rural(PUSA/DR). Ce programme est né suite à l'appel des autorités Nigériennes et de la volonté de la Banque mondiale,le Fonds International de Développement Agricole (FIDA) et le Fonds OPEP pour le Développement International (FODI) de s'unir pour répondre à la crise alimentaire qui sévit au Niger. Le PUSA2 contribuera ainsi à l'objectif de développement de ce programme en concentrant ses efforts dans la région de Tillabéri. -
Bilan provisoire : Mise en œuvre du programme d'urgence des cultures irriguées
Au regard du déroulement non satisfaisant de la campagne agricole d'hivernage 2011/2012, le Gouvernement a décidé de prendre des dispositions pour mettre en oeuvre des actions d'urgences. Ceci a conduit à l'élaboration et l'adoption d'un programme d'urgence axé sur le développement des cultures irriguées, l'appui à la sécurisation des stock natioanl de sécurité. Le programme d'urgence des cultures irriguées a été adopté suite au conseil des Ministres du 24 aout 2011 et a fait l'objet d'un lancement officiel le 25 octobre 20111 à Sargane (Ouallam) région de Tillabéry. -
Enquête d'évaluation de l'impact du renforcement des capacités des associations des producteurs sur la compétitivité des filières
Le Niger est un pays sahélien marqué par de fortes instabilités sur le plan climatique et par une très haute vulnérabilité du point de vue économique et alimentaire. Avec une superficie de 1 267 000 Km², il est l’un des pays les plus vastes de l’Afrique de l’ouest. Mais seulement 12% de cette superficie sont favorables à une agriculture de subsistance qui occupe pourtant 85% de sa population. -
Catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV)
La règlementation semencière ouest africaine adoptée le 18 mai 2008 par les pays de la CEDEAO prévoit en son article 9 alinéa 3, un Catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV) par pays. Ce catalogue comprend 110 variétés pour 11 cultures. -
Guide sur les méthodes de planification pour la gestion et la conservation des ressources naturelles
Ce guide a pour objectif de lutter contre la dégradation des terres en milieu rural, qui s'accentue sous l'effet des activités de production agricoles usurpatrices de ressources, notamment le surpâturage et la surexploitation des terres. Ainsi, il va permettre une gestion adéquate des ressources naturelles à l'initiative des populations en mettant en application des techniques destinées à assurer une production agricole durable en fonction des spécificités naturelles et sociales de la région. -
Initiative 3N pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle et le développement agricole durable "LES NIGÉRIENS NOURRISSENT LES NIGERIENS"
Le Niger est confronté à des crises alimentaires intervenant une année sur deux à cause de la mauvaise répartition des pluies dans l'espace et dans le temps. Pourtant des potentialités existent en eau et en terre irrigables et c'est la raison pour laquelle,l’État s'est engagé à développer les cultures irriguées. -
La répétition des crises alimentaires et nutritionnelles au Niger : la rénovation urgente des politiques de sécurité alimentaire
Après la crise alimentaire très médiatisée de 2005, le Niger a connu en 2010 une crise de plus grande ampleur. Cet article cherche à analyser pourquoi les populations nigériennes sont confrontées à la répétition de crises sévères à un rythme tendant à s'accélérer. La crise de 2005 a mis en évidence l'important décalage entre le modèle explicatif de la crise alimentaire retenu par le dispositif national de prévention et de gestion des crises alimentaires. -
Projet d'Intensification des Produits Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPAS/SA) 2012 dans les régions de Tahoua et Tillabéri : Diagnostique participatif des exploitations agricoles dans la zone du projet (PIPA/SA) 2012
Le projet d'intensification des produits agricoles pour la sécurité alimentaire (PIPAS/SA) dans les régions de Tahoua et Tillabéri intervient plus spécifiquement dans les villages situés dans : Les cuvettes de Hondey à Balati (commune de Namaro ) département de Kollo, le Bassin versant du barrage de Téguéléguél (commune d'Ibohamane) département de Keita, le bassin versant du barrage de Guidan Magagi (commune de Doguérawa) département de Malbaza. -
Plan de Développement Économique et Social (PDES) : 2012-2015
Le choix stratégique pour le Niger tels qu'exprimés par les hautes autorités nationales visent à concilier les impératifs de court termes consistant en la recherche de solutions aux préoccupations urgentes et la nécessité d'adopter une stratégie à long terme permettant d'optimiser les ressources naturelles et humaines en vue de promouvoir un développement économique et social durable et une croissance inclusive. -
Programme de travail et budget annuel 2012
Le projet "Intensification de l'Agriculture par le Renforcement des Boutiques d'Intrants Coopératives" (IAR BIC) a pour objectif global de "contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire des populations les plus vulnérables à travers l'intensification de la production agricole vivrière". Il a comme objectif spécifique d"améliorer les rendements des cultures de mil et sorgho dans l'ensemble de la zone agricole du pays par l'utilisation maitrisée des engrais à travers le réseau des boutiques d'intrants". -
Programme de travail et budget annuel du PA/PSSA : Période de Janvier à Décembre 2012
Le présent PTBA s'inscrit dans le cadre de la suite du premier élaboré en 2011 qui n'a pas connu beaucoup de réalisations du fait d'un certain nombre de retards accusés dans le recrutement des consultants. -
Rapport annuel d'activités 2012
Le rapport d'activités de l'année 2012 constitue le second qui couvre une année dans le cadre de la mise en œuvre de la phase 2 du Projet d'appui au Programme Spécial de Sécurité Alimentaire. Il couvre la période de janvier à décembre 2012. -
Rapport annuel d'activités 2011
Le présent rapport d'activités constitue le premier du genre dans le cadre de la mise en œuvre de la phase 2 du Projet de Programme Spécial de Sécurité Alimentaire. Il couvre la période allant d'Octobre 2010 à décembre de l'année 2011. -
Rapport d'analyse du secteur de l'éducation de base
Pour atteindre les objectifs de l’Éducation pour tous (EPT) et les objectifs du millénaires pour le développement (OMD) avant le délai de 2015, l'approche sectorielle (SWAp) et le soutien financier ont avancé. Dans une telle situation, pour exécuter le programme de façon plus stratégique et efficace, il est nécessaire que l'Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA) ait une d'ensemble du secteur de l'éducation de base de pays en voie de développement en collectant les informations variées pour faire une analyse plus profonde. -
Rapport de l'atelier national de validation des plans de formation triennaux des ministères tenu du 31 mai au 1er juin 2012
Les ministères intervenant dans le secteur rural au Niger ont engagé en 2011 un processus concerté d'élaboration de plans de formation triennaux 2012-2013 de leurs personnels. Ces ministères sont : le Ministère de l'Hydraulique et de l'Environnement, le Ministère de l'Agriculture, le Ministère de l’Élevage, le Ministère du Plan, de l’Aménagement du Territoire et du Développement Communautaire (MPATDC). -
Rapport de mission de contrôle du projet de développement des exportations et des marchés agro-sylvo-pastoraux du 17 au 30 décembre 2001.
Le Projet de Développement des Exportations des Produits Agro-sylvo-pastoraux (PRODEX) a pour but (i) d'augmenter la contribution du secteur rural à la croissance économique du pays; (ii) de développer les exportations des produits agro-sylvo-pastoraux ; et (iii) d'améliorer les revenus et les conditions de vie des producteurs surtout les petits producteurs ruraux. -
Stratégie de développement durable de l'élevage (2012-2035)
Le Niger présente des potentialités indéniables en élevage lui permettant d’espérer contribuer significativement à la sécurité alimentaire et nutritionnelle, mais aussi d’envisager des revenus appréciables pour la population. Des stratégies successives ont tenté de valoriser clés potentialités nationales. La SDRP et la SDR ont reconnu au Ministère de l’Élevage un rôle moteur dans l’aménagement et la sécurisation des systèmes pastoraux. De nouvelles visions sont en cours, notamment l’Initiative 3N et les projections axées sur le long terme avec Niger 2035. -
Plan de formation triennaux 2012-2014 des ministères : Thèmes de formation communs aux directions centrales et aux directions régionales
Dans la mesure où les départements ministériels partagent un champs commun d'intervention qui est le secteur rural, il est apparu au terme du processus d'élaboration des plans de formation continue qu'un certain nombre de thèmes sont communs aux directions centrales et aux directions régionales des ces départements ministériels. -
Audit technique des micros projets financés par le PAC 2
L'Inspection Générale des Services du Ministère de l'Agriculture (IGSIMAG) figure parmi les institutions nationales impliquées dans la mise en œuvre du PAC2. Elle effectue des missions de contrôle de qualité, dans le cadre d'une convention de partenariat, en collaboration avec les Inspections Générales des Services des Ministères de l’Élevage, de l'Hydraulique et de l'Environnement et les Directions du Génie Rural et de l’Étude et de la Programmation (Division Crédit rural). -
Note d'informations sur le programme d'urgence/volet environnement dans le Département d'Illela
Situé à 33 km de la Commune Urbaine d'Illéla et à 5 km de Dandaji sur la route de Dangona, le site du plateau de Beidi couvre une superficie totale estimée à 550 Hectares. Il est constitué des terres de glacis, des plateaux et des collines. Ce site est fortement dégradé suite aux effets conjugués des deux formes d'érosions avec pour conséquence, l'ensablement de la mare de Beidi, la dégradation des terres agricoles, la formation des Koris et la perte de la terre arable. -
Cadre stratégique et coût estimatif des programmes de l'initiative pour la période 2012-2015
Face au déficit chronique des produits vivriers, notamment céréaliers, l'insécurité alimentaire devient de plus en plus inquiétante et la pauvreté gagne chaque jour du terrain dans le monde rural qui comptabilise actuellement 80% des pauvres du pays, le Président de la République et le Gouvernement ont lancé l'initiative 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens ». -
Le Niger après la crise de 2005. À quoi servent les indicateurs nutritionnels ?
Après la crise alimentaire de 2005, le Niger a fait l’objet d’un grand nombre d’études nutritionnelles de la part de différents organismes nigériens et internationaux. Cela s’inscrit dans un mouvement plus général touchant l’ensemble de l’Afrique sahélienne et donnant une plus grande place aux indicateurs nutritionnels dans les dispositifs de suivi de la sécurité alimentaire. Cette étude interroge les conditions de production et les usages politiques de ces indicateurs. Vus sous cet angle, ces derniers n’apparaissent pas que comme des outils descriptifs destinés à prendre la mesure d’une situation nutritionnelle, mais aussi comme des vecteurs de négociations et d’antagonismes entre les institutions impliquées dans les politiques alimentaires. -
Intensification durable des systèmes de production en zone sahélienne : Cas du Niger
Produire plus avec moins » est la formule utilisée par la FAO pour illustrer le concept d’intensification durable de la production agricole visant une agriculture productive basée principalement sur l’amélioration de la gestion des ressources naturelles. L’intensification durable des cultures promeut la biodiversité et les approches éco-systémiques qui mettent à profit la contribution des ressources existantes et les processus naturels de croissance des plantes. Des exemples incluent les pratiques qui augmentent le taux de matière organique dans le sol, améliorent la régulation des débits d’eau ou favorisent les processus de pollinisation et de prédation. -
Analyse des pratiques agricoles des producteurs d’Aguié: opportunités et contraintes pour le développement des systèmes d’agriculture de conservation
Dans les villages d’Aguié les systèmes de cultures se différencient par leurs diversités. On distingue 8 systèmes de culture (SC) à El Guéza et Guidan Bakoye dominés par des associations culturales. Dans chaque type d’association les céréales sont toujours présentes avec une légumineuse. Selon les producteurs d’Aguié, les systèmes de cultures sont aujourd’hui caractérisés aussi par la rotation entre une association des cultures (céréales + légumineuses) et une céréale en pure sur une année de production. Cette rotation est guidée par le souci premier des producteurs de gérer de la fertilité des sols qui constitue l’une de leurs préoccupations. -
Les politiques foncières
Une politique foncière adaptée peut être un outil puissant pour augmenter la production tout en favorisant l’emploi, la répartition équitable des revenus et la paix sociale et en protégeant les ressources naturelles. A contrario, le foncier peut aussi être utilisé au service d’intérêts particuliers, voire être source de conflits ou de guerres civiles. Les politiques foncières sont le fruit d’un arbitrage entre différents usages du sol et différents intérêts pour définir une affectation « optimale ». Elles poursuivent généralement un ou plusieurs objectifs propres, notamment : Intervenir sur la répartition des terres ; Définir les droits fonciers et les sécuriser, mettre en place des structures chargée de reconnaître ces droits et d’arbitrer les conflits ; Protéger et gérer les ressources naturelles. -
Trois mythes sur le développement agricole éléments de synthèse des interventions de Marc Dufumier Mission au Niger du 17 au 20 avril 2012
A partir des années 50, la recherche agronomique a élaboré des variétés « améliorées » des principales céréales. Ces variétés dites « améliorées » sont à haut potentiel génétique de rendement, c’est-à-dire qu’elles sont capables de bien intercepter l’énergie lumineuse pour produire le maximum de calories et de protéines alimentaires à l’hectare. Malheureusement, ces variétés sont très fragiles et elles ont besoin de conditions optimales pour atteindre effectivement ce potentiel de rendement. Cela se traduit bien souvent par la nécessité non seulement de recourir à la fertilisation chimique et à l’épandage de pesticides mais aussi de réaliser des travaux répétés des sols et des infrastructures d’irrigation et de drainage. Si le milieu ne leur convient pas, les rendements peuvent être catastrophiques et, en tout état de cause, inférieurs aux rendements obtenus avec les variétés rustiques des paysans. Les agriculteurs ont donc adaptés leurs écosystèmes aux nouveaux matériels génétiques, en les artificialisant et en les simplifiant, ce qui les a fragilisés. -
Les investissements dans la terre : les résultats de «l’agrobusiness » en Afrique de l’Ouest sahélienne présentation de deux études
Au Niger, de plus en plus, des personnes venant de secteurs autres que l’agriculture investissent dans le foncier agricole. Dans un contexte d’insécurité alimentaire chronique, soutenir les investissements privés nationaux dans l’agriculture, autrement dit « l’agrobusiness » peut sembler une solution intéressante pour moderniser l’agriculture. Cela repose sur l’idée que ces agro-investisseurs nationaux vont apporter des innovations techniques, produire en quantité, vendre sur le marché local et générer des emplois. Deux études faites dans la sous-région, dont une en partie au Niger, apportent des éléments d’analyse sur ce phénomène : elles montrent que, globalement, les effets attendus ne se produisent pas et que l’installation des agrobusinessmen a des conséquences négatives. -
Dégringolade du prix de l’oignon sur les principaux bassins de production
De nombreux responsables d’organisations de producteurs et des Chambres régionales d’Agriculture ont signalé la très forte augmentation des surfaces pour la culture de l’oignon dans la plupart des régions du Niger cette année. Pour de nombreux professionnels, un risque de très forte baisse des prix de vente à la récolte est à craindre… cela semble se confirmer.
La récolte des oignons a démarré dans les principales zones de production du Niger. Habituellement, les prix de l’oignon sur les marchés sont au plus bas au mois de mars et mi-avril mais cette année les prix affichent une baisse inquiétante dès ce début d’année, à la fin du mois de janvier, sur les marchés des principaux bassins de production. -
Techniques de production, stockage et conservation des bulbes d’oignon pour améliorer les performances de la filière oignon
Suite aux besoins des clients exprimés dans les dossiers de structuration des activités des OP, les constats lors de l’analyse des systèmes de conservation des produits et de l’évaluation des chaînes de valeurs des produits (oignon et pomme de terre), pour appuyer l’effort de ses clients axé sur le marché afin de tirer le maximum de profit. Le présent manuel s’inscrit dans le cadre de la formation des représentants des OP dans les techniques poste-récolte, de conditionnement et de conservation des bulbes d’oignon afin de minimiser les taux de perte mais, augmenter la qualité et valeur des produits. Cette formation portera sur le renforcement des capacités des membres des OP aussi bien en techniques de conservation des bulbes destinés à la conservation qu’en production des semences de qualité afin de prendre en compte dans la phase poste récolte, toutes les insuffisances capables d’affecter négativement le volume et valeurs des récoltes des produits ciblés. -
Guide de bonnes pratiques de production, stockage et conservation de l'oignon
Le présent guide de bonnes pratiques, élaboré en collaboration avec l’IRAN, la DGA, des personnes ressources de la filière oignon et les experts du PRODEX, s’inscrit dans le cadre de l’amélioration de la compétitivité de l’oignon du Niger à l’exportation sur les marchés s demandeurs des pays côtiers. Il est destiné à l’usage des techniciens en appui à la filière, le personnel des organisations faitières de la filière oignon ainsi que les producteurs, les commerçants et les exportateurs de l’oignon du Niger. -
Micro-entrepreneurship in Niger : Factors affecting the success of women street food vendors
Micro-entrepreneurship in the informal sector plays a vital role in generating employment and income in West Africa. In this article, the authors examine business success factors for micro-entrepreneurs involved in the production and sale of street foods in Niger, drawing on the resource-based view theory. Business success was measured by size of firm and vendor’s perception of enterprise growth. Their results indicate that business experience is an important success factor, while the need for cash is a constraint for business success. A rare resource, limited access to financial assets translates into limited opportunities for growth of these informal micro-enterprises into viable businesses.
-
Catalogue Nationale des Espèces et Variétés Végétales : Techniques culturales, manioc
Le manioc préfère les sols riches et profonds Avant la plantation, il est recommandé de bien labourer le terrain. De préférence billonner avant de planter sur les billons. -
Des pesticides en poudre destinés à des utilisations domestiques sont utilisés sur les cultures maraîchères
Cette note a été rédigée à partir des observations du RECA et d’un mémoire de master : Dynamiques de l’irrigation à petite échelle dans un contexte de fortes contraintes / Le cas du Dallol Bosso au Niger - Institut de Hautes Études Internationales et du Développement / Genève - Laurent Savary, 2010. Ces notes sur les thèmes liées à la protection des cultures doivent permettre aux différents acteurs de mieux connaître les ravageurs, les méthodes de lutte, les produits disponibles au Niger, afin d’améliorer leurs pratiques dans l’optique d’une gestion intégrée de la production et des déprédateurs. -
Note sur le cas de la production de niébé dans le Rapport d'évaluation préliminaire des récoltes 2011 et résultats provisoires de la campagne agricole 2011/2012
La campagne agricole d’hivernage 2011 a été caractérisée par une pluviométrie mal répartie dans le temps et l’espace, ponctuée par des épisodes secs au cours des mois de juillet, août et septembre. Le cumul pluviométrique saisonnier au 30 septembre 2011, bien que variant entre 300 et 780 mm dans la majeure partie de la zone agricole, est inférieur à 400 mm au niveau de la plupart des postes suivis. -
Termes de référence numéro agexbvcp/6/2012 du 20 janvier 2012 pour la phase 1 de la structuration professionnelle de la filière bétail, viande, cuirs et peaux en 2012
Dans le cadre de la mise en œuvre des activités de la sous composante A1 « Appui à la coordination et à la concertation sur les chaines d’approvisionnement des filières » du Projet de Développement des Exportations et des Marchés Agro-sylvo-pastoraux (PRODEX), l’AGEX BVCP va débuter la structuration interprofessionnelle à la base en appuyant la mise en place et la tenue des réunions des Comités Professionnels Régionaux (CPR) de la filière Bétail, Viande, Cuirs et Peaux (BVCP). Ces comités seront composés des représentants des Opérateurs de la Filière (OF), pour les 4 maillons de la filière dans les 8 régions du Niger : Production, Fourniture de biens et services, Transformation et Commercialisation. -
Conservation de la végétation - Pour la motivation des paysans
Face au défis de raréfaction des ressources dans les terroirs et aux conséquences induits de leurs perpétuelles dégradation par la surexploitation par divers usagers ruraux, Jireas et ses partenaires techniques notamment la Direction départementale de l'environnement de Say, multiplie les initiatives de préservation, de sauvegarde et de gestion rationnelle et durable des ressources naturelles dans leurs zones d'intervention à travers un processus continu et participatif pour conscientiser les populations quant aux problèmes environnementaux auxquels le monde fait face en général et le Niger en particulier. -
Étude sur le Développement des Méthodes de Gestion et de Conservation des Ressources Naturelles pour la Production Agricole (GERENA) : guide sur les méthodes de planification pour la gestion des ressources naturelles
Ce guide a pour objectif de lutter contre la dégradation des terres en milieu rural, qui s'accentue sous l'effet des activités de production agricoles usurpatrices de ressources, notamment le surpâturage et la surexploitation des terres. Ainsi, il va permettre une gestion adéquate des ressources naturelles à l'initiative des populations en mettant en application des techniques destinées à assurer une production agricole durable en fonction des spécificités naturelles et sociales de la région. -
Etude sur les interrelations entre population et insécurité alimentaire au Niger
Pays sahélien, le Niger fait face à plusieurs défis qu'il urge de relever pour construire un développement humain durable. Ces défis sont d'ordre démographique, économique et environnemental. -
Étude sur l'évaluation de la capacité des services déconcentrés de l’État à accompagner les collectivités territoriales
L'objectif visé par la présente étude initiée par le Haut Commissariat à la Modernisation de l'Etat, est de contribuer à adapter l'organisation et le fonctionnement des circonscriptions administratives et des services techniques déconcentrés aux exigences de la décentralisation pour in exercice et un accompagnement efficace des collectivités territoriales. De manière pratique, doit permettre de faire le diagnostic global de la question de l'accompagnement des collectivités territoriales. -
Le renforcement des capacités et la gestion d'une COFOB - annexes manuel technique
Le code rural a pour ambition de reduire de manière substastielle tous les conflits entre les différents utilisateurs des ressources naturelles. Le moyen principal pour réduire les conflits ruraux par la prévention. Ainsi, la COFO assure la sécurisation des biens des producteurs ruraux pour l'information et la sensibilisation des producteurs ruraux, la clarification des statuts fonciers des sites, la conduite du processus de sécurisation des ressources partagées (couloirs de passage, aires de pâturage, forets, points d'eau, aires de repos des animaux, etc) -
Mesure de conservation des sols à l'aide de sacs de sable plus ciment
Le présent manuel a pour but d'exposer une technique permettant de lutter contre la dégradation des sols dans les zones rurales ou elle progresse sous l'effet des actions prédatrices que mènent les paysans dont : le surpâturage, les mauvaises techniques culturales, les cultures excessives etc. -
Rapport annuel d'activités 2011
Le présent rapport d'activité constitue le premier du genre dans le cadre de la mise en œuvre de la phase 2 du Projet d'appui au Programme Spécial de Sécurité Alimentaire. Il couvre la période allant d'octobre 2010 à décembre 2011. Il rend compte de toutes les activités menées dans le cadre de la mise en œuvre du Projet. Il comprend quatre principaux points : un premier point qui présente le contexte du projet, un second point consacré au bilan des réalisations financière, enfin le quatrième point présente un résumé succinct des réalisations à l'issue de la mise en œuvre du projet faisant ressortir également les contraintes et les difficultés ainsi que les recommandations. -
Rapport annuel d'activités 2012
Le présent rapport rend compte en détail des activités menées dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet au cours de cette année 2012. Le rapport comprend quatre principaux points : un premier point qui présente le projet; un deuxième point qui présente le bilan des réalisations physiques; un troisième point, relatif au bilan des réalisations financières et enfin quatrième point qui fait un résumé succinct des réalisations effectuées ainsi que les contraintes et difficultés rencontrées. -
Plan de formation 2012 - 2014 du Ministère de l'Agriculture : volet formation continue
Les Ministères intervenants dans le secteur rural au Niger ont engagé en 2011 un processus concerté d'élaboration de plans de formation triennaux 2012 - 2014 de leurs personnels. -
Programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest : plan de travail et budget 2012
L'objectif de développement du projet est de contribuer à l'augmentation de la productivité agricole dans les filières majeures des pays participants. La première phase du Projet vise à générer et à accélérer l'adoption de technologie améliorées pour les principaux produits agricoles prioritaires des pays de la sous-région. -
Programme d'urgence pour la sécurité alimentaire : 2011-2012 bilan
La campagne agropastorale 2011-2012 a été caractérisée par une pluviométrie erratique, mal repartie dans l'espace et dans le temps avec de nombreux épisodes de sécheresse tous plus longs les uns que les autres. Il en résulte un déficit céréalier quasi record de l'ordre de 700.000 tonnes, justifiant à postériori les instructions de son Excellence Elh Issoufou Mahamadou, Président de la République, Chef de l’État, d'anticiper dès le début du mois d'Aout 2011, l'élaboration et la mise en œuvre pour l'exercice 2011-2012, d'un programme d'urgence comme mesure corrective aux mauvaises récoltes attendues. -
Programme sous-régional de formation en gestion intégrée de la production, des déprédateurs et de la pollution (GIPD/GEF) à travers le champ école paysan quatrième réunion du comité technique national de pilotage
Le présent rapport fait la situation de l'ensemble des activités réalisées par le projet pendant l'année 2012. Il s'agit principalement des activités de formation des producteurs sur le riz et les cultures maraichères, le suivi et la supervision des CEP et enfin les activités relatives au projet << d'Amélioration de la Production du Riz en Afrique de l'Ouest>> (APRAO) et autres diverses activités réalisées dans le même cadre. -
Typologie des exploitation agricoles périurbaines de la région de Tahoua
L’article repose sur une enquête semi-ouverte des chefs de ménages sédentaires réalisée en saison des pluies en 2010. L’échantillonnage stratifié repose sur une première strate (zone de dénombrement) et une deuxième (type de milieu). Le présent article porte sur les ménages périurbains de la région de Tahoua. La première strate (zone de dénombrement) est calculée sur la base de sondage nationale de l’Institut National de la Statistique du Niger (INS-Niger) et est définie comme « une partie du territoire, parfaitement délimitée, comportant un nombre à peu près constant d’habitants, proche du millier de personnes » (6). -
Recensement Général de la population et de l'habitat 2012
L'objectif de ce rapport est d'étudier les caractéristiques sociodémographiques des ménages nigériens. Ceux-ci ont connu un taux d’accroissement annuel moyen de 3,7% entre le RGPH de 2001 et celui de 2012, passant de 1 632 344 à 2 430 440 ménages au cours de la période intercensitaire. Les ménages ordinaires représentent 99,6% de l’ensemble des ménages dénombrés. -
Une utilisation efficace de la technique de microdose d’engrais
La technique de la microdose d'engrais comporte deux variante. La première qui consiste à l'apport mécanique d'engrais séparé de la semence est de plus en plus abandonnée. La deuxième qui consiste à placer l'engrais dans le même poquet que la semence lors des semis est actuellement plus vulgarisée. -
Phosphate : la recherche insiste depuis 40 ans sur ce facteur limitant des cultures pluviales
Cette note a été rédigée à partir de plusieurs textes relatant des résultats ou des rencontres des chercheurs de l’Afrique de l’Ouest et/ou du Niger. Le RECA pense que ces travaux ne doivent pas être oubliés au moment où différentes équipes travaillent sur les « technologies disponibles et diffusables » pour améliorer la productivité des cultures, y compris fourragères. -
Les boutiques d'intrants agricoles
La présente fiche de bonne pratique s'adresse aux acteurs concernés par les boutiques d'intrants, notamment les organisations paysannes faîtières et de base, les producteurs et productrices, ainsi que les partenaires et autres acteurs du développement. L'objectif de cette fiche est de décrire la boutique d'intrants en tant que bonne pratique au Niger et d'encourager les organisations paysannes et acteurs du développement à adopter ce mode de distribution d'intrants afin d'en garantir une meilleure disponibilité pour les producteurs et productrices. -
La commande groupée d’intrants agricoles : un mécanisme d’approvisionnement
La présente fiche s’adresse à tous les acteurs concernés par le processus de commande groupée, notamment les faîtières d’organisations paysannes. -
Projet d'amélioration de la production du riz en Afrique de l'Ouest en réponse à la flambée des prix des denrées alimentaires (GCP/RAF/453/SPA) / Composante Niger : rapport de capitalisation des résultats
Dans le but de contribuer à la lutte contre la flambée des prix des denrées de première nécessité dans les pays de l’Afrique de l’Ouest, le Royaume d’Espagne, à travers la FAO, a accepté de financer pendant trois (3) années (2010-2012), un projet régional pour contribuer à accroître de façon durable la production rizicole nationale dans cinq (5) pays de la région dont le Sénégal, le Mali, le Niger, la Mauritanie et la Cote d’Ivoire, qui font partie des plus touchés par cette crise. -
Études préliminaires sur l’utilisation alimentaire des plantes spontanées dans les zones périphériques du parc W du Niger
La présente étude, conduite dans 2 terroirs villageois (Boumba et Allambaré) de la périphérie du parc W du Niger, vise à répertorier les plantes alimentaires spontanées et à déterminer les préférences paysannes. La méthode de collecte des données repose sur des observations et des interviews ethnobotaniques individuelles et collectives. Quarante neuf espèces végétales comestibles par les populations locales dont dix espèces herbacées ont été répertoriées. Les organes et produits utilisés sont principalement les fruits (40,91%), les feuilles (36,36%), les inflorescences/fleurs (9,09%), les graines/amandes (10,61%), la gomme (1,52%) et l’hypocotyle (1,52%). Parmi ces espèces comestibles certaines sont exploitées durant toute l’année (12%) et d’autres sont caractérisées par des périodes de récoltes saisonnières. L’utilisation alimentaire concerne la consommation en nature des fruits ou des graines (24 espèces), la préparation de sauce (12 espèces), de bouillie (4 espèces), de boisson (2 espèces), de salade (17 espèces) et du couscous (19 espèces). -
Les phosphates, une richesse pour l'agriculture Ouest africaine : résultats pour le mil et le niébé au Niger
Cette note est tiré du bulletin « Coraf Action n°59 / 2ème trimestre 2011 » dont le titre est : « Les phosphates, une richesse pour l’agriculture Ouest africaine » qui présente les résultats obtenus par ce projet dans chacun des pays. La note présente les résultats du Niger. -
Gestion sociale et diagnostic des infrastructures de distribution de l'eau sur le périmètre rizicole de Saga
Ce document, présente la situation actuelle de l’état des infrastructures hydrauliques et la gestion de l’eau sur le périmètre irrigué de Saga. L’étude a été basée sur des données collectées sur le terrain, et sur quelques rapports techniques faits sur ce périmètre. Cette étude révèle un périmètre confronté à un problème d’ensablement du chenal d’amenée, au vieillissement des pompes composant la station principale de pompage et de la station ainsi que celles de la station de drainage, des ouvrages hydrauliques peu entretenus et une gestion sociale de l’eau qui ne répond pas au respect du tour d’eau dans certains Groupements Mutuels de Production (GMP). -
Relations Genre dans la filière lait périurbaine de Niamey : cas des bassins liatiers de Hamdallaye, Kollo, Say et Niamey
Dans beaucoup de pays sahéliens (Mali, Niger, Burkina, Sénégal), la modernisation de la filière laitière à travers la création de centres de collecte, de minilaiteries ou d’industries laitières a entrainé un bouleversement de l’organisation sociale traditionnelle du système laitier. C’est le cas pour la plupart des zones périurbaines de ces pays. Dans la zone périurbaine de Bamako, par exemple, on parle de « déféminisation » de la filière laitière car certaines femmes sont dépossédées de l’activité de collecte - commercialisation et de la gestion des revenus du lait au profit des bergers (collecteurs) ou propriétaires hommes. Ce processus susceptible de contribuer à la perte de l’autonomie financière des femmes entraine de plus en plus les projets de développement laitier à discuter des implications sociales des innovations qu’ils proposent. C’est dans le même ordre d’idées qu’une optique « genre » constitue pour le projet Nariindu une base importante impliquant la prise en compte des relations entre l’ensemble des acteurs hommes/femmes, les questions de genre et les rapports de pouvoir sur le lait au sein des ménages. -
Appui méthodologique et technique (gestion hygiène)
Le projet vise le développement de la filière lait périurbaine de Niamey. Il propose un appui auprès des producteurs pour améliorer l’offre de lait, un appui relatif à l’hygiène pour améliorer la commercialisation et les revenus des producteurs, un appui aux petites unités de transformation et autres acteurs de la filière et enfin un appui organisationnel et techniques des opérateurs de la filière. Cette intervention fait suite à certains constats effectués en 2011. Il apparaît désormais important d’apporter un appui méthodologique et technique aux petites unités de transformation. -
Étude de rentabilité du centre de collecte de lait cru de Hamdallaye
Le projet Nariindu, dans la perspective d’apporter un appui aux activités du centre de collecte, et dans le souci d’une efficacité dans les actions, a commandité cette étude. L’objectif de l’étude est de fournir au projet et ses partenaires techniques, des éléments d’aide à la décision quant aux actions à mettre place pour accompagner le centre et promouvoir sa rentabilité pour les populations cibles. -
Champ école paysan
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Gonar gwadi
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Cawkey kunda
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Lutte contre l’insécurité alimentaire au Niger: une solution par la Micro Assurance Agricole
Le Niger a été confronté à deux (2) crises alimentaires (2005 et 2010) en cinq (5) ans. Les solutions (aides extérieure, distributions gratuite et vente à prix modérés des céréales) préconisées par les autorités sont ponctuelles et ne permettent pas de prévenir les effets d’éventuelles crises. A travers cette analyse nous avons essayé d’analyser la possibilité du développement d’un produit de micro assurance agricole à l’intention des populations. Les Institutions de Microfinance (IMF) sont ciblées pour véhiculer le produit vu leur présence auprès des populations et de leur environnement réglementaire favorable à la mise en place des produits de micro assurance. Les partenaires au développement (État et bailleurs de fonds) ont également un rôle à jouer dans la mise en place des produits. -
Évaluation carbone du "Programme d'Action Communautaire - Résilience au Changement climatique" au Niger
Le Niger a lancé le programme d’action communautaire (PAC2) en 2008. Le PAC2 a pour objectif de rendre les communautés rurales mieux à même de concevoir et mettre en œuvre de manière participative des plans de développement, ce qui contribuera à une amélioration des conditions de vie dans les zones rurales. Ce projet collabore avec des institutions nationales chargées de promouvoir la décentralisation et le développement local dans le cadre de la stratégie de développement rural du Niger. -
Approvisionnement d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux cadres des Organisations Paysannes (OP) et aux gestionnaires des boutiques d’intrants (gérants ou gérantes et membres du comité de gestion). Elle précise les étapes indispensables à suivre pour procéder à l’approvisionnement d’une boutique d’intrants chaque fois que cela est nécessaire au cours de la campagne hivernale (saison des pluies de juin à septembre) et/ou de la campagne de contre-saison (saison sèche). -
Pourquoi faire analyser son engrais ?
La majeure partie des pays du Sahel, et au Niger en particulier, souffre d’une faible fertilité naturelle de leurs sols, à laquelle viennent s’ajouter la réduction drastique de la pratique de la jachère et la mise en culture de certaines terres marginales. De plus, les apports en éléments nutritifs organiques ou minéraux sont insuffisants. Tout ceci contribue largement à la dégradation de la base nutritive de la plupart des sols. -
Caractéristiques, fonctions et activités d’une boutique d’intrants
Cette fiche s'adresse aux promoteurs et promotrices, aux utilisateurs et utilisatrices, aux responsables d'une boutique d'intrants et/ou à toute personnes intéressée par la création d'une boutique d'intrants. -
Contrôle et auto-évaluation d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, et plus spécifiquement aux membres responsables des divers organes des OP propriétaires des boutiques d’intrants (membres de l’Assemblée Générale /AG, du comité de gestion, de contrôle et au gestionnaire de la boutique d’intrants). -
Création d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, aux responsables d’organisations paysannes et/ou à toute personne intéresser par la création d’une boutique d’intrants. -
Rôle du gérant ou de la gérante d’une boutique d’ intrants
Cette fiche s’adresse aux responsables des organisations paysannes (OP) et de boutique d’intrants, et plus spécifiquement au gestionnaire d’une boutique d’intrants. Elle est également destinée aux animateurs et animatrices, agents d’encadrement pour le renforcement des capacités des OP. -
Partenaires techniques et financiers d’une boutique d’intrants
Cette fiche s'adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d'une boutique d'intrants, et plus spécifiquement à ses partenaires potentiels. Elle souligne l'importance du role des divers partenaires d'une boutique d'intrants et la collaboration continue que les Organisations Paysannes (OP), propriétaires et responsables des boutiques d'intrants, doivent impérativement entretenir avec ces partenaires afin de pérenniser les activités d'une boutique d'intrants. -
Fixation du prix de vente des engrais
Cette fiche s'adresse aux gestionnaires d'une boutique d'i intrants (gérant ou gérante et membres du comité de gestion). Elle détaille le mode de calcul du prix de vente des engrais aux utilisateurs et utilisatrices de la boutique d'intrants -
Boutiques d’intrants : les clés du succès en huit fiches
Au Niger, comme dans d’autres pays de la zone sahélienne, l’indisponibilité d’intrants de qualité au bon moment, au bon endroit et en petits conditionnements, est l’une des principales causes de la faible utilisation des intrants. L’approvisionnement en intrants est un des obstacles à la mise en place et à la continuité de systèmes de production durables et rentables. -
Commande groupée à l’international de semences de pommes de terre
Cette fiche présente l’expérience de commande groupée à l’international de la Fédération des coopératives maraîchères du Niger (FCMN-Niya). 16 coopératives membres de la FCMN ont été impliquées dans cette commande. Elles sont réparties entre les régions nigériennes d’Agadez, Diffa, Dosso, Maradi, Niamey,Tahoua, Tillabéry et Zinder. -
L’élaboration d’un règlement intérieur pour les opérations de warrantage
La présente fiche est destinée à tous les agents intervenant dans l’encadrement technique et méthodologique des organisations paysannes (OP), notamment celles qui œuvrent dans le domaine du warrantage. La présente fiche concerne donc tous les acteurs du développement, en particulier les faîtières d’OP et les structures d’appui à ces organisations (services techniques de l’État, projets, ONG, etc.). -
La prise en compte du genre dans les différentes étapes du warrantage : une approche en faveur des producteurs et des productrices
Cette fiche de contrôle est destinée à tous les acteurs du développement qui interviennent dans l’encadrement technique et méthodologique des organisations paysannes, particulièrement celles qui œuvrent dans le domaine du warrantage : les faîtières d’organisations paysannes (OP) et les structures d’appui à ces organisations (services techniques de l’État, projets, organisations non gouvernementales, etc.). -
Deuxième épisode: Microdose ou la fertilisation localisée au moment des semis des cultures
Nous sommes à l’approche de la campagne hivernale. Grâce aux revenus obtenus à travers les opérations de warrantage conduites après chaque campagne par leurs organisations paysannes, de nombreux producteurs et productrices s’approvisionnent désormais en engrais à la boutique d’intrants. Suite à des actions de développement visant à une utilisation rationnelle des engrais, les producteurs et productrices l’utilisent dans leurs champs pour améliorer le rendement des différentes spéculations qu’ils cultivent. Dans la plupart des cas, les cultures au stade de levée présentent un état végétatif agréable à voir. -
Organes d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, et plus spécifiquement aux membres responsables des divers organes des organisations paysannes (OP). Elle est également destinée aux animateurs et animatrices, agents d’encadrement pour le renforcement des capacités des OP. -
Premier épisode : le warrantage
Au moment de la récolte, les petits producteurs et productrices veulent mettre leurs produits en warrantage. Mais ils ne sont pas les seuls. Il y a aussi des grands commerçants qui pratiquent le warrantage et pour lesquels obtenir un crédit semble beaucoup plus facile… -
Troisième épisode: la boutique d’intrants
Une boutique d’intrants est une petite entreprise ayant pour but de faciliter l’accès des intrants aux petits producteurs et productrices et de fournir des services de proximité. Ces boutiques sont des entités autonomes à caractère associatif ou de type coopératif ; elles sont la propriété d’organisations paysannes (OP) de base, d’unions ou de fédérations d’OP. -
Le warrantage au Niger, une pratique adaptée aux besoins des petits producteurs et productrices
L’objectif de cette fiche est de promouvoir l’utilisation de la technique du warrantage en tant que bonne pratique agricole
et d’encourager les faîtières d’OP à adopter ce mode de financement de l’agriculture afin de garantir une gestion et une
valorisation optimales de leur production agricole. -
Stratégie de développement durable de l'élevage 2012-2026
Le Niger compte une population de près quinze millions d'habitants, dont 95% sont concernés par l'élevage et 20% en tirent l'essentiel de leur subsistance de manière exclusive. Activité de grande importance, l'élevage emploie près de 87% de la population active du pays et représente, pour l'économie, la composante la plus dynamique et porteuse de croissance du secteur primaire. -
Manuel de formation statistique sur les engrais en Afrique
En juin 2006, les dirigeants Africains se sont réunis à Abuja dans le cadre du Sommet Africain sur les fertilisants avec pour objectif de souligner l'importance des engrais pour réaliser une révolution verte Africaine. -
Améliorer les perspectives et qualité de vie au village
Le présent module est la suite logique des 2 premiers modules (agriculture + élevage) proposés par le Projet Sahel Agro Formation de Swisscontact et par le Centre d'études et d'expérimentations Economiques et Sociales de l'Afrique de l'Ouest (CESAO). Pour cette animation, plus encore que les deux premières, le formateur / animateur aura à cœur de faire découvrir en faisant observer les différents dessins et photos et en posant des questions. Il ne s'agit plus de sciences exactes mais bien de la nécessité de changer de point de vue et de comportement. Chacun aura à faire ses propres choix ; sans doute d’autres pistes qui ne figurent pas dans le module vous seront proposées. -
Plan d'actions pour la relance du secteur semencier au Niger
La semence joue un rôle important et stratégique dans le développement de l'agriculture notamment dans l'amélioration de la productivité. Au Niger la croissance agricole est entravée en grande partie par l'indisponibilité des semences de qualité au niveau des communautés villageoises et l'insuffisance des fertilisants. Les semences sont en particulier de la plus haute importance car ils sont les premiers déterminants de la production, sans lesquels aucun autre intrant ou investissement ne peut être valorisé. Il est de ce fait primordial de satisfaire la demande en semences répondant aux caractéristiques exigées par différents schémas d'intensification dans diverses régions agro-bioclimatiques du pays. L'accroissement durable de la production et de la productivité est dans une large mesure tributaire du développement de nouvelles variétés performantes et de la mise en place d'un système efficace d'approvisionnement des producteurs agricoles en semences de qualité. -
Travaux d'identification et de recensement des documents existants au niveau des Ministères de l'Agriculture et de l’Élevage - Niamey
Dans le cadre de la modernisation de la gestion de l'information, de la communication et le développement des relations publiques du Ministère de l'Agriculture, une équipe composée d'une archiviste, d'un documentaliste et de deux aides documentalistes, agents de la Direction des Archives, de I1nformation, de la Documentation et des relations publiques (DAID/RP) avec l'appui de Programme d'Actions Communautaire Phase 2 a entrepris, depuis le 20 Mars 2012, une mission de travail d'identification, de recensement et de collecte des documents existants au niveau des deux départements en charge du secteur de l'Agriculture et de l’Élevage. Elle a passé dans toutes les différentes structures administratives sous tutelles, et ce durant 30 jours ouvrables. -
Évolution des eaux de surface et des systèmes de ruissellement à l'échelle de la commune, site Niger
Le Sahel est la région semi-aride emblématique par excellence, la plus médiatisée ces dernières décennies en lien avec les processus de « désertification » et la sévère sécheresse que connaît cette région, comme une grande partie de l’Afrique de l’Ouest, depuis la fin des années 1960. Les deux pics de sécheresse des années 1973-74 et 1984-85 ont été dramatiques pour les sociétés mais également pour le milieu. Et pourtant, le modelé et la topographie sont entièrement dessiné par le cycle de l’eau et s’il est un élément qui est vraiment typique des paysages, des usages et de la structuration de l’espace au Sahel, c’est bien les mares ; du fait de la péjoration climatique ayant suivi la phase humide Atlantico-Boréale (Faure, 1986), de nombreuses vallées ont été fermées par des cordons dunaires, ou bien souvent les cours d’eau n’ont plus eu le débit suffisant pour s’extraire des accumulations sableuses ; des vallées se sont fermées et l’endoréisme s’est généralisé dans les secteurs sédimentaires. Les zones de socle comme le Liptako Gourma ont, elles, continué à « produire » suffisamment d’eaux de ruissellement pour assurer une pérennisation des cours d’eau, la plupart étant d’ailleurs intermittents (écoulement saisonnier durant la mousson et les semaines ou les mois suivants, en fonction de la taille du bassin). -
Contribution à la capitalisation des bonnes pratiques
agroforestières pour l’adaptation aux changements climatiques et l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre au NigerLe Niger est durement touché par le changement climatique vu sa grande dépendance vis à vis des secteurs sensibles au climat tel que l’agriculture et l’élevage. La gestion rationnelle de la biodiversité doit être une préoccupation majeure. C’est ainsi que plusieurs pratiques dont les pratiques agroforestières ont été développées pour lutter contre la vulnérabilité aux changements climatiques. L'objectif général de cette étude est de contribuer à la capitalisation des expériences et des bonnes pratiques en agroforesterie pour l’adaptation aux changements climatiques et l’atténuation des émissions des gaz à effet de serre (GES). Pour atteindre cet objectif général, les objectifs spécifiques visés sont de recueillir la perception paysanne de la variabilité climatique, identifier les bonnes pratiques agroforestières et analyser leur contribution dans l’adaptation et l’atténuation des effets du changement climatique afin de proposer un mécanisme de diffusion et de valorisation de ces pratiques agroforestières. La méthodologie utilisée est essentiellement basée sur les enquêtes auprès des paysans, des services techniques et des personnes ressources du domaine de l’agroforesterie. Selon les populations enquêtées, ces dernières années sont marquées par des températures très élevées, une baisse de rendement agricole, un environnement fragilisé. Sept (7) bonnes pratiques agroforestières concernées ont été inventoriées dans la zone d’étude : la RNA, la haie vive à Moringa oleifera, la haie vive à Lawsonia inermis, la culture intercalaire à Acacias australiens, la haie vive à Acacia senegal, apisylviculture et l’arboriculture fruitière associée aux cultures maraichères. Ces pratiques présentent une valeur socio-économique considérable au Niger, elles renforcent les capacités d’adaptation des producteurs aux crises écologiques, économiques et de faire face à l’insécurité alimentaire. Elles contribuer de toute évidence à l’atténuation des émissions de GES. Cependant le coût d’investissement, les aléas climatiques, et le manque des politiques incitatives limitent l’avenir de ces pratiques. -
Vulnérabilités et efforts d’adaptation des familles de pasteurs face aux crises récurrentes, Enseignements tirés de l’analyse de l’activité pastorale dans les trajectoires familiales
Quatre études de cas, localisées dans la communauté rurale de Téssékré du Ferlo au Sénégal, sur la commune de Djougou au Nord-Bénin, sur la commune de Dantiandou à l’Ouest du Niger et sur la commune de Hombori au Mali, ont été conduites dans le cadre du programme ECLiS en 2009 et 2010. Ces analyses ont concerné quarante-six familles d’éleveurs dans leur trajectoire d’évolution sur les cinquante dernières années. Ces trajectoires familiales mettent en évidence la perception qu’ont les éleveurs des crises et des aléas successifs qu’ils ont eu à affronter de manière récurrente : sécheresses, épidémies, insécurité, contraintes liées aux politiques d’aménagement… Face à ces différents facteurs mettant à l’épreuve la vulnérabilité des familles, les éleveurs ont développé des réponses et des stratégies dont l’efficacité est évaluée de manière rétrospective : diversification de la mobilité, accès aux aliments du bétail, développement de la pluriactivité, pratiques nouvelles contre l’insécurité. Ce travail d’études de cas, d’ordre qualitatif, permet une lecture croisée de la vulnérabilité et de l’adaptabilité des éleveurs u pastoralisme face aux aléas divers qu’ils soient directs ou indirects. Il permet d’appréhender les stratégies d’adaptation des pasteurs (tactiques immédiates, stratégies à moyen terme, notamment par la mobilité des hommes et des troupeaux). Il s’agit donc ici de témoignages d’éleveurs situés dans des contextes éloignés, qui nous informent sur leurs vulnérabilités et sur leurs efforts d’adaptation, face aux crises récurrentes et diverses. -
Caractérisation du mouton Koundoum au Niger: description morphobiométrique et détermination d’une formule barymétrique
La race Koundoum, un des rares moutons à laine du Sahel, est victime des croisements avec d’autres races plus productives et de la dégradation de son biotope originel, le fleuve Niger. Cette race possède des qualités intéressantes d'adaptation au milieu ainsi que de production de laine, qui justifient la mise en œuvre d’un programme de conservation de ce patrimoine génétique original. -
Amélioration des productions animales et halieutiques
Le Niger était considéré à l’époque coloniale comme un pays à vocation essentiellement d’élevage de l’Afrique occidentale française (AOF). Aussi, la politique visait-elle à exploiter cet important patrimoine pour ravitailler la métropole en cuirs et peaux, viandes, laine, et lui offrir des devises par l’exploitation des produits d’élevage vers les colonies voisines notamment anglaises. -
Rapport annuel 2011
Le présent rapport qui respecte ces priorités s'articule sur les parties suivantes :
I. Information de Base
II. Programme d'activité 2011
III. Programme de Budget 2011
IV. Etat d'exécution du programme d'activités 2011
V. Etat D'exécution financière du programme de budget au 31 décembre 2011
VI. Etat de mise en œuvre des recommandations
VII. Conclusion
-
Programme sous-régional de formation en gestion intégrée de la production, des déprédateurs et de la pollution (GIPD/GEF) à travers le Champs École Paysan
L’objectif global du programme de « Gestion Intégrée de la Production, des Déprédateurs et de la Pollution » (GIPD) est d’améliorer la sécurité alimentaire, la productivité et la rentabilité des exploitations agricoles et protéger les eaux riveraines des bassins des fleuves Niger et Sénégal des contaminations dues à l’utilisation des produits agrochimiques. -
Système pastoral et fonctionnement des unités de production chez les Wodaabé Suudu Suka'el de Tanout
L’objectif de ce travail est d’analyser l’organisation sociale de la mobilité des Wodaabe Suudu suka’el à travers le fonctionnement des campements. Nous nous sommes interrogés sur les stratégies développées par ce groupe pour sécuriser son mode de vie face au changement climatique dans un nouveau contexte de décentralisation. -
Petit guide de conseils pratiques aux éleveurs mobiles et à ceux qui défendent leurs intérêts
L’accès aux ressources pastorales particulièrement l’eau et le fourrage devient toutefois de plus en plus problématique pour les éleveurs. La pression sur les ressources naturelles augmente en raison de la croissance démographique et de la commercialisation des ressources. -
Résultats définitifs de l’enquête sur les productions horticoles 2011/2012
La campagne horticole ou campagne agricole irriguée, communément appelée campagne de contre saison doit s’entendre dans ce document comme étant la campagne des cultures sous irrigation d’octobre 2011 à juin 2012 pour les cultures maraîchères, ainsi que la production de l’arboriculture d’octobre 2011 à septembre 2012. Elle comprend donc toutes les productions agricoles sous irrigation y compris celles dites de grande irrigation produites en saison sèche (riz, blé et coton des aménagements types hydro agricoles avec contrôle total de l’eau). Elle renferme pour ainsi dire à la fois les productions maraîchères, les productions fruitières et toutes autres productions de plantes alimentaires durant cette période.