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Capitalisation d’expériences sur le développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée en Afrique de l’Ouest
L’irrigation est considérée comme un moyen d’intensification de l’agriculture. Elle contribue à en augmenter la productivité tout en la sécurisant contre les risques de sécheresse. C’est un outil de lutte contre la pauvreté et la faim qui sévissent de façon endémique en Afrique subsaharienne, et plus particulièrement en Afrique de l’Ouest. Malgré le potentiel disponible et malgré les efforts consentis par les gouvernements de la sous-région pour développer l’irrigation, les résultats sont restés en deçà des attentes. On avait oublié qu’à l’origine, dans la sous-région, l’irrigation était privée, familiale. Elle est mieux maîtrisée à petite échelle. Pour capitaliser toutes ces expériences de développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée, la Banque Mondiale, en collaboration avec l’ARID, la FAO, l’IWMI, l’UE et les ACP, a initié l’étude dont le présent rapport fait la synthèse. L’objectif de l’étude est d’identifier, de caractériser et d’évaluer certaines pratiques (individuelles et collectives) performantes en matière de techniques et de technologies de petite irrigation privée sur la base d’une analyse comparée de ce sous-secteur au Burkina Faso, Mali, Niger et Nigeria. -
Atelier de capitalisation d'expériences sur le développement de la petite irrigation privée à haute valeur ajoutée en Afrique de l'ouest: Présentation des expériences de la petite irrigation au Bénin
Capitalisation des expériences du projet de la petite irrigation au Bénin -
L'élevage de poissons en rizières
La présente étude entend fournir une synthèse des informations disponibles et souligner le rôle important que l’aquaculture de systèmes d’élevage intégrés à la riziculture peut jouer en vue d’atteindre une situation de sécurité alimentaire et de réduire la pauvreté. -
Formation en gestion d’entreprises associatives rurales en agroalimentaire - Version adaptée pour l’Afrique francophone. Manuel de renforcement des capacités – Guide du facilitateur
L’objectif de ce guide est de faciliter la planification et la mise en oeuvre des sessions de formation. Il fait partie du cours de Gestion d’entreprises associatives rurales en agroalimentaire et a été conçu pour les facilitateurs qui possèdent des connaissances et une expérience en ce qui concerne les aspects techniques de la formation, mais qui n’ont pas forcément de compétences pédagogiques et qui n’ont pas d’expérience leur permettant de faciliter le processus d’enseignement apprentissage. -
Stratégie de gestion des risques de catastrophe en Afrique de l’Ouest et au Sahel | FAO (2011 -2013)
L’objectif général de cette stratégie est de renforcer la résilience des communautés et de réduire leur vulnérabilité aux différents chocs afin que les pays de la sous-région assurent leur sécurité alimentaire et nutritionnelle et se concentrent sur le développement de systèmes alimentaires et agricoles durables. Des objectifs spécifiques et des activités prioritaires ont été déterminés sur la base des vulnérabilités et défis identifiés. Cette stratégie sous-régionale couvre les pays suivants: Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Côte d’Ivoire, Ghana, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Sénégal, la Sierra Leone, le Tchad, le Togo. -
Gestion intégrée des nuisibles en production maraîchère : Guide pour les agents de vulgarisation en Afrique de l’Ouest
Très souvent, les agents de vulgarisation ne connaissent pas la cause des problèmes communs des nuisibles dans les cultures. Les problèmes de nuisibles surgissent généralement quand les processus biologiques, écologiques et sociologiques qui soutiennent l’agriculture sont perturbés.
Ce guide aide à pallier ce manque d’information. Il s’agit là de l’une des nombreuses mesures de l’Institut international d’agriculture tropicale (IITA) pour permettre aux agents de vulgarisation de développer et d’utiliser les technologies. Ce guide porte avant tout sur l’identification correcte et sur la meilleure compréhension de la biodiversité dans le développement et dans l’application des options de gestion intégrée des nuisibles (GIN) contre les nuisibles des légumes. La GIN est une approche à forte concentration de savoir qui a pour but d’augmenter la profitabilité des systèmes agricoles tout en réduisant au minimum les menaces pour la santé humaine et l’environnement.
Les exemples spécifiques dans ce guide portent sur le Bénin, mais les méthodologies et les informations générales s’appliquent à d’autres sites de production maraîchère en Afrique de l’Ouest. -
Forum régional de Gogounou (Bénin) sur la transhumance transfrontalière
Le forum régional sur la transhumance transfrontalière qui s’est tenu à Gogounou (Bénin) du 14 au 16 avril 2010 a regroupé des participants provenant du Bénin, du Burkina Faso, du Niger, du Nigeria et du Togo. Ces participants représentent les Gouvernements,les institutions sous–régionales d’intégration, les collectivités locales, les organisations professionnelles d’éleveurs et les partenaires techniques et financiers. Les participants au forum sont conscients du fait que la transhumance transfrontalière constitue un sujet qui préoccupe tout particulièrement les États de la sous-région ouest africaine. En effet, la mobilité du bétail, basée sur une exploitation itinérante des ressources dont la disponibilité et la variabilité spatio-temporelle sont une réalité,est vitale pour préserver les moyens d’existence locaux et favoriser le commerce et les échanges. -
Étude de faisabilité technique et financière des instruments de politique agricole régional favorisant une intensification durable de l’agriculture en Afrique de l’Ouest
Cette étude est centrée sur les interventions publiques pour lesquels le niveau régional dispose, selon le principe de subsidiarité, d’avantages comparatifs manifestes par rapport au niveau national pour l’intensification agricole. Les propositions portent donc sur :
· Les interventions du niveau régional dans les domaines de ses compétences exclusives : la politique tarifaire sur les intrants et équipements agricoles importés, la politique fiscale, dont la TVA, la législation régionale et la normalisation des intrants agricoles,
· Les interventions conjointes entre le niveau régional et le niveau national sur les domaines de compétence partagées autour de 4 volets :1) la subvention aux intrants agricoles 2) la subvention au matériel agricole 3) la mise en place d’un réseau de distributeurs d’intrant (agricole, élevage et matériel agricole) 4) la création d’un fonds de garantie pour favoriser les crédits de campagne. -
Les grandes décisions en matière d’intensification / intrants Région de la CEDEAO
Plusieurs réunions ont eu lieu en Afrique pour débattre du problème de l’intensification et plus particulièrement des mesures à prendre pour augmenter la consommation d’engrais. -
La typologie des marchés céréaliers du Niger
Le Système d’information sur les marchés agricoles (SIMA) du Niger date de 1989. Il est sous la tutelle du ministère du Commerce, de l’Industrie, de l’Artisanat et de la promotion du Secteur privé. Son budget de fonctionnement est assuré par l’État nigérien et la Commission européenne. Au total, le SIMA nigérien suit une quarantaine de produits sur 80 marchés, dont 60 fixes et 20 qui peuvent varier en fonction de leur niveau de vulnérabilité. Il suit également six marchés transfrontaliers. -
La dynamique des échanges régionaux des céréales en Afrique de l’Ouest / Résumé
Le marché régional des produits céréaliers et du niébé, qui les accompagne souvent, constitue une composante essentielle des échanges régionaux, même si l’ampleur des transactions est encore mal connue, bien que les meilleurs systèmes régionaux d’information soient concentrés sur cette catégorie de produits. -
Diversité interspécifique d'efficience d'utilisation de
l'eau des acacias sahéliens et australiensDepuis la fin des années 1960, la région sahélienne est gravement affectée par une répétition de déficits pluviométriques, avec des précipitations sensiblement en dessous des normales des 30 dernières années (Hulme 1996 ; LeBarb et Lebel 1997 ; Lebel et al. 2003 ; Nicholson 1979). De son coté, l'Australie est considérée comme l'une des masses continentales les plus arides au monde. Sa partie méridionale est soumise depuis une décennie " un déficit de pluviométrie historique. Par ailleurs, depuis deux millions d'années le climat australien tend progressivement vers un climat aride (Kershaw et al. 2003). Dans les deux cas, ces déficits pluviométriques répétés ont des conséquences néfastes. Dans le cas du Sahel, ils affectent des populations pauvres fortement dépendantes de l’agriculture. En outre la végétation ligneuse des zones sahéliennes fait l'objet d’une surexploitation chronique : le bois est utilisé comme source d'énergie et représente jusqu’à 90 + des sources d'énergies totales utilises (Hall et al. 1993). -
Incidences sécuritaires du changement climatique au Sahel : perspectives politiques
Ce document résume et rassemble les conclusions des analyses effectuées au long du projet. Il dégage les principaux enjeux pour les décideurs politiques, des pistes de travaux futurs, les lacunes et incertitudes des connaissances actuelles. Le climat du Sahel s’est toujours caractérisé par l’extrême variabilité saisonnière et décennale des précipitations. Cette dernière est probablement due à des interactions complexes entre plusieurs processus, aucun processus ne semblant pouvoir seul expliquer la variabilité observée. En dépit d’efforts considérables pour déterminer la cause de la longue et grave période de sécheresse qui a sévi à la fin du XXe siècle, la communauté scientifique n’est pas parvenue à un consensus. Ces incertitudes, ainsi que l’importance de la variabilité, rendent particulièrement difficiles les projections climatiques pour le Sahel et sont à l’origine d’importantes divergences entre les projections des différents modèles climatiques. -
Les organisations paysannes dans la négociation des politiques agricoles en Afrique de l'Ouest et au Sénégal
Cette fiche s'intéresse à la problématique de l'implication des organisations paysannes (OP) sénégalaises et ouest africaines dans les négociations des politiques agricoles. Elle est destinée à fournir des outils de compréhension et d'action aux responsables des OP, mais aussi aux autres acteurs de la société civile, et à tous ceux qui s'intéressent au sujet.