Recherche
6 items
-
Manuel de production du sésame conventionnel et biologique
Le sésame est l’une des plantes oléagineuses les plus anciennes au monde, les plus connues et les plus utilisées au monde. L’Inde et la Chine sont les plus grands producteurs au monde suivi par la Birmanie, le Soudan, le Mexique, le Nigeria, le Venezuela, la Turquie, l’Ouganda et l’Ethiopie. Dans la sous-région Ouest africaine, le Burkina Faso occupe la deuxième place après le Nigeria avec une production de 25 000 tonnes pour la campagne 2006/2007. Quatre variétés de sésames sont cultivées au Burkina Faso. Ce sont : la S.42 (90 jours), la Cross nº3 (90 jours), la Yendev 55 (100 jours) et la S38-1-7 (95 jours). -
Entretien des infrastructures hydrauliques de petite irrigation
Selon la FAO, chaque année, les surfaces aménagées abandonnées à cause du mauvais entretien sont égales aux surfaces nouvellement aménagées. Les petits périmètres n’échappent malheureusement pas à cette loi. C’est pourquoi, la problématique de l’entretien des infrastructures de petite irrigation doit être mis en débat dans toutes ses composantes auprès de l’ensemble des acteurs concernés : intervenants, responsables d’associations d’irrigants, acteurs institutionnels, autres usagers de l’eau etc. -
Inventaire et importance des insectes ravageurs du mil,pennisetum glaucum (LEEK) R.Br. en zone sahélienne du BURKINA FASO
Dans la zone sahélienne du burkina faso ,le mil constitue l'alimentation de base de la population -
Impact des techniques de conservation des eaux et des sols sur le rendement du sorgho au centre-nord du Burkina Faso
Depuis 1961, le Burkina Faso a connu de multiples projets de développement dont la plupart avait pour objectifs l’autosuffisance alimentaire, la conservation des eaux et des sols, l’agroforesterie, la lutte contre la désertification, la gestion des terroirs, le développement humain durable, la lutte contre la pauvreté. Tous ces projets, débutés dans les années 1960 dans le nord-ouest du pays, au Yatenga, ont comporté un volet sauvegarde de l’environnement et de l’espace vital avec comme points focaux la récupération des terres dégradées et le maintien de la fertilité des sols. Entre 1995 et 2002 dans les 7 provinces que sont le Passoré, le Sanmatenga, le Bam, le Yatenga, le Boulkiemdé, le Sanguié et le Namentenga, du bilan des activités de la phase 2 du Programme Spécial de Conservation des Eaux et des Sols et d’Agroforesterie (PS/CES-AGF), il ressort les réalisations suivantes : 20 202 fosses fumières, 747 digues filtrantes, 32 424,2 ha de zaï, 311,3 ha de demi-lunes et des milliers de plants. Dans le centre-nord du Burkina Faso, particulièrement dans la région de Dem, différentes techniques ont été mises en œuvre par les populations paysannes, le plus souvent avec l’appui de multiples projets, ONG et services techniques décentralisés de l’État. -
Facteurs clés de succès pour la production et la commercialisation d'aliments fortifiés au Sahel
Dans les pays du Sahel, la malnutrition est très présente en ville, particulièrement dans les quartiers précaires, mais peu d’actions de prévention y sont conduites. L’offre en aliments fortifiés de qualité à un prix abordable est encore très faible. Pourtant, les ménages portent une attention croissante à la qualité nutritionnelle et sanitaire des aliments qu’ils consomment, et l’évolution des habitudes de consommation en zone urbaine fait apparaître de nouvelles opportunités. Ce potentiel encore sous exploité au Sahel représente une opportunité pour les entreprises alimentaires privées locales. -
Transhumance et gestion des ressources naturelles au Sahel : contraintes et perspectives face aux mutations des systèmes de productions pastorales
Ce travail fait une situation de référence de la pratique de la transhumance et des perspectives face aux grandes mutations des systèmes de production pastoraux en cours. Le travail a consisté à effectuer des travaux d’enquêtes à passage unique chez 111 transhumants de la région du Sahel. Ces enquêtes ont été couplées avec des interviews semi-structurées auprès de 16 personnes ressources des services techniques, ONG/Associations travaillant avec des transhumants. Les investigations ont montré que la transhumance est due en majeurs partis aux déficits en ressources fourragères et hydriques (88 %). Le calendrier, l’itinéraire suivi et les temps de séjour dépendent de la disponibilité des ressources pastorales des zones d’attache, de transit et d’accueil.