Recherche
12 items
-
Manuel de production du sésame conventionnel et biologique
Le sésame est l’une des plantes oléagineuses les plus anciennes au monde, les plus connues et les plus utilisées au monde. L’Inde et la Chine sont les plus grands producteurs au monde suivi par la Birmanie, le Soudan, le Mexique, le Nigeria, le Venezuela, la Turquie, l’Ouganda et l’Ethiopie. Dans la sous-région Ouest africaine, le Burkina Faso occupe la deuxième place après le Nigeria avec une production de 25 000 tonnes pour la campagne 2006/2007. Quatre variétés de sésames sont cultivées au Burkina Faso. Ce sont : la S.42 (90 jours), la Cross nº3 (90 jours), la Yendev 55 (100 jours) et la S38-1-7 (95 jours). -
La gestion des déjections animales dans la zone périurbaine de Bobo-Dioulasso (Burkina Faso) : structure des élevages, perception de leur impact environnemental et sanitaire, perspectives
Cette étude a été conduite dans la zone urbaine et périurbaine de Bobo-Dioulasso (Burkina Faso). L’objectif était d’établir un diagnostic de la structure des élevages et des problèmes environnementaux générés par les pratiques de gestion et de valorisation des déjections animales. Une enquête auprès de 233 chefs d’unités d’élevage (CUE) a été conduite. -
Entretien des infrastructures hydrauliques de petite irrigation
Selon la FAO, chaque année, les surfaces aménagées abandonnées à cause du mauvais entretien sont égales aux surfaces nouvellement aménagées. Les petits périmètres n’échappent malheureusement pas à cette loi. C’est pourquoi, la problématique de l’entretien des infrastructures de petite irrigation doit être mis en débat dans toutes ses composantes auprès de l’ensemble des acteurs concernés : intervenants, responsables d’associations d’irrigants, acteurs institutionnels, autres usagers de l’eau etc. -
Inventaire et importance des insectes ravageurs du mil,pennisetum glaucum (LEEK) R.Br. en zone sahélienne du BURKINA FASO
Dans la zone sahélienne du burkina faso ,le mil constitue l'alimentation de base de la population -
Structuration des filières et marketing, le modèle ESOP
Le CIDR, avec ses partenaires (dont ICD et ETD) travaille depuis 1997 au Mali, au Togo, au Bénin et au Burkina Faso sur la structuration des filières agricoles grâce au modèle ESOP (entreprises de services et organisations de producteurs). Ils ont développé depuis une expertise enrichissante sur la façon dont les agriculteurs familiaux peuvent accéder aux marchés urbains et accroître leur capacité à nourrir les villes grâce à la structuration et au marketing. -
Essaie d'amélioration du processus de séchage de la tomate à l'unité de transformation de l'association des veuves et orphelins du Houet (AVOH)
La tomate, Lycopercicum esculentum MilL, espèce de plantes herbacées de la famille des Solanacées est originaire du nord de l'Amérique du Sud. Ce légume-fruit, incontournable dans l'alimentation humaine, se consommant frais ou cru est largement cultivé dans la sous-région Ouest-africaine depuis près d'une décennie. Malgré les contraintes liées aux conditions de traitement et de conservation des cultures de tomates, leur transformation en produits dérivés (concentré de tomate et tomates séchées) prend de l'ampleur au Burkina. L'objectif de notre étude est de contribuer à l'amélioration du procédé de séchage de la tomate. Ainsi, l'étape de la déshydratation osmotique et les Bonnes Pratiques d'Hygiène ainsi que les Bonnes Pratiques de Fabrication ont été expérimentées pour l'amélioration du procédé de séchage semi-artisanal de la tomate à AVOH. -
Éléments de bilan du soutien public à l’élevage au Burkina-Faso depuis Maputo
La filière bétail est la plus dynamique, la plus forte en volume et en valeur. Tirée par une demande urbaine en pleine explosion, elle assure au Burkina le statut d’exportateur net vers les pays côtiers et ce, dans un contexte des plus hostiles sur le plan climatique (crises quasi bisannuelles depuis 10 ans) mais aussi sur les plans social et institutionnel (entraves à la mobilité du bétail). -
La capitalisation d’expériences à l’épreuve de la pratique au Niger et au Burkina Faso
De 2009 à 2013, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a mis en œuvre le projet « Capitalisation des bonnes pratiques en appui à la production agricole et à la sécurité alimentaire » au Niger et au Burkina Faso dans le cadre du Programme de Partenariat FAO-Belgique « Gestion des connaissances et genre ». Au cours de ces quatre années et demi, le projet «Capitalisation» a testé et adapté des méthodologies développées par plusieurs organisations en vue de capitaliser les expériences en matière de gestion des intrants agricoles et d’en dégager des bonnes pratiques. Ces méthodologies de capitalisation reposent sur un processus d’apprentissage participatif qui a fait appel à la collaboration de nombreux partenaires. Au sein de ce projet, les thématiques visées par la capitalisation ont porté sur la gestion des intrants agricoles, le genre ainsi que les méthodologies participatives pour la capitalisation d’expériences. -
Impact des techniques de conservation des eaux et des sols sur le rendement du sorgho au centre-nord du Burkina Faso
Depuis 1961, le Burkina Faso a connu de multiples projets de développement dont la plupart avait pour objectifs l’autosuffisance alimentaire, la conservation des eaux et des sols, l’agroforesterie, la lutte contre la désertification, la gestion des terroirs, le développement humain durable, la lutte contre la pauvreté. Tous ces projets, débutés dans les années 1960 dans le nord-ouest du pays, au Yatenga, ont comporté un volet sauvegarde de l’environnement et de l’espace vital avec comme points focaux la récupération des terres dégradées et le maintien de la fertilité des sols. Entre 1995 et 2002 dans les 7 provinces que sont le Passoré, le Sanmatenga, le Bam, le Yatenga, le Boulkiemdé, le Sanguié et le Namentenga, du bilan des activités de la phase 2 du Programme Spécial de Conservation des Eaux et des Sols et d’Agroforesterie (PS/CES-AGF), il ressort les réalisations suivantes : 20 202 fosses fumières, 747 digues filtrantes, 32 424,2 ha de zaï, 311,3 ha de demi-lunes et des milliers de plants. Dans le centre-nord du Burkina Faso, particulièrement dans la région de Dem, différentes techniques ont été mises en œuvre par les populations paysannes, le plus souvent avec l’appui de multiples projets, ONG et services techniques décentralisés de l’État. -
Adaptation de l'agriculture au changement climatique au Sahel : profils agronomiques de quinze cultures dominantes au Sahel
Le présent document fait partie d’une série d’études publiées par le projet Résilience africaine et latino-américaine au changement climatique (ARCC) visant à répondre aux besoins d’adaptation au changement climatique en Afrique de l’Ouest. Dans le cadre des études ARCC pour l’Afrique de l’Ouest, le présent document fait partie de la sous-série portant sur l’Adaptation de l’agriculture au changement climatique dans le Sahel. L’ARCC a également produit une sous-série sur le Changement climatique et les ressources en eau d’Afrique de l’Ouest, le Changement climatique et les conflits en Afrique de l’Ouest et le Changement climatique au Mali. -
Rapport de session d'écoute dans les villages et auprès des leaders dans les régions sahéliennes du Niger, du Burkina Faso et du Mali
Dans le cadre du Programme de Renforcement de la Résilience et d’Adaptation aux Extrêmes Climatiques et Désastres (Building Resilience and Adaptation to Climate Extremes and Disasters -BRACED- Programme) de l’Agence de Coopération Britannique (DFID), CRS en tant que chef de file d’un consortium, avait soumis en novembre 2013 une note conceptuelle pour le projet SUR1M (Scaling Up Resilience for 1 Million people), un projet se proposant de couvrir 30 communes situées dans le bassin versant du fleuve Niger, en zone du Sahel. Treize de ces communes sont situées au Niger, dix au Burkina et 7 au Mali. La note ayant été approuvée en décembre 2013, CRS a lancé une enquête en mars 2014 pour recueillir les points de vue des bénéficiaires potentiels du projet et des leaders des communes ciblées. -
L'hémiparasite facultatif rhamphicarpa fistulosa (Hochst.) Benth. : état des lieux dans des sites rizicoles de l'Ouest du Burkina Faso et comportement de quatre (04) variétés de riz
La mauvaise herbe Rhamphicarpa fistu/osa (Hochst.) Benth. est un hémiparasite facultatif dont la présence a été signalée au Burkina Faso depuis 1992. De récents rapports insistent sur l'importance des dégâts du Rhamphicarpafistu/osa sur le riz au Burkina Faso et dans plusieurs pays de l'Afrique de l'Ouest notamment au Benin où ces dégâts peuvent atteindre 40% à 100% (Ptlug, 2013). Dans l'optique de pouvoir bien suivre l'évolution de la distribution et les densités de populations de Rhamphicarpa fistu/osa depuis la dernière investigation, une prospection suivie d'enquête est faite dans des sites rizicoles de l'Ouest du Burkina Faso. Les sites retenus à cet effet sont ceux de Banfora, de Karfiguéla, de Banzon, de Niéna-Dionkélé et de la Vallée du Kou. L'étude exploratoire a révélé la présence de la mauvaise herbe dans le bas-fond de Banfora et dans les plaines de Karfiguéla et de Niéna Dionkélé. Les densités maximales sur 0,25 m2 sont de 27 pour le site de Niéna-Dionkélé, 16 pour celui de Karfiguéla et 5 pour celui de Banfora.