Au Niger, si la climatologie conditionne l'existence même de la production agricole, les ennemis des cultures sont les principaux facteurs de sa réduction, voire même de Sa destruction totale. Leurs pullulations rendent aléatoire la recherche de la sécurité alimentaire prônée par le gouvernement, aidé par ses partenaires au développement. Pour lutter contre ce fléau, d'importantes quantités de produits chimiques sont utilisées chaque année, ce qui n'est pas sans danger pour l'Homme et l'environnement et à un coût que l’État seul ne peut supporter.