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Rapport de mission d'appui à la protection des végétaux
En étroite en collaboration avec l'administration nigérienne et en particulier la direction de la protection des végétaux et la délégation l'union européenne en république du Niger, le consultant antiacridien sera responsable de quelques tâches -
Le code rural : L'expérience de la République du Niger en matière de législation foncière
Le Niger est un pays sahélien dont 85% de la population est rurale et seulement 15% des terres sont cultivables : ceci représente une densité moyenne de plus de trente habitants par km² de terres cultivables, alors que ces termes s'épuisent du fait de la pression démographique et de l’archaïsme des méthodes culturales : les temps de jachère diminuent alors que la désertification progresse . -
Code rural : critiques et évaluation de rapports d'experts
Ce rapport traite sur un certain nombre de critiques et de commentaires développés par Jean-Pierre Magnant sur les problèmes fonciers du Niger,la fiscalité foncière,le dossier rural,le projet de conservation de la diversité biologique,l'évaluation des commissions foncières et enfin sur l'étude concernant le règlement des conflits. -
Évaluation de la pauvreté : Un peuple résistant dans un environnement hostile
Le Niger compte environ 9,2 millions d'habitants, dont plus de la moitié vivent dans la pauvreté, n'ont pas de quoi se nourrir de manière adéquate et n'ont pratiquement aucun accès aux soins médicaux, à l'éducation ou aux autres services sociaux. -
L'alimentation de complément du jeune enfant
L'objectif général de cet atelier était de proposer, sur la base de l'expérience accumulée par des africains, un ensemble de directives pour promouvoir une alimentation de complément correcte chez le jeune enfant. -
Projet de réhabilitation de la pépinière fruitière régionale de Birnin N'Gaouré
L'économie nigérienne et le bien être de la population sont très sensibles aux fluctuations pluviométrique en terme de quantité, de répartition dans l'espace et dans le temps. En effet, le secteur prédominant demeure celui de l'agriculture qui représente plus de 50% du produit intérieur brut du pays de 1960 jusqu'au 1974 et 39% en 1996. -
Rapport de la conférence technique internationale sur les ressources phytogénétiques
La conférence a réaffirmé les engagements de fonds nouveaux ou supplémentaires pris dans le cadre de l'Action 21 de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement et par les Parties à la Convention sur la diversité biologique. Au titre de ces engagements, des fonds devraient être mis à disposition pour financer la mise en œuvre par les pays en développement et les pays à économie de transition, du Plan d'action mondial. -
Étude préparatoire pour l'association régionale pour l'irrigation et le drainage
La fragilité de la situation climatique du pays à conduit le Gouvernement à accorder une première priorité au développement de l'irrigation en vue d'assurer la sécurité alimentaire des populations. II) Sur un potentiel de 270.000 ha, 81.800 ha environ sont mis en valeur à divers degré d'intensification . L'irrigation moderne à maîtrise totale de l'eau représente environ 13.000 ha. Quatre types de systèmes d'irrigation prédominent: Les périmètres collectifs irrigués par pompage à partir du fleuve Niger, les périmètres collectifs irrigués à partir de retenues collinaires, les périmètres irrigués par pompage à partir d es eaux souterraines et les périmètres privés. -
Première assemblée générale des entreprises publique et parapubliques (20 au 25 mars 1996)
L'Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (LN.R.A.N.) est un Établissement Public à caractère Administratif (E.P.A.), créé par l'ordonnance n075-01 du 7 janvier 1975 et régi par l'ordonnance n086-001 du 10 janvier 1986 portant régime général de Établissements Publics, Sociétés d’État et Sociétés d’Économie Mixte et par les dispositions des statuts. Il est placé sous le tutelle du Ministère de l'Agriculture et de l'Elevage et est administré par un Conseil d'Administration. Son siège est fixé à Niamey. -
Projet Camelin de Zinder : Rapport technique et financier
Les récentes sécheresses de 1973/74 et 1984/85 ont causé de lourdes pertes dans les populations animales sahéliennes. Les dromadaires (Camehs dromedarins), par leurs parfaite adaptation aux biotopes les plus secs, en ont moins souffert que les espèces ovine, caprine et surtout bovine. La population cameline aurait même légèrement augmenté, démontrant que si le dromadaire a perdu sa fonction du ''vaisseau du désert'', il constitue une ressource alimentaire (lait, viande) et financière (vente d'animaux sur pied) fiables pouvant contribuer à assurer à la sécurité alimentaire des populations à démographie galopante. -
Étude sur les filières agro-alimentaires au Niger : bétail - viande -oignon - niébé
Au Niger, le secteur rural demeure l'un des plus importants secteurs de l'économie, il assure l'emploie de plus de 80% de la population active et représente environ 40% du Produit Intérieur Brut (PIB). -
Implication des éleveurs transhumants dans la gestion des terroirs
De plus en plus les programmes de développement rural sont basés sur une participation active de la part de la population au processus d'analyse jusqu'à l'exécution des activités. Néanmoins, les pasteurs mobiles ont souvent été ignorés et de plus en plus mis à l'écart par ces programmes visant le plus souvent la gestion des ressources naturelles par ses utilisateurs (Greil, 1995). La question posée par Marty (1993) "La gestion de terroirs : un outil d'exclusion ou de négociation ?" est prise en compte par PADATA (= Programme d'Appui au développement de Damagaram-Takaya) en incluant dès le début tous les groupes d'utilisateurs dans le processus d'organisation et d'analyse de la problématique. PADATA a opté pour une stratégie dite de "table ronde » : - afin d'intégrer tous les groupes partageant les mêmes ressources naturelles ; - et afin de préparer tous les groupes à des discussions et à des négociations sur un pied d'égalité. -
Analyse-diagnostic des systèmes agraires de la région de Tamou (Niger)
La région du Niger, où se trouve la zone dont nous avons étudié le système agraire, dénote un peu avec le sombre tableau de l'agriculture nigérienne que nous venons de dresser. Notre zone d'étude est située à 120 km au sud de Niamey, capitale du Niger, entre 12° et 13° de latitude (Cf figure 3). Elle fait partie du canton de Tamou, l'un des cinq cantons qui composent l'arrondissement de Say (Cf Figures 4 et 5). Elle s'étend sur environ 1000 km. Elle est limitée au nord et au sud par des affluents du Niger, respectivement le Diamongou et la Tapoa (frontière nord du Parc National du W), à l'est par le fleuve Niger et à l'ouest par la route de latérite damée reliant Say au Parc du W. On compte dans cette zone près d'une trentaine de villages et hameaux pour un peu plus de 12 000 habitants. Les ethnies représentées sont les Folmonganis (40%), les Peuls (20% ), les Zarmas (20% ), tous musulmans, et les Gourmantchés (20% ), animistes. Il n'existe que deux écoles primaires dans la zone et le dispensaire le plus proche est situé à Tamou. Quatre marchés hebdomadaires permettent aux habitants de vendre les productions locales et d'acheter les biens venant de Niamey, du Burkina Faso ou du Nigeria. Située ainsi à la pointe sud-ouest du Niger, la région que nous avons étudiée bénéficie d'une pluviométrie plus importante (climat nord soudanien) que dans le reste du pays.