La question des droits économiques des femmes s’inscrit dans le cadre plus large des droits de la personne humaine. Aujourd’hui, un dispositif juridique solide la consacre à l’échelle internationale. Et la plupart des États l’ont inséré dans leur droit positif. Le Niger s’est inscrit dans ce mouvement. Il a ratifié les principaux outils existant en la matière. Les plus importants d’entre eux sont intégrés dans sa Constitution comme pour leur donner un caractère fondamental. Il s’agit principalement de la déclaration universelle des droits de l’homme et de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples.