Recherche
13 items
-
Projet d'Intensification des Produits Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPAS/SA) 2012 dans les régions de Tahoua et Tillabéri : Diagnostique participatif des exploitations agricoles dans la zone du projet (PIPA/SA) 2012
Le projet d'intensification des produits agricoles pour la sécurité alimentaire (PIPAS/SA) dans les régions de Tahoua et Tillabéri intervient plus spécifiquement dans les villages situés dans : Les cuvettes de Hondey à Balati (commune de Namaro ) département de Kollo, le Bassin versant du barrage de Téguéléguél (commune d'Ibohamane) département de Keita, le bassin versant du barrage de Guidan Magagi (commune de Doguérawa) département de Malbaza. -
Rapport d'enquete administrative au Ministère de l'Agriculture : Projet KR II 97
Conformément à l'ordre de Mission n° 799/MF/RE/CAB du 7/05/99 (annexe n°1) une enquête administrative a été menée par Mr Hamissou Moussa, Inspecteur des Finances, au Ministère de l'agriculture sur le projet R R II 97. La mission a débuté le 10 mai 1999 pour s’achever le 10 juin 1999. -
Rapport de mission conjointe de supervision des activités du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l'Ouest (PPAAO) dans les domaines de l'Agriculture et de l'Elevage au niveau des régions de Tillabéry, Dosso, Tahoua, Maradi et Zinder.
Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l'Ouest (PPAAO), financé par la Banque Mondiale, Le Ministère de l'Agriculture a introduit des Termes de Références pour superviser les activités conduites par les agences d'exécutions de l'agriculture et de l'élevage dans le cadre de la composante 3: Financement à la demande de génération, la diffusion et l'adoption des technologies. -
Rapport de mission de la délégation nigérienne à la 25ème session de la Conférence de la FAO
La production agricole et alimentaire se caractérise par une relative stagnation dans la moitié des pays en développement, une forte augmentation dans les pays peuplés d'Asie et une diminution dans les pays développés à économie de marché. Il est à noter que la sécurité alimentaire se détériorera probablement en 1989 à cause de la baisse de production en 1988 dans les principaux pays producteurs. Les stocks céréaliers mondiaux devraient chuter en 1989, tombant à 288 millions de tonnes, représentant seulement 16 % de la consommation mondiale prévue pour 1989/90,ce qui correspond à la plus grosse baisse jamais enregistrée ces dernières années. -
La production de céréales et de niébé en Afrique de l’Ouest, et la place du Niger
Le volume des céréales a été multiplié par 2,9, passant de 16 millions de tonnes en 1980, à 49 millions de tonnes en 2006, pour atteindre la barre des 52 millions de tonnes en 2009 (CILSS, 2009). En général, le rythme d’accroissement des productions agricoles estimé à environ 4% est supérieur à celui de la population, estimé à 2,6%. Dans le cas des céréales, l’augmentation des productions s’explique par le doublement des surfaces cultivées, alors que les rendements ne progressent que de 14%. -
Les déterminants socioéconomiques de l’adoption des technologies améliorées de production du niébé diffusées par les champs écoles paysans dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
Le niébé est une denrée de base en Afrique subsaharienne. Le projet champ école paysan en a introduit des nouvelles technologies améliorées afin d’accroître son rendement dans les régions de Maradi et Zinder. Cette étude qui a concerné un échantillon de 300 producteurs a pour dessein d’identifier les contraintes entomologiques de la culture du niébé et de déterminer les facteurs affectant l’adoption des technologies agricoles. Le modèle de régression LOGIT a été utilisé comme outils d’analyse et les principaux résultats suivants ont été obtenus : 1) la punaise brune (Clavigralla tomensicollis Stall) et le puceron (Aphis craccivora Koch) sont les principaux insectes ravageurs de la culture pour 53 à 61% des répondants ; 2) les taux moyens d’adoption par technologie sont de 74,9% pour les variétés améliorées, 57,2% pour les pesticides chimiques, 20% pour la combinaison fumure organique/NPK ; 21.7% pour l’engrais NPK seul, 7,4% pour les biopesticides à base de graines de Neem et 5,7% pour le respect de la densité de semis. Ces ratios sont 2 à 16 fois plus élevés chez les producteurs formés par rapport aux non formés ; 3) les variables « formations par les champs écoles paysans » et « l’accès au crédit » ont influencé positivement l’adoption des variétés améliorées, des biopesticides et des fertilisants ; 4) le genre a été positivement déterminant dans le respect de la densité de semis et l’utilisation des fertilisants ; 5) l’âge des répondants a eu une influence significative dans le respect des écartements entre les poquets. -
Profil des moyens d’existence région de Zinder Magaria et Dungass – Zone agricole centrale de culture de céréales et des légumineuses Niger
L’agriculture se pratique sur le sol sablonneux, bien qu’on y trouve de l’argile dans certaines parties de la zone. Malgré que cette zone présente certaines potentialités agricoles modérées, elle n’est pas autosuffisante en matière de sécurité alimentaire, même au courant d’une année des bonnes récoltes. Les principales cultures vivrières sont le mil, le sorgho. Il faut noter que la production du sorgho a diminué ces dernières années en raison de la dégradation progressive des sols et des déficits pluviométriques ne permettant aux cultures de boucler leur cycle normal de culture. Cependant, le niébé, l’arachide et le sésame sont les principales cultures de rente dans cette zone. En effet, le sésame est en train de prendre la place de l’arachide suite à la forte demande de ce produit sur les marchés surtout du Nigeria. Pourtant cette zone était autrefois la première zone de production d’arachide au Niger qui a conduit à la création d’une usine de transformation de l’arachide. -
Une alimentation stable pour les hommes et les animaux à Maradi
Le projet vise principalement à améliorer les rendements sur les denrées de base (millet et haricots) grâce à des semences adaptées aux conditions climatiques, en vue de stabiliser la situation alimentaire des familles de producteurs de dix villages. Des parcelles de démonstration sont mises en place pour faire connaître les semences à la population des autres villages. Le projet entend également compléter les connaissances des producteurs en agriculture et les aider à améliorer leurs techniques. Les agriculteurs apprennent par ailleurs à transformer les restes de récoltes en fourrage pour le bétail. -
Étude d'identification des filières porteuses
L'étude d'identification des filières porteuses a pour objectif de faire une analyse détaillée relative aux principales étapes de la vie des différents produits agricoles irrigués (production, transformation, commercialisation, consommation/demande), tout en mettant l’accent sur les potentialités et contraintes des principales filières, ainsi que celles de nouvelles filières susceptibles d’être introduites au Niger. -
Gestion des intrants et genre au Niger
Ce document est une étude de cas sur le genre et le warrantage au Niger. Se basant sur les recherches approfondies des équipes des projets Capitalisation et IARBIC, la présente étude donne en détail les informations sur le warrantage et le genre appliqués par l’union Cigaba de Konkorindo, à Dosso au Niger. -
Guide méthodologique pour la production d’émissions de radio tenant compte du genre
Le guide vise à renforcer les capacités des producteurs et productrices des radios communautaires et rurales à réaliser des émissions de qualité qui prennent en compte le genre de façon systématique. -
Niger et Burkina Faso : quatre années de capitalisation d’expériences
Les méthodologies de capitalisation reposent sur un processus d’apprentissage participatif qui s’est déroulé avec la collaboration de nombreux partenaires. La thématique de la gestion des intrants a été revisitée sous toutes ses coutures, tout d’abord pour les aspects genre, et ensuite pour la capitalisation d’expériences. Le projet a ainsi abouti à des produits thématiques sur la gestion des intrants et des méthodologies participatives qui peuvent être utilisés dans les organisations et projets pour capitaliser leurs expériences. -
Étude du Sahel : rapport étude pilote Niger
L’étude pilote au Niger sert à préparer un étude, menée sous la responsabilité du CILSS, sur les expériences
réussies en matière de gestion des ressources naturelles au Sahel et leurs impacts sur l’agriculture,
l’environnement et la pauvreté rurale..Cette étude du Sahel part de l’hypothèse de base selon laquelle les
succès enregistrés dans les domaines de l’agriculture et de la GRN au Sahel sont sous-estimés. Un eseconde
hypothèse est que l’impact des réformes politiques et institutionnelles que les pays ont introduites dans la
sous-région n’est pas apprécié à sa juste valeur. Une troisième hypothèse est qu’il y a une sous-estimation des capacités et compétences des communautés de base en matière de coopération et de gestion des questions
liées à l’accès et au contrôle des ressources naturelles.