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Finacement agricole
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Mise en valeur d'une exploitation individuelle de 3,15 ha
Le producteur maraicher Harouna Abouba de la communauté urbaine de Tahoua adresse une requête de financement de son sous projet mis en valeur d'une exploitation individuelle de 3,15 ha d'un montant global de neuf millions sept cent trente mille huit cent (9.730.800) francs cfa. -
Forum National sur l'Agriculture : Novembre 2010
Le présent projet de feuille de route qui sera soumis au forum national sur l'Agriculture a été élaboré à partir des actions prioritaires développées dans le document introductif dudit forum. -
Projet d'Appui au Développement du Secteur Rural dans les régions de Dosso et Zinder : PASDR Zinder
Le présent devis programme de démarrage est élaboré dans le cadre de mise en œuvre du << Projet d'appui au développement rural dans les régions de Dosso et Zinder>>. L'objectif général du projet est de contribuer à assurer la sécurité alimentaire en favorisant un développement agricole durable et en améliorant l'accès des populations rurales aux opportunités. -
Mécanisme d'accès des collectivités territoriales, des exploitations familiales et des entreprises rurales aux financements
Le programme d’appui à la production et à la promotion des cultures irriguées vise le développement de 15 000 exploitations familiales dont 5 000 dirigées par des femmes, dans la diversification, la modernisation et la maîtrise de leurs activités, dans les régions de Maradi et de Dosso, puis dans d'autres régions du Niger. Pour y parvenir, les deux objectifs suivants sont retenus. -
Étude sur le système d’entreposage et de tierce détention adaptés à l'Afrique sub-saharienne Volume I - Principales conclusions
Cette étude vise à favoriser l’émergence de gestionnaires d’entrepôt et de tiers détenteurs capables de proposer des services d’entreposage et de tierce détention qui faciliteront l’accès au financement sur récépissé d’entrepôt ou warrantage (ainsi qu’à d’autres formes de financement sur produits de base) des petits exploitants agricoles. Les pays considérés sont le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Ghana, Madagascar, le Mozambique, le Niger, le Sénégal et l’Ouganda. L’analyse comprend un examen préalable juridique et institutionnel, visant à recenser les obstacles et à formuler des recommandations pouvant être mises en œuvre dans les pays considérés, et éventuellement dans les pays membres de l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA). -
Les organisations paysannes face aux besoins de financement des agriculteurs
Au Niger, moins de 10 % des producteurs obtiennent des crédits auprès des institutions financières directement ou via leurs organisations, mais un grand nombre de producteurs prennent du crédit auprès des commerçants. Les commerçants sont ainsi la « première banque agricole » du Niger avec une multitude de pratiques qui se sont progressivement développées (lire l’expérience de la FCMN ci-contre). Les banques peinent encore à financer le secteur agricole. Lorsqu’elles le font, c’est principalement en adoptant une position de « grossiste » : elles financent les institutions de microfinance impliquées dans le financement de l’agriculture. C’est le cas notamment d’ECOBANK Niger et de la Banque agricole du Niger (Bagri).