Contenus
Site
Bibliothèque numérique DUDDAL
thème principal est exactement
Programmes et projets de développement agricole
-
Rapport d'activités : IFDC Niger
IFDC (International Fertilizer Development Center) créée en 1974 et basée à Alabama aux Etats-Unis, est une institution publique internationale œuvrant pour la sécurité alimentaire, la réduction de la pauvreté dans les pays en développement à travers le développement et la dissémination de technologies efficientes de gestion de la fertilité des sols, le développement de marchés d’intrants agricoles et de marchés de produits agricoles. -
Revue sur l'agriculture durable à faible apports externes
Les sols assurent des fonctions essentielles, ils sont non seulement le support de l'agriculture, l’élevage et des forêts. Mais aussi, ils fournissent de l'eau, permettent le captage du dioxyde de carbone de l'atmosphère, en plus de nombreux autres services écosystémiques. Cette ressource stratégique est aujourd’hui affectée par une dégradation causée d’une part par l’action de l’Homme, et d’autres parts par les effets du changement climatique et de la sécheresse. Pourtant des solutions innovantes sont mises à profit pour renforcer la santé des sols et assurer la sécurité alimentaire des peuples et de leur bétail. De son côté, la recherche explore de nouvelles sources de matière organique plus durables et plus préservatrices de la qualité des sols. -
Stratégie de développement durable de l'élevage 2012-2026
Le Niger compte une population de près quinze millions d'habitants, dont 95% sont concernés par l'élevage et 20% en tirent l'essentiel de leur subsistance de manière exclusive. Activité de grande importance, l'élevage emploie près de 87% de la population active du pays et représente, pour l'économie, la composante la plus dynamique et porteuse de croissance du secteur primaire. -
Bilan 2016-2020 de mise en œuvre du plan d'action 2016-2020 de l'initiative 3N
Ce 2ème Plan d’Action quinquennal, structuré autour de douze (12) Programmes Stratégiques, sous la maîtrise d’ouvrage de sept (7) différents Ministères et administrations de mission, est arrivé à échéance et donne lieu à la présente publication du bilan de sa mise en œuvre qui présente en détail les niveaux d’investissement et de réalisations des différents Programmes Stratégiques. Le coût global de ce second Plan d’Action est de 1 546,627 milliards de FCFA. -
Guide méthodologique : création d'emploi au travers de projets à Haute Intensité de Main d'Oeuvre (HIMO)
Ce guide méthodologique a pour objet de présenter les leçons apprises par le Programme des Nations Unies pour le Développement au Niger, dans la mise en œuvre d’activités à haute intensité de main d’œuvre conçues en faveur des jeunes à risque. Il se base sur l’expérience acquise en 2012 et en 2013 durant la mise en œuvre du projet de contribution à la consolidation de la paix dans le nord du Niger, financé par l’Union européenne, le Royaume du Danemark et le PNUD. -
Rapport sur les Objectifs de Développement Durable
Le Rapport sur les objectifs de développement durable 2018 donne un aperçu des progrès accomplis durant la troisième année de mise en œuvre du Programme de développement durable à l'horizon 2030. Il met en relief les progrès et les lacunes qui subsistent pour chacun des 17 objectifs, en se basant sur les dernières données disponibles, et examine les liens existant entre certains objectifs et cibles. Les chapitres qui suivent approfondissent les six objectifs qui seront examinés en juillet 2018, lors du Forum politique de haut niveau sur le développement durable. -
Stratégie de développement durable et de croissance inclusive (SDDCI) Niger 2035
Cette stratégie de long terme est portée par le peuple nigérien dans toutes ses composantes ainsi que par ses dirigeants à tous les échelons. Ce condensé met en exergue les éléments suivants : le processus d’élaboration de la SDDCI Niger 2035, les défis de développement, la vision à l’horizon 2035, l’objectif de développement, les résultats stratégiques, les axes stratégiques, les risques, les mécanismes de mise en œuvre et le suivi-évaluation. -
Niger 2035 : Un pays et un peuple prospères. Tome - II : Scénarii, Vision et Orientations Stratégiques - Stratégie de Développement Durable et de Croissance Inclusive (SDDCI)
Le diagnostic relève que le Niger dispose des atouts significatifs, en particulier, son potentiel humain, ses ressources agro sylvo pastorales et halieutiques et minières, la résilience de sa population et la ferme volonté politique qui anime ses élites. Mais il a été également souligné dans ce diagnostic, l’ampleur des contraintes qui pourraient entraver la réalisation des objectifs de développement et la mise en œuvre des réformes qui s’imposent. -
Plan de développement Économique et Social
Le PDES 2017-2021 est articulé autour de cinq chapitres. Le premier chapitre analyse le contexte et dresse le bilan-diagnostic actuel de la situation du pays. Le deuxième chapitre présente les orientations stratégiques qui en découlent, tout en se référant au Programme 2030 des Nations Unies, à l’Agenda 2063 de l’Union Africaine et le Document d’Orientations Economiques. Le troisième chapitre porte sur la structure programmatique du PDES, le quatrième chapitre présente les mécanismes de mise en œuvre, de suivi-évaluation et de coordination, et la cinquième porte sur l’analyse et la mitigation des risques et facteurs de succès. -
Stratégie et Plan d'Actions d'Approvisionnement en intrants pour une Agriculture Durable (SIAD)
En Août 2012, le Gouvernement a adopté le Plan de Développement Economique et Social (PDES-2012-2015). Le PDES constitue l’instrument d’opérationnalisation du Programme de Renaissance du Niger et prend en compte la Déclaration de Politique Générale du Gouvernement (DPG) présentée par le Premier Ministre, Chef de Gouvernement. Il se veut le cadre unique de référence des interventions au titre de l’agenda de développement du Niger pour le moyen terme et est aligné sur les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD). -
Plan de Développement Économique et Social (PDES) 2022-2026 : Volume I Diagnostic stratégique
Le présent rapport d'analyse diagnostique constitue la première phase du processus de formulation du PDES 2022-2026. Cette analyse porte sur la situation de gouvernance, du développement du capital humain, des infrastructures et équipements, du secteur privé et de la modernisation du monde rural. Elle prend en compte les contributions régionales et sectorielles, ainsi que différentes études réalisées dans ces domaines. -
INV-NIGER : Innovations pour l ´intensification durable des systèmes agricoles irrigués résilients face au changement climatique au Niger
L´objectif du projet est de contribuer à l’amélioration de la résilience des familles nigériennes face au changement climatique, grâce à l'innovation dans les agrosystèmes irrigués. Le premier objectif spécifique est le renforcement de la gouvernance et de la gestion des ressources en eau et des agrosystèmes irrigués. Le deuxième est l´intensification agro-écologique de la production agricole dans les agrosystèmes irrigués en facilitant l’accès au marché et l’inclusion des groupes vulnérables. -
Stratégie Nationale de Développement de la Riziculture (SNDR) au Niger 2021-2030
Pour pallier les insuffisances et faire face à la crise alimentaire de 2008, l’État du Niger en collaboration avec les partenaires au développement et les principaux acteurs de la filière riz, a mis en place des mesures hardies pour promouvoir la filière riz. C’est ainsi que la production de riz est passée de près de 86 000 tonnes en 2008 à 115 585 tonnes en 2018 soit une croissance moyenne annuelle de 3,5% due à la fois à une légère extension des superficies les quatre dernières années et à une amélioration des rendements. -
Étude diagnostic des stratégies/politiques nationales agricoles au Niger et propositions d’amélioration
Les stratégies et politiques nigériennes accordent une place prépondérante à l’agriculture pour de nombreuses raisons dont : 1. le rôle que joue le secteur dans l’économie nationale ; 2. les emplois pour plus de 84% de la population active ; 3. la garantie de sécurité alimentaire pour plus de 90% de la population ; 4. l’importante contribution au budget des ménages ; 5. les potentialités en terres agricoles, pastorales et en ressources en eau que le pays recèle ; 6. l’intensité de la pauvreté en milieu rural. En effet 86% des pauvres vivent en milieu rural dont 36% sont considérés comme extrêmement pauvres (SRP 2002). -
Stratégie mondiale pour l'amélioration des statistiques agricoles et rurales
Les décideurs politiques et les responsables du développement chargés de développer des stratégies d’investissement pour promouvoir la croissance économique doivent faire face à de nombreux défis de mutations et de changements qui affectent l’agriculture du XXIe siècle. L’agriculture, en plus de son rôle productif de fournir des aliments, des vêtements, du carburant et des logements pour répondre aux besoins de la population mondiale sans cesse croissante, joue d’autres rôles essentiels dont l’importance est de plus en plus reconnue. En plus de son rôle clé au niveau de la sécurité alimentaire, le développement agricole est perçu comme une source vitale ayant un impact important sur la réduction de la pauvreté. Cependant, l’agriculture est également vue comme une source qui génère des problèmes environnementaux et contribue au réchauffement climatique, à la rareté de l’eau, la pollution et la dégradation de la terre. Son potentiel en tant que fournisseur de services environnementaux doit donc être défini, suivi et évalué. La majeure partie des problèmes et des développements que connaît le secteur agricole transcende les frontières nationales. -
Stratégie de développement et de sécurité dans les zones Sahélo-sahariennes du Niger
La SDS Sahel-Niger a été conçue sur la base d’une analyse participative profonde et réaliste de la problématique spécifique relative aux conditions de sécurité et au développement des Zones Sahélo - Sahariennes du Niger. Aussi, au regard des défis et enjeux majeurs qu’elle entend prendre en charge à tous les niveaux (local, national et international), cette initiative du Gouvernement du Niger a vocation à être intégrée dans le cadre d’une contribution au développement d’une synergie régionale et à la convergence des efforts ciblant la sécurité et le bien – être individuel et collectif des populations qui vivent sur l’ensemble des pays de la bande sahélo – saharienne. -
Les stratégies de gestion de risques agricoles au Niger. Évidence empirique et implication pour les ménages agricoles
Cet article présente quelques statistiques sur les stratégies de gestion des risques agricoles au Niger. En utilisant les données du Recensement général de l’agriculture et du cheptel 2004-2008, il met en exergue la diversication intra-agricole et l’augmentation de la part relative des productions vivrières comme stratégies de gestion des risques agricoles au Niger. Toutefois, ces stratégies de gestion des risques agricoles impliquent des coûts d’opportunité importants qui ne permettent sans doute pas aux ménages agricoles de sortir de la pauvreté. -
Étude sur la mise en place d'un dispositif intégré d'appui conseil pour le développement rural au Niger
L'étude a pour objectif de : (i) proposer une méthodologie d'appui-conseil orientée vers une réponse à la demande paysanne accordant une place importante au renforcement des capacités des producteurs et de leurs organisations ; (H) proposer des options pour un dispositif institutionnel et organisationnel d'appui-conseil au développement rural déconcentré jusqu'au niveau communal s'appuyant sur les services étatiques et les acteurs non étatiques tels que les ONG, le secteur privé ; (iii) proposer un système de mobilisation des ressources nécessaires au fonctionnement du dispositif. -
Étude de faisabilité du projet de développement rural
L'étude a pour objectif d'établir le dossier d'exécution (technique, financière et économique) d'un futur programme de développement rural sur la base des résultats et évaluations des trois projets cités (PBVT, PPISZ et PPOAF) et des actions identifiées pour la vallée de la Maggia. -
Stratégie nationale de promotion de l'entreprenariat des jeunes au Niger
La vision du Gouvernement, à travers cette stratégie, est de « Développer l’entrepreneuriat pour créer massivement de l’emploi aux jeunes afin de faire du Niger un pays émergent bâti sur une économie résiliente et moderne ». L’objectif général est de « contribuer à la croissance économique inclusive par la création des PME/PMI des jeunes innovantes et compétitives ». -
Rapport de la mission indépendante du projet IARBIC
Le projet Intensification de l’Agriculture par le Renforcement des Boutiques d’Intrants Coopératives (IARBIC) a été conçu pour apporter des réponses aux problèmes de faiblesses des rendements des cultures vivrières, et donc des revenus en milieu rural. En effet, suite à une multitude de facteurs (pauvreté des sols, faible pluviométrie, différentes formes de dégradation des sols, pression démographique, pauvreté généralisée en milieu rural, etc.), les rendements pour les principales cultures vivrières étaient en baisse depuis des années, contribuant ainsi à l’insécurité alimentaire devenue récurrente au Niger. -
Rapport de l'enquete de base pour l'évaluation de l'impact du programme de résilience de PAM-FAO-FIDA dans les régions de Maradi et Zinder
Ce rapport a pour objectif d’analyser la différence entre la capacité de résilience des ménages bénéficiaires et non bénéficiaires du projet face aux risques d’insécurité alimentaire. L’estimation de la capacité de résilience des ménages a été faite à l’aide du modèle de mesure et d’analyse de l’indice de résilience (RIMA) (voir annexe 1 pour les détails sur la méthodologie). Il est important de noter qu’un certain nombre d’interventions ont débuté bien avant la collecte de données de l’étude de référence. Dans les deux communes bénéficiaires, plusieurs distributions mensuelles de transfert monétaire dans le cadre des activités de création d’actifs productifs, accompagnées d’une supplémentation nutritionnelle de prévention de la malnutrition (Super céréale) ont été réalisées: à Chadakori, trois vagues de distribution avaient déjà été faites, et à Dogo le nombre variaient entre une distribution et trois en fonction des sites. Ces interventions ont un impact sur l’indice de la capacité de résilience des ménages, en particulier sur le pilier accès aux filets de protection sociale. -
La capitalisation d’expériences à l’épreuve de la pratique au Niger et au Burkina Faso
De 2009 à 2013, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a mis en œuvre le projet « Capitalisation des bonnes pratiques en appui à la production agricole et à la sécurité alimentaire » au Niger et au Burkina Faso dans le cadre du Programme de Partenariat FAO-Belgique « Gestion des connaissances et genre ». Au cours de ces quatre années et demi, le projet «Capitalisation» a testé et adapté des méthodologies développées par plusieurs organisations en vue de capitaliser les expériences en matière de gestion des intrants agricoles et d’en dégager des bonnes pratiques. Ces méthodologies de capitalisation reposent sur un processus d’apprentissage participatif qui a fait appel à la collaboration de nombreux partenaires. Au sein de ce projet, les thématiques visées par la capitalisation ont porté sur la gestion des intrants agricoles, le genre ainsi que les méthodologies participatives pour la capitalisation d’expériences. -
Cahier de projet d’investissement
L’objectif de la mise en place de ces unités est de développer la production laitière par l’exploitation de vaches laitières métissées ou de races exotiques. La conception est faite de telle sorte que l’unité puisse être autonome sur le plan de l’approvisionnement fourrager par les cultures fourragères et la constitution de réserves à partir de la collecte de fourrages naturels et des résidus de récolte. Les besoins en financement ainsi que les recettes prévisionnelles relatifs à ce type de projets sont établis pour une unité de 20 vaches. -
Étude de viabilité d'un projet de développement de filière agricole en Amérique Andine
Dans un environnement où l’insécurité alimentaire dans le monde est critique, avec 870 millions de personnes, soit 12.5% de la population mondiale, souffrant de sous-alimentation chronique entre 2010 et 2012 (Fonds Belge pour la Sécurité Alimentaire (FBSA), 2013), de nombreuses ONG sont actives dans le développement de projets visant à réduire l’insécurité alimentaire. On retrouve parmi les acteurs impliqués dans cette thématique Louvain Coopération, une ONG belge qui soutient des projets partout dans le monde autour de trois axes : la qualité des soins de santé (dispensaires, hôpitaux), l’accès aux soins de santé (mutuelles) et le développement de la sécurité alimentaire et économique. Dans le cadre de cette troisième approche, l’ONG a développé un partenariat avec les organisations El Taller et Ceder, il y a maintenant une dizaine d’années, afin de lancer un programme développement de filières agricoles dans les régions d’Arequipa et de Moquegua au sud du Pérou. L’objectif stratégique de ce type de projet est de réduire la pauvreté en renforçant la stabilité économique des populations, notamment en permettant aux populations locales d’accumuler des réserves, de développer des moyens de productions plus performants, d’augmenter leurs revenus et de créer des réseaux de solidarité plus fiables (Henin, 2013). -
Éléments de bilan du soutien public à l’élevage au Burkina-Faso depuis Maputo
La filière bétail est la plus dynamique, la plus forte en volume et en valeur. Tirée par une demande urbaine en pleine explosion, elle assure au Burkina le statut d’exportateur net vers les pays côtiers et ce, dans un contexte des plus hostiles sur le plan climatique (crises quasi bisannuelles depuis 10 ans) mais aussi sur les plans social et institutionnel (entraves à la mobilité du bétail). -
Développement des petites exploitations d’élevage : note sur la transposition à plus grande échelle
D’après les estimations, il faudra accroître de 50 à 70% la productivité alimentaire mondiale pour nourrir neuf milliards de personnes à l’horizon 20501. L’élevage fournit environ 26% des protéines consommées par l’homme et 13% du total des calories. On estime que la demande de produits animaux devrait plus que doubler au cours des 20 prochaines années, en raison de l’urbanisation, de la croissance économique et des changements des modes de consommation dans les pays en développement2. Le secteur de l’élevage représente près d’un milliard de petits éleveurs dans les pays en développement, contribue au PIB agricole à hauteur de 40% et assure de 2% à plus de 33% du revenu des ménages3. -
Éléments de bilan du soutien public à l’élevage au Niger depuis Maputo
Cette note cherche à établir un premier bilan des efforts publics dédiés à l’élevage au Niger. Elle s’appuie sur la bibliographie existante et sur des entretiens réalisés fin 2013 avec des acteurs nigériens, en particulier des éleveurs membres d’Apess mais aussi d’autres acteurs du développement rural. -
Politiques et pratiques de développement
Le programme d’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle en Afrique de l’Ouest (Asanao) couvre cinq pays : le Burkina Faso, la Guinée, la Mauritanie, le Niger et le Sénégal. Il a été initié en 2018 par le Gret, en impliquant des structures historiquement partenaires, comme la Maison guinéenne de l’entrepreneur et la Fédération des organisations non gouvernementales du Sénégal. Outre l’appui à des actions sectorielles (agriculture ou nutrition), des activités transversales de renforcement de capacités, de capitalisation et d’échanges permettent le développement de passerelles entre les deux dimensions à travers une dynamique régionale. Asanao est ainsi le levier d’un rapprochement durable entre agriculture et nutrition dans les stratégies, les actions et les contributions au débat public du Gret et de ses partenaires dans les pays concernés, mais aussi plus largement à l’échelle régionale. -
Programme d'Appui au Développement de l’Élevage « Kiyo Arziki » Niger
Le contexte général et les problématiques majeures de développement de l’élevage n’ont pas évolué en 2018 (santé, alimentation, emplois, revenus, etc.). Le PRADEL tant dans sa conception et que dans sa mise en œuvre reste pertinent par rapport aux besoins du groupe cible. En effet, l’approche chaine de valeur vise surtout la compétitivité des chaines de valeur et la création de revenus et d’emplois décents, surtout pour les femmes et les jeunes. Il en est de même de la sécurisation de l’accès aux ressources pastorales et de l’amélioration de la gouvernance du secteur de l’élevage. Par ailleurs, il est clair que le PRADEL reste fortement aligné sur les politiques nationales et la stratégie belge. En outre, sa logique d'intervention a fait l’objet de réflexion dans le cadre de la Baseline et est suffisamment claire et bien structurée, avec des risques et hypothèses clairement identifiés et gérés. -
Dix ans de mise en œuvre de la stratégie de l'initiative 3N 2011-2020
Le présent rapport vise quant à lui à établir un bilan global de la période de dix ans d’implémentation de l’Initiative 3N, de 2011 à 2020, tant du point de vue des moyens mobilisés, des principales réalisations que de certains effets perceptibles. Il témoigne de l’élan créé autour de cette stratégie et de l’engagement politique qui a accompagné sa mise en œuvre. Les plans d’action successifs de l’Initiative 3N ont servi de cadre de référence pour la planification de l’action des différents Ministères et institutions maîtres d’ouvrage de l’Initiative 3N mais également des interventions des partenaires dans ce secteur. Ceci a permis de mobiliser non seulement des moyens financiers et techniques conséquents pour les réalisations sur le terrain mais également de susciter d’importantes réformes et l’amélioration significative de l’environnement du secteur. Ce bilan global constitue ainsi un rapport de synthèse qui analyse les principales avancées dans les domaines couverts par les cinq (5) axes stratégiques de l’Initiative 3N, mais également les défis et leçons apprises, qui permettent de dégager les orientations pour l’élaboration de la prochaine phase de programmation quinquennale. -
Appui aux chaines de valeurs agricoles dans les régions de Zinder et Diffa
La stratégie « le droit à une vie meilleure », adoptée par le Parlement danois en mai 2012, place la croissance verte comme l’une des quatre priorités de l'engagement international du Danemark. En adéquation avec cette stratégie et les politiques nationales Nigériennes, le nouveau programme (Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique basé sur l’Agriculture, PECEA, 2014-2019) se propose d’aller davantage vers la stimulation du secteur privé impliqué dans la transformation / commercialisation des produits Agricoles. Les initiatives et les capacités des acteurs des chaînes de valeurs (CdV) seront renforcées pour développer la production de valeur ajoutée créatrice de croissance et d’emplois. Cette phase de formulation du PECEA succède à une phase préparatoire d’études dites préalables1. Le présent document concerne la composante « Appui aux chaînes de valeur ». Son élaboration a privilégié une forte participation des acteurs clefs du secteur privé agricole ainsi que des PTF. Cette approche a été concrétisée par des ateliers (avril et juin 2013) permettant le partage des documents. -
Projet d'appui à la sécurité alimentaire et au développement dans la région de Maradi
La Stratégie de Développement Rural a été adoptée en novembre 2003 en tant que déclinaison sectorielle du DSRP. La révision de SDR est en cours (2011). Le SDR est doté d’un Secrétariat exécutif et comité de pilotage interministériel. Elle affiche trois axes stratégiques: (i) promouvoir et favoriser l’accès des producteurs ruraux aux opportunités économiques pour créer les conditions d’une croissance économique durable en milieu rural; (ii) réduire la vulnérabilité et prévenir les risques en améliorant la sécurité alimentaire et la gestion durable des ressources naturelles pour sécuriser les conditions de vie des populations (ménages ruraux); (iii) renforcer les capacités des institutions rurales: institutions publiques et des organisations rurales. Le Niger s’est engagé depuis octobre 2006 dans le processus de mise en œuvre de l’agenda de Programme Détaillé du Développement de l’Agriculture Africaine (PDDAA) et de la Politique Agricole Commune de la CEDEAO (ECOWAP) et a élaboré le Plan National d’Investissement dans le secteur Agricole (PNIA). Le PNIA est un plan stratégique couvrant la période restante pour le Plan d’Action de la SDR dans lequel il s’inscrit, soit de 2011 à 2015. Il fait ressortir les coûts et les activités nécessaires pour atteindre une croissance annuelle de 7,4% du PIB agricole d’ici 2015. Les interventions prévues se concentrent sur: (i) l’augmentation et la sécurisation de la production agricole; (ii) la restauration, la préservation et la gestion durable des terres productives par des mesures physiques, biologiques et de sécurisation foncières; (iii) la meilleure maîtrise de l’eau agricole; (iv) le sous-secteur de l’élevage. Le PNIA offre une opportunité de prendre en compte le genre dans toutes les activités. -
Proposition d'actions pour le développement des de chaines de valeurs et de micro-entreprises agroalimentaires au Niger
Ce document est le dernier volet d’une étude réalisée en 2021-2022 dont l’objectif a été de sélectionner puis d’étudier en profondeur six Chaînes de Valeur (CDV) Agro Alimentaires prometteuses en vue d’appuyer leur développement durant les 5 à 10 années à venir. En conclusion de ces études, le présent document présente les diverses interventions réalisables pour développer ces six Chaînes de Valeur. 21 Chaînes de Valeur ont d’abord été présélectionnées, puis analysées selon de nombreux critères pour déterminer lesquelles étaient les plus à-même de pouvoir se développer rapidement dans un proche futur, une fois leurs contraintes courantes levées par la mise en œuvre d’interventions ciblées. Ce processus de sélection a fait intervenir un panel de spécialistes nigériens de toutes origines, afin d’en valider les résultats, avant de débuter les analyses approfondies. -
Mission d’appui au projet Nariindu : Bilan de l’année 2014 des deux centres de collecte et perspectives de viabilité
Hamdallaye et Kollo sont actuellement les plus grands centres de collecte de lait cru auprès des éleveurs au Niger. En pic de collecte ils collectent chacun plus de 1.000 litres / jour. Les volumes collectés sont en augmentation pour les deux centres et devraient continuer à augmenter. Par ailleurs la forte demande en lait cru sur Niamey n’est toujours pas satisfaite et représente une opportunité pour les éleveurs. Un partenariat avec Solani - le principal client des centres qui souligne la qualité du lait fourni par les centres – se développe actuellement. Les quantités collectées sont cependant très variables au cours de l’année avec un pic de collecte en janvier-février-mars et un creux de collecte pendant l’hivernage de mai à septembre. -
Programme de promotion de l'agriculture familiale en Afrique de l'Ouest
L’objectif spécifique est l’appui à la collecte, au contrôle de la qualité et à la commercialisation du lait local en périphérie de Niamey, par un dispositif innovant de centres de collecte multiservices, contrôlés par les éleveurs locaux. -
Mission d’appui technique au projet Nariindu : gouvernance, gestion et business-plan
Plusieurs objectifs étaient assignés à cette mission en lien avec les activités du projet : i) appui à la gestion du centre de collecte et à la contractualisation avec les acheteurs, ii) mise en place d’un système « lait contre intrants » pour faciliter l’accès à l’alimentation et aux produits d’hygiène vétérinaire, iii) Etude du modèle institutionnel, économique, technique des centres de collecte, identification participative des zones prioritaires d’action et iv) appui à l’insertion des femmes dans la filière. -
Profil national genre des secteurs de l'agriculture et du développement rural
Au Ministère de l’Agriculture, l’intégration institutionnelle du genre a été matérialisée par la création de la Cellule Genre de ce Ministère le 2 août 2012. Cependant, les activités de cette Cellule sont concrètement au point mort. Les agents de l’administration centrale du Ministère et ceux des services déconcentrés n’ont jamais été formés et sensibilisés sur le genre. Auparavant, l’élevage était un Ministère à part entière. Selon le point focal, la Cellule Genre de l’époque avait le soutien du Ministre et de son Secrétaire général, ce qui a contribué à son dynamisme. La Cellule avait permis de former toutes les directions centrales et régionales ainsi que les agents de terrain à intégrer le genre dans les projets de développement. Actuellement, élevage et agriculture sont un même département : le Ministère de l’Agriculture et de l’Élevage, avec un point focal par domaine de spécialisation. Cependant, on note des dysfonctionnements au niveau des Cellules genre. -
Agriculture, développement rural, biodiversité : cadre d'intervention sectoriel
Ce document a pour objectif de présenter les orientations du groupe AFD dans le secteur de l’agriculture, du développement rural et de la biodiversité. Ces orientations s’inscrivent dans la droite ligne de différents engagements internationaux, français et spécifiques à l’AFD décrits plus loin. Elles constituent une déclinaison de la stratégie territoriale et écologique de l’Agence pour les secteurs concernés. Elles sont complétées par plusieurs notes thématiques, notamment sur les forêts et les océans. S’agissant de la biodiversité, ce document traite des interventions de l’AFD directement dédiées à la préservation, la restauration et la gestion des écosystèmes naturels, et décrit les modalités d’intégration des enjeux de biodiversité dans le secteur de l’agriculture et du développement rural. La prise en compte transversale de la biodiversité dans l’ensemble des secteurs d’intervention de l’AFD est abordée dans d’autres documents de référence, et en particulier dans la feuille de route transversale «biodiversité » de l’Agence. -
Les championnes de la résiliences
Le Sahel, de part de nombreux facteurs écologiques, structurels, économiques, politiques et sociaux, est l’une des régions les plus vulnérables au monde. Depuis 2005, les périodes de sécheresse répétitives, l’appauvrissement du sol, l’accroissement de la population, et la dégradation des ressources naturelles, contribuent aux crises alimentaires et nutritionnelles qui exposent les plus vulnérables à un risque accru d’insécurité alimentaire. -
Evaluation finale du projet Initiative femmes et terroirs et régénération naturelle assistée (IFETE/RNA) << Mata da kar kara>>
La question de l'inégalité croissante d'accès aux ressources naturelles est un souci majeur à travers le monde et plus particulièrement en Afrique et au Niger. L'Empowerment des femmes rurales, agricultrices et éleveuses, comme celui des jeunes agropasteurs, ne peut se réaliser sans une sécurisation de leur accès au foncier agricole et aux ressources naturelles rurales ainsi qu’une participation active et responsable dans leur gestion et contrôle. Il est clairement établi que le développement durable d’un pays ne peut se concevoir sans la participation effective des femmes et des hommes de manière équitable. Les inégalités de genre ont été reconnues comme un frein au développement, à la création des richesses, à la réduction de la pauvreté et partant au processus de développement socio-économique. -
Projet d’appui à la promotion des filières agricoles (PAPFA)
Contexte et justification. Le Gouvernement du Burkina Faso et le FIDA, tirant les leçons des performances des projets antérieurs, privilégient la conception d’une nouvelle opération, le Projet d’appui à la promotion des filières agricoles (PAPFA), qui ambitionne à consolider et mettre à l’échelle les acquis du Projet d’appui aux filières agricoles (PROFIL) et du Projet d’appui au secteur privé en milieu rural (PASPRU), financés par le FIDA et clôturés en juin 2017. À travers le développement de quatre filières agricoles, que sont le riz, le maraîchage, le sésame et le niébé, le PAPFA contribuera à la réalisation des objectifs stratégiques du Plan national de développement économique et social (PNDES) 2016-2020, dont en particulier l’amélioration de la productivité agricole, de la valorisation des productions agricoles et de la promotion de l'entreprenariat pour faire face au faible taux de croissance en milieu rural. -
Centre agro-entreprise : Mali sustainable economic growth
Au terme de sa deuxième année d’exercice, les résultats obtenus par le Centre Agro Entreprise (C.A.E.) indiquent un démarrage effectif des activités de développement des filières agroalimentaires. Des appuis bien ciblés ont été apportés aux entreprises pour soutenir ces actions de promotion des produits au sein des filières. Les résultats atteints par le Centre, en matière d’amélioration de la transformation et de la commercialisation des produits agroalimentaires, sont ci-dessous présentés, lesquels constituent des résultats intermédiaires du programme SEG. -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : Fiche sur le gombo
Le gombo (Abelmoschus esculentus) est une herbe largement cultivée pour ses fruits qui sont consommés comme des légumes. Abelmoschus esculentus (2n = 130) est probablement un amphidiploïde (allotetraploïde), dérivé de A. tuberculatus (2n = 58), une espèce sauvage de l'Inde, et une espèce encore inconnue avec 2n = 72 chromosomes.Une autre espèce de gombo comestible se trouve dans les régions humides de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. Décrit à l'origine comme une variété botanique (Hibiscus manihot L. var. caillei A. Chev.), il a été reconnu comme une espèce distincte (Abelmoschus caillei (A. Chev.) Stevels). Il n'y a pas de différences apparentes d'utilisation entre le gombo ordinaire (A. esculentus) et le gombo d'Afrique de l'Ouest (A. caillei), c'est pourquoi ils sont souvent mis dans le même groupe. Morphologiquement, le gombo ouest-africain diffère à plusieurs égards, mais son épicalice offre les meilleures caractéristiques discriminantes avec 5-10 segments ovales libres, 10-35 mm x 4-13 mm. -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : Rapport sur le processus de sélection des NUS et des zones cibles
Dans ce document, nous présentons les résultats de l'activité A1.1 de la première année du projet SUSTLIVES, c'est-à-dire l'activité consacrée au choix des espèces sur lesquelles concentrer les activités du projet et les zones où les mettre en œuvre. L'activité s'est déroulée sur une période d'environ six mois, au cours de laquelle de nombreuses réunions ont eu lieu entre les partenaires du projet, des missions dans les deux pays, et la construction d'une base solide d'acteurs clés qui donnent plus de souffle et de durabilité future aux objectifs du projet. -
Cadre de gestion environnementale et sociale
Au Sahel, sous le leadership du CILSS, la Banque Africaine de Développement (BAD) a initié depuis 2014 le financement et la mise en œuvre du Programme régional de résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2RS). Une solution durable à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel nécessite l’amélioration de la résilience au changement climatique, le maintien de la productivité des terres, le financement à long terme du secteur agricole, le développement du commerce et l’intégration régionale. En apportant des investissements soutenus à plus long terme pour la résilience des ménages, on réduira considérablement les coûts de l’aide d’urgence et à terme, on aboutira ainsi à la rupture du cycle des famines récurrentes. C’est dans ce cadre que le P2RS a été conçu. -
Programme d'activité 2019 du SP SPIN
Sur la base du plan d’actions pluriannuel, le SP/SPIN a élaboré un programme triennal 2018-2020, qui marque le début de mise en oeuvre des activités du plan d’actions de la SPIN. La réalisation de ce programme triennal a été amorcée par l’élaboration et l’exécution du programme d’activités de l’année 2018. Le programme annuel des activités à réaliser pour l’année 2019, objet du présent document, découle aussi de ce programme triennal, et représente la deuxième année de mise en oeuvre effective de la SPIN. -
Document d'opérationnalisation du plan de renforcement des capacités du secrétariat permanent et de acteurs clefs pour la mise en oeuvre de la Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN) pour la période 2019 -2020
Le présent plan de renforcement des capacités (P-RC) du SP/SPIN a été élaboré à la suite des recommandations de la réunion tenue le 8 mars 2019 au PromAP. Il se base sur le document intitulé « Plan de renforcement des capacités du Secrétariat Permanent et des acteurs clés pour la mise en oeuvre de la Stratégie de la Petite Irrigation au Niger », et rédigé lors de la consultation d’appui court terme en décembre 2018 (cf. Claus-Michael FALKENBERG et Ousseini BAKABE). -
Appui court terme assistance technique au Secrétariat Permanent de la Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SP/SPIN)
Le présent rapport synthèse concerne l’appui international court terme apporté au Secrétariat Permanent de la Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SP SPIN) pour (i) l’opérationnalisation de la formation des points focaux et des comités régionaux de la SPIN, (ii) la préparation d’une rencontre avec les PTF de l’irrigation, (iii) la mise à jour de l’évaluation du poste d’AT au SP SPIN (et d’autres postes d’AT) et (iv) le coaching de l’AT nouvellement arrivé. -
Analyse de genre pour le Programme de Promotion de l'Agriculture Productive au Niger
L'analyse de genre est basée sur un travail préliminaire approfondi qui avait déjà été réalisé par le projet en 2020 et qui a été complété par des analyses critiques de documents, de statistiques et d'études. Des données primaires ont également été collectées par le biais d'une enquête via un questionnaire auprès de certains membres du personnel du projet ainsi que par des entre-tiens personnels avec les organisations partenaires les plus importantes par une consultante nationale (questionnaire et guide d´entretien en annexe) -
Mission d'appui à l'APCA pour la conception d'un système de suivi-évaluation - rapport d'étape n°1
Ce rapport d’étape N°1 traite des points suivants : Identification et appréciation des dispositifs de suivi-évaluation existant sur le conseil agricole Identification des systèmes d’information existant sur le secteur agricole Identification des sources de données que l’APCA va générer et qui devront être valorisées dans le dispositif de suivi-évaluation du SNCA -
Etude évaluative des effets des activités de cash for work sur la vie socio-économique des ménages
La présente étude a été commanditée par le PromAP afin d’apprécier les approches / mécanismes et effets induits par l’ensemble des actions de GDT mises en oeuvre dans les trois régions d’intervention du projet. -
Une alimentation stable pour les hommes et les animaux à Maradi
Le projet vise principalement à améliorer les rendements sur les denrées de base (millet et haricots) grâce à des semences adaptées aux conditions climatiques, en vue de stabiliser la situation alimentaire des familles de producteurs de dix villages. Des parcelles de démonstration sont mises en place pour faire connaître les semences à la population des autres villages. Le projet entend également compléter les connaissances des producteurs en agriculture et les aider à améliorer leurs techniques. Les agriculteurs apprennent par ailleurs à transformer les restes de récoltes en fourrage pour le bétail. -
Programme régional de gestion durable des terres et d’adaptation aux changements climatiques au Sahel et en Afrique de l’Ouest (PRGDT)
Créer les conditions techniques, politiques et stratégiques de gestion durable des terres et d’adaptation pour la réduction de la vulnérabilité des populations de l’Afrique de l’Ouest aux changements climatiques. -
Projets d’aménagements hydro agricoles avec des pratiques d’agriculture intelligente résilientes au changement climatique - cadre de gestion environnementale et sociale
L'objectif global du projet est de contribuer à l'augmentation de la production agricole nationale en renforçant la résilience des populations aux effets néfastes du changement climatique. Les objectifs spécifiques du projet sont : (i) intensifier la production agricole de manière durable en améliorant les rendements des cultures grâce à des aménagements hydro-agricoles conçus avec des systèmes innovants d'irrigation et de pompage solaire; (ii) protéger le capital productif contre les menaces des effets du changement climatique (ensablement, inondations, etc.); (iii) assurer le fonctionnement et la pérennité des infrastructures par le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des opérateurs et des services techniques. -
Etude de cas pour la validation du standard CCB (Volet Communautés)
La présente étude réalisée sur un échantillon de 4 grappes (Chabaré dans la région de Maradi, commune rurale de Maïjirgui, Chéri dans la région de Diffa, commune urbaine de Maïné Soroa, Lido dans la région de Dosso, commune rurale de Guéchémé et Tchida dans la région de Tillabéry, Commune rural de Dantchiandou) a été commanditée pour évaluer l'évolution du bien-être économique et social des communautés et comparer le scénario "avec projet" à celui "sans projet" en vue d’élaborer un document d'informations sur les avantages du projet, en conformité avec les standards CCB. Pour l’exécution de la tâche, des outils d'enquête ont été au préalable élaboré puis, validés par l’Unité de Gestion du Projet. Ces outils, composés de quatre guides d'entretien, étaient destinés aux : (i) Membres de la grappe ; (ii) Pépiniéristes ; (iii) Charretiers et (iv) autres bénéficiaires. La mission terrain pour la collecte d’informations s'est déroulée avec l'assistance d'enquêteurs pluridisciplinaires recrutés pour la circonstance. -
Initiative Eau et Sécurité Alimentaire en Afrique, Phase II (IESAII) Composante_ Niger du Projet
L’IESAII vise à améliorer la sécurité alimentaire et la résilience aux changements climatiques des populations les plus vulnérables des zones rurales via la maitrise de l’eau et le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des producteurs. Il devrait contribuer également à améliorer durablement les revenus, l’alimentation et la nutrition des groupes cibles via l’intensification, la diversification, la valorisation de la production agricole, et le renforcement des capacités des acteurs. Les activités proposées répondent au souci du Gouvernement du Niger à développer le secteur rural et à soutenir ses efforts en matière de sécurité alimentaire. Les activités s’inscrivent plus particulièrement dans la perspective de l’atteinte de l’objectif global de la stratégie de l’initiative 3N. Le Projet contribue à la réalisation des priorités et produits du document cadre de programmation de pays (CPP) de la FAO. Le projet est aligné aux cinq (5) axes de priorité de la Coopération espagnole. -
Développement communautaire et gestion des connaissances pour l'initiative Satoyama au Niger
L’objectif principal du programme est de développer une bonne gestion durable de la biodiversité et des activités durables de subsistance avec les communautés locales dans les paysages de production socio-écologique pour maintenir, reconstruire et revitaliser les paysages, en conformité avec les cinq perspectives suivantes de l’Initiative Satoyama à savoir : (i) l’utilisation des ressources dans les limites de la capacité de charge et de la résilience de l’environnement ; (ii) l’utilisation cyclique des ressources naturelles ; (iii) la reconnaissance de la valeur et de l’importance des traditions et des cultures locales ; (iv) le gestion des ressources naturelles par les différentes entités participantes et coopérantes et (v) les contributions aux activités socio-économiques locales. -
Analyse des Barrières et du cadre Propice pour le déploiement des technologies d’Adaptation aux Changements Climatiques pour les secteurs de l’Agriculture et des Ressources en Eau
Dans le cadre de la mise en œuvre du projet sur l’Evaluation des Besoins Technologiques (EBT), volet adaptation aux Changements Climatiques, le premier rapport relatif aux technologies prioritaires a été élaboré entre février et avril 2020. Ces technologies concernent les secteurs de l’Agriculture et des Ressources en Eau. Les technologies prioritaires qui ont été retenues pour le secteur de l’Agriculture sont : le système d’irrigation goutte à goutte ; la fabrication des blocs multi nutritionnels densifiés ; la lutte contre la fièvre de la vallée du Rift ; le système d’Alerte Précoce (SAP) ; le compostage en fosse et la culture fourragère de dolique. -
PASADEM - Composante FEM : Référence GEF-FSP-NE pour FIDA et SIP-SLM #3383 pour le FEM
Le but global et à long terme du projet en matière d’environnement et de développement est d’affronter les problèmes corrélés de la pauvreté rurale, de l’insécurité alimentaire et de la dégradation des terres en promouvant et en multipliant les pratiques durables de gestion des terres, dans le but de restaurer, de soutenir et de renforcer les fonctions productives et protectrices des ressources de l’écosystème dans la région de Maradi. -
Bilan environnemental et social de la mise en œuvre des activités du Projet de Gestion Intégrée des Écosystèmes entre le Niger et le Nigeria de l’antenne du projet de Birni N’Konni dans la région de Tahoua au Niger
Le présent TFE s’est intéressé au bilan environnemental et social du Projet de Gestion Intégrée des Ecosystèmes entre le Niger et le Nigeria de l’antenne du projet de Birni N’Konni dans la région de Tahoua au Niger. La méthodologie appliquée est axée sur la recherche documentaire et à la collecte de données sur le terrain à travers les entretiens et les visites terrains. Le projet a consisté à réhabiliter 120 ha de terres dégradées, à planter 30.000 plants forestiers, à construire 1.200 foyers améliorés, à installer 300 ml de cordons de pierres et à élaborer 3 plans communautaires de base et de gestion de ressources naturelles. A l’issue de la campagne d’entretiens et observations, nous avons démontré la contribution du projet à l’amélioration de conditions de vie dans les villages et la ré-végétalisation de l’environnement de la zone de Birni N’Konni. L’analyse de résultat fait montrer que le projet a enregistré des impacts plus positifs que négatifs (la végétalisation de plateaux ; l’amélioration de condition de vie des bénéficiaires, la réduction de consommation de bois énergie;). Les impacts négatifs sont liés aux activités de faucardages de mares où le résultat enregistré a été non satisfaisant et les personnes blessées identifiées. -
Projet intégré de désenclavement des zones de productions transfrontalières Hamdara-Wacha-Doungass-Frontière Nigeria
Le Gouvernement de la République du Niger va obtenir de la Banque Africaine du Développement un appui financier pour la mise en œuvre du Projet Intégré de Désenclavement des Zones de Productions Transfrontalières Hamdara-Wacha-Doungass-Frontière Nigéria (PIDZPT). Dans ses efforts inlassables de lutte contre la pauvreté, d’améliorer le capital humain et les conditions de vie des populations, surtout du monde rural, le Gouvernement du Niger s’est doté d’une politique nationale de développement économique et social, qui s’est fixée comme but principal, le développement socioéconomique durable qui passe indélébilement par la construction d’infrastructures routières durables. C’est dans cette optique que s’inscrit la mise en œuvre de la composante B du projet. -
Stratégie de mise en œuvre de l'insertion des jeunes
La présente fiche décrit la stratégie développée par le programme NIG/025 pour l’insertion des jeunes en milieu rural dans la région de Dosso. Elle vise à documenter l’opérationnalisation de cette stratégie, à des fins de capitalisation et de partage des bonnes pratiques. -
Le GAFSP permet-il de toucher les petits producteurs agricoles du Niger?
Au Niger, le GAFSP soutient le Projet de Mobilisation des Eaux pour le Renforcement de la Sécurité Alimentaire dans les Régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERSA-MTZ). Ce projet a pour objectif le renforcement de la sécurité alimentaire par l’augmentation, de façon durable, de la production et de la productivité agricole à travers la mobilisation des eaux de surface et souterraine. Il cible 213 000 producteurs partenaires directs et 460 000 producteurs partenaires indirects des régions de Maradi, Tahoua et Zinder, où vivent près de 60% de la population du Niger. Les trois régions sélectionnées présentent des taux particulièrement élevés de malnutrition, de pauvreté et d’insécurité alimentaire par rapport à l’ensemble du Niger. -
Étude de cas de l'initiative équateur, des solutions locales de développement durable pour les gens, la nature et les communautés résilientes
La Fédération des Unions de Producteurs de Maradi Gaskiya est une initiative axée sur la recherche qui propose des options agro-écologiques aux petits exploitants agricoles. Composée de 17 syndicats, 325 organisations de producteurs et 12 742 membres, son travail comprend la promotion des cultures à haut rendement, la planification participative, la commercialisation des produits et des semences certifiées biologiques, ainsi que la diversification des systèmes de production agricole. Les revenus des agriculteurs se sont améliorés de manière significative, un pourcentage du chiffre d’affaires des syndicats étant investi dans un fonds renouvelable consacré à des projets communautaires. -
Etude sur le réajustement du PRSAA pour une vulgarisation plus efficace et efficiente (aspects approvisionnement en intrants agricoles)
Le Programme de Renforcement des Services d'Appui à l'Agriculture (PRSAA) a pour objectif principal d'améliorer les revenus des populations et de réduire la pauvreté en milieu rural. Ceci à travers la formation et l'amélioration de l'efficacité de la vulgarisation dans le domaine agro-pastoral. La revue du projet effectuée par la Banque Mondiale a mis en évidence certaines insuffisances dans l'exécution du programme. Il s'agit notamment de l'étroitesse ou de l'inexistence de marché pour les intrants et produits agricoles. L'atelier organisé à Niamey par le PRSAA les 18 et 19 Mars 1997 s'est entre autres appesanti sur cette question et a insisté sur la nécessité de la prise en compte de l'approvisionnement en intrants agricoles et la commercialisation dans les questions de vulgarisation. La présente consultation qui s'inscrit dans le cadre de cette approche, a pour objectif de contribuer à la détermination des actions à conduire pour assurer le réajustement du PRSAA en vue d'une vulgarisation plus efficace et efficiente. Il s'agit plus particulièrement d'identifier les mesures à prendre pour garantir aux producteurs un approvisionnement en intrants agricoles régulier et adapté à leurs besoins. -
Projet de relance et de développement de la région du Lac Tchad (PROLAC) : cadre de politique de réinstallation (CPR)
La région du Lac Tchad fait partie des zones d’Afrique les plus troublées où sévit une insécurité chronique et une dégradation des conditions de vie des populations. Jadis, considéré comme un exportateur net de produits alimentaires et un pourvoyeur d’emplois saisonniers, le bassin du lac Tchad est aujourd’hui confronté à des problèmes de pauvreté, d’insécurité physique et alimentaire. Si la région du Lac représentait un centre de production alimentaire, c’est parce qu’elle offrait tout au long de l’année une source relativement sûre d’eau, de fourrage et de terres fertiles. De plus, ses systèmes agricoles et halieutiques principalement familiaux correspondaient à des activités à forte intensité de main-d’œuvre et généraient un nombre important d’emplois (transformation, commerce, artisanat et transport). -
Projet de Recherche-Développement pour la Sécurité alimentaire et l'adaptation au changement climatique : rapport de la revue interne
L’objectif global de cette revue interne est de montrer et mesurer les changements opérés du fait des actions du projet REDSAACC à travers l’évaluation des effets/impacts de la mise en œuvre de l’approche du projet dans le transfert des technologies et le partage des innovations locales pour une adaptation des systèmes de production agricole aux changements climatiques. -
Transformation de l'Agriculture en Afrique de l'Ouest : défis et opportunités
La présente synthèse est le fruit des résultats des travaux des ateliers, enrichis de données qualitatives issues des documentations complémentaires issues des bases de données nationales et internationales. Elle est soumise à l’examen critique des responsables des projets du FIDA des pays concernés et des experts ayant participé à l’atelier. Ces échanges interactifs ont été organisés et étroitement coordonnés par le Bureau Sous Regional du FIDA afin de présenter les scénarios possibles pour discussion aux groupes de coordination des partenaires techniques et financiers (PTF) dans les pays concernés et pouvoir reviser et améliorer ces premieres versions des études par pays. -
Schéma d'aménagement pour la réalisation d'ouvrage de mobilisation des eaux au niveau des poles de développement économiques du programme de développement de l'agriculture familiale (PRODAF) dans la région de Tahoua
Le Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) a pour objectif global est de contribuer à assurer durablement la sécurité alimentaire et nutritionnelle et les capacités de résilience aux crises de 290 000 ménages (2 030 000 personnes) des régions de Maradi, Tahoua et Zinder. L’objectif de développement est d’augmenter durablement les revenus des exploitations agricoles familiales, leur adaptation aux changements climatiques et leur accès aux marchés locaux, urbains et régionaux. -
Faisabilité d'un projet de résilience et de sécurité alimentaire dans les régions de Zinder et Diffa, Niger : le Projet d'Appui à la sécurité alimentaire (PASAM 4)
Le présent rapport est structuré conformément au plan type proposé en annexe des termes de référence. Il comprend huit chapitres, à savoir : (1) Présentation de l’étude (contexte, objectifs, déroulement, organisation du rapport), (2) Cadre général d’intervention (secteur rural, expériences et stratégies nationales, initiative du projet), (3) Problématiques de développement régional (ressources, acteurs, dynamiques, enjeux), (4) Résultat du diagnostic : synthèses des actions du même type ou complémentaires, (5) Contenus du projet (stratégie, objectifs, résultats attendus, activités, mode opératoire), (6) Organisation et moyens (montage institutionnel, budget et plan de financement par composante, suivi-évaluation), (7) Faisabilité (analyse économique, impacts, risques) et (8) Annexes (termes de référence, personnes ou institutions rencontrées, documents consultés, cartes, cadre logique, budget détaillé). -
Études pour la réalisation des travaux d'aménagement de polders et réalisation des pistes de desserte de polders dans la zone du PADL/Diffa / Phase I Diagnostic
L’étude pour la réalisation des travaux d’aménagement de polders et de pistes de desserte s’effectue dans le cadre du Projet d’appui au développement local dans la région de Diffa (PADL Diffa). En effet, le projet d’aménagement de polders en bordure du lac Tchad pour cultures de décrue, objet de la présente étude, est une activité de la composante A du Projet d’Appui au Développement Local de Diffa (PADL - Diffa) et a été conçu à titre de projet pilote visant à valoriser de manière durable l’immense potentiel que constituent les terres fertiles des abords du lac Tchad. -
Projet d'aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri (PGBV/B) / Rapport annuel 2014
Le présent document constitue le rapport annuel 2014 du projet, qui couvre douze (12) mois (janvier décembre) de mise en œuvre des activités du PTBA 2014 par le projet. Il décrit l’état d’avancement des activités du Projet par rapport aux activités prévues sur la période considérée, les résultats obtenus, les difficultés rencontrées et les recommandations pour lever les difficultés. Il se situe dans le cadre de la convention de financement, où la Coordination du projet doit soumettre au Maitre d’Ouvrage (ME/SU/DD) et à l’AFD des rapports semestriels et annuels relatifs à la mise en œuvre des activités. -
Projet d'Aménagement et de Gestion du Bassin versant de Badaguichiri / Rapport annuel 2013
Le présent document constitue le rapport annuel 2013 du projet, qui couvre douze(12) mois (janvier –décembre 2013) de mise en œuvre des activités. Il décrit l’état d’avancement des activités du Projet par rapport aux prévisions sur la période considérée : les résultats obtenus, les difficultés rencontrées et les recommandations pour lever les difficultés. Il se situe dans le cadre de la convention de financement, où la Coordination du projet doit soumette au Maitre d’Ouvrage (ME/SU/DD) et à l’AFD des rapports semestriels et annuels relatifs à la mise en œuvre des activités. -
Projet d'aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri (PGBV/B) / Rapport annuel 2012
Le Projet d’Aménagement et de Gestion du Bassin Versant de Badaguichiri (PGBV/B), fruit de la coopération entre le gouvernement de la République du Niger et l’Agence Française de Développement (AFD), pour la mise en œuvre d’un programme de gestion durable des ressources naturelles de la vallée de Badaguichiri achève dans sa deuxième année d’exécution. -
Projet d'aménagement et de gestion du Bassin de Badaguichiri (PGBV/B) / Rapport annuel 2015
Le présent document constitue le rapport annuel 2015 du projet, qui couvre douze (12) mois (janvier décembre) de mise en œuvre des activités du PTBA 2015 par le projet. Il décrit l’état d’avancement des activités du Projet par rapport aux activités prévues sur la période considérée, les résultats obtenus, les difficultés rencontrées et les recommandations pour lever les difficultés. Il se situe dans le cadre de la convention de financement, où la Coordination du projet doit soumettre au Maitre d’Ouvrage (MESU/DD) et à l’AFD des rapports semestriels et annuels relatifs à la mise en œuvre des activités. -
Rapport Bilan d'Exécution 2018 du P2RS
Dans le cadre de la lutte contre l'insécurité alimentaire, les Autorités de la 7ème République se sont dotées de Politiques et Stratégies de Développement agricole et de l'environnement qui s'inscrivent dans la Stratégie de développement Durable et de Croissance Inclusive (SDDCI) vision 2035. Il s'agit notamment, de l'Initiative 3N pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle et le développement agricole durable, de la Stratégie de la Petite Irrigation au Niger, de la Stratégie Nationale pour le Développement de l'Irrigation et de la Collecte des Eaux de Ruissellement etc. Pour mettre en œuvre ces stratégies, le Gouvernement de concert avec le CILSS a négocié et obtenu auprès de la Banque Afrique de Développement (BAD) le financement du Programme de Renforcement de la Résilience à l'Insécurité Alimentaire et Nutritionnelle au Sahel (P2RS) pour un coût global estimé à 34,07 millions d'unités de Compte soit environ 25,420 millions de F CFA. Ce Programme concourt à l'atteinte des objectifs de l'Initiative 3N pour la Sécurité Alimentaire/Nutritionnelle et le Développement Agricole Durable (13N/SAN/DAD) qui vise à transformer radicalement les systèmes de production agricole au Niger afin de renforcer la résilience des populations rurales et leur garantir les conditions d'une pleine participation à la production nationale globale et à la répartition des revenus. -
Projet RESILAC (Redressement Économique et Social du Lac Tchad) : note de présentation
Le lac Tchad est un pôle rural attractif en ressources et en emplois, essentiel pour la vie des millions d’habitants de son arrière-pays. Alors qu’il constitue une zone emblématique des menaces du changement climatique et de ses enjeux dans les pays pauvres, il est désormais aussi au centre d’une crise sécuritaire régionale liée au groupe Boko Haram. Les défis de développement de la région sont donc multiples : politiques, socio économiques, écologiques, hydrologiques et de gouvernance. Pour que son potentiel puisse contribuer durablement au développement économique régional, les mesures d’urgence déjà déployées devront être prolongées par des actions à moyen terme et de plus grande ampleur. -
Note d'Information
Le ProDAF. dans son approche (Pôle de Développement Economique/ POE », vise à créer une dynamique économique autour des infrastructures de marchés opérationnelles en favorisant l'accès des produits agricoles à un prix abordable pour le consommateur/acheteur et rémunérateur pour le producteur. En effet, ces marchés sont au cœur des PDE et facilitent te développement local des différentes entités y afférents. C'est pourquoi, il est prévu notamment la construction de Centres de Collecte Satellite (CCS) et Plateformes de Commercialisation (PFC) des produits agricole" et de mettre de place des dispositifs de gestion en vue de créer un cadre adéquat pour les échanges commerciaux. A la date du 31 mai 2020. les 3 PFC (Bandé, Doungou et Guidimouni) et 2 CCS (Babban Ruwa, Zarmou) sont opérationnelles avec des structures de gestion (cadre de concertation / Hadil! Gwiwa) mises en place et formées depuis le démarrage du processus de construction de ces infrastructures (ingénierie sociale). Le CCS de Gassafa dont la réception provisoire est prévue en juin sera bientôt opérationnel. De ce fait. il est indispensable de poursuivre l'accompagnement des acteurs des marchés pour qu'ils prennent conscience de leur rôle central afin qu'ils puissent mieux développer leurs capacités en matière notamment d'initiatives et d'autonomie ainsi que de promotion des organisations des paysans; Ce qui leur permettra ainsi d'être plus actifs dans le fonctionnement du cadre de gestion des marchés et favorisera l'atteinte du principal objectif escompté. A cet effet, l'ingénierie sociale apparait alors. comme préalable à toutes les interventions, notamment la pérennisation des infrastructures qui concourent à la création des conditions d'une meilleure commercialisation des produits agricoles. La présente note d'information a pour objectif de contribuer à l'analyse de l'opérationnalisation des marchés construits avec leurs dispositifs innovants de gestion afin dc tirer les leçons et adapter au besoin le montage pour les prochaines infrastructures à mettre en place par le ProDAF. -
Evaluation du projet d'intensification des productions agricoles pour la sécurité alimentaire dans les régions de Tahoua et Tillaberi
Le Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA) a été soumis au financement de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) par lettre N°000784/ME/F/CCD/DGPS en date du 06 mai 2010 du Ministre de l'Économie et des Finances. La signature de l'accord de financement est intervenue le 18 janvier 2011. Le financement de ce projet s'inscrit dans le processus de la mise en œuvre du Programme Spécial de Sécurité Alimentaire de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), initié pour venir en appui aux actions entreprises par les États membres de l'UEMOA dans le cadre de la crise alimentaire 2009-2010. Le PIPA/SA s'intègre dans le Programme Stratégique (PS1) «Accroissement et diversification des productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques» de l'initiative 3N "les Nigériens Nourrissent les Nigériens» du programme de renaissance 1 de la Vuème République. Il trouve sa justification en ce qu'il doit: i) contribuer à la sécurité alimentaire; ii) contribuer à la réduction de la pauvreté; li) contribuer à la rentabilisation des investissements et iv) lutter contre l'ensablement et la sécurisation de l'espace sylvo-agro-pastoral. L'objectif global du PIPA/SA est de contribuer à l'accroissement de la production agricole nationale tout en améliorant les conditions et niveaux de vie des populations de la zone d'intervention du projet (ZIP). Cette intensification de la production agricole se fera à travers principalement la réalisation des aménagements hydro-agricoles, la restauration des terres dégradées, la formation des producteurs, le transfert de technologies approuvées par la recherche pour une amélioration de la production et la facilitation à l'acquisition des intrants et équipements agricoles par les producteurs. -
Étude de faisabilité des périmètres irrigués dans la vallée de l’Irhazher et la Plaine du Tamesna (PAMPI/VI-PT)
Le Projet de développement du palmier dattier associé aux cultures céréalières et fourragères dans l'Aïr et l'Irhazer rentre dans le cadre du Programme Général de Développement de l'Agriculture dans l''Aïr et l'Irhazer. Il prévoit, en cinq années, d'aménager et de mettre en valeur 2000 hectares, principalement en cultures dattières, céréalières et fourragères. -
Etude de faisabilité de réhabilitation du département de Dakoro
L'étude de faisabilité du Projet de Réhabilitation du Département de Dakoro a été financée par la Banque Arabe pour le Développement Economique en Afrique (BADEA) à la demande du Gouvermement du Niger. Elle a pour objectif global la définition des actions visant à promouvoir un développement multi sectoriel, basé sur les potentialités et contraintes du département et tenant compte des besoins spécifiques des populations concernées. Conformément aux termes de références, l'étude de faisabilité a selon l'approche méthodologique du Consultant, été conduite en deux phases: • le bilan diagnostic de l'ensemble du département; • l'étude de faisabilité proprement dite. Les rapports issus de chacune des deux phases ont fait l'objet d'examen et de validation par un comité interministériel. Des observations très pertinentes ont été formulées par le comité à chaque étape et prises en compte dans le document final concerné. Toutefois, en dépit de la pertinence des actions proposées par l'étude et qui cadrent parfaitement avec la politique du Gouvernement en matière de mise en œuvre des projets, le coût des actions envisagées dépasse largement le cadre habituel de financement des projets de développement qu'octroie la BADEA pour la période de cinq ans prévue pour ce projet. C'est pour pallier ces insuffisances qu'un avenant a été élaboré en vue de la reformulation du projet en deux phases de durée moyenne (4 à 6 ans) en tenant compte des priorités des populations locales concernées, de celles du Gouvernement en matière du développement du monde rural et des capacités de financement de ce dernier. Afin d'aboutir aux résultats attendus et ce, conformément aux TDR de l'avenant, des actions prioritaires à entreprendre ont été proposées en première et seconde phases, parmi celles déjà identifiées et validées dans le cadre de l'étude de faisabilité. Cette proposition a fait l'objet d'une large concertation des services techniques, des autorités administratives et coutumières, des députés nationaux (au titre du département), des projets, ONG et associations socioprofessionnelles du département pour convenir des priorités des actions à programmer en phase 1 et les autres en phase 2 du projet. Egalement, au niveau régional, cette même proposition a été exposée en vue de recueillir les observations et conseils des partenaires concernés par la mise en œuvre du futur projet. Enfin, les propositions d'actions revues à l'issue des rencontres au niveau départemental et régional ont aussi été restituées à nouveau au comité interministériel qui en a validé. Ainsi, le présent rapport représente la version définitive de la phase 1 du projet reformulé, basée sur les propositions amendées et validées par les différents partenaires. -
Rapport technique d'activités
Le Conseil National de la Recherche Agronomique se réunit deux fois par an en session ordinaire. Il peut se réunir en session extraordinaire sur convocation de son Président. Ses délibérations sont soumises au Gouvernement pour approbation. Le CNRA est assisté dans son fonctionnement par un Secrétariat Permanent qui est chargé d’exécuter ses décisions, de veiller au bon fonctionnement de l’ensemble du système de recherche Agronomique, d’assurer la coordination des actions, le suivi et la mise en œuvre du plan stratégique des projets et programme de la recherche. -
Étude de base - baseline du programme d'appui au développement de l'élevage dans les régions de Tahoua et Dosso : rapport final
L'étude est justifiée par l'existence d'un dispositif de suivi-évaluation et ses indicateurs de mesure des effets et impacts. L'objectif global est d'établir une situation de référence détaillée en proposant des valeurs de référence pour les indicateurs d'impact, d'effets et de résultats conformément au cadre de résultat du projet. L'étude vise deux objectifs spécifiques, à savoir : (i) mettre à la disposition du projet toutes informations utiles contribuant à l'appréciation/analyse de la performance du projet (population, ménages et le cheptel par tête et en UBT des régions, départements et communes d'intervention, etc.) ; (ii) Etablir les valeurs de référence et proposer des valeurs cibles finales et intermédiaires. 2-La mission s'est déroulée dans la zone d'intervention (Tahoua et Dosso) de PRADEL et à Niamey, du 03 avril au 18 mai 2019, sous la supervision de l'équipe du Projet. -
Etat de mise en œuvre et perspectives du projet GCPINERl049/SP A : appui à la consolidation et pérennisation des résultats du RGAC au Niger
A l'instar des projets financés dans le cadre de la coopération internationale et d'un commun accord avec la partie nationale d'une part et du bailleur de fonds et de la F AO d'autre part, une ou plusieurs revues tripartites sont généralement prévues au cours de 1 ~exécution des projets visant principalement à faire un constat sur l'état d'avancement des activités du projet et en débattre les contraintes. La première revue est souvent programmée après une année de la mise en œuvre du projet. C'est en fait le cas pour le projet GCPlNERl049/SPA dont les activités ont débuté à partir du 1er Mai 2009. Ainsi, la tenue de la première revue de notre projet arrive à point nommé. -
Document introductif à la première réunion tripartite du projet GCP.NER.041.EC RGAC
La connaissance et la modernisation du secteur agro pastoral sont des enjeux majeurs pour le développement de l'économie Nigérienne. Si dans le domaine agricole il a été organisé plusieurs recensements, le dernier remontant à 1980, tel n'est pas le cas pour l'élevage. Il en résulte une méconnaissance de ces secteurs, et un besoin d'y pallier. C'est pour ce faire et évaluer correctement leurs productions que le Niger a initié à l'échelle nationale, le recensement général de l'agriculture et du cheptel (RGAC). Après une phase test réussie, le Gouvernement Nigérien avec l'appui des partenaires financiers a lancé la phase opérationnelle du RGAC à travers le projet GCP/NER/041/EC. Les résultats attendus de ce programme serviront au renforcement de la crédibilité des statistiques agropastorales sur lesquelles devra s'appuyer la stratégie du développement rural et de la réduction de la pauvreté. Le projet est conjointement financé par le Gouvernement du Niger et l'UE et s'étendra sur trois ans à partir de juin 2004. L'organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) est chargée de son exécution. Le présent rapport a pour objet de présenter succinctement la phase préparatoire ainsi que les réalisations de la phase opérationnelle de juin 2004 à ce jour. -
Diagnostic sur les contraintes environnementales en relation avec la variabilité et changement climatiques dans les zones d’intervention du projet DIVANI-Résilience (Tillabéry et Zinder)
Cette étude rentre dans le cadre des activités du projet de diffusion des nouvelles variétés de niébé pour accroitre la résilience des producteurs au changement climatique dans les régions de Tillabéry et Zinder au Niger. Ce projet financé par le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO) sur les fonds compétitifs octroyés par la Banque Mondiale et l’Etat du Niger. Le projet est mis en œuvre par l’ONG Comité d’Appui au Développement Local (CADEL). -
Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) du Programme Stratégique de Résilience aux Changements Climatiques
Le Programme Stratégique de Résilience aux Changements Climatiques (PSCR) est un programme du Fonds Stratégique sur le Climat mis en place dans le cadre des Fonds d'investissement climatique (FIC). Le PSCR-Niger est un des neuf programmes pilotes retenus dans le cadre général et international du PPCR. Le programme pilote du Niger est l'initiative conjointe de trois Banques Multilatérales de Développement (BMD), à savoir la Banque Mondiale (BM), la Société Financière Internationale (SFI) et la Banque Africaine de Développement (BAD) en collaboration avec le Gouvernement du Niger. -
Note d'actualité : la Grande Muraille Verte au Niger
Au Niger, la Grande Muraille Verte vise, à l’horizon 2035, le développement des communautés locales à travers une approche novatrice et inclusive consistant à mettre en synergie les actions de lutte contre la désertification, de conservation de la biodiversité, d’atténuation et d’adaptation au changement climatique d’appui à l’amélioration des systèmes de production agro-sylvo-pastorale. La finalité étant de reverdir le Niger et de contribuer à une sécurité alimentaire durable des populations et du cheptel. -
La Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel : Une mosaïque de pratique durables d'utilisation des terres pour renforcer la résilience locale à la dégradation des terres et aux changement climatiques dans 20 pays
Dans la région sahélo-saharienne la vie de millions de personnes dépend de la productivité des terres dans les zones arides. Cette précieuse ressource naturelle est non seulement à la base de la sécurité alimentaire et de la production agricole, mais elle génère aussi de l’emploi et atténue les crises sociales pour les populations vulnérables les plus pauvres de la région. -
Relever le défi de la Grande Muraille Verte
Dans les années 1980, les exploitants agricoles du Niger ont commencé à protéger et gérer les arbres qui se régénéraient spontanément sur leurs terres. Ils ont ainsi restauré 5 millions d’hectares. Je pense que ce qui a été fondamental, c’est que les producteurs ont pu voir très rapidement l’intérêt de ces arbres : tout en protégeant l’environnement, ils leur permettent d’obtenir rapidement des revenus importants, soit en exploitant les produits issus des arbres comme la gomme arabique, soit en exploitant le bois lui-même. Par exemple, les producteurs nigériens ont si bien redensifié leurs forêts qu’ils sont même devenus exportateurs de bois au Nigéria ! -
La Grande Muraille Verte : Dossier de presse
La Grande Muraille Verte est un mouvement dirigé par l’Afrique lancé en 2007 par les dirigeants des pays Sahéliens, avec une ambition épique de faire croître une merveille du monde naturelle de 8000 km sur toute la largeur de l’Afrique. Dans un contexte post COVID où les pays Sahéliens sont aux prises avec de fortes difficultés en termes de budgets et de financements, cet accélérateur permettra de répondre aux besoins financiers et de dynamiser l’atteinte de ses objectifs. Pour achever la Grande Muraille Verte, on estime qu’un investissement de 33 milliards de dollars américains - provenant de sources privées, nationales et internationales sera nécessaire. -
L’Initiative de la Grande muraille verte : Promouvoir des paysages et des moyens de subsistance résilients au Sahel
Il y a plus de dix ans, le Fonds pour l’environnement mondial (FEM), en étroite collaboration avec la Banque mondiale, a investi dans ce qui est devenu un projet emblématique pour l’Afrique et le monde : l’Initiative « Grande muraille verte » (GGWI) au Sahel. -
Bilan des réalisations 2010-2015 et perspectives
Au Niger, l'initiative Grande Muraille Verte Sahélo-Saharienne vise, à l'horizon 2035, le développement des communautés locales à travers une approche novatrice en inclusive consistant à mettre en synergie les actions de lutte contre la désertification, de conservation de la biodiversité, d’atténuation et d'adaptation au changement climatique d'appui à l’amélioration des systèmes de production agro-sylvo-pastotrales. -
L'Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel
Dans le cadre de l'IGMVSS, un tiers du territoire nigérien (47 millions d'hectares) englobant trois zones climatiques (sahariennes, sahélo-saharienne et sahéliennes) est concerné par la mise en place de projets de lutte contre la désertification, de conservation de la biodiversité, d'atténuation et d'adaptation au changement climatique. -
La Grande Muraille Verte : état de mise en œuvre et perspectives à l'orée 2030
La Grande Muraille Verte est une initiative panafricaine de restauration et de gestion durable des terres dans la région sahélo-saharienne ayant pour objectif de lutter contre la dégradation des terres et la pauvreté. L’idée de la création de l'initiative a été envisagée pour la première fois en 2005 lors de septième session de la conférence des chefs d’état et des gouvernements membres de la CENSAD qui s’est tenue à Ouagadougou les 1 et 2 juin 2005 – par l'ancien président du Nigéria, le chef Olusegun Obasanjo, et a été fortement soutenue par le président du Sénégal, Abdoulaye Wade. En 2007, l'Initiative a pris de l'ampleur lorsque la Déclaration 137 VIII de l'Union Africaine a été adoptée, approuvant la décision sur la mise en œuvre (UA 2007) (ci-après dénommée GMV). -
Initiative Grande Muraille Verte
Depuis plusieurs décennies, les pays Africains de la zone sahélo-saharienne, dont le Niger, sont confrontés à un déficit pluviométrique persistant combiné aux effets néfastes des actions anthropiques. Cette situation a sérieusement affecté les grands équilibres écologiques de la zone, entraînant ainsi la dégradation des ressources naturelles, la baisse des productions agricoles, pastorales, forestières et halieutiques, toutes choses qui maintiennent les populations dans l’insécurité alimentaire et la pauvreté. -
Stratégie et plan d'actions de mise en œuvre de l'initiative Grande Muraille Verte au Cameroun
Le présent document de stratégie est une synthèse des consultations avec les acteurs impliqués dans la lutte contre la désertification, les changements climatiques et la conservation de la biodiversité ainsi que des bénéficiaires potentiels. -
Le projet majeur africain de la Grande Muraille Verte: concepts et mise en oeuvre
L’initiative Grande Muraille Verte est un projet d’envergure continentale. Elle constitue l’une des réponses de l’Afrique aux défis auxquels elle est confrontée et également une proposition concrète d’actions dans le cadre de l’alliance mondiale contre les changements climatiques. Elle est sous-tendue par des mécanismes de coopération régionale et sous-régionale dans le cadre d’une approche globale concertée. -
Cadre de gestion environnementale et sociale du Projet d'Appui au Désenclavement des Zones Agricoles (PADEZA) Dosso-Tahoua-Zinder au Niger
Dans le cadre de sa politique de développement, le Niger a sollicité et obtenu de l’Agence Internationale pour le Développement (IDA) un prêt pour le financement du Projet d’Appui au Désenclavement des Zones Agricoles (PADEZA). Ce projet est une suite des financements antérieurs dans le cadre d’appui et/ou financement additionnel des projets d’appui au programme sectoriel des transports et compte se focaliser dans les régions de Dosso, Tahoua Maradi et Zinder, qui ont une forte densité humaine mais aussi un taux élevé de pauvreté par rapport à la moyenne nationale. Ces régions sont également des zones à hautes potentialités agricoles, où des projets comme le PARIIS (Projet d'Appui Régional à l'Initiative pour l'irrigation au Sahel) et le PASEC (Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible aux risques Climatiques) sont déjà mis en œuvre. Donc l’intervention de PADEZA développera une synergie entre les trois (3) projets surtout dans le désenclavement des grands bassins de productions agricoles. -
Projet de renforcement de la résilience par le biais des services BRICKS liés à l’innovation, à la communication et aux connaissances
Cette note, la troisième du genre consacrée à la fixation des dunes , s’inscrit dans le cadre des semaines thématiques initiées par le Projet de renforcement de la résilience par le biais de services liés à l’innovation, à la communication et à la gestion de connaissances (BRICKS) en appui au Programme Sahel et Afrique de l’Ouest (SAWAP) en appui à l’initiative de la Grande muraille verte (GMV). L’objectif du projet est de favoriser la mise à l’échelle des bonnes pratiques de gestion durable des terres en partageant des informations techniques, institutionnelles, économiques et de contraintes pour la mise à l’échelle. -
Faisabilité d’un projet de développement des filières élevages dans les régions de Zinder et Diffa dans un contexte de changements climatiques Bounkassa Kiwo : Région de Zinder
Cette note constitue le compte rendu des échanges de l’atelier de Zinder qui a réuni une soixantaine d’acteurs du développement pastoral de la région de Zinder au cours de la phase 2 de l’étude de faisabilité du projet Bounkassa Kiwo impliquant le HC3N, le MAGEL, le MESUDD, le MHA et l’AFD. -
Faisabilité d’un projet de développement des filières élevages dans les régions de Zinder et Diffa dans un contexte de changements climatiques Bounkassa Kiwo : Région de Diffa
Cette note constitue le compte rendu des échanges de l’atelier consacré à la région de Diffa qui a réuni une soixantaine d’acteurs du développement pastoral de la région de Diffa au cours de la phase 2 de l’étude de faisabilité du projet Bounkassa Kiwo impliquant le HC3N, le MAGEL, le MESUDD, le MHA et l’AFD. -
Rapport de résultat 2019 : Programme d'Appui au Développement de l’Élevage - PRADEL Kiyo Arziki
L’année 2019 a permis de capitaliser les résultats du démarrage de l’année 2018 et d’atteindre une bonne vitesse de mise en œuvre du Programme. Les grands chantiers en termes de développement des chaines de valeur (financement, appui conseil, infrastructures structurantes, conditions d’élevage (alimentation, santé animale), structuration) ont atteint un bon niveau de maturation et pourront produire les effets nécessaires pour atteindre l’outcome. Il en est de même des autres chantiers (aménagements pastoraux pour lesquels l’ingénierie sociale est avancée, les marchés lancés, etc.). -
Rapport de suivi : avancée des initiatives du plan d'action de 3AO
Ce rapport est le fruit d’un effort collaboratif. Construit et rédigé par les membres de 3AO et son secrétariat, il met en exergue les actions individuelles et collectives portées par les membres, qui s’inscrivent dans la lignée des initiatives du plan d’action de 3AO. Il vise a apporté clarté et visibilité sur les avancées de travaux visant à développer l’agroécologie dans la sous-région, et sert de document d’appui à la rencontre stratégique de l’alliance, ayant lieu à Dakar, les 27-29 janvier 2020. -
Rapport annuel d'activité 2015
Au cours de l'année 2015 d'importantes activités ont été réalisées dans le cadre de mise en oeuvre du Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERSA-MTZ). Trois années et demi se sont écoulées, au cours desquelles nonobstant les contraintes multiples, le projet s'est pleinement investi dans l'atteinte des objectifs de renforcement de la sécurité alimentaire et de réduction de la vulnérabilité aux crises alimentaire des populations de la zone d'intervention qui lui sont assignés. -
Projet intégré de production laitière et culture fourragère
Le projet a pour objectif général de contribuer à lutter contre le chomage, la pauvreté et l'insécurité alimentaire à travers la reproduction bovine pour la production de lait par une augmentation de l'offre en lait local et en viande de boucherie afin de répondre à la demande de la clientèle des villages et villes. -
Projet de Promotion de l'Initiative Locale pour le Développement à Aguié (PPILDA) AP N°597-NE et AD N°BG-38-NE
Le PTBA 2008 a été marqué par la mise en œuvre des activités de terrain centrées essentiellement autour des domaines de la sécurité alimentaire, de l'intensification agricole, de la gestion des ressources naturelles, de la santé/nutrition, de renforcement de l'offre paysanne de services, des infrastructures communautaires et de la promotion des organisations rurales. -
Projet de plan triennal du CILSS : 1995-1997
Le CILSS, créé au départ pour coordonner l'ensemble des actions menées contre la sécheresse dans la région sahélienne, sensibiliser les États membres et la communauté Internationale et ensuite mobiliser les ressources nécessaires à la réalisation des programmes définis à cet effet, a connu plusieurs phases. -
Projet de petite hydraulique pour la sécurité alimentaire dans les régions de Zinder et Tahoua
Le présent projet pour le Niger dont la mission de formulation a eu lieu en Octobre 2007, s'ajoute au quatre autres pays et s'inscrit dans cette Initiative Eau pour l'Afrique de l'Espagne. Il répond aussi au souci du Gouvernement dans le cadre de son approche programme pour le développement du secteur rural de répondre de manière urgente aux besoins en matière de maitrise de l'eau en appui aux efforts de sécurité alimentaire. -
Rapport de la mission préparatoire au recrutement d'un ou des opérateur(s) chargé(s) d'exécuter le volet crédit du PADAZ
Au Niger, depuis la fin des années 1980, suite à la liquidation de la BDRN et de la Caisse Nationale de Crédit Agricole (CNCA), le monde rural s'est trouvé dépourvu d'un système de crédit rural. Par rapport à cela plusieurs institutions de microfinance sont encore fragiles; c'est le cas du réseau MCPEC et de Taimoko les plus importantes IMF au Niger en terme de mobilisation d'épargne et de crédit qui sont sous administration provisoire due au problème de détournement et de non maitrise de leur croissance pour ne citer que cela. -
Projet d'aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri
Dans le cadre de ses priorités de développement, le Gouvernement de la République du Niger a formulé une requête auprès de l'Agence Française de Développement qui a manifesté son intérêt à contribuer à la préservation des ressources naturelles et à l'inversion des tendances à la dégradation du bassin versant de Badaguichiri. L'appui de l'AFD s'opérera conjointement avec la GTZ-Niger, qui dispose d'une expérience dans la région de Tahoua et s'inscrit dans le cadre de la Stratégie de Développement Rural (SDR), unique cadre de référence en matière de politique en économique et social dans le secteur rural. -
Projet Camelin de Zinder : Rapport technique et financier
Les récentes sécheresses de 1973/74 et 1984/85 ont causé de lourdes pertes dans les populations animales sahéliennes. Les dromadaires (Camehs dromedarins), par leurs parfaite adaptation aux biotopes les plus secs, en ont moins souffert que les espèces ovine, caprine et surtout bovine. La population cameline aurait même légèrement augmenté, démontrant que si le dromadaire a perdu sa fonction du ''vaisseau du désert'', il constitue une ressource alimentaire (lait, viande) et financière (vente d'animaux sur pied) fiables pouvant contribuer à assurer à la sécurité alimentaire des populations à démographie galopante. -
Projet Appui à la Gestion Conjointe des Ressources Sylvo-Pastorales : Phase II (PAGCRSP II)
Le parachèvement du processus d'élaboration des documents de base (Statut, Règlement intérieur, Document de gestion), des quatre (4) Associations des sites de Kup-Kup, Maisalka, Mairemi et Moa, structure mises en place par la volonté des acteurs locaux de la gestion des ressources naturelles à une étape du processus de concertation et de prise de décision qu'ils ont entamé depuis 2001-2002. -
Programme triennal pour le développement de l'élevage et des industries animales 2010-2012
Le secteur de l'élevage représente un atout majeur pour le Niger car il contribue de manière substantielle à la sécurité alimentaire, à la lutte contre la pauvreté et à l'amélioration de la balance commerciale du pays. Cependant, il est confronté à de nombreuse contraintes qui limitent sa contribution au développement socioéconomique du pays. -
Programme sous-régional de formation en gestion intégrée de la production, des déprédateurs et de la pollution (GIPD/GEF) à travers le champ école paysan quatrième réunion du comité technique national de pilotage
Le présent rapport fait la situation de l'ensemble des activités réalisées par le projet pendant l'année 2012. Il s'agit principalement des activités de formation des producteurs sur le riz et les cultures maraichères, le suivi et la supervision des CEP et enfin les activités relatives au projet << d'Amélioration de la Production du Riz en Afrique de l'Ouest>> (APRAO) et autres diverses activités réalisées dans le même cadre. -
Programme national de vulgarisation agricole : avant projet pour la première phase
Le projet, dans le cadre de son objectif d'appui aux services de vulgarisation et aux producteurs, aura à mener des actions dans le domaine suivants: La contribution à l'émergence d'un Système National de Vulgarisation Agricole (SNVA) ; réalisation d'étude diagnostic, organisation de concertations régionales et nationales à travers des ateliers de travail reposant sur des notes introductives élaborées par le projet, coordination du processus d'élaboration d'adaptation du SNVA. -
Programme d'urgence pour la sécurité alimentaire : 2011-2012 bilan
La campagne agropastorale 2011-2012 a été caractérisée par une pluviométrie erratique, mal repartie dans l'espace et dans le temps avec de nombreux épisodes de sécheresse tous plus longs les uns que les autres. Il en résulte un déficit céréalier quasi record de l'ordre de 700.000 tonnes, justifiant à postériori les instructions de son Excellence Elh Issoufou Mahamadou, Président de la République, Chef de l’État, d'anticiper dès le début du mois d'Aout 2011, l'élaboration et la mise en œuvre pour l'exercice 2011-2012, d'un programme d'urgence comme mesure corrective aux mauvaises récoltes attendues. -
Programme annuel de travail et budget 2012 du projet de développement des marchés et des exportations agrosylvopastorales
L'objectif de développement du projet (ODP) est d'accroitre la valeur de certains produits commercialisés par des produits soutenus par le projet. L'indicateur de performance associé à l'ODP est la valeur additionnelle des produits commercialisés par les producteurs (agriculteurs et éleveurs) et leurs associations dans les filières retenues. -
Présentation du Projet de Promotion de l'Irrigation Privée : Phase 2 (PIP2)
Le PIP est une opération pilote de quatre (4) ans financé par un crédit de la Banque Mondiale d'un montant de 4.600.000 DTS. Il a pour objectif général l'amélioration de la sécurité alimentaire par le relèvement de la productivité et des revenus des petits exploitants à partir de l'adoption de techniques simple et peu couteuses d'irrigation. -
Projet d'Appui à la Politique de Sécurité Alimentaire du Niger : Réunion du Comité de Pilotage du jeudi 30 mai 2002
Le projet PolSecAl est rentré dans son rythme de croisière : toute l'équipe est en place et opérationnelle pour mener à bien tous les chantiers qu'elle s'est fixés : appui à l'élaboration de politique, suivi des actions de développement, études, opérations pilotes, etc... -
Planification stratégique 2007-2010
L'idée de créer des cadres de concertation au niveau des Etats afin de mieux influencer les politiques et programmes de développement au profit du monde rural a été concrétisée à travers la création de la PFPN en février 1998. Dés lors la PFPN, s'est très vite impliquée dans la dynamique du mouvement paysan de la sous région. -
Plan de travail et de budget annuel (PTBA) 2021 de l'unité régionale de gestion du programme (URGP) de Diffa
Le ProDAF-Diffa va porter ses interventions dans la zone des cuvettes oasiennes, les parties ouest et centre de la vallée de la Komadougou, la zone agropastorale centre et la partie pastorale nord-ouest e la région. Les réalisations se concentreront autours de ces cinq poles de développement économique (PDE) et des activités et produits issus de l'agriculture irriguée et pluviale et de l'élevage. Au plan thématique, le programme ciblera les activités de production agropastorales et les métiers connexes en aval et en amont des filières retenues. -
Plan de travail et budget annuels
Le plan de travail et budget annuels (PTBA) exercice 2006 du Projet de Lutte d'Urgence contre le Criquet Pèlerin couvre la période allant du 1er janvier au 31 décembre 2006. Il est issu d'une mise à jour du premier plan de travail 2005/2006 et présente toutes les activités programmées e, 2006 par la cellule nationale de coordination (CNC) dont la mise en oeuvre se fera avec la participation des différents partenaires : les services de l'Etat, les instituts de recherches ou de formation, les ONG; etc... qui ont en charge l'exécution d'une partie des activités du projet. -
Programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest : plan de travail et budget 2012
L'objectif de développement du projet est de contribuer à l'augmentation de la productivité agricole dans les filières majeures des pays participants. La première phase du Projet vise à générer et à accélérer l'adoption de technologie améliorées pour les principaux produits agricoles prioritaires des pays de la sous-région. -
Plan de travail et budget annuel 2015 - programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest
L'objectif de développement du projet est de contribuer à l'augmentation de la productivité agricole dans les filières majeures des pays participants. La première du Projet vise à générer et à accélérer l'adoption de technologies améliorées pour les principaux produits agricoles prioritaires des pays de la sous-région. Il s'agit des fruits et légumes; la banane plantain, la pisciculture, les racines et les tubercules; les céréales sèches; le riz; le bétail.... -
Rapport d'activités annuel 2015 du projet d'intensification des productions agricoles pour la sécurité alimentaire dans les régions de Tahoua et Tillabéri
Le projet s'inscrit dans le processus de la mise en oeuvre du Programme Spécial de Sécurité Alimentaire de la Banque Ouest Africain de Développement (BOAD), initié pour venir en appui aux actions entreprises par les États membres de l'UEMOA dans le cadre de la crise alimentaire. Il s'inscrit aussi dans l'axe 3 << sécurité alimentaire et développement agricole durable >> du plan de Développement Économique et Social (PDES) 2012-2015. -
Projet d'Appui Technique à la Promotion des Exportations Agro-Pastorales (PAPEA) : Étude sur la promotion commerciale
La filière des exportations est une source principale de croissance du secteur agricole au Niger. Cependant, la performance de cette dernière a été pire que celle du secteur agricole. La filière a connue une baisse moyenne de 7,8% par an entre 1977 et 1990. -
Projet d'Appui aux Producteurs Agricoles de la Komadougou : Évaluation finale
Le Projet d'Appui aux Producteurs Agricoles de la Komadougou (PAPAK) s'inscrit dans cette logique de création d'une dynamique à la base avec comme point d'ancrage les organisations de producteurs. En tant que prolongement du volet agricole du Projet d'Appui à la Mutuelle N'Gada (1er Janvier 1998 au 31 décembre 2002) sur financement danois à travers la première phase du Projet ADDR, l'évaluation à mi-parcours a en effet recommandé de séparer la fonction technique (appui aux producteurs) de la fonction financière (appui à la Mutuelle). -
Rapport annuel d'activités 2012
Le présent rapport rend compte en détail des activités menées dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet au cours de cette année 2012. Le rapport comprend quatre principaux points : un premier point qui présente le projet; un deuxième point qui présente le bilan des réalisations physiques; un troisième point, relatif au bilan des réalisations financières et enfin quatrième point qui fait un résumé succinct des réalisations effectuées ainsi que les contraintes et difficultés rencontrées. -
Rapport annuel d'activités 2011
Le présent rapport d'activité constitue le premier du genre dans le cadre de la mise en œuvre de la phase 2 du Projet d'appui au Programme Spécial de Sécurité Alimentaire. Il couvre la période allant d'octobre 2010 à décembre 2011. Il rend compte de toutes les activités menées dans le cadre de la mise en œuvre du Projet. Il comprend quatre principaux points : un premier point qui présente le contexte du projet, un second point consacré au bilan des réalisations financière, enfin le quatrième point présente un résumé succinct des réalisations à l'issue de la mise en œuvre du projet faisant ressortir également les contraintes et les difficultés ainsi que les recommandations. -
Note d'information sur l’État d'avancement de la mise en œuvre des activités du PTBA 2015 pour la période de Janvier à Avril 2015
La vision et l'approche d'intervention du PPI Ruwanmu ont pour ambition de faire émerger une dynamique de Poles d'intervention de Développement Economiques (PDE) à travers lesquels les producteurs soutenus par les collesctivités locales s'organisent, aménagent et exploitent de manière rationnelle te durable les bassins de production en vue d'augmenter le revenu de 65.000 ménages ruraux (455.300 personnes). -
Note de Présentation de l'Equipe d'Arrondissement, PGRN/Say : 7èm édition conjointe de supervision Gouvernement du Niger, Banque Mondaile
L'arrondissement de Say est une zone agricole qui connait de forte pression démographique due l'affluence des populations qui sont à la recherche des meilleures terres de cultures. Ce peuplement inquiète les populations autochtones qui souvent vendent leur terre sans informer les populations allochtones qui les mettent en valeur. Ceci est l'une des causes principales de la baisse drastique de la fertilité des sols dans l'arrondissement. -
Note de présentation du bilan triennal d'exécution du Programme d'Actions Communautaire (PAC) et perspectives
Le Programme d'Actions Communautaire (PAC) qui est l'un des instruments importants de l’État du Niger en matière de la réduction de pauvreté de la pauvreté et de promotion de la décentralisation vient de terminer sa troisième année de mise en œuvre. -
Mise en valeur d'une exploitation individuelle de 3,15 ha
Le producteur maraicher Harouna Abouba de la communauté urbaine de Tahoua adresse une requête de financement de son sous projet mis en valeur d'une exploitation individuelle de 3,15 ha d'un montant global de neuf millions sept cent trente mille huit cent (9.730.800) francs cfa. -
Manuel d'exécution du Projet PPAO
Une croissance annuelle de la production agricole des pays africains de l'ordre de 6% est nécessaire pour l'atteinte des OMD d'ici 2015. -
Manuel de suivi évaluation/capitalisation de l'initiative 3N
La "Stratégie de Sécurité Alimentaire/Nutritionnelle et de Développement Agricole Durables (SAN/DA/D)" constitue le cadre stratégique de l'Initiative 3N "les Nigériens Nourrissent les Nigériens". Cette stratégie qui s'inscrit dans la vision de développement du Niger à à long terme qu'est la "Stratégie du Développement durable et de croissance inclusive "SDDCI Niger 2035"). -
Préparation de la 2èm réunion ministérielle Afrique-Arabe sur le développement Agricole et la sécurité alimentaire
L'Afrique subsaharienne possède assez de terres arable et de main d’œuvre pour parvenir à l'autosuffisance en matière de nourriture. Cependant, la production alimentaire s'y heurte à des obstacles principaux tels que la pénurie d'intrants comme l'eau et les engrais. L'agriculture dans cette région du sud du Sahara dépend des pluies ce qui l'expose aux fluctuations de la pluviométrie et rend difficile l'arrivée à la production maximale. Dans ce contexte, les petits réservoirs d'eau constituent l'une des solutions envisageables pour limiter cette exposition. -
Formulation d'un Programme de Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle
La région concernée par le programme s'étend sur le Nord, l'est et en partie le centre du Burkina Faso, les trois régions du nord et en partie sur celle de Mopti au Mali, sur la région de Tillabéry et en partie la Commune Urbaine de Niamey et la région de Dosso au Niger. Elle couvre une superficie de 370.000 km² lorsqu'elle s'élargit à toutes les circonscriptions administratives des régions concernées. -
Programme d'activités 2013
Le Projet de valorisation des eaux dans les régions de Dosso et de Tillabéri (PVDT) a pour objectif de contribuer à la sécurité alimentaire des populations concernées en valorisant leur potentiel en eaux mais aussi en restaurant les sols et les ressources agro-sylvo-pastorales. Il s'agira notamment de valoriser l'eau disponible (micro barrage, seuils d'épandage....) en réalisant de nouveaux aménagement hydro agricoles, ii) mobiliser les eaux et réhabiliter les ouvrages existants; en organisant leurs gestion et la vulgarisation -
Évaluation finale et identification d'une deuxième phase du Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa (PADL/DA)
Au terme de huit années de mise en œuvre et la fin de la première phase, le PADL-Diffa a assez largement atteint les objectifs qui lui avaient été assignés. Le projet est pertinent par rapport aux politiques et stratégies du Niger au moment de sa formulation et il a été mis en œuvre de manière efficace. -
Evaluation finale et identification d'une deuxième phase du Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa (PADL/Da)
De manière, ce rapport relève des activités que le Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa a mené plusieurs activités entrant dans le cadre du développement Agricole de la région. -
Étude de cuvettes à Gaya 2ème phase : aménagement et mise en valeur des terroirs
Ce "Programme de développement-factibilité" concerne uniquement la région de Gatawani-Dolé qui a été à la fin des études de première phase des cuvettes de Gaya. Il précise les modalités d'un projet sur 4 ans visant à construire une digue de protection le long du fleuve Niger et à mettre en valeur l'ensemble des terroirs. -
Étude de faisabilité du projet d'aménagement et de mise en valeurs des périmètres irrigués dans la vallée de l'Irhazer et la plaine du Tamesna
Le présent rapport expose et analyse et analyse les résultats obtenus dans le domaine de la qualité d'eau au cours de la mission menée en mi mai 2011 par une équipe pluridisciplinaire. L'objectif de la présente étude est la description des principales caractéristiques physiques et chimiques des eaux de la nappe concernée. -
Étude pour le projet de développement rural centre sur les habitants pour la lutte contre la désertification dans le sud de la région de Ségou en République du Mali
La zone d'étude concerne une partie de la région de Ségou située dans le bassin central du Mali. Cette zone est entourée du fleuve Niger et son affluent, le Bani, et forme une plaine relativement propice à l'agriculture. -
Étude du programme du renforcement de la capacité pour la lutte contre la désertification basée sur la communauté dans le sud de la région de Ségou en République du Mali
Le Mali, situé à la limite du désert du Sahara, est un pays de l'intérieur de l'Afrique Occidentale, qui fait partie du groupe des pays les plus pauvres du monde (PNB de 220 dollar US/2002 par habitant). Cette situation est due à la fragilité de bases économiques et au problème de la désertification qui frappe tout le pays. -
Etude de faisabilité du projet d'aménagement et de mise en valeur des périmètres irrigués dans la vallée de l'Irhazer et la plaine de Tamesna : étude d'impact environnementale et social (EIES)
L'objectif général du projet est de contribuer est de contribuer à la lutte contre l'insécurité alimentaire et à la valorisation des exportations agricoles, à travers l'aménagement et la mise en valeur des périmètres irrigués localisés dans la vallée de l'Irhazer et la plaine du Tamesna. -
Étude de faisabilité d'un projet de développement agro - pastoral dans le département de Diffa
Le département de Diffa au même titre que les autres régions du Sahel est confronté année après année à l'avancée du de la désertification et au phénomène d’semblablement. Il en résulte un déséquilibre écologique qui fragilise. Dans le cadre de l'étude de faisabilité d'un projet de développement agro-pastoral dans le département de Diffa, il est donc impératif de poser un diagnostic de la situation actuelle du volet foret / environnement. Le diagnostic environnemental a été réalisé sur la base de la documentation existante et complété à l'aide de visites sur le terrain et d'entretiens avec les intervenants. -
Rapport d'établissement de la situation de référence des indicateurs du PISA au 31/12/2016
L'étude s'inscrit dans le cadre du << Programme Petite Irrigation et Sécurité Alimentaire (PISA) financé par le Gouvernement du Niger et KFW. -
État de mise en œuvre du PAC3 dans la région de Dosso (2014-2015-2016) note d'information à l'intention de la 4èm mission de supervision du PAC III (étape de Dosso)
Le Programme d'Actions Communautaires (PAC) est dans sa troisième phase d'exécution après une première phase de quatre ans conduite de 2003 à 2007 et une deuxième également de quatre ans de 2009 à 2012.