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Légumineuses
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Manuel de culture légumes feuilles
Au Cameroun, plusieurs plantes sont cultivées pour leurs feuilles. Quatre espèces sont particulièrement consommées. Il s’agit de : - L’amarante blanche, à feuilles vertes (Amaranthus blitum), localement appelée fonlon, - La corète potagère (Corchorus olitorius), localement appelée keleng-keleng ; - La morelle noire (Solanum scabrum), localement appelée zom, ou djama-djama. Ces légumes-feuilles, riches en vitamines et en sels minéraux, constituent un apport nutritionnel important. Certains apportent des nutriments particuliers. La corète potagère est riche en acide folique, l’amarante en acides aminés soufrés et la morelle noire en protéine -
Manuel de culture du gombo
Le gombo est une plante qui résiste à la chaleur. Il aime la pleine lumière et le soleil. Il se développe bien dans les sols profonds, bien drainés et riches en matières organiques. Le gombo a un système racinaire pivotant. Un bon arrosage permet d’avoir de bons rendements. La production du gombo ne nécessite pas la mise en place d’une pépinière. Le gombo est adapté aux conditions tropicales. Il peut pousser partout au Cameroun. -
Manuel de culture de choux
Les sols favorables à la culture du chou doivent être bien drainés et de préférence limoneux avec une profondeur allant de 20 à 60 cm. Un pH voisin de 6 est bénéfique à la culture. Le chou s’épanoui bien à une température optimale de 15 à 20°C, lorsque les pluies sont bien réparties à raison de 250 à 300 mm durant la période de croissance. Le chou requiert une humidité relative minimale de 60 % ; -
MANUEL CULTURE LEGUMES FEUILLES
Au Cameroun, plusieurs plantes sont cultivées pour leurs feuilles. Quatre espèces sont particulièrement consommées. Il s’agit de : - L’amarante blanche, à feuilles vertes (Amaranthus blitum), localement appelée fonlon, - La corète potagère (Corchorus olitorius), localement appelée keleng-keleng ; - La morelle noire (Solanum scabrum), localement appelée zom, ou djama-djama. Ces légumes-feuilles, riches en vitamines et en sels minéraux, constituent un apport nutritionnel important. Certains apportent des nutriments particuliers. La corète potagère est riche en acide folique, l’amarante en acides aminés soufrés et la morelle noire en protéines -
Trésor des fèves et fleurs des Pois : le génie des légumineuses
Arborées Tropicales (LAT) sont souvent mises en avant par la littérature scientifique. Pour les chercheurs biologistes, les légumineuses en général, et plus particulièrement les arbres et arbustes de ce groupe, présentent de nombreuses qualités pour l'agronomie, au sens large du terme. De nombreuses références peuvent être trouvées dans la littérature scientifique et dans les ouvrages scolaires, de vulgarisation, la presse, etc. -
Variabilité morphologique et agronomique des morphotypes de Voandzou (Vigna Subterranea (L.) cultivés dans la zone Sahélienne du Niger
Au Niger, le voandzou est principalement cultivé par les femmes, en culture pure sur des petites surfaces et sans techniques améliorées, alors que l’amélioration de la production de cette culture peut contribuer à assurer la sécurité alimentaire. En effet, la maitrise de la diversité du voandzou permettra sans doute sa prise en compte dans les programmes de sélection variétale. Cette étude aborde la caractérisation agro-morphologique dans la zone agro-climatique sahélienne de quatorze (14) morphotypes de voandzou identifiés dans la collection des accessions du Niger. -
Le potentiel de développement du niébé, au-delà de ses grains, dans les marchés locaux du Mali
En plus d’être bien adapté aux conditions climatiques du Mali, le niébé a le potentiel de répondre aux besoins des consommateurs qui sont à la recherche de produits alimentaires qui sont nutritifs, diversifiés et faciles à préparer. Malgré son potentiel, peu de recherche ou de politiques ont porté sur le niébé et en particulier, sur ses volets de transformation et de commercialisation. Cette étude vise à évaluer le potentiel de développement du niébé, au-delà de ses grains, dans les marchés locaux du Mali, notamment en : (1) identifiant les différents types de vendeurs et les différents types de produits de niébé vendus ; (2) en examinant les rôles des différents types de vendeurs de niébé et leurs relations ; (3) en quantifiant les marges bénéficiaires des différents vendeurs ; et (4) discutant des contraintes et des opportunités existantes pour développer la chaine de valeur du niébé au Mali. -
CATALOGUE NIGERIEN DES VARIETES DE CEREALES ET LEGUMINEUSES
L'Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a le plaisir de vous présenter le Catalogue des Variétés proposées aux agriculteurs nigériens. C'est le premier d'une série de documents que l'Institut se propose d'éditer tout au long de l'année 1995pour ses 20 ans (1975-1995). Cette année anniversaire a été volontairement placée sous le signe de la communication et de l'ouverture vers les principaux utilisateurs des produits clé la recherche : les paysans, les services de vulgarisation, les projets de Développement et les Organisations Non Gouvernementales (ONG) intervenant dans le monde rural. C'est-à-dire sous le signe d'une solide liaison entre la recherche et la vulgarisation. Contrairement aux éditions précédentes de 1984 et 1987, le présent catalogue des variétés est illustré par des photos en couleur et comprend deux volumes: -Vol I - Céréales et Légumineuses; -Vol II - Plantes Horticoles. Les variétés qui y sont décrites sont le fruit des efforts intenses et soutenus de l'ensemble du personnel de l 'INRAN, et de leurs collègues d'autres Institutions Nationales et Internationales de Recherche Agronomique. Ces variétés sont soit directement issues du patrimoine génétique national, soit des introductions faites à partir de pays voisins ou même lointains, soit des créations nouvelles des sélectionneurs de l'INRAN. Dans tous les cas, il a fallu les choisir selon des critères spécifiques, les étudier dans des conditions différentes pendant plusieurs années sur nos stations de recherche et en milieu paysan. La sélection d'une variété, quel que soit l'espèce végétale considérée, est un travail d'équipe de chercheurs et de techniciens de disciplines différentes qui nécessite patience, persévérance et parfois intuition. -
L'amélioration des plantes tropicales : le niébé
En Afrique, on cultive le niébé avant tout pour ses graines sèches, cuisinées sous les formes les plus diverses. Mais, dans de nombreuses régions, on consomme aussi ses jeunes feuilles, fraîches ou séchées, et ses gousses immatures. Dans les régions sahéliennes de l'ouest et dans la région des Grands Lacs, on le cultive comme fourrage. Pour un usage textile, on utilisait dans le passé des niébés à longs pédoncules floraux - cultigroupe Textilis-, dont les graines n'étaient en général pas consommées. Ce cultigroupe, présent au début du siècle du delta intérieur du Niger au bassin du lac Tchad (CHEVALIER, 1944), est aujourd'hui en voie de disparition. -
Le Souchet
Le souchet est un petit tubercule connu depuis très longtemps. Les Égyptiens en consommaient déjà. Source de bien-être, il possède de nombreuses vertus pour tout l'organisme. À consommer sans modération ! Le souchet est un tubercule pluri-millénaire dont les bienfaits sur la santé méritent d'être redécouverts.En effet, le souchet ne contient pas de gluten, ce qui permet à ceux qui y sont allergiques ou qui ne le tolèrent pas, de pouvoir en consommer sans inquiétude. Ce tubercule issu de la plante Chufa, est originaire du bassin méditerranéen et d'Afrique. On le reconnaît à sa couleur ambrée, légèrement tigrée.En plus d'être source d'oméga 9 et une aide contre le mauvais cholestérol, le souchet est un tubercule qui contient de nombreuses fibres. Il aide ainsi à la bonne digestion, réduit les ballonnements, coliques et flatulences. On peut l'utiliser en cas de diarrhées (grâce à sa haute teneur en amidon) et pour soulager les irritations du côlon. -
Analyse prospective de la chaine de valeur niébé au Niger
Le niébé est une denrée importante de base dans toute l’Afrique subsaharienne, particulièrement dans les savanes arides de l’Afrique de l’Ouest. Ses graines représentent une précieuse source de protéines végétales, de vitamines et de revenus pour l’homme, et ses fanes et cosses un excellent fourrage pour les animaux. Les feuilles juvéniles et les gousses immatures sont consommées sous forme de légume. Par ailleurs le niébé est très résistant à la sècheresse (plus que le mil et le sorgho) et un bon fixateur d’azote aérien, ce qui en fait un bon partenaire pour la culture en association avec le mil ou le sorgho telle qu’elle est pratiquée majoritairement au Niger. -
Fixation de l'azote chez l'arachide et le niébé en condition de sécheresse pour l'amélioration de la productivité au Sahel
L'identification des variétés d'arachide et niébé tolérantes à la sécheresse et bonne fixatrices d'azote augmenterait leurs productions et celles des céréales associées ou en rotation. Des variétés d'arachide et de niébé ont été évaluées, au champ et en pots, en condition de sècheresse ont réduit la plupart des paramètres étudiés , dont notamment le nombre nodules (40%) et le poids des gousses (30%). -
A bulletin of the tropical legumes II project
Groundnut is a major source of income and protein for rural households in West and Central Africa (WCA). It is a women’s crop and as such, women farmers play a major role in groundnut value chains. They are the major producers, processors and marketers. However, they have been constrained by inadequate institutional, policy and market support to improve seed and groundnut oil and paste value chain efficiencies. -
Bulletin of tropical legumes
Cowpea is one of the most important grain legumes of Niger, which is the second largest producer of the crop in Africa. About 764,000 MT of cowpea are produced annually on about 4,132,000 ha (Figure 1). Local consumption has grown significantly in recent years. This is bound to have a positive impact on people’s nutrition and health. Cowpea haulms are used as animal feed, helping to increase livestock productivity. Farmers often grow long-duration spreading varieties for fodder (Singh et al., 2003). -
Légumineuses des graines nutritives pour un avenir durable
Les légumineuses appartiennent à la famille des Fabaccés, le troisième plus grand groupe de plantes au monde. On considère qu'elles sont nées il y a quelque 90 millions d'années et que leurs processus de diversification a vu le jour à partir du début du Tertiaire. La familles des fabacées comporte plus de 20 000 espèces et 700 genres, dont seuls certains sont classés comme plantes légumineuses. -
Légumes secs et exploitations durables en Afrique Subsaharienne
En Afrique subsaharienne, l'insécurité alimentaire touche 153 millions de personnes (soit 25 pour cent environ de la population). Le problèmes encore s'aggraver du fait de la dégradation constante des sols entrainée par la diminution de taux de matière organique et les apports insuffisants en éléments nutritifs. Plus de 75 pour cent des terres agricoles africaines pourraient être classées comme "dégradées " d'ici à 2020. -
Itinéraires techniques de production de niébé de qualité
Le raccourcissement de la saison pluvieuse et la mauvaise répartition des pluies au Niger dû aux manifestations des changements climatiques, exigent que les pratiques agricoles soient revues et adaptées à ces nouvelles conditions afin d’assurer une résilience des agriculteurs. Ces pratiques d’adaptation peuvent se faire à travers une bonne maîtrise des itinéraires techniques des principales cultures (mil, sorgho, niébé, etc…). C’est dans ce cadre que cette fiche a été élaborée pour décrire ainsi les itinéraires techniques à suivre par les producteurs pour une production de niébé de qualité au Niger. -
La culture du Guar se développe au Niger
Une plante tolérante à la sécheresse et même qui ne bien pousse que dans les zones arides et semi-arides. Une plante qui aime les sols sableux -
Étude diagnostique des principales contraintes de la culture du niébé (Vigna unguiculata L. Walp) dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
Le niébé (Vigna unguiculata L. Walp) est une culture alimentaire importante au Sahel. Son rendement est bas par rapport au potentiel de la plante. Pour identifier les principaux facteurs responsables de la baisse de rendement, une enquête a été conduite au niveau de 22 villages des régions de Maradi et Zinder. La pression parasitaire a été évoquée par 31,6 % des répondants, la sécheresse de fin de cycle par 31,6 %, la pauvreté des sols par 30,2 %, l’utilisation des matériels agricoles rudimentaires par 1,8 %, le conflit foncier par 1,6 % et le manque de variétés améliorées par 3,5 %. -
Connaissance locale de la variabilité de surface du sol et des contraintes associées pour la production du niébé en zone sahélienne du Niger
Le présent guide porte sur la connaissance locale de la variabilité de surface du sol et des contraintes associées pour la production du niébé en zone sahélienne du Niger -
Guide pratique sur la culture du niébé pour le Burkina Faso
L’Institut international d'agriculture tropicale (IITA) est le principal acteur de la recherche en Afrique pour la résolution de la faim et de la pauvreté. Notre recherche pour le développement (R4D) s’intéresse aux besoins de développement des pays tropicaux. Nous travaillons avec nos partenaires pour améliorer la qualité, la productivité des cultures et réduire les risques afin de générer des richesses venant de l’agriculture à la fois pour les consommateurs et les producteurs. L’IITA est une organisation à but non lucratif fondée en 1967, dirigée par un conseil d’administration et financée par plusieurs pays. L'IITA est membre du consortium CGIAR. -
Fiche technico-économique pour la culture pure de l’arachide
En quelques mots : L’arachide appelée en haoussa Guiada ou Gougia est l’une des principales cultures de rente de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Kantché et Magaria. Elle est cultivée sur des sols sableux pauvres en matière organique, le plus souvent en association avec plusieurs autres cultures (mil, sorgho, sésame, niébé) dans la logique de garantir des récoltes minimums pour les producteurs. La présente fiche technico-économique porte sur la culture de l’arachide en culture pure. En quelques chiffres : Selon les résultats de la campagne agricole 2015 du MAG/EL, la production d’arachide de la région de Zinder est estimée à plus de 120.000 tonnes avec un rendement de l’ordre de 670 kg à l’hectare. L’arachide produite est commercialisée vers le Nigeria mais aussi, transformée par les groupements de femmes en huile, tourteaux et pâte. Une femme transformatrice peut transformer jusqu’à 300 kg d’arachide par mois (données du conseil de gestion aux transformatrices d’arachide 2016 - 2017 de la CRA de Zinder).