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Recherche agricole
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Systèmes d’innovation agricole
La production et l’utilisation de nouvelles connaissances sont importantes pour toutes les entreprises, y compris dans l’agriculture. Mais, bien souvent, le nouveau savoir susceptible d’accroître la productivité, la compétitivité et la viabilité d’une exploitation agricole n’est pas adopté à grande échelle. Ce manque d’innovation dans l’agriculture a conduit à une quête de nouveaux plans cadres tels que des « systèmes d’innovation » qui aident à comprendre comment se déroule le processus d’innovation agricole et comment augmenter sa pertinence et sa qualité. -
Stratégie de recherche - formation - innovation pour l'agriculture sur le moyen et long terme au Niger
La production végétale au Niger est une la plus grande source de revenus et d’aliments pour les populations rurales et apporte une contribution significative à l’économie nationale. Dans ce pays où la croissance démographique continue à un rythme supérieur à 3% par an, l’augmentation de la production agricole est un facteur déterminant du maintien, si ce n’est de la progression de l’approvisionnement alimentaire des populations. -
Rapport annuel des activités du Conseil National de la Recherche Agronomique
Le Conseil National de la Recherche Agronomique se réunit deux fois par an en session ordinaire. Il peut se réunir en session extraordinaire sur convocation de son Président. Ses délibérations sont soumises au Gouvernement pour approbation. Le CNRA est assisté dans son fonctionnement par un Secrétariat Permanent qui est chargé d’exécuter ses décisions, de veiller au bon fonctionnement de l’ensemble du système de recherche Agronomique, d’assurer la coordination des actions, le suivi et la mise en œuvre du plan stratégique des projets et programme de la recherche. -
Limiter les contraintes des productions agro-sylvo-pastorales et assurer un développement socio-économique durable avec la contribution de la recherche agricole
Le présent rapport scientifique est l’amorce de cette nouvelle dynamique que nous voulons impulser à la recherche à l’INRAN : faire toucher du doigt les résultats de la recherche afin qu’ils puissent être facilement utilisables par les producteurs et productrices du Niger et des autres pays du monde. -
Première assemblée générale des entreprises publique et parapubliques (20 au 25 mars 1996)
L'Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (LN.R.A.N.) est un Établissement Public à caractère Administratif (E.P.A.), créé par l'ordonnance n075-01 du 7 janvier 1975 et régi par l'ordonnance n086-001 du 10 janvier 1986 portant régime général de Établissements Publics, Sociétés d’État et Sociétés d’Économie Mixte et par les dispositions des statuts. Il est placé sous le tutelle du Ministère de l'Agriculture et de l'Elevage et est administré par un Conseil d'Administration. Son siège est fixé à Niamey. -
Rapport scientifique 2020
L’Unité Semencière de l’INRAN a commencé ses activités formellement au cours des années 2001 dans l’optique principale de contribuer à la sécurité alimentaire par la promotion de l’utilisation des semences de variétés améliorées pour accroître les rendements et les productions agricoles. -
Rapport d'achèvement du Projet National de Recherche Agricole (PNRA)
Ce document représente le rapport final d'exécution du projet national de recherche agricole (PNRA). Le rapport d'évaluation initiale ou d'identification du PNRA a été élaboré suite à une mission de la Banque Mondiale effectuée en juin 1989. Le financement du projet a été essentiellement assuré par le crédit IDA 2122 NIR dont l'approbation et l'entrée en vigueur sont intervenues le 30 mars 1990 et 18 juillet 1991, respectivement. -
Programme National Intégré de Recherche Appliquée et de Vulgarisation Agricole (PNRAVA)
Le Niger, pays enclavé est situé en plein cœur du Sahel, couvre une superficie de 1.267.000 km² dont seulement 12% sont consacrées aux activités agricoles. Sa population est estimée à environ 17.129.078 habitants (4em RGPH 2012). C'est un pays aride dont plus de 75% du territoire reçoit moins de 300 mm et 1% enregistre plus de 600 mm de pluie par an. -
Étude de faisabilité d'un projet de la recherche agricole
La présente étude a pour but une préparation d'un projet de la sécurité alimentaire dans les zones en marge du désert qui contribuer à la sécurité alimentaire, la réduction de la pauvreté, et une meilleure gestion des ressources naturelles au Niger en mettant à la disposition des paysans et des autres parties prenantes des technologies et pratiques améliorées de gestion des ressources, un système durable d’approvisionnement de semences, et des informations et/ou des analyses multidisciplinaires nécessaires. -
Plan à moyen terme 1994-1998
Le Plan à Moyen Terme a été élaboré en une période où les ressources mondiales pour la recherche agronomique s'amenuisent et où des questions de base sont soulevées concernant la structure et la direction du système du GCRAI à l'avenir. Dans cette optique, les partenaires du GCRAI demandent, à juste titre, que les activités de recherche mettent l'accent sur une plus grande efficacité et que les résultats obtenus puissent avoir un impact à cours terme sur les populations. -
Projet de lutte biologique contre la mineuse de l’épi (heliocheilus albipunctella de joannis), important ravageur du mil au Niger
La mineuse de l’épi du mil (MEM), heliocheilus albipunctella de joannis (Lepidoptera, Noctuidae) et un ravageur sérieux du mil en zone sahélienne. les attaques sont fréquentes sur le mil semé précocement. -
Rapport de mission : la recherche de l'agronomie au Niger
L'INRAN a institué comme une tradition depuis quelques temps la réunion annuelle de tous les cadres et services du développement rural dont le but est de procéder a l'examen et à l'évaluation des programmes de pluridisciplinaire conduits par l'INRAN au cours de la saison d'hivernage écoulé -
Rapport final de l'atelier de programmation des activités INRAN/PADER
Le programme INRAN/PADER prévoit chaque année un atelier au cours du quel des contraintes et potentialités de production des producteurs sont examinées par la recherche en présence des bénéficiaire et services de vulgarisation -
Évaluation du risque multi-aléa dans les communes de la Région de Dosso au Niger
Entre 2010 et 2016, en Afrique de l’Ouest, 715 projets de réduction du risque hydro-climatique, d’adaptation et de résilience au changement climatique (CC) ont été lancés pour un montant de 7,3 milliards de dollars américains (OECD). Avec le terme « risque » nous nous référons à la « probabilité d’occurrence de tendances ou d’événements dangereux que viennent amplifier les conséquences de tels phénomènes lorsqu’ils se produisent » (GIEC 2013). -
Amélioration de la production de niébé au Niger
L’objectif de développement du programme est de générer et d’accélérer l’adoption de technologies améliorées dans les domaines des filières agricoles prioritaires retenus par le Niger, conformément aux priorités dégagées par le Conseil Ouest et Centre africain pour la recherche et le développement agricoles (CORAF). Ces domaines portent sur les filières agro sylvo-pastorales -
Essai de germination et de croissance de Artemisia annua L. au Niger
L’essai a été conduit à la pépinière de l’INRAN de Niamey et à la cuvette de l’INRAN de Kollo, et a porté sur la germination, croissance, développement de Artemisia annua (l’hybride F2 et M), plante qui a des vertus anti-paludique. Cette étude a pour objectif d’évaluer les meilleures conditions de culture de artemisia annua et le meilleur substrat pour son adaptation. Le Niger, pays d’endémie du paludisme, maladie qui constitue la première cause de morbidité et de mortalité. Face à cette menace, les autorités ont opté pour l’utilisation des dérivés d’artémisinine comme molécule de choix dans la prise en charge du paludisme comme l’a recommandé l’OMS. Les tests de la levée en pépinière ont été effectués dans un bac à semis et un germoir en planche. Les plants ont été repiqués après levée dans des pots avec trois types de substrats (substrat dunaire, substrat de bas fond et substrat de sable du fleuve) afin de déterminer le meilleur substrat pour la culture de la plante en pépinière. Il ressort des résultats obtenus que le substrat de bas fond offre les meilleures valeurs pour la hauteur, le diamètre au collet et le nombre de feuilles que les substrats dunaires et du fleuve. Les plants ont été transférés sur le site de Kollo et transplantés sur terre ferme. Pour la biomasse c’est la variété F2 qui a enregistrée les meilleurs rendements même si au niveau de la hauteur, elle enregistre les valeurs les plus basses comparativement à la variété M. Cette étude a montré que Artemisia annua peut s’adapter au Niger et son introduction offre à la population un moyen supplémentaire de lutte contre le paludisme.