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Bibliothèque numérique DUDDAL
Sujet est exactement
Production agricole
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Impact of Irrigation Water on the Bacteriological Quality of Lettuce (Lactuca sativa) in the Market Garden Zone of Niamey, Identification of Enterobacteria
The urban community of Niamey is characterized by a prodigious development of urban and periurban agriculture. Lettuce (Lactuca sativa) is one of the main crops grown in these urban and periurban areas. The aim of this study is to assess the impact of irrigation water on the bacteriological quality of lettuce produced in the market gardening zone of the Niamey city. Three (3) market garden sites were studied (Harobanda (site 1), Gamkallé (site 2) and Gounti yéna (site 3). Eighteen (18) lettuce samples and twenty-nine (29) irrigation water samples were taken from the market garden sites and subjected to microbiological analysis using conventional methods appropriate to each indicator. Thus, five (5) indicators of contamiantion were searched, Total Mesophilic Aerobic Flora (TMAF), total coliforms (TC), faecal coliforms (FC), enterobacteria (Ent), Faecal streptococci (FS), Escherichia coli (E. coli) and Clostridium perfringens (CP). -
Produire des plants
Guide technique sur les étapes de production de plants : terreau, semis et soins pour les jeunes plants, durcissement et repiquage. -
Augmenter la production agricole des petits producteurs Tester l’Assainissement Productif (AP) à Aguié au Niger
Une “révolution jaune” est en cours dans le département d’Aguié au Niger! Des tests participatifs dans huit villages montrent l’effet de l’urine hygienisée (Takin Ruwa) comme engrais liquide dans la production agricole. Suite aux résultats de la saison de maraichage, la demande est élevée pour les urinoirs et les latrines qui facilitent la collecte de nouveaux fertilisants. Actuellement des tests sont en cours sur le sorgho et le mil. Les vulgarisateurs agricoles jouent un rôle clé dans le conduit des tests de démonstration et la formation sur l’application des urines dans les villages. -
Productivité agricole : des motifs d’inquiétude ? (I) Les concepts
Pour renforcer la sécurité alimentaire mondiale et augmenter les revenus et l’emploi dans les pays en développement, la plupart des experts et des décideurs politiques appellent à accroître, de manière durable, la production et la productivité de l’agriculture. La nécessité d’augmenter la production fait quasiment consensus. Mais quelles sont exactement les raisons qui incitent à améliorer la productivité agricole? Les inquiétudes exprimées à son égard (ralentissement de la croissance des rendements, impact négatif sur l’environnement ou encore réduction du nombre d’exploitations) sont-elles justifiées ? Compte tenu de l’ampleur du sujet, FARM a décidé d’y consacrer deux numéros de Notes. Le premier (Notes no 7) explore le concept de productivité agricole, ses déterminants et ses limites. Le second (Notes no 8) examinera les principales préoccupations liées à la productivité agricole et mettra en perspective les débats qu’elle suscite. -
Étude du Sahel : rapport étude pilote Niger
L’étude pilote au Niger sert à préparer un étude, menée sous la responsabilité du CILSS, sur les expériences réussies en matière de gestion des ressources naturelles au Sahel et leurs impacts sur l’agriculture, l’environnement et la pauvreté rurale..Cette étude du Sahel part de l’hypothèse de base selon laquelle les succès enregistrés dans les domaines de l’agriculture et de la GRN au Sahel sont sous-estimés. Un eseconde hypothèse est que l’impact des réformes politiques et institutionnelles que les pays ont introduites dans la sous-région n’est pas apprécié à sa juste valeur. Une troisième hypothèse est qu’il y a une sous-estimation des capacités et compétences des communautés de base en matière de coopération et de gestion des questions liées à l’accès et au contrôle des ressources naturelles. -
Dynamique associatives et processus d'affirmation des femmes de Garbey-Kourou (Ouest du Niger) autour d'activités agricoles
Dans la Sirba, les femmes de Garbey-Kourou revendiquent d’être à l’origine d’initiatives collectives ayant conduit aux groupements de projets. Plusieurs facteurs semblent impulser ces initiatives. Il s’agit, d’abord du contexte sociopolitique et économique qui a entraîné en Afrique au cours des décennies 1980 et surtout 1990 un mouvement général de mobilisation des sociétés civiles et qui ont favorisé l’émergence des organisations collectives. Ce nouveau phénomène associatif plus présent en ville s’est répandu en milieu rural notamment à travers l’avènement du multipartisme et de la démocratisation qui a réaffirmé et a réorganisé les échanges et les liens entre les parents de la ville et ceux du village. -
Manuel de formation sur la production et la transformation du niébé et du soja
Le niébé est une culture vivrière de base en Afrique subsaharienne, en particulier dans les régions de savane sèche de l’Afrique de l’Ouest. Les graines sont une source majeure de protéines végétales et de vitamines pour l’homme, des aliments pour les animaux, ainsi qu’une source de revenus en espèces. Les jeunes feuilles et les gousses immatures sont consommées comme légumes. Le niébé joue également un rôle important en fournissant de l’azote du sol aux cultures céréalières (comme le maïs, le millet et le sorgho) lorsqu’elles sont cultivées en rotation, en particulier dans les zones où la mauvaise fertilité du sol est un problème. Il ne nécessite pas un taux élevé de fertilisation azotée ; ses racines ont des nodules dans lesquels les bactéries du sol appelées Rhizobia aident à fixer l’azote de l’air. Il existe un grand marché pour la vente de céréales et de fourrage de niébé en Afrique de l’Ouest. -
Catalogue de Mécanisation Agricoles à Petite Échelle
La mécanisation à petite échelle est la clé pour réduire la pénibilité du travail et augmenter la productivité des agriculteurs africains. Pendant trop longtemps, l'agriculture en Afrique a été considérée comme une voie vers la pauvreté plutôt que comme une activité agroalimentaire rentable. Cela est dû en grande partie à la dépendance à l'égard d'un travail manuel fastidieux, à la faible rentabilité des efforts et au manque d'investissement dans les systèmes agricoles. Une large gamme d'équipements à petite échelle est disponible pour améliorer le rendement du travail et changer cette mauvaise image de l'agriculture. Ces équipements comprennent des motoculteurs, des désherbeurs à moteur, des pulvérisateurs à moteur, des tarières de sol, des systèmes d'irrigation, des batteuses multicultures et une multitude d'autres équipements qui deviennent disponibles dans le commerce pour la première fois. -
Niger et Burkina Faso : quatre années de capitalisation d’expériences
Les méthodologies de capitalisation reposent sur un processus d’apprentissage participatif qui s’est déroulé avec la collaboration de nombreux partenaires. La thématique de la gestion des intrants a été revisitée sous toutes ses coutures, tout d’abord pour les aspects genre, et ensuite pour la capitalisation d’expériences. Le projet a ainsi abouti à des produits thématiques sur la gestion des intrants et des méthodologies participatives qui peuvent être utilisés dans les organisations et projets pour capitaliser leurs expériences. -
Guide méthodologique pour la production d’émissions de radio tenant compte du genre
Le guide vise à renforcer les capacités des producteurs et productrices des radios communautaires et rurales à réaliser des émissions de qualité qui prennent en compte le genre de façon systématique. -
Gestion des intrants et genre au Niger
Ce document est une étude de cas sur le genre et le warrantage au Niger. Se basant sur les recherches approfondies des équipes des projets Capitalisation et IARBIC, la présente étude donne en détail les informations sur le warrantage et le genre appliqués par l’union Cigaba de Konkorindo, à Dosso au Niger. -
Guide pour la production de semences d’aubergines africaines
Ce guide présente brièvement les itinéraires de production de semences d’aubergines africaines pour une disponibilité des semences en quantité et en qualité. -
Étude d'identification des filières porteuses
L'étude d'identification des filières porteuses a pour objectif de faire une analyse détaillée relative aux principales étapes de la vie des différents produits agricoles irrigués (production, transformation, commercialisation, consommation/demande), tout en mettant l’accent sur les potentialités et contraintes des principales filières, ainsi que celles de nouvelles filières susceptibles d’être introduites au Niger. -
Transformation de l’unité de production agricole : d’une exploitation sectorielle à une exploitation agricole territoriale
Dans un contexte politique et socio-économique de remise en cause de l’exploitation sectorielle des années 1960, et alors que les relations entre agriculteurs et autres acteurs locaux s’intensifient autour du partage de l’espace, de l’environnement, de la qualité et de l’alimentation ; cette thèse s’organise autour de l’hypothèse centrale d’une territorialisation de l’exploitation agricole. Cela suppose que l’avenir des exploitations agricoles se joue de plus en plus dans les interactions entre agriculteurs et acteurs locaux, ce qui conduit à des mutations quant aux instances où se négocient l’accès aux facteurs de production, la définition des pratiques, et l’insertion marchande. La démonstration mobilise les apports croisés de la géographie rurale, de la sociologie et l’économie institutionnelle dans l’analyse des arrangements émergeants entre exploitations agricoles et territoires dans les situations de conflits, d’action collective et d’action publique. La thèse consiste en une étude diachronique des rapports exploitations agricoles – agriculteurs – territoires sur la période 1970-2010 à l’échelle de deux petites régions : les Monts du Lyonnais et la Flandre intérieure. Les différences observées entre une région laitière de moyenne montagne et une région périurbaine dont l’agriculture est insérée dans un complexe agro-industriel régional et européen révèlent les formes contrastées de ce mouvement de territorialisation selon les histoires agraires et les contextes sociopolitiques locaux. Il se dégage de cette analyse que la territorialisation met en jeu, à l’échelle individuelle et collective, les identités d’action et les compétences politiques des agriculteurs. Trois idéaux-types d’exploitations agricoles, distincts dans leurs formes d’insertion marchande et leurs réseaux sociotechniques, permettent d’organiser la réflexion sur les enjeux de leur territorialisation en matière de politiques publiques. -
Une alimentation stable pour les hommes et les animaux à Maradi
Le projet vise principalement à améliorer les rendements sur les denrées de base (millet et haricots) grâce à des semences adaptées aux conditions climatiques, en vue de stabiliser la situation alimentaire des familles de producteurs de dix villages. Des parcelles de démonstration sont mises en place pour faire connaître les semences à la population des autres villages. Le projet entend également compléter les connaissances des producteurs en agriculture et les aider à améliorer leurs techniques. Les agriculteurs apprennent par ailleurs à transformer les restes de récoltes en fourrage pour le bétail. -
Programme régional de gestion durable des terres et d’adaptation aux changements climatiques au Sahel et en Afrique de l’Ouest (PRGDT)
Créer les conditions techniques, politiques et stratégiques de gestion durable des terres et d’adaptation pour la réduction de la vulnérabilité des populations de l’Afrique de l’Ouest aux changements climatiques. -
Profil des moyens d’existence région de Zinder Magaria et Dungass – Zone agricole centrale de culture de céréales et des légumineuses Niger
L’agriculture se pratique sur le sol sablonneux, bien qu’on y trouve de l’argile dans certaines parties de la zone. Malgré que cette zone présente certaines potentialités agricoles modérées, elle n’est pas autosuffisante en matière de sécurité alimentaire, même au courant d’une année des bonnes récoltes. Les principales cultures vivrières sont le mil, le sorgho. Il faut noter que la production du sorgho a diminué ces dernières années en raison de la dégradation progressive des sols et des déficits pluviométriques ne permettant aux cultures de boucler leur cycle normal de culture. Cependant, le niébé, l’arachide et le sésame sont les principales cultures de rente dans cette zone. En effet, le sésame est en train de prendre la place de l’arachide suite à la forte demande de ce produit sur les marchés surtout du Nigeria. Pourtant cette zone était autrefois la première zone de production d’arachide au Niger qui a conduit à la création d’une usine de transformation de l’arachide. -
Évaluation de l'effet de l'approche champ école paysan sur l'adoption des technologies améliorées de production du mil et du niébé au centre sud du Niger
La diffusion des technologies améliorées par l’approche champ école paysan (CEP) interroge sur le taux d’adoption par les producteurs. L’objectif de cette étude et de connaître les déterminants de l’adoption des technologies et son impact sur le rendement et le revenu agricole. Il a été interviewé 380 producteurs dont 150 apprenants de CEP, 150 producteurs n’ayant pas participé au processus mais résidants des villages CEP et 80 producteurs des villages témoins. Le modèle de régression Logit a été utilisé pour l’analyse des données. Il ressort de cette étude que l’approche CEP influence l’adoption des technologies. Cette adoption a permis une augmentation de rendement du mil de 99 % et de celui du niébé de 136 % ainsi qu’une hausse de revenu de 97 % pour le mil et 120 % pour le niébé. Les facteurs déterminants les résultats de ce travail pourront être mis à profit pour renforcer les programmes de vulgarisation de technologies agricoles de production. -
Agro-alimentaire et qualité : questions aux sciences sociales
Qu'il s'agisse de la conception et de la spécification des produits, de leur production et de leur contrôle, ou encore de l'identification et de la garantie des marchandises, les critères d'évaluation, les méthodes de mesure et d'analyse, les principes et les instruments de gestion de la qualité sont en pleine mutation. La réactivation des débats et des réflexions autour de ces questions depuis quelques années dans les milieux économiques, politiques et sociaux, indique un profond renouvellement de la problématique de la qualité. L'article vise à engager les sciences sociales dans une réflexion interdisciplinaire sur ce renouvellement dans le secteur agro-alimentaire. Il indique les grands enjeux économiques de la qualité et propose d'aborder l'analyse de cet objet aux multiples facettes à travers cinq thèmes. -
Les déterminants socioéconomiques de l’adoption des technologies améliorées de production du niébé diffusées par les champs écoles paysans dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
Le niébé est une denrée de base en Afrique subsaharienne. Le projet champ école paysan en a introduit des nouvelles technologies améliorées afin d’accroître son rendement dans les régions de Maradi et Zinder. Cette étude qui a concerné un échantillon de 300 producteurs a pour dessein d’identifier les contraintes entomologiques de la culture du niébé et de déterminer les facteurs affectant l’adoption des technologies agricoles. Le modèle de régression LOGIT a été utilisé comme outils d’analyse et les principaux résultats suivants ont été obtenus : 1) la punaise brune (Clavigralla tomensicollis Stall) et le puceron (Aphis craccivora Koch) sont les principaux insectes ravageurs de la culture pour 53 à 61% des répondants ; 2) les taux moyens d’adoption par technologie sont de 74,9% pour les variétés améliorées, 57,2% pour les pesticides chimiques, 20% pour la combinaison fumure organique/NPK ; 21.7% pour l’engrais NPK seul, 7,4% pour les biopesticides à base de graines de Neem et 5,7% pour le respect de la densité de semis. Ces ratios sont 2 à 16 fois plus élevés chez les producteurs formés par rapport aux non formés ; 3) les variables « formations par les champs écoles paysans » et « l’accès au crédit » ont influencé positivement l’adoption des variétés améliorées, des biopesticides et des fertilisants ; 4) le genre a été positivement déterminant dans le respect de la densité de semis et l’utilisation des fertilisants ; 5) l’âge des répondants a eu une influence significative dans le respect des écartements entre les poquets. -
Note de conjoncture sur les politiques de production et d'échanges dans les pays du CILSS
La suite du présent rapport comprend trois chapitres et une conclusion. Les trois chapitres traitent respectivement de l'évolution des politiques et des échanges dans chaque sous espace (Centre, Est et Ouest). Ils font l'analyse des politiques et des échanges pour les filières retenues dans chaque pays, ainsi que la synthèse de la situation du sous-espace considéré. -
La production de céréales et de niébé en Afrique de l’Ouest, et la place du Niger
Le volume des céréales a été multiplié par 2,9, passant de 16 millions de tonnes en 1980, à 49 millions de tonnes en 2006, pour atteindre la barre des 52 millions de tonnes en 2009 (CILSS, 2009). En général, le rythme d’accroissement des productions agricoles estimé à environ 4% est supérieur à celui de la population, estimé à 2,6%. Dans le cas des céréales, l’augmentation des productions s’explique par le doublement des surfaces cultivées, alors que les rendements ne progressent que de 14%. -
Fruitiers : Vente, échange, dons de plants (et autres matériels de reproduction) Où est-on ?
Le secteur de la commercialisation des matériels de reproduction et des plants fruitiers est aujourd’hui réglementé au niveau européen par quatre directives : la directive 2008-90 et ses trois directives d'application datant de 2014. Elles édictent les conditions de production, de qualification et/ou certification, d'étiquetage, d'enregistrement des fournisseurs pour les matériels de reproduction et les plants fruitiers. -
Rapport de mission de la délégation nigérienne à la 25ème session de la Conférence de la FAO
La production agricole et alimentaire se caractérise par une relative stagnation dans la moitié des pays en développement, une forte augmentation dans les pays peuplés d'Asie et une diminution dans les pays développés à économie de marché. Il est à noter que la sécurité alimentaire se détériorera probablement en 1989 à cause de la baisse de production en 1988 dans les principaux pays producteurs. Les stocks céréaliers mondiaux devraient chuter en 1989, tombant à 288 millions de tonnes, représentant seulement 16 % de la consommation mondiale prévue pour 1989/90,ce qui correspond à la plus grosse baisse jamais enregistrée ces dernières années. -
Rapport de mission conjointe de supervision des activités du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l'Ouest (PPAAO) dans les domaines de l'Agriculture et de l'Elevage au niveau des régions de Tillabéry, Dosso, Tahoua, Maradi et Zinder.
Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l'Ouest (PPAAO), financé par la Banque Mondiale, Le Ministère de l'Agriculture a introduit des Termes de Références pour superviser les activités conduites par les agences d'exécutions de l'agriculture et de l'élevage dans le cadre de la composante 3: Financement à la demande de génération, la diffusion et l'adoption des technologies. -
Rapport d'enquete administrative au Ministère de l'Agriculture : Projet KR II 97
Conformément à l'ordre de Mission n° 799/MF/RE/CAB du 7/05/99 (annexe n°1) une enquête administrative a été menée par Mr Hamissou Moussa, Inspecteur des Finances, au Ministère de l'agriculture sur le projet R R II 97. La mission a débuté le 10 mai 1999 pour s’achever le 10 juin 1999. -
Projet d'Intensification des Produits Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPAS/SA) 2012 dans les régions de Tahoua et Tillabéri : Diagnostique participatif des exploitations agricoles dans la zone du projet (PIPA/SA) 2012
Le projet d'intensification des produits agricoles pour la sécurité alimentaire (PIPAS/SA) dans les régions de Tahoua et Tillabéri intervient plus spécifiquement dans les villages situés dans : Les cuvettes de Hondey à Balati (commune de Namaro ) département de Kollo, le Bassin versant du barrage de Téguéléguél (commune d'Ibohamane) département de Keita, le bassin versant du barrage de Guidan Magagi (commune de Doguérawa) département de Malbaza. -
Les femmes dans la formation professionnelle des jeunes agriculteurs/trices dans la région de Diffa
A travers cette note, nous allons vous présenter 6 jeunes femmes engagées dans le maraichage. Ces femmes font partie des 332 jeunes formés et appuyés par la Chambre Régionales d’Agriculture (CRA) de Diffa entre 2019 et 2020 dans les départements de Maïné Soroa et Goudoumaria dans le cadre du Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique dans l’Agriculture (PECEA), financé par la Coopération danoise et l’Etat du Niger. Pour la première formation, à l’issue de quatre (4) mois de formation et suite à l’évaluation finale conduite par une équipe régionale composée de la CRA, de la Direction Régionale de la Formation Professionnelle, du Conseil Régional et des Services Techniques, 169 jeunes ont été reconnus aptes pour recevoir leurs attestions sur les 198 initialement inscrits. Pour leur installation, chaque jeune a reçu un appui comprenant un forage, une motopompe, une dotation en fonds de roulement intrants (semences, plants fruitiers, carburant, …) d’un montant de 50.000 F.CFA. Cette formule du kit d’installation a été choisie compte tenu de l’impossibilité de mettre en place une subvention adossée au crédit agricole, comme dans les autres régions, car les institutions de financement sont en veille dans la région de Diffa.