Le but de l’assurance est de permettre aux personnes ou aux entreprises qui sont victimes d’un sinistre ou d’un accident de subir le minimum de pertes possible. Pour bien remplir son rôle, l’assurance d’une exploitation agricole doit couvrir différents éléments, par exemple : les bâtiments, les animaux, le matériel agricole.
L’objectif de ce travail est de rendre la culture du mil encore plus résiliente face au changement accentué du climat en liant les connaissances scientifiques aux perceptions communautaires. Pour cela, une enquête sur les risques agroclimatiques a été conduite sur 361 chefs de ménage de l’ouest du Niger et des techniques de transplantation et des coupes des feuilles des jeunes plants ont été testées au Centre Régional AGRHYMET. Les résultats des essais ont été évalués avec le Modèle SARRA_H par rapport au climat futur et auprès des paysans. Les résultats de l’enquête ont montré que les communautés sont conscientes des risques agroclimatiques, dont les plus fréquents et les plus sévères sont la fin précoce des pluies, les vents de sable en début de saison et les séquences sèches.
Inventaire des initiatives existantes en matière de gestion des risques agricoles, avec une étude approfondie dans les domaines suivantes : accès aux services financiers (crédits et épargnes), accès aux marchés et l’accès et utilisation des systèmes d’information par les petits producteurs agricoles.
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population. La performance du secteur agricole est néanmoins très instable du fait de sa forte exposition aux risques.
Conscientes de la nécessité de s’attaquer spécifiquement aux risques agricoles dans tous leurs aspects, les autorités nigériennes, par le biais du haut-commissaire à l’Initiative « 3 N », ont invité la Banque mondiale à réaliser une évaluation des risques dans le secteur agricole du Niger. Cette évaluation enrichit la somme de connaissances existantes sur le secteur agricole nigérien.
Cette étude fait l’analyse au laboratoire des risques liés à l’utilisation du Gaz Pétrolier Liquéfié (GPL), comme source d’énergie sur les moteurs thermiques 4 temps à essence, sur l’homme et son environnement en petite irrigation. Cas d'un motopompe à essence au Niger.