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Comptoir de commercialisation
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Mission d'appui technique au comptoir FRUCA d'Agadez pour la mise en œuvre d'un contrat d'exportation d'oignon vers la Cote d’Ivoire
Dans le cadre de son activité de recherche de débouchés, le comptoir de commercialisation d’oignon d’Agadez a conclu un contrat commercial avec une société de négoce dénommée Ivoire Top Services basée à Abidjan, République de Côte d’Ivoire ; le volume d’oignon d’Agadez à livrer dans le cadre de ce contrat avoisine les 600 tonnes/mois. -
Étude technique pour la construction du comptoir de commercialisation du niébé de Magaria
Cette étude rentre dans le cadre de la construction d'un comptoir de commercialisation du niébé dans le département de Magaria. -
Mallanville-Gaya : comptoir commercial et couloir de spéculations (Pays-Frontière de l'informel)
La situation de pays enclavé constitue un handicap majeur au développement des échanges. Elle réduit les avantages qu’offrent les marchés internationaux en rendant moins compétitifs les produits du pays à l’exportation tandis qu’à l’opposé elle augmente le coût de ses importations. Pays en sandwich entre le Sahara et le Sahel mais gratifié de sept frontières1, le Niger devait pouvoir constituer l’exception qui confirme la règle mais… la porosité de ses frontières, l’incivisme fiscal de ses opérateurs économiques, la corruption et les insuffisances structurelles de son administration des frontières, l’inorganisation des filières commerciales, la contrebande à grande échelle… réduisent le gain que devaient rapporter ses sept portes commerciales en peau de chagrin. Le Niger, réduit à acheter plus qu’il ne vend, dépend énormément des marchés extérieurs et notamment de son axe sud vers la côte (Bénin, Togo, Ghana, Côte d’Ivoire). L’axe Gaya-Malanville, en principe route commerciale internationale n°1 du Niger, assure pourtant difficilement la concurrence face à l’informel et la contrebande orchestrée à grande échelle par les commerçants nigérians qui ne se suffisent pas de l’axe Maradi-Katsina-Kano, essentiellement bilatéral, Niger-Nigeria. -
Analyse de mise en place d'une unité économique de pomme de terre pour le Réseau des producteurs de Doutchi/ Niger
Ce travail se propose d'analyser la mise en place d’une unité économique de pomme de terre pilotée par la FCMN-Niya tout en mettant en lumière les facteurs qui influencent la qualité, notamment les conditions de production et de conservation. Mais aussi une analyse de la rentabilité. L’étude s’est appuyée sur deux groupes de producteurs, ceux impliqués dans le warrantage et ceux n’en faisant pas partie. Pour ce faire, nous avons conduit des enquêtes auprès de 95 producteurs sur les sites de Matankari et Doutchi dont 59 pratiquant la conservation et 36 ne pratiquant pas. Les commerçants grossistes(5) et détaillants (5) sont aussi interviewés. -
Les Organisations Paysannes dans la dynamique du développement des marchés de demi-gros : cas du marché de demi-gros de Tessaou au Niger
L’un des piliers de la stratégie du Programme de développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) est l’amélioration des conditions de commercialisation des produits agricoles à travers la construction des marchés de demi-gros, centres de collecte et plateformes de commercialisation des produits agricoles. Ces marchés favorisent les échanges sur de gros volumes de productions issues de plusieurs bassins et sont aussi des lieux de services rendus aux opérateurs économiques. -
Stratégie de régulation de l’arrivage de l’oignon sur les comptoirs d’Agadez
L’élaboration et la mise en œuvre de cette stratégie par la Chambre Régionale d’Agriculture d’Agadez (CRA/AZ) a été guidée par les constats suivants : • Saturation du marché et la mévente, • Baisse drastique des prix de l’oignon sur les marchés, • Manque à gagner pour les producteurs, transporteurs, les mairies et les faîtières (comptoirs) ; La stratégie a consisté à identifier et appliquer des mesures visant non seulement à réguler l’entrée de l’oignon jusqu’à écoulement des stocks sur les comptoirs mais aussi à contrôler la desserte des marchés d’oignons d’Agadez. Ceci visait un double objectif : rehausser les prix dans un premier temps et les stabiliser par la suite.