La contribution des cultures de contre-saison dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et des revenus des populations : cas du village de Tamaské (Département de Keita)
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La contribution des cultures de contre-saison dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et des revenus des populations : cas du village de Tamaské (Département de Keita)
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HAMA Abou-Sofiani
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Irrigation et petite irrigation
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Cultures de contre-saison
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Sécurité alimentaire
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Le Niger est un pays dont l’économie repose essentiellement sur l’agriculture vivrière et les cultures de rente. Pour preuve, le secteur agricole contribue pour près de 23,5%1 au PIB réel, fournit environ 41,4% de l’emploi et 6,3% des recettes d’exportation. C’est à l’évidence un facteur déterminant de la croissance économique de notre pays.
Le Niger couvre une superficie cultivable d’environ 15 millions d’ha, soit 12% de la superficie totale du pays et dont 6 millions ha seulement sont exploités2. L’agriculture est concentrée à l’intérieur d’une bande Est-ouest de 100 à 200 km de large, allant de Liptako au Lac Tchad et occupent plus de 80% de la population active. L’essentiel de la satisfaction des besoins alimentaires de base des populations repose sur les cultures vivrières sous pluies notamment le mil, le sorgho et des cultures irriguées. Mais, on constate ces dernières années que la production céréalière évolue en dents de scie ou n’a pas encore retrouvé un niveau qui permet la sécurité alimentaire. Elle reste globalement déficitaire presque tous les ans. A travers cette situation on remarque qu’outre les précipitations, les pratiques paysannes, les espèces cultivées, les zones de cultures, le rendement pour ne citer que ceux-ci ont une incidence sur la production.
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2011
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Mémoire d’étudiant
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Français
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Niger
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Proposé aux scientifiques
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