Recherche
55 items
-
Projet Annuel de Performance 2021
Notre pays a déjà transposé en septembre 2012, les sept (7) directives sur sept (7) dans sa législation nationale dont les deux premières par loi et les cinq (5) dernières par décret. A travers la loi 2012-09 du 26 mars 2012, portant loi organique relative aux lois de Finances le Niger, a fait le choix de moderniser à la fois son cadre de gestion budgétaire et son processus d’élaboration du budget annuel. C’est dans ce cadre que le décret N°2014-135 PRN/MF du 07 mars 2014 a été pris en vu de remanier le calendrier budgétaire pour le mettre en phase avec les options pluri annuelles et l’instauration du débat d’orientation budgétaire. La nouvelle réforme budgétaire issue des directives de l’UEMOA, instaure de nouvelles règles pour l’élaboration, l’exécution et le suivi du budget avec pour objectif d’améliorer l’efficacité de la dépense et, à travers elles, l’’exécution des politiques publiques.
L’orientation de la gestion vers des résultats prédéfinis constitue le cœur de la réforme et doit amener les administrations publiques à réformer leurs organisations et leurs modes de fonctionnement. C’est conscient de cette donne que le Ministère des Finances à travers la Direction Générale du Budget (DGB) a été amené à procéder à une réforme institutionnelle majeure pour être en phase avec les exigences des Directives de l’UEMOA dont les points clés sont : (i) la passation d’un budget de moyen à un budget de résultats; (ii) la programmation pluri annuelle; (iii le renforcement de la transparence; (iv) la réforme des modes. -
Le système ouest-africain de stockage de sécurité alimentaire - Synthèse des enseignements et perspectives
Cette synthèse des acquis de l’expérience de la mise en œuvre de la stratégie régionale de stockage de sécurité alimentaire a été réalisée dans le cadre de la mise en œuvre de la politique agricole de la CEDEAO, l’ECOWAP. Elle s’inscrit dans le contexte de la Conférence internationale sur le système ouest-africain de stockage de sécurité alimentaire organisée par la CEDEAO et ses partenaires du 28 avril au 10 mai 2021. Elle constitue le résumé de la capitalisation approfondie du Projet d’appui au stockage de sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par l’Agence régionale pour l’agriculture et l’alimentation (ARAA) et la Direction Agriculture et développement rural de la CEDEAO (DADR). -
Rapport d'évaluation de la campagne agricole d'hivernage 2020 et Perspectives Alimentaires 2020/2021
Au total, ce sont 2 680 395 chefs de ménage qui ont été dénombrés au titre de la campagne agricole d’hivernage 2020. Les résultats montrent que la majorité des ménages agricoles sont gérés par des hommes soit 93,15% contre 6,85% des ménages gérés par des femmes. La situation pluviométrique comparée à l’année passée reste très excédentaire dans la majeure partie de la zone agricole du pays. Les poches excédentaires sont localisées dans les régions de Tillabéri, Dosso, Zinder et Diffa. Les poches déficitaires à très déficitaires sont apparues dans les régions de Tillabéri, Dosso et Zinder. La production céréalière globale de la campagne agricole d’hivernage est estimée à 5 768 382 tonnes. En comparaison avec les productions de la campagne 2019 on observe une hausse de 9 %. L’évolution de ces productions sont également en hausse voire une stabilité de 1% par rapport à la moyenne des cinq (5) dernières années. Ce sont des hausses de 7%, 12% et 13% qui sont observées respectivement pour le mil, le maïs et le sorgho. Par contre les niveaux de production sont en baisse pour le riz et le fonio respectivement de 4 et 6% par rapport à l’année passée. L’analyse comparée de la production 2020 par rapport à la moyenne quinquennale présente des hausses de production pour le sorgho et le maïs. -
Budget annuel 2021
En vue de l'exécution de son programme d'activités annuel, la Direction Générale du Centre National de Lutte Anti-acridienne (CNLA) a élaboré un projet de budget. Ce budget est équilibré en recette et en dépenses à la somme de trois cent vingt-six millions sept cent vingt-quatre mille six cent quatre (326 724 604). L'analyse de ce budget comparativement à celui de l'année 2020 qui était de un milliard cinq cent cinquante-huit millions cinq cent soixante-dix-neuf mille neuf cent soixante-deux (1 558 579 962) Francs cfa, fait ressortir une diminution d'un milliard deux cent trente-un millions huit cent cinquante cinq mille trois cent cinquante huit(1.231.855 358). -
10em session ordinaire du conseil d'administration du centre national de lutte anti-acridienne (CNLA)
La situation acridienne a été relativement calme sur l'ensemble des airs de reproduction et de grégarisation du Criquet pèlerin ainsi que dans le Sahel des pâturages. Toutefois,les prospections de novembre et décembre ont mis en évidence une augmentation des effectifs acridiens consécutives à une concentration, une une multiplication et une grégarisation, qui ont conduit à la formation de groupes solitario-transiens et de bande. -
Rapport final de la formation des jeunes agriculteurs et agricultrices pour la campagne sèche froide 2020-2021
La Chambre Régionale d’Agriculture de Tahoua anime la formation professionnelle, installation des jeunes agriculteurs/trices. La formation des jeunes est une activité que mène la CRA avec l’appui du Projet Pôle Ruraux. Pour la campagne de saison sèche 2020-2021, ces formations ont concerné 15 communes, 33 sites, 717 jeunes en formation, 7 opérateurs de formation (OP, GIE, ONG). -
Annuaire National 2021 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
Au Niger, le secteur rural reste le plus grand pourvoyeur d’emploi et contribue plus que tout autre secteur au PIB par habitant constituant pour ainsi dire l’un des secteurs productifs à même de tirer la croissance économique de notre pays. La contribution de l’agriculture à l’essor national est cependant continuellement entravée par la faible capacité de production agricole et végétale. Bien que les effets néfastes du changement climatique soient indexés comme étant une cause non négligeable qui contribue à obstruer les bons rendements agricoles, il s’est avéré que la faible utilisation des semences de qualités demeure un facteur limitant dans l’accroissement des rendements agricoles. -
La formation continue des agriculteurs et agricultrices
Ce rapport présente les résultats de l’étude réalisée par l’Institut de Recherches et d’Applications des Méthodes de Développement(IRAM) pour le compte du Réseau international Formation Agricole et Rurale(RIFAR) : « La formation continue des agriculteurs et agricultrices - Éclairages sur les enjeux et nouvelles approches pour l’Afrique subsaharienne ». Le principal objectif de l’étude est de faire le point sur l’évolution de l’offre de formation continue destinée aux agriculteurs et agricultrices en Afrique subsaharienne au cours des quinze dernières années, tout en s’intéressant à des initiatives développées dans d’autres contextes. À travers l’analyse d’une diversité d’expériences, l’étude vise à identifier les éléments clés concourant à la qualité, au changement d’échelle et à la durabilité de l’offre de formation et sur lesquels les professionnels et responsables institutionnels de la formation agricole et rurale (FAR) devront porter une attention particulière dans le développement de futur(e)s politiques et dispositifs de formation continue. -
Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA)
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP1, l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre autant que possible l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites terrains dans les départements de Say et de Balleyara (zones prisées par les promoteurs et représentant un pourcentage important des investissements de type agrobusiness, du fait de leur caractère propice à l’irrigation ainsi que de la proximité de la ville de Niamey) ont été réalisées par une équipe de la Chambre Régionale d’Agriculture de Tillabéri et du RECA. Ces visites ont pour but de mettre en lumière les expériences existantes au Niger en matière d’irrigation et de techniques de production innovantes. Elles sont centrées autour de promoteurs privés, en particulier ceux possédant un ou plusieurs systèmes techniques innovants au sein de leur exploitation : utilisation de serres « filet » ou en plastique, réseau d’irrigation goutte à goutte ou Hadari avec ou sans réservoir d’eau (château d’eau, bassin de stockage d’eau, ou réseau d’irrigation direct sans retenue d’eau), système californien adapté… -
Évaluation du potentiel en terre irrigable au Niger : Rapport de synthèse générale
Le secteur agricole est fortement dépendant de la pluie, mais du fait de son insuffisance et de sa mauvaise répartition dans le temps et dans l’espace, le Niger enregistre fréquemment d’importants déficits dans la production agro-pastorale, et le pays se trouve confronté à une insécurité alimentaire chronique. -
Diagnostic des besoins en renforcement des institutions de formation en petite irrigation dans les régions d’Agadez, Tahoua et Tillabéri.
Cette étude a été réalisée par le programme de Promotion de l’Agriculture Productive (PromAP) dans le but d’identifier les besoins en renforcement des institutions de formation susceptible d’être mobilisées pour la formation des conseillers agricoles et prestataires de métiers connexes dans le domaine de la petite irrigation. Elle repose sur une enquête de terrain auprès des institutions de formation agricole dans le champ de la PI, menée dans les 3 régions d’intervention du PromAP : Agadez, Tillabéri, Tahoua. Les enquêtes ont été conduites entre mai 2019 et octobre 2019. -
Technologies agricoles climato-intelligentes pour le Sahel et la Corne de l'Afrique de l'Afrique
Ce catalogue décrit une série de solutions agricoles pour les zones arides du Sahel et de la Corne de l'Afrique, utiles pour l'adaptation au changement climatique et l'atténuation de ses effets. Il est basé sur les interventions du programme Technologies pour la transformation de l'Agriculture en Afrique (TAAT). Ce programme, dirigé par l'Institut International d'Agriculture Tropicale (IITA),est à l'origine de nouvelles approches pour le déploiement de technologies éprouvées auprès des agriculteurs africains. TAAT est né d'un effort commun de l'IITA et de la Banque Africaine de Développement (BAD) et constitue un élément important de la stratégie « Nourrir l'Afrique » de cette dernière. TAAT fait actuellement progresser plus de 76 technologies à travers 88
interventions dans 28 pays, dont neuf pays de la zone agro-écologique sahélienne: Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Soudan du Sud, Tchad et Éthiopie. -
Rapport régional sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle
La disponibilité alimentaire est relativement satisfaisante, en raison des conditions agroclimatiques favorables, à l’issue de la campagne agro-pastorale 2020-2021. Il est ressorti en général que les productions agricoles et pastorales sont en hausse comparées à la moyenne quinquennale. Par contre, les conséquences de la pandémie de la COVID-19 et le ralentissement des demandes locales, régionale et internationale ont conduit à des baisses importantes de certaines productions de culture de rente, comme le Coton et le Cacao, entraînant ainsi une baisse de revenus tirés de ces cultures et une dégradation des moyens d’existence et des conditions de sécurité alimentaire de certaines populations.
-
État des lieux de la prise en compte des transitions agroécologiques dans la fourniture des services de conseil agricole (Rapport)
Différents travaux/études ont déjà été conduits au Niger sur des questions d’agroécologie (la plus récente étant une étude FAO de 2019). Différents travaux et études ont également été conduits sur le Conseil Agricole au Niger, en particulier dans le cadre de l’I3N et de la relance du Conseil Agricole depuis 2016 (et même avant dans le cadre de la SDR). En revanche cette étude sur la prise en compte des transitions agroécologiques dans la fourniture des services de conseil agricole est une première. Elle a été réalisée dans le cadre du projet ACOTAF simultanément dans cinq pays : le Niger, le Bénin, Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et la Guinée. S’agissant d’une première elle est forcément non-exhaustive, mais apporte des éclairages sur les questions suivantes : Où en est l’agroécologie aujourd’hui au Niger ? Quels sont les besoins de transitions agroécologiques selon les filières et territoires ? Où en est le Conseil Agricole aujourd’hui au Niger ?
Comment accompagne-t-il ces transitions agroécologiques ? Par ailleurs l’étude avait aussi une vocation méthodologique de développer des outils d’analyses. -
Plan d’actions participatif pour une gestion inclusive des parcs à karité dans les communes de Bougnounou et Nébiélianayou
En Afrique subsaharienne, les ressources naturelles (RN) contribuent énormément à l’économie, notamment domestique. Elles « constituent un élément central des moyens de subsistance des populations rurales ». Pendant longtemps, l’utilisation des RN par les populations rurales au Burkina Faso a été influencée par des modes de gestion traditionnels, soumis aux normes et coutumes locales. A côté de cette forme motivée essentiellement par la satisfaction des besoins de sécurité alimentaire et nutritionnelle, on note une autre forme de gestion par l’État, à travers ses services techniques qui ont pour mandat de réguler l’exploitation des RN et d’en assurer leur durabilité notamment lorsqu’il s’agit des besoins d’utilisation commerciale. -
L’impact de la crise du Covid-19 sur les communautés pastorales
Une vulnérabilité aggravée dans un contexte de crises multiples
Dans le souci d’endiguer la pandémie, les gouvernements de la plupart des pays de la région ont adopté des plans de riposte. Bien qu’étant justifiées par des impératifs sanitaires, les mesures publiques de confinement total ou partiel, ainsi que les décisions de restriction des déplacements et de fermetures des marchés ont entraîné des impacts socio-économiques importants qui ont affecté les conditions de vies des communautés pastorales et agropastorales, ainsi que les activités d’élevage. -
L'engagement des paysans africains dans la gouvernance du foncier rural
En Afrique, la propriété foncière a toujours été gérée sous le régime communautaire. Il y a eu un déphasage total, une déconnexion avec les premières législations sur le foncier, qui étaient une tentative de hold-up de la part des États post-coloniaux. Nous devons défendre la meilleure voie pour arriver à la paix foncière, gage de paix sociale, de paix pour le pays. Quand on a de la terre, on produit, on est chez soi, on est en paix. -
Projet de mobilisation et de valorisation des ressources en eau (PROMOVARE)
L’objectif principal du PROMOVARE est d’améliorer la résilience de la population face à la variabilité et au changement climatique par la maitrise de l’eau pour les différents usages. De façon spécifique, le PROMOVARE vise à (i) augmenter et à intensifier les cultures irriguées et de décrue ; (ii) promouvoir le développement des nouvelles techniques d’irrigation ; (iii) mettre en oeuvre une série d’actions permettant d’améliorer les conditions de vie des populations bénéficiaires et à assurer un meilleur suivi des ressources en eau. Il fait partie des projets du programme stratégique pour la résilience climatique (PSRC). -
Synthèse du rapport d'évaluation environnementale stratégique (EES) de la stratégie de la petite irrigation au Niger
Ce document restitue une évaluation environnementale de la stratégie de la petite irrigation au Niger. -
Climate change, biodiversity and nutritions nexus : evidence and emergency policy and programming opportunities
This paper presents the findings of a desk review conducted by the Food and Agriculture Organization of the United Nations that found that the majority of tools used to study climate change, biodiversity or nutrition focus on only one or two of these domains and very few explicitly address all three. The same goes for policies in the three sectors. It also identified numerous entry points to improve biodiversity and diets as the two levers to improve nutrition and optimize environmental sustainability. Based on these findings, the study makes a number of recommendations for action by governments, academia, civil society, the private sector and international organizations to address these shortcomings. -
Rapport final de la formation des jeunes agriculteurs et agricultrices pour la campagne d’hivernage 2021 (juillet-décembre 2021) 7 communes, 16 sites, 274 jeunes formés/évalués, 4 opérateurs de formation
La Chambre Régionale d’Agriculture de Tahoua est engagée dans un programme de formation professionnelle et installation des jeunes agriculteurs/trices. La formation des jeunes est une activité que mène la CRA avec l’appui du Projet Pôle Ruraux. -
Analyse de la réponse pour l’adaptation climatique
Le récent examen stratégique du Programme Alimentaire Mondial (PAM) de l’objectif de Développement durable Faim Zéro désigne le changement climatique comme l’un des facteurs récents de la faim les plus complexes. Pour faire face à cette nouvelle menace pour la sécurité nutritionnelle à l’échelle globale, de nouvelles approches d’élaboration de programme sont nécessaires. Très souvent, les mécanismes de financements internationaux pour la lutte contre le changement climatique ne sont pas accessibles duaux critères spécifiques d’élaboration de programme requis pour accéder à lesdits fonds.
-
Plan de travail et de budget annuel (PTBA) 2021 de l'unité régionale de gestion du programme (URGP) de Diffa
Le ProDAF-Diffa va porter ses interventions dans la zone des cuvettes oasiennes, les parties ouest et centre de la vallée de la Komadougou, la zone agropastorale centre et la partie pastorale nord-ouest e la région. Les réalisations se concentreront autours de ces cinq poles de développement économique (PDE) et des activités et produits issus de l'agriculture irriguée et pluviale et de l'élevage. Au plan thématique, le programme ciblera les activités de production agropastorales et les métiers connexes en aval et en amont des filières retenues. -
Contribution Déterminée au niveau National
La Contribution Déterminée au niveau National (CDN) du Niger s’inscrit dans le cadre de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) et de l’Accord de Paris sur le climat. Elle s’aligne aux politiques et stratégies nationales, notamment la SDDCI Niger 2035, le PDES-2017-2021 ainsi que les programmes/projets de gestion durable des ressources naturelles et de l’accès aux services énergétiques modernes pour tous à l’horizon 2030. -
Limiter les contraintes des productions agro-sylvo-pastorales et assurer un développement socio-économique durable avec la contribution de la recherche agricole
Le présent rapport scientifique est l’amorce de cette nouvelle dynamique que nous voulons impulser à la recherche à l’INRAN : faire toucher du doigt les résultats de la recherche afin qu’ils puissent être facilement utilisables par les producteurs et productrices du Niger et des autres pays du monde.
-
Rapport technique d'activités
Le Conseil National de la Recherche Agronomique se réunit deux fois par an en session ordinaire. Il peut se réunir en session extraordinaire sur convocation de son Président. Ses délibérations sont soumises au Gouvernement pour approbation. Le CNRA est assisté dans son fonctionnement par un Secrétariat Permanent qui est chargé d’exécuter ses décisions, de veiller au bon fonctionnement de l’ensemble du système de recherche Agronomique, d’assurer la coordination des actions, le suivi et la mise en œuvre du plan stratégique des projets et programme de la recherche. -
Plan de Gestion des Pestes, des Produits et des Déchets Dangereux (PGPPDD)
Au regard de l’importance du pastoralisme dans la vie socio-économique des populations pastorales, dans le cadre de « l’Initiative en faveur du Sahel », le Groupe de la Banque Mondiale s’est engagé depuis novembre 2013, à apporter un appui financier pour le développement des activités pastorales au niveau des six pays de la bande Sahélo saharienne où la situation sécuritaire est devenue une source de vive préoccupation. Ainsi naquit le PRAPS 1 avec comme objectif, « Améliorer l’accès à des moyens et services de production essentiels et aux marchés pour les pasteurs et agro-pasteurs dans des zones transfrontalières et le long des axes de transhumance et améliorer la capacité du pays à répondre à temps et de manière efficace en cas de crises pastorales ou d’urgences ». Le présent projet constitue la phase 2 du PRAPS et a pour objectif de développement du projet proposé est "d'améliorer la résilience des pasteurs et des agropasteurs dans certaines zones de la région, et de renforcer les capacités des pays à répondre rapidement et efficacement aux crises ou aux urgences pastorales”. Préparé conjointement avec les autres instruments d'engagement exigés par le Cadre environnemental et social (CGES, PEES), l'élaboration du présent PGPPDD a été faite suivant méthodologie classique alliant revue documentaire aux investigations de terrain et au traitement/analyse des informations collectées. -
Projet intégré de désenclavement des zones de productions transfrontalières Hamdara-Wacha-Doungass-Frontière Nigeria
Le Gouvernement de la République du Niger va obtenir de la Banque Africaine du Développement un appui financier pour la mise en œuvre du Projet Intégré de Désenclavement des Zones de Productions Transfrontalières Hamdara-Wacha-Doungass-Frontière Nigéria (PIDZPT). Dans ses efforts inlassables de lutte contre la pauvreté, d’améliorer le capital humain et les conditions de vie des populations, surtout du monde rural, le Gouvernement du Niger s’est doté d’une politique nationale de développement économique et social, qui s’est fixée comme but principal, le développement socioéconomique durable qui passe indélébilement par la construction d’infrastructures routières durables. C’est dans cette optique que s’inscrit la mise en œuvre de la composante B du projet. -
Analyse des Barrières et du cadre Propice pour le déploiement des technologies d’Adaptation aux Changements Climatiques pour les secteurs de l’Agriculture et des Ressources en Eau
Dans le cadre de la mise en œuvre du projet sur l’Evaluation des Besoins Technologiques (EBT), volet adaptation aux Changements Climatiques, le premier rapport relatif aux technologies prioritaires a été élaboré entre février et avril 2020. Ces technologies concernent les secteurs de l’Agriculture et des Ressources en Eau. Les technologies prioritaires qui ont été retenues pour le secteur de l’Agriculture sont : le système d’irrigation goutte à goutte ; la fabrication des blocs multi nutritionnels densifiés ; la lutte contre la fièvre de la vallée du Rift ; le système d’Alerte Précoce (SAP) ; le compostage en fosse et la culture fourragère de dolique. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions irriguées 2020-2021
Le présent document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2020-2021. L’engouement suscité cette année encore par la campagne irriguée, en particulier à travers les différents projets et programmes intervenant dans la promotion des cultures irriguées dont les objectifs et résultats attendus, renforce notre conviction et notre volonté sans cesse grandissante que l’évaluation de ladite campagne est importante à plus d’un titre : mesures des performances, contribution à la résorption des déficits alimentaires, exportations et revenus, etc. les attentes des utilisateurs des résultats de cette opération sont donc multiples et diverses mais elles ne lui enlèvent rien de sa valeur scientifique et statistique. Que ceux-ci (les utilisateurs) veuillent bien nous excuser des insuffisances qu’ils pourront constater et ne retenir que l’essentiel : les résultats qu’ils peuvent désormais utiliser comme outils de travail, d’analyse et de prospectives. -
Étude de marchés pour la conservation, la transformation et la commercialisation des agrumes, pomme de terre et oignon dans la région d’Agadez
La présente étude commanditée par le projet Pôles Ruraux « étude de marché pour la conservation, la transformation et la commercialisation des principales productions agricoles de la région d’Agadez, notamment les agrumes, l’oignon et la pomme de terre ». Elle a pour objectif de faire une analyse détaillée sur les opportunités de marchés relatives aux principales filières agricoles tout en mettant l’accent sur les potentialités, les différents acteurs impliqués, les forces, les faiblesses et les contraintes des systèmes de production des agrumes, l’oignon et la pomme de terre. Elle s’accorde dans une parfaite harmonie avec les politiques et stratégies de développement mis en place par l’État du Niger. -
Plan stratégique réactualisé de renforcement des compétences des acteurs de la petite irrigation (PS RCA -PI)
Le plan stratégique de renforcement des compétences des acteurs de la petite irrigation (PS RCA -PI) a été réactualisé pour appuyer la mise en oeuvre de la SPIN -
Répertoire des outils et normes standards validés par les institutions nationales compétentes pour le contrôle de qualité du conseil agricole
Ce répertoire a été élaboré pour rassembler les outils et normes standards validés par les institutions nationales compétences pour le contrôle qualité du conseil agricole dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage, de l’environnement et de l'hydraulique. Il a le mérite de fournir la méthodologie et les instruments nécessaires en vue d’apprécier la qualité du conseil agricole pour les quatre ministères sectoriels. -
Plan de formation des dispositifs de conseil agricole des régions d’Agadez, de Tahoua et de Tillabéri
Ce document est un plan de renforcement des capacités des acteurs du conseil agricole, qui est primordiale pour soutenir les réformes politiques, stratégiques et institutionnelles en cours, consolider les résultats obtenus dans le cadre de ces réformes et optimiser les investissements réalisés en faveur de l’agriculture nigérienne -
Évaluation du potentiel en terre irrigable du Niger : rapport général
Le gouvernement du Niger avec l’appui de ses partenaires a initié une étude sur l’actualisation du potentiel en terres irrigables du pays. En effet, l’irrigation représente un facteur principal de développement agricole. Compte tenu de la place qu’occupe l’agriculture et du poids de la facture alimentaire, la recherche des terres aptes à l’irrigation, des eaux nécessaires à cette opération et leur meilleure gestion est une préoccupation constante des services techniques. Cette étude visait à
- faire l’inventaire des ressources en terres irrigables et irriguées des différentes régions et dresser leurs cartographies ;
− identifier et estimer les ressources en eau mobilisables et mobilisées pour l’irrigation ;
− dresser un état exhaustif de mise en valeur des terres irriguées. -
Mission d'appui à l'APCA pour la conception d'un système de suivi-évaluation - rapport d'étape n°1
Ce rapport d’étape N°1 traite des points suivants :
Identification et appréciation des dispositifs de suivi-évaluation existant sur le conseil agricole
Identification des systèmes d’information existant sur le secteur agricole
Identification des sources de données que l’APCA va générer et qui devront être valorisées dans le dispositif de suivi-évaluation du SNCA -
Rapport de mission d'expertise : bilan-diagnostic de mise en oeuvre des sites de démonstration innovation formation (DIF, PROMAP 3) et perspectives pour el développement de sites intégrés de formation agricole (SIFA, PROMAP 4)
Ce document constitue un diagnostic participatif des sites de Démonstration – Innovation – Formation (DIF) qui ont été mis en oeuvre dans le cadre de la Phase 3 du PromAp avec quatre fonctions principales :
1. Support à la formation de terrain de divers publics cibles ayant la possibilité se confronter, en un même lieu, à divers objets techniques innovants
2. Support à la réalisation, pour différents publics, de visites d’échange/ démonstrations/vulgarisation d’objets techniques innovants
3. Support à l’évaluation de pratiques et techniques innovantes par la mesure, en milieu contrôlé préalablement caractérisé, d’indicateurs de performance agronomique, économique et environnementale.
4. Support au développement de systèmes de culture innovants -
Rapport de synthèse du processus de mise en oeuvre de l'approche EEA/FBS au Niger dans les régions d'agadez, Tahoua et Tillabéri
Le présent rapport fait la synthèse des activités réalisées dans le cadre de la mission d’appui à la mise en œuvre de l’approche EEA au Niger. Cette mission fût commanditée par le PromAP et conduite par le maître formateur international EEA/FBS Boureima OUEDRAOGO. Les activités ont été réalisées dans la période du 09 mai au 28 septembre et en deux parties dont une en présentielle (à Agadez et Tahoua) et l’autre à distance (Tillabéri) à partir de Ouagadougou. -
Analyse de genre pour le Programme de Promotion de l'Agriculture Productive au Niger
L'analyse de genre est basée sur un travail préliminaire approfondi qui avait déjà été réalisé par le projet en 2020 et qui a été complété par des analyses critiques de documents, de statistiques et d'études. Des données primaires ont également été collectées par le biais d'une enquête via un questionnaire auprès de certains membres du personnel du projet ainsi que par des entre-tiens personnels avec les organisations partenaires les plus importantes par une consultante nationale (questionnaire et guide d´entretien en annexe) -
Revue synthétique des résultats 2009-2020 , Niger renforcer la résilience
La présente revue synthétique des résultats au Niger examine les progrès de développement du pays au cours des dix dernières années et la manière dont la Banque a contribué à ces résultats. Le rapport s’intéresse en particulier aux cinq priorités de l’Institution, les High 5, à savoir : « Éclairer et fournir de l’énergie à l’Afrique », « Nourrir l’Afrique », « Industrialiser l’Afrique », « Intégrer l’Afrique », et « Améliorer la qualité de vie des populations africaines ». Le présent rapport passe en revue la réalisation de ces cinq priorités dans le contexte du Niger, en se basant sur une série d’indicateurs extraits du Cadre de mesure des résultats de la Banque. Le chapitre introductif donne une vue d’ensemble de la situation économique du Niger et s’intéresse à l’appui de la Banque dans les domaines transversaux et stratégiques. Les cinq chapitres suivants examinent consécutivement les High 5, tant au niveau des progrès du Niger qu’au niveau de l’appui de la Banque. Enfin, le chapitre 6 analyse l’efficacité avec laquelle la Banque gère ses opérations au Niger. -
Entendre la voix des éleveurs en Afrique de l'Ouest : quel avenir pour le pastoralisme face à l'insécurité et ses impacts?
La voix des éleveurs pasteurs au Sahel et en Afrique de l'Ouest est souvent oubliés alors qu'ils sont parmi les plus exposés au contexte actuel d'insécurité en raison de leurs mobilité. Sur la base du recueil de la perception de 1898 acteurs dont près de 1700 éleveurs issus de 7 pays et 23 régions administratives du Sahel Central (Mali, Burkina-Faso, Niger) et de son voisinage immédiat (Cote d'Ivoire, Bénin, Togo, Nigeria), le Réseau Billital Maroobé (RBM) a souhaité analysé comment les éleveurs vivent cette insécurité, dont dont la grande majorité en sont les victimes mais dont une minorité s'est engagée au sein des mouvements armés et en sont donc devenus des acteurs. -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : fiche sur la patate douce
SUSTLIVES (SUSTaining and improving local crop patrimony in Burkina Faso and Niger for better LIVes and EcoSystems) est un projet financé par l’Union Européenne dont l’objectif est de favoriser la transition vers des systèmes agricoles et alimentaires durables et résilients aux changements climatiques au Burkina Faso et au Niger à travers la mise en valeur du patrimoine des cultures locales et de leurs chaînes de valeur. SUSTLIVES s’appuie sur une analyse approfondie des caractéristiques socio-économiques et agro-environnementales du Niger et du Burkina Faso, où l’on propose une approche globale pour protéger et renforcer l’agro-biodiversité ainsi qu’une démarche participative et inclusive, sensible au genre et à l’âge. L’objectif spécifique de SUSTLIVES est de renforcer les capacités de recherche et d’innovation des acteurs sur les chaînes de valeur des cultures négligées et sous-utilisées (NUS – Neglected and Underutilised Species) au Burkina Faso et au Niger. -
Entendre la voix des éleveurs au Sahel et en Afrique de l'Ouest : quel avenir pour le pastoralisme face à l'insécurité et ses impacts ? (rapport de synthèse)
L'insécurité actuelle ne peut etre détachée du contexte qui la nourrit. Elle est l'expression d'une crise globale de la gouvernance des espaces ruraux sahéliens et ouest-africains, qui se manifeste en partie par une crise du pastoralisme sur laquelle s'attarde cette étude. La crise du pastoralisme qui se cristallise autours d'une mobilité entravée, offre aujourd'hui un terreau nouveau sur lequel les groupes armés prospèrent en recrutant des éleveurs pasteurs à qui ils promettent de réparer les injustices multiformes qu'ils subissent. -
Revue annuelle de mise en œuvre du du PromAP - 2021 : état d'avancement du programme et niveau de mise en œuvre du plan annuel de travail 2021
La présente revue donne un aperçu du bilan de mise en œuvre du Plan Annuel de Travail (PAT) du PromAP au titre de l’année 2021. C’est un exercice annuel obligatoire au PromAP qui permet d’apprécier le niveau de mise en œuvre des activités du PAT 2021, à travers les résultats atteints, et in extenso le niveau global d’atteinte des indicateurs des différents outputs. Il permet également d’apprécier les changements induits au niveau des partenaires de mise en œuvre aussi bien au niveau national qu’au niveau des trois régions d’intervention. -
Dix ans de mise en œuvre de la stratégie de l'initiative 3N 2011-2020
Le présent rapport vise quant à lui à établir un bilan global de la période de dix ans d’implémentation de l’Initiative 3N, de 2011 à 2020, tant du point de vue des moyens mobilisés, des principales réalisations que de certains effets perceptibles. Il témoigne de l’élan créé autour de cette stratégie et de l’engagement politique qui a accompagné sa mise en œuvre. Les plans d’action successifs de l’Initiative 3N ont servi de cadre de référence pour la planification de l’action des différents Ministères et institutions maîtres d’ouvrage de l’Initiative 3N mais également des interventions des partenaires dans ce secteur. Ceci a permis de mobiliser non seulement des moyens financiers et techniques conséquents pour les réalisations sur le terrain mais également de susciter d’importantes réformes et l’amélioration significative de l’environnement du secteur. Ce bilan global constitue ainsi un rapport de synthèse qui analyse les principales avancées dans les domaines couverts par les cinq (5) axes stratégiques de l’Initiative 3N, mais également les défis et leçons apprises, qui permettent de dégager les orientations pour l’élaboration de la prochaine phase de programmation quinquennale. -
Bilan 2016-2020 de mise en œuvre du plan d'action 2016-2020 de l'initiative 3N
Ce 2ème Plan d’Action quinquennal, structuré autour de douze (12) Programmes Stratégiques, sous la maîtrise d’ouvrage de sept (7) différents Ministères et administrations de mission, est arrivé à échéance et donne lieu à la présente publication du bilan de sa mise en œuvre qui présente en détail les niveaux d’investissement et de réalisations des différents Programmes Stratégiques. Le coût global de ce second Plan d’Action est de 1 546,627 milliards de FCFA. -
Étude d'identification des acheteurs, pour les produits d'agriculture, d'élevage et d'aquaculture à fort potentiel au niveau national
L'identification des acheteurs, pour les produits d'agriculture, d'élevage et d'aquaculture à fort
potentiel au niveau national constitue une activité essentielle pour le Projet PIMELAN dans le cadre de la mise en œuvre de son partenariat productif. L’objectif est de disposer d’un répertoire exhaustif des acheteurs potentiels des produits d’agriculture, d’élevage et d’aquaculture et d’analyser l’environnement de travail de ceux-ci en vue de ressortir des leviers sur lesquels le Projet pourrait agir pour assurer un succès dans la mise en œuvre de son partenariat productif. Pour atteindre cet objectif, l’étude conduite dans les six régions couvertes par PIMELAN a utilisé une approche globale d’intervention qui s’est appuyée sur les fondamentaux d’approche participative, de durabilité des actions et de prise en compte des thèmes transversaux. La collecte des données secondaires et primaires caractérisée par des recherches documentaires, des ateliers de discussions avec les parties prenantes et les bénéficiaires du projet ainsi que l’enquête de terrain via l’outil ODK ont permis d’obtenir de divers résultats au cours de l’étude. Il ressort de l’étude que le cadre juridique et réglementaire en état actuel est propice au développement des activités de commercialisation des produits d’agriculture, d’élevage et d’aquaculture. -
Association Nigérienne des Fédérations Interprofessionnelles du Lait au Niger (ANFILAIT)
La filière lait du Niger mobilise plusieurs catégories d’acteurs. On distingue les éleveurs producteurs de lait, les collecteurs et commerçants de lait et les acteurs dans l’industrie du lait sans oublier les fournisseurs d’aliments, de produits et de services vétérinaires et zootechniques. Avec les problèmes auxquels la filière est aujourd’hui confrontée, un besoin de renforcement et de structuration de son interprofession s’est révélé incontournable. Aussi, l’Interprofession lait du Niger (Association Nigérienne des Fédérations Interprofessionnelles du Lait, ANFILAIT) qui vit le jour le 23 Novembre 2021 a-t-elle engagé une réforme qui fort heureusement a bénéficié du soutien technique et financier du Programme d’Appui au Développement de l’Élevage (PRADEL). -
Rapport sur le contrôle interne
Période allant du 01 janvier 2020 au 31 décembre 2020Dans le cadre de la mission d'audit des états financiers de l'exercice clos au 31.12.2020
du Programme de Renforcement de la Résilience à l'Insécurité Alimentaire et
Nutritionnelle au Sahel (P2RS) financé par la Banque Africaine de Développement
(BAD), nous avons examiné les procédures administratives, comptables et financières
ainsi que le système de contr61e interne mis en place pour la gestion des opérations du
P2RS. -
Annuaire des statistiques 2009-2019
Le Système Statistique National (SSN) est régi par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 qui organise les activités de production, de traitement, d’édition, de diffusion et d’utilisation des statistiques au Niger. Elle consacre l’indépendance scientifique dans la production et la diffusion des statistiques et fait obligation au secret professionnel, à la neutralité, à l’objectivité, à l’impartialité et à l’anonymat des fournisseurs des informations primaires ou des répondants aux questionnaires. Elle impose également le principe de transparence : accès égal pour tous aux données et compréhension partagée des objectifs et des résultats attendus -
Suivi des activités de la CRA dans le cadre du Projet Pôles Ruraux
La mission s’est déroulée du 13 au 20 décembre 2021 avec deux agents du RECA et les conseillers de la Chambre Régionale d’Agriculture d’Agadez. La mission a visité 7 sites de formation de jeunes agriculteurs et agricultrices, 6 sites de conseil de gestion à l’exploitation agricole (CGEF) et un site de démonstration oignon. Elle s’est entretenue avec les conseillers agricoles de la CRA, les formateurs et animateurs des structures privées partenaires (ONG ou GSC) et des producteurs ou productrices. -
Projet de développement intégré des systèmes semenciers au sahel : niébé - Niger
Le Mali et le Niger sont deux pays continentaux sahéliens qui sont à la fois confrontés aux effets du changement climatique et à un accroissement de leur population. Entre 2012 et 2016, la population malienne a augmenté d’en moyenne 0.5 million de personnes par an tandis qu’au Niger ce chiffre atteignait 0.75 million. Paradoxalement à cette augmentation du nombre de bouches à nourrir, la productivité agricole s’affaiblit à cause des difficultés agro-pédo-climatiques. -
Projet de développement intégré des systèmes semenciers au sahel : arachide Niger
Le présent document est la brève de culture de l’arachide pour le Niger Selon les données de la FAO, la surface récoltée en arachide au Niger a augmenté régulièrement entre 2009 et 2019 de 600 000 à 900 000 hectares (Figure 1). En corrélation avec l’augmentation de la surface cultivée, la production d’arachide a également augmenté sur la même période passant d’environ 250 000 à 550 000 tonnes métriques. -
Projet de développement intégré des systèmes semenciers au Sahel : sorgho-Niger
Les superficies récoltées en sorgho au Niger sont passées d’environ 2 500 000 ha en 2009 à plus de 3 700 000 ha en 2019 (Figure 1). La production du sorgho a évolué progressivement d’environ 730 000 tonnes à près de 1 900 000 tonnes entre 2009 et 2019 (Figure 2). Enfin, le rendement, à l’instar de la surface récoltée et de la production a progressivement augmenté de 0,3 t/ha à 0,5 t/ha entre 2009 et 2019. -
Projet de développement intégrés des systèmes semenciers au Sahel : riz-Niger
Ces brèves de cultures répertorient des données sur la production, la distribution et l’utilisation des semences des cultures suivantes : maïs, riz, sorgho, millet, arachide, niébé et légumes dans les deux pays que sont le Niger et le Mali. Le présent document est la brève de culture du riz pour le Niger.